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Le 13 août des cantonnements de maquisards sont bombardés et mitraillés au Cirque de Saint Même



Les informations contenues dans ce programme sont arrêtées à la

p.4. Carte des parcs et jardins en Auvergne-Rhône-Alpes p.5. Programme Chabeuil. Jardin Le clos fleuri. 15 allée des vignes. 26120 Chabeuil.



Flore Rhodano-Ligérienne M. Coquillat

[= Thalictrum minus L.] P. des terrains calcaires. Rh. : l'Arbresle à la Font de Vay ; St-Germain-sur-l'Arbresle (Oll.) - Is. : Grande Chartreuse au.



MANUSCRITS

15 déc. 2012 Lettre des marguilliers de l'Eglise Saint-Symphorien d'Avignon à ... faveur da noble P. de Lues s"" d'Aramon



RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS SPÉCIAL N° 84-2022-133

1 juil. 2022 LP PR PORTES DE CHARTREUSE - VOREPPE. PATRICK YVARS. FORMATEUR DE MFR. MFR DU FONTANIL – SAINT ALBAN LEYSSE. LUDOVIC SORIANO.





STO MAQUIS ET GUÉRILLA DANS LISÈRE

Preface du general Le Ray. in Chronique des Maquis de VIs&re par P. et S. Sil Saint-Pierre-de-Chartreuse aux Issarts



ComitéN° Club Nom Club Adresse 1 Adresse 2 CP Ville 001 1001

P. ST NIZIER LE BOUCHOUX. Mr Patrick PERRIN. Chevalier. 01560 ST NIZIER LE BOUCHOUX 16720 ST MEME LES CARRIERES ... Route de Chabeuil. 26120 MALISSARD.



2020 DU SPECTACLE VIVANT

Chabeuil. Cie Les P'tits bras. Cie Les veilleurs. Cirque Trottola. Cie des Voisins. Saint-Gervais-sur-Roubion. Le Caramantran. Aurel. Cie Dans tes rêves.



à propos

cirque · 1h · Tout public · accès libre de et avec Saïlen Centre Culturel de Chabeuil ... 27 mai · 16h15 à st syMphorien de Mahun rdv à l'abribus.

Catalogue de la

Flore Rhodano-Ligérienne

Additions et modifications

à la Flore du Bassin moyen du Rhône et de la Loire de Cariot et Saint-Lager d'après les observations des Botanistes du Sud-Est colligées par

M. Coquillat

Ancien Président de la Société Linnéenne de Lyon Membre de la commission consultative du Muséum de la ville de Lyon

Membre de la Société Botanique de France.

LYON

Société Linnéenne de Lyon

33, rue Bossuet

1965

AVANT-PROPOS

La Flore de CARIOT, dont la dernière édition fut révisée par le Docteur SAINT-LAGER, a

rendu, depuis un siècle, de grands services à plusieurs générations de botanistes. Il y a quelques

années, la Flore de CARIOT et SAINT-LAGER, éditée en 1897, était encore vendue neuve en

librairie, et il n'est aucun herborisant de la région lyonnaise qui ne possède au moins le second

volume, comportant la description des espèces et l'indication des principales localités où on les a

rencontrées. La raison d'une telle faveur est évidemment l'excellence de l'ouvrage pour le temps où il

fut rédigé. Cette popularité explique les huit éditions ou tirages échelonnés de 1841 à 1897, et

justifie la réputation des deux auteurs : l'Abbé CARIOT et le Docteur SAINT-LAGER. Le premier, utilisant tous les loisirs d'une longue existence au service de la Botanique, apporta scrupule et

précision dans la rédaction de l'ouvrage et ses mises au point successives. En dépit d'un abord un

eu distant et froid, il compta d'innombrables sympathies, particulièrement vives chez les

botanistes lyonnais. Le second, véritable encyclopédie vivante, put à juste titre être qualifié : "un

puits de science", expression qu'on retrouve dans une délibération le concernant et qui émanait

