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RESUME - LES ESSAIS, LIVRE II, Michel de MONTAIGNE (1580)
LIVRE SECOND
CHAPITRE I
De l'inconstance de nos actions
Montaigne explique que la plupart des
connaissances humaines se contredisent (d'un Homme à l'autre, d'une époque à l'autre).
Chaque action de l'Homme est dirigée par ses
désirs, c'est ce qui le rend si inconstant. Cela peut correspondre à un équilibre instable entre la vertu et le vice. Ainsi il semble qu'on ne puisse pas juger un Homme sur ses actes, qui peuvent être contradictoires, mais sur sa vérité profonde.
CHAPITRE II
De l'ivrognerie
Montaigne discute des vices et explique
qu'ils sont hiérarchisables. Il parle en particulier de l'ivrognerie qui lui parait être un vice destructeur pour le corps et qui amène à des comportements peu vertueux. Pourtant les Anciens le préconisaient avec modération. Mais
Montaigne avoue ne pas apprécier la boisson et
ne pas comprendre ce plaisir de boire sans soif. Puis il évoque les moeurs de l'époque de son père et introduit d'autres exemples de vices.
CHAPITRE III
Coutume à l'Ile de Céa
L'auteur discute sur le thème de la mort.
Elle est associée pour certains à l'idée de liberté, elle est très facile à réaliser contrairement à la vie. Puis il évoque la question du suicide, qu'il décrit comme la dernière des solutions. Il justiifie ses propos avec plusieurs histoires d'hommes et de femmes qui se sont suicidés, pour ne plus soufffrir ou pour éviter la soufffrance.
CHAPITRE IV
A demain les afffaires
L'auteur commence par féliciter Jacques
Amyot pour la traduction de Plutarque. Puis il se
déifinit comme un homme peu curieux et évoque des situations antiques où les politiciens remettaient à plus tard l'ouverture de leurs lettres, ce qui conduisait parfois à des drames. CHAPITRE V
De la conscience
Montaigne discute de la conscience qui
régit nos comportements et qui fait que le mensonge ou la trahison sont diiÌifiÌiciles à masquer. Il explique que la conscience, à cet instant, implique la crainte d'être découvert, mais
à certains moments, elle peut impliquer la
conifiance en soi. Enifin, il évoque la question de la torture qui ne permet pas toujours de savoir la vérité.
CHAPITRE VI
De l'exercitation
L'auteur explique que les exercices servent
aux Hommes aifin de parfaire leurs apprentissages. Cependant, il constate qu'une seule chose ne peut pas être exercée à l'avance : la mort. Puis il relate une chute à cheval qu'il a faite et où il a été proche de la mort. Il en déduisit que les prémices de la mort ressemblaient à ceux du sommeil. Suite à cet accident, il a découvert une nouvelle façon pertinente de s'étudier et de parler de soi. Il justiifie alors ce point de vue.
CHAPITRE VII
Des récompenses d'honneur
Montaigne parle des récompenses et
explique qu'elles sont importantes puisqu'elles renvoient à une valeur : l'honneur. Il rélfléchit ensuite aux critères d'attribution d'un tel honneur et aux valeurs qui s'y rattachent.
CHAPITRE VIII
De l'afffection des pères aux enfants, à Mme D'Estissac
Dans un premier temps, l'auteur rend
hommage à Mme d'Estissac, pour avoir si bien éduqué et aimé ses enfants. Puis il évoque l'amour inconditionnel d'un père à son enfant. Il ajoute ses rélflexions concernant l'éducation : rendre l'enfant responsable et droit, sans le contraindre ou faire usage de la force. Ensuite il s'exprime concernant le mariage, et conifirme les propos des Anciens (le fait de se marier tardivement). Il estime ensuite que ses biens, même vivant, devraient être légués à ses enfants, qui en ont plus besoin que lui. Malgré la possibilité qu'ils puissent user de sa bonté et ne pas échapper à l'amour maternel inconditionnel. Enifin, il évoque une autre sorte de paternité, celle des oeuvres (livre, sculpture, tableau...).
CHAPITRE IX
Des armes de Parthes
Montaigne compare les armures des
soldats des époques antérieures, ainsi que leur vaillance, avec celles de son époque. Il semble montrer que les armures sont désormais plus lourdes et qu'elles réduisent la rapidité des combats. Mais il fait aussi référence à la perte de courage et de force des soldats de son époque.
CHAPITRE X
Des livres
L'auteur revient sur ce qu'il écrit et tente
d'expliquer que les sujets qu'il aborde, ne sont pas toujours maîtrisés et qu'il ne s'agit que de montrer où en est sa connaissance au jour des
Essais. Sa connaissance, il la tire des livres
notamment, et il présente les auteurs qu'il apprécie et ceux qui n'ont aucun intérêt pour lui. Il compare les livres qui font preuve d'esprit, et montre sa préférence pour Plutarque et Sénèque aux dépens de Cicéron et Platon. Il apprécie aussi les livres qui lui permettent d'étudier l'Histoire, leur contenu est toujours intéressant pour l'Homme et montre la diiÌifiÌiculté de la retranscrire de façon vraie.
CHAPITRE XI
De la cruauté
L'auteur discute de la vertu et explique
qu'il s'agit d'une attitude de lutte, et qu'elle ne semble pas être un acte naturel, mais plus un efffort. L'auteur se décrit comme une personne doué de vertu, mais il rattache cela à la naïveté et semble penser qu'elle lui est innée. Il parle ensuite du vice de la cruauté, qu'il déteste : il ne comprend pas le plaisir que certains en tirent. Il discute notamment de la cruauté envers les animaux, qui lui parait monstrueuse.
CHAPITRE XII
Apologie de Raimond de Sebonde
Montaigne discute de l'oeuvre de Raimond
Sebonde, au moment où la chrétienté commença à être controversée. Il énonce le premier point qui est critiqué, notamment par les athées dans ce livre : Sebonde semble prendre en compte l'action des Hommes sur la foi, ce qui parait incohérent avec la croyance religieuse. Ainsi, l'intermédiaire des Hommes semble contrefaire la foi. La seconde critique concerne les arguments de Sebonde, que les détracteurs déifinissent comme faibles et inconsistants. L'auteur utilise la raison pour y répondre et démontre que l'animal et l'Homme sont dotés d'une structure semblable (vêtements, " armes », langage...). Ainsi il semble contredire Sebonde, sur le fait que l'Homme soitquotesdbs_dbs3.pdfusesText_6