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BEAUMARCHAIS : LA FOLLE JOURNEE OU LE MARIAGE DE FIGARO, Bartholo, montrant Marceline. - Voilà ta mère.
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![montrant Marceline montrant Bartholo à part montrant Marceline montrant Bartholo à part](https://pdfprof.com/Listes/17/19120-17205_Le_Mariage_de_Figaro_III_16_TEXTE_version_LMA.pdf.pdf.jpg)
Figaro - ?
Bartholo - Ta propre mère.
Le Comte - Sa mère !
Figaro - Expliquez-vous.
Marceline, montrant Bartholo. - Voilà ton père.Figaro, désolé. - Oooh ! aïe de moi !
Marceline - Est-
Figaro - Jamais.
Le Comte, à part. - Sa mère !
Bartholo - Ni moi non plus.
Marceline - Ni vous ! Et votre fils
Bartholo -
monde. - E-- Bartholo - Des fautes si connues ! une jeunesse déplorable !Marceline, -
pas nier mes fautes ; ce jour les a trop bien prouvées tre besoins, où les séducteurs nous assiègent pendant que la misère nous poignarde, que peut ? Tel nous juge ici sévèrement, qui, peut-être, en sa vie a perdu dix infortunées ! Figaro - Les plus coupables sont les moins généreuxMarceline, vivement. - Hommes plus q
passions, vos victimes ; vous et vos magistrats, si vains du droit de nous juger, et qui nous laissent enlever, par leur coupablenégligence, tout honnête moyen de subsister. Est-il un seul état pour les malheureuses filles ?
Elles avaient un droit naturel à toute la parure des femmes : on y laisse former mille ouvriers