du Conseil municipal de Lyon ; or, la Botanique fut certainement la branche des Sciences que le Docteur SAINT-LAGER cultiva avec le plus de passion. Cependant, en utilisant le livre, on s'aperçoit rapidement de sa désuétude. SAINT-LAGER

avait, en vain d'ailleurs, essayé de rompre les usages et même de transgresser les règles, au

bénéfice de dénominations qui lui paraissaient plus correctes ou plus rationnelles. Il n'hésita pas à

créer des binômes qui n'ont pu être retenus mais qui restent comme des propositions inspirées

par la logique même et dans lesquelles les Congrès botaniques pourraient puiser, le jour où ils

jugeraient le moment venu de codifier, même provisoirement, la nomenclature, en abandonnant

la règle de priorité. Quoi qu'il en advienne, l'ensemble de la Flore du Bassin moyen du Rhône et

de la Loire a si bien vieilli, que d'aucuns le considèrent aujourd'hui comme un ouvrage périmé.

Nous allons dire ce que nous avons entrepris pour le rajeunir.

Il y a, dans cette flore, deux éléments distincts : la description des espèces et l'indication

de leur répartition dans le domaine que s'étaient fixé les auteurs. Dans la partie descriptive, il y

aurait bien des détails à reprendre. Des espèces, qu'on s'accorde maintenant à reconnaître comme

nettement distinctes, avaient été confondues. Il faudrait donc consigner les critères des

séparations adoptées. Nous l'avons quelquefois fait sommairement, mais, le plus souvent, avons

laissé aux botanistes le soin de se reporter aux excellentes flores modernes qu'il eût été

superfétatoire de recopier. Cependant, pour établir la liaison nécessaire, nous avons substitué aux

noms de SAINT-LAGER une nomenclature plus moderne, généralement admise, en prenant pour guide la Flore de P. FOURNIER (Les Quatre Flores de la France), mais en gardant l'ordre ancien

des espèces. Nous avons indiqués quelques synonymes que l'usage utilise souvent de préférence

aux noms orthodoxes. Nous nous abstiendrons de parler ici des bizarreries de certaines désignations : "On ne peut attendre que du temps la stabilisation lente des noms et le balayage des synonymies" (L. CUENOT).

Dans bien des cas, nous avons éprouvé des difficultés, car les collecteurs ont désigné leurs

récoltes par des noms que nous n'aurions pu changer sans risquer d'altérer la vérité historique, et

qu'ils ont souvent tirés de flores permettant difficilement d'établir la synonymie. Enfin, d'une

façon générale, les botanistes de terrain s'en sont tenus, dans leurs déterminations, aux grandes

espèces, aux espèces linnéennes. C'est que, pour la plupart, ils ont de l'espèce une notion pratique

qui répond assez bien à leurs préoccupations et sur laquelle ils s'entendent tacitement. Cependant

nous serions fort en peine de la définir ; il n'y a, en effet, pas de possibilité de fixer

scientifiquement les caractères d'une entité qui correspondrait à l'espèce des herborisants. Tout au

plus peut-on dire que leur "espèce" couvre des réunions d'individus semblables qui répondent à

une description originale (princeps) résumée par un binôme.

Les premières descriptions officialisées, celles de LINNE, et même la plupart des suivantes,

furent établies en un temps où la notion d'espèce était, non pas ignorée, mais accordée à la

Science du temps. Or, la nécessité pratique, pour l'Homme, de désigner par un nom les êtres

vivants qu'il entend distinguer les uns des autres, a multiplié les descriptions ; elles se poursuivent

de notre temps. Comme pour les humains à leur naissance, la première préoccupation entourant

la découverte d'une espèce nouvelle, ou forme considérée comme telle, est de lui donner un état-

civil. Ainsi, plus on avance dans la systématique, plus on a de difficulté à définir l'espèce.

La Phytogénétique marche à pas de géant, instruisant ces grands problèmes, hérédité,

variations, mutations ; naissance, évolution et mort des lignées. Déjà de nombreux modes de

formation d'espèces nouvelles ont été étudiés et ce chapitre majeur de la biologie s'accroît chaque

jour de récentes acquisitions. La nomenclature et la taxonomie, destinées à unifier sur le globe les

termes conventionnels permettant à tous les naturalistes de savoir d'emblée de quel être vivant ils

parlent, ne peut s'accorder à la biologie qu'avec un certain retard et des modifications continuelles

à l'édifice des noms admis.

