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Circonscription de l'Éducation Nationale de St-Julien-en-Genevois
La gymnastique à l''école primaire
NB : Les illustrations sont issues, soit du site Clic Images du CRDP de Bourgogne, soit du site Picto.
1 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LES FONDAMENTAUX DE L'ACTIVITE GYMNIQUE
•Définition de l'activité gymnique-C'est une activité de création de figures libres ou imposées, enchaînées ou non, mais possédant un certain rythme.
-C'est une activité de maîtrise corporelle dans des postures souvent inhabituelles (aériennes, manuelles et renversées) où les membres supérieurs sont
souvent sollicités et l'équilibration verticale du bipède sans cesse remise en cause.-C'est une activité de préoccupation esthétique qui exige une certaine correction d'exécution et qui est destinée à être vue et jugée avec des critères de
réalisation/critères de réussite. •Les composantes de l'activité Il s'agit d'une activité de production de formes corporelles de plus en plus : -aériennes (sauts, envols, lâchers), -renversées (éléments réalisés tête en bas), -manuelles (appuis manuels nombreux), -tournées (nombreuses rotations) •Les enjeux de la gymnastique à l'écolePour apprendre à l'élève à :
-piloter son corps dans l'espace aérien : adopter des postures inhabituelles de plus en plus aériennes, manuelles et renversées,
-maîtriser la prise de risque dans des situations où la personne est engagée affectivement et assurer ainsi sa sécurité corporelle par une organisation
posturale tonique dans un contexte où l'on ose, -assumer son corps dans et devant un groupe, d'apprendre à le mettre en valeur,-vivre l'exercice de la responsabilité et de l'autonomie à travers des roles sociaux différents que l'on assure tour à tour,
-assumer un projet individuel et collectif et d'acquérir des comportements citoyens, -exercer sa compétence à évaluer, juger selon des critères explicités, -accéder à la " culture gymnique et acrobatique ». •Les problèmes fondamentaux posés à l'enfantLa pratique de la gymnastique permet de passer d'un équilibre vertical de terrien à la construction de nouveaux équilibres de plus en plus renversés et aériens.
-remettre en cause son équilibre de bipède, de terrien, -prendre des risques pour complexifier ses actions, -prendre des informations de nature différente, -contrôler ses émotions. 2 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LA GYMNASTIQUE AU CYCLE 1
3 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012 •Pour l'élève de maternelle :C'est risquer son équilibre en se renversant, en prenant de l'altitude, en se balançant, en sautant en l'air ... C'est donc d'abord construire " le répertoire
moteur de base ».-En petite section : on distinguera ce qui relève de la motricité usuelle et de la motricité gymnique.
-En moyenne section : on distinguera les actions qui relèvent de "tourner, se déplacer, voler".
-En grande section : on arrivera à une maîtrise plus prononcée de la coordination de ces différentes actions.
Ce cadre ne doit pas être rigide. Un enfant de PS ou de MS doit pouvoir accéder à un exercice plus élaboré s'il en a les capacités motrices. De même, ne pas hésiter
à faire reprendre les bases d'un exercice d'un enfant de GS si besoin. •Chez les plus petitsLe jeune enfant recherche naturellement les activités où il exerce son équilibre nouvellement conquis, où il agit sur lui-même. Il produit des actions souvent
gratuites, pour les sensations corporelles qu'elles procurent. Il agit pour le plaisir des émotions qu'il ressent en balançant entre la peur et le plaisir. Il a besoin
de temps pour entrer dans l'action, s'en retirer, y revenir ...Il a besoin de répéter pour expérimenter, s'imprégner, réajuster et organiser son action. Bien que petit, il a besoin d'espace.
On privilégiera en petite section la motricité de locomotion. •Chez les moyensL'intensité des actions motrices doit pouvoir s'accroître. La prise de risque s'ajuste. L'enfant doit pouvoir découvrir et évaluer ses limites. Il lui faut du temps
pour imaginer, créer, inventer afin d'enrichir ses expériences motrices. Par la motricité, il va entrer en relation avec les autres (coopérer, s'opposer ...). Dans cette
section, l'équilibre existe entre les trois axes moteurs : la locomotion (actions visant à déplacer le corps d'un lieu à un autre: ramper, marcher, courir ... ), la
préhension (capacité à saisir avec la main ) et la posture (ajustements du corps en relation avec la gravité). Toutefois, en début d'année, il est encore nécessaire de
valoriser la motricité de locomotion. •Chez les grands À cet âge, les enfants s'organisent en groupe : -ils comprennent la nécessité de la règle pour jouer. -ils savent entrer en relation sous des formes variées (opposition ou coopération). -ils peuvent inventer, créer, s'inscrire dans un projet.La motricité d'expression et de communication est dominante. Les manipulations changent de nature (faire avec / contre) mais occupent sensiblement le même
temps. La motricité de locomotion, selon les conditions locales, sera plutôt liée à l'utilisation d'installations extérieures (gymnase, piscine, ...).
M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012 PS MS GS L'enseignant Dispositif L'étape émotionnelle- incite, verbalise,- organisation ouverte donne du temps- circulation assez libreL'enfant regarde, ose agir, explore.
L'étape fonctionnelle- favorise la diversité - organisation en ateliers des réponses.- organisation des circulations L'enfant agit, imite, diversifie, refait, organise. L'étape de structuration- favorise la réflexion- aménagement précis sur l'action- consignes précisesL'enfant se donne un projet d'action.
6 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LA GYMNASTIQUE AU SERVICE DES AUTRES DOMAINES
LE LANGAGE AU COEUR DES APPRENTISSAGES
Dire ce que l'on fait ou ce que fait un camarade (dans une activité, un atelier ...).Nommer avec précision :
- les objets et leurs qualités, - les actions et leurs caractéristiques.Raconter, expliquer ses actions, celles des autres.Décrire des parcours, des ateliers.