Le Professeur CUENOT a défini la "bonne espèce" comme se reconnaissant à trois

couples de critères : morphologie et physiologie, écologie et distribution, fécondité intérieure et

stérilité extérieure. Il est hors de doute que les descripteurs n'ont pas toujours considéré cet

ensemble de conditions avant de bâtir des espèces, puisque ce qu'ils ont admis comme unité systématique a couvert ou couvre encore des divisions pouvant entrer dans :

1- Les grandes espèces, espèces collectives, espèces linnéennes ;

2- Les petites espèces, espèces élémentaires, lignées pures, espèces jordaniennes au sens large ;

3- Les sous-espèces ou races géographiques ;

4- Les variétés à caractères héréditaires, sans localisation géographique bien établie ;

5- Les formes, à modifications non héréditaires ;

6- Les hybrides féconds, ou hybrides fixés, quelquefois supposés, et le plus souvent considérés à

l'égal des grandes ou petites espèces ;

7- Les hybrides dits "vrais", stériles ou à faible pourcentage de germination ;

8- Les "intermédiaires", ou ensembles de plantes morphologiquement semblables, féconds,

empruntant leurs caractères à deux ou plusieurs grandes espèces. On peut difficilement interpréter ces derniers intermédiaires comme des hybrides tant les

grandes espèces morphologiquement voisines en sont souvent éloignées géographiquement, et en

raison de l'impossibilité actuelle de les obtenir expérimentalement. Il semble d'ailleurs que

l'autofécondation soit fréquente chez ces plantes. P. FOURNIER, pour les Phanérogames et, plus

tard M. CHOISY, pour les Lichens, ont émis l'hypothèse du "foisonnement génétique" selon

laquelle toute espèce jeune connaîtrait d'abord une période dans laquelle les caractères se

répartissent entre les individus de façon telle que d'innombrables formes de passage coexistent et

que les "bonnes espèces" sont au contraire celles qui, depuis des siècles, ont perdu leurs

consanguines. F. GAGNEPAIN a signalé que la "pléthore"; amenée par les améliorations culturales,

nuit à la fertilité du pollen sans nuire aux organes femelles ; inversement, les individus appauvris

auraient un pollen virilisé, d'où possibilité de mutations et d'apparition d'espèces nouvelles. G.

BEAUVERD signale que la flore des terrains gypseux se prête souvent à des effets de mutations. M.

JOSSERAND constate, en 1951 : "On récolte souvent, dans le même lieu, des lots de champignons

supérieurs qui sont en même temps trop semblables pour être placés dans deux espèces

différentes et pourtant assez distincts pour qu'on hésite à les réunir dans une seule. La proximité

en même temps topographique et taxonomique de ces lots est interprétée comme indiquant une

origine mutationnelle, la différenciation de plusieurs lignées à partir d'une espèce donnée

préexistant dans le lieu de la récolte. Si cette hypothèse était exacte il s'en suivrait que les

mutations, en mycologie, sont encore fréquentes à notre époque". Pour J. THIEBAUT, l'influence

d'une mutation après l'hybridation de certaines épervières semble seule pouvoir expliquer la

survivance d'une forme principale devenue héréditaire et en quelque sorte espèce affine de l'un de

ses ascendants, alors que les formes secondaires non mutées se sont éteintes après quelques générations. Les mutations peuvent donc, semble-t-il, rendre compte des "intermédiaires". Mais le

problème général des espèces est infiniment plus complexe ; et c'est ainsi que le Professeur

KUNHOLTZ-LORDAT LINNE résistera-t-elle longtemps encore

aux chocs répétés des cytologistes ? Les chromosomes sont désormais entrés dans l'arène ; le

génotype a son mot à dire. Les groupements morphologiques, très subjectifs, réclament une

révision chromosomique heureusement pas des garanties de succès ra

d'herbiers seront donc changées ou complétées sans précipitation et les nouvelles flores se

substitueront progressivement aux anciennes dans la plus parfaite concorde entre la loupe binoculaire et l'objectif à immersion".

C'est là que s'acharneront les systématiciens de l'avenir. En attendant, les principales

divisions de l'espèce que nous avons rappelées ci-dessus sous huit rubriques englobant chacune des notions voisines ou très voisines mais non absolument synonymes, nous paraissent assez tranchées pour qu'on imagine les grandes lignes d'une subordination possible de ces divisions. En

dépit des difficultés qu'on éprouve à faire entrer les divers aspects de plantes affines dans le cadre

ainsi tracé en vue d'un échelonnement rationnel, nous avons tenté de bâtir ce dernier, prenant la

systématique en son état présent. Il est vraisemblable que la notion d'espèce restera toujours

arbitraire ; mais, pour nous, la véritable unité systématique du temps actuel se situe à hauteur des

espèces élémentaires, du "jordanon", et la gloire d'Alexis JORDAN sera d'avoir découvert, montré

et prouvé l'existence pérenne des petites espèces. Bien entendu, beaucoup d'espèces dites

linnéennes demeurent valables pour autant qu'elles ne sont pas -ou pas encore- partageables en

l'état actuel de nos moyens d'investigation, et de même qu'au-dessus de l'unité systématique on

considère ses multiples : tribus, genres, familles, ordres etc., il faut aussi considérer au-dessous

d'elle ses sous-multiples : races, sous-espèces, intermédiaires, variétés, formes, hybrides mêmes,

qu'on ne pourrait négliger sans laisser quelques recoins de la classification dans l'obscurité. Il faut

cependant s'abstenir de verser dans ce qu'on a appelé le néojordanisme et qui a conduit certains

botanistes pulvérisateurs, tel l'abbé GANDOGER, si loin dans l'analyse que leurs divisions extrêmes

tendent à désigner des individus et sont demeurés, pour leur très grande part, sans valeur

systématique. Nous sommes cependant descendus nous-même jusqu'aux micromorphes toutes

les fois qu'a été notifiée leur présence en certaines localités du domaine considéré, mais par seul

souci de précision géographique, et nous les avons toujours groupées sous le nom de l'espèce

principale à laquelle ils se rapportent.

Pour tout ce qui concerne la répartition des espèces décrites il y a beaucoup à dire. Les

idées ont évolué depuis soixante-dix ans et l'exploration du territoire de la Flore a été activement

poussée. Des catalogues très importants ont paru, dont on aurait pu relever les localités nouvelles.

Nous rappelons ci-après quelques-uns de ces ouvrages : - RAVAUD (Abbé), Guide du Botaniste dans le Dauphiné (1879-1892) - PIN (C.) Catalogue des plantes observées ou citées aux environs d'Aix-les-Bains (1893) - HUTEAU (H.) et SOMMIER (F.), Catalogue des Plantes du département de l'Ain (1894) - REVOL (J.), Catalogue des Plantes vasculaires du département de l'Ardèche (1910 et 1922) - PERRIER de la BATHIE (E.), Catalogue raisonné des plantes vasculaires de Savoie, (1917-1928),

ouvrage publié par les soins de notre savant confrère, le Dr J. OFFNER, lui-même auteur d'un

important supplément à ce Catalogue et de plusieurs Monographies de massifs montagneux des

Alpes delphino-savoisiennes

- CHATEAU (E.) et CHASSIGNOL (F.), Catalogue des Plante de Saône-et-Loire et des Cantons limitrophes (1926-1935)

- LENOBLE (F.), Catalogue raisonné des plantes vasculaires du département de la Drôme (1936)

- BOUVEYRON (L.), Catalogue de la Flore de l'Ain (1959). Nous y ajouterons les Contributions à la

flore du départementde l'Ain, de l'éminent botaniste suisse E. THOMMEN, et les autres articles des

floristes bressans tels que F. LINGOT, A. DURAFOUR, etc.