Acquérir le vocabulaire spécifique : lieux, engins, agrès, matériels, actions (par ex " roulade »
et non " galipette »).Le travail lié à la maîtrise du langage (de communication, en situation, d'évocation) fait partie intégrante de la séance. Cependant, la partie action, essentielle ne doit pas être parasitée ou interrompue par des recherches "
intellectuelles » (discussion, langage, dessin, logique...) qui ont lieu à d'autres moments afin que le jeu moteur fonde son dynamisme et ses aspects spécifiques.
DECOUVRIR LE MONDE - CONCEPTS D'ESPACE ET DE TEMPSSe repérer dans différents espaces ...
Structuration de l'espace :
- Décrire l'espace gymnique, le dessiner, en faire le plan, le coder. - Situer ses actions dans cet espace. - Construire une image orientée de son propre corps : notion d'espace par la confrontation en 3 dimensions (espace haut).- Connaître son corps et ses possibilités. ex : fléchir sa tête.Structuration du temps :
- Respecter la chronologie des actions. - Distinguer succession et simultanéité.VIVRE ENSEMBLE
Apprendre à coopérer.
Trouver ses repères et sa place.
Comprendre et s'approprier les règles du groupe.Respecter les consignes de sécurité (ne pas faire tomber ...)
Respecter les consignes d'organisation de la séance (rester dans son atelier ...) Respecter le matériel (participer au rangement du matériel ...)PERCEVOIR, SENTIR, IMAGINER, CREER
Eprouver le plaisir de la création.
Découvrir et s'approprier de nouvelles manières de procéder.Préciser ses intentions.
Affiner son regard et son jugement.Prendre plaisir à expérimenter et à explorer un matériel gymnique.
Trouver des réponses personnelles.
Eveiller sa curiosité par rapport à la pratique sociale de référence. Représenter selon des compositions en plan (dessins, photos, schéma...) ou en volume (maquette, fil de fer...) 7 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LA GYMNASTIQUE AUX CYCLES 2 ET 3
M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LA DEMARCHE PEDAGOGIQUE
10 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LA DIMENSION COGNITIVE : LE PROJET D'ACTIONS
" Il s'agit de passer d'une activité de jeu de vertige et de prise de risque, à une activité d'apprentissage »
P. GOIRAND : Spirales n° 1
•S'ENGAGER DANS UN PROJET→ C'est oser s'engager dans l'activité gymnique dans le respect de règles de sécurité définies.
→ C'est accepter de se livrer au regard de l'autre en montrant ce que l'on sait faire.→ C'est savoir situer ses actions par rapport aux actions des autres en élaborant ensemble les critères du maîtrisé, du beau, du difficile, ...
LA DIMENSION SOCIALE
" L'activité gymnique, activité sociale, coordonne obligatoirement les rôles de gymnastes, de spectateurs, de juges.
La construction des rôles sociaux se fait de façon progressive. »P. GOIRAND : Spirales n° 1
Se soumettre à une organisation sociale spécifique, c'est entrer dans un processus de respect :
•DES ROLES Gymnaste, c'est à dire s'engager en étant capable de : -prendre en compte le résultat de son action -ajuster ses actions en fonction des buts visés -mesurer les risques pris ou à prendre -moduler son énergie. Non-gymnaste et adopter le comportement correspondant, c'est-à-dire : -regarder les autres pour les imiter pour trouver ce qui est semblable ou non pour comparer, classer, ... -aider les autres. •DES REGLES -Respecter les espaces gymniques et le sens des déplacements. -Respecter les autres sur un même lieu d'activités. -Participer au déplacement du matériel. 12 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012L'enfant
REALISE DES ACTIONS GYMNIQUES,
c'est-à-dire qu'il :-prend des informations : établit des repères dans l'environnement matériel (par ex. fixe un point) décentre son regard (par ex. de la zone de réception). -est en recherche de l'équilibre : se rééquilibre selon les actions recherchées se déséquilibre et conserve une posture répartit le poids du corps sur les différents appuisévolue à des vitesses différentes
organise des trajectoires diverses contrôle la réception des sauts. -perçoit les sensations induites par la mise en jeu de sa tonicité :. identifie et différencie des états corporels divers : ▪ tonique / relâché ▪ fléchi / tendu ▪ grand / petit ... -enchaîne des actions : ne marque pas de temps d'arrêt entre les actions se sert de l'action précédente pour produire l'action suivante.IDENTIFIE LES ACTIONS GYMNIQUES,
c'est-à-dire qu'il : -identifie ses propres réponses et les nomme -accèdeà la connaissance du résultat de son action (en faisant ainsi, j'ai réalisé cette action gymnique)
-compare son action à celles des autres -répertorie l'ensemble des actions produites -sait s'il a rprogressé, réussiGERE LES CONDITIONS DE SA PRATIQUE,
c'est-à-dire qu'il :-assure sa sécurité pour s'engager dans l'action : s'assure que son espace d'action est libre identifie les espaces occupés par d'autres, identifie les zones de réception, vérifie que le matériel est toujours utilisable (matériel stable, à sa place). respecte les consignes liées à soi-même, aux autres, au matériel. Sécurité passive (aménagement matériel) et sécurité active se conjuguent. 13 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012LES VARIABLES PEDAGOGIQUES
LE MATÉRIEL LE TEMPS
L'ESPACE
SAUTER
LES AUTRESPOSITIONS PARTIES DU CORPS ACTIONS▪ seul• départ : debout, accroupi,▪ impulsions : 1 pied, 2 pieds▪ avec ou sans élan
▪ à deux différentes orientations