N'oublions pas enfin les Contributions multiples à l'étude des flores montagnardes de G.

BEAUVERD, M. BREISTROFFER, R. de LITARDIERE, botanistes et systématiciens renommés, sans

compter qu'on pourrait encore extraire d'ouvrages généraux de première valeur tels que le

Catalogue de SAINT-LAGER, la Flore de ROUY, la Flore de COSTE, la Grande Flore illustrée de G. BONNIER et R. DOUIN, ou de grandes revues comme le Bulletin de la Société Botanique de France, le Monde des Plantes, etc. de très nombreux renseignements. Nous ne pouvions évidemment introduire dans notre travail toutes les indications

géographiques tirées des ouvrages cités ci-dessus sans aller à un volume d'une importance telle

que la publication en fût devenue impossible. Au surplus, il y aurait eu là un inutile double

emploi, tant il est relativement facile de consulter ces travaux connus et réputés, que tous les

floristes régionaux ont eus, ou ont encore en mains, ou qu'ils peuvent trouver dans les

bibliothèques publiques, privées ou personnelles. Néanmoins, nous avons fait bien des emprunts

à ces ouvrages, notamment à la Flore de ROUY. Mais il reste de nombreuses publications dont la valeur n'est pas à dédaigner, qui sont à

peu près impossibles à consulter. Fractionnées, dispersées dans beaucoup de revues ou bulletins à

diffusion limitée, leurs indications sont malheureusement perdues pour les botanistes éloignés des

grandes bibliothèques ; encore ne les y trouve-t-on pas facilement, les périodes de guerre et

d'après-guerre ayant contrarié les envois et échanges de feuilles dont la parution a souvent été

irrégulière et la forme disparate. Nous avons puisé, autant que possible, dans de tels documents

réunis par la Société Linnéenne de Lyon qui a la chance de posséder une importante collection

d'ouvrages et de périodiques. Dans l'impossibilité, faute d'espace, de donner des références

bibliographiques complètes, nous avons au moins indiqué les auteurs des renseignements retenus,

ou un auteur en ayant fait état. Nous pensons que, d'une façon générale, les observations publiées

offrent un certain degré de garantie, tant par leur signature que par le soin apporté au criblage des

textes livrés à l'impression. En particulier, nous avons compulsé une grande partie des

publications les moins anciennes de la Société Botanique de Lyon et de la Société Linnéenne de

Lyon, fusionnées en 1922.

Il est certain que bien d'intéressantes observations ont pu nous échapper, soit que les

documents nous aient manqué, soit que nous n'ayons pas poussé nos dépouillements assez loin.

Nous en demandons humblement excuse aux auteurs, partiellement voire même totalement

oubliés. Bien entendu, nous avons tenu compte de toutes les observations inédites des botanistes

ayant bien voulu nous apporter leur concours à la suite des appels lancés par le Bulletin de la

Société Linnéenne de Lyon et nous avons ajouté dans le texte nos observations personnelles.

Nous espérons pouvoir publier, dans le bulletin cité, les rectifications et compléments les plus

importants qui nous seront signalés. On nous reprochera le caractère compilatif de notre travail. Certains de nos amis auraient

désiré que nous ne retenions que les seules indications dûment vérifiées par nous, soit sur le

terrain, soit sur des échantillons d'herbier. Nous n'avons pu suivre que très partiellement ce

conseil. Le suivre à la lettre eut constitué une impossibilité de mener à bonne fin ce livre, ou nous

eût obligé à en limiter l'intérêt en même temps que la matière. On oublie facilement que le territoire embrassé par CARIOT et SAINT-LAGER sous le nom

de "Bassin moyen du Rhône et de la Loire" était trop vaste et manquait d'unité, ce qui fut la cause

de quelques lacunes et erreurs de l'ouvrage, les auteurs n'ayant pu expliquer qu'une petite partie

de leur domaine. C'est ainsi qu'ils ont qualifié de très communes pour l'ensemble de la dition des

espèces dont ils avaient constaté la fréquence autour de Lyon, mais qui sont rares ou même

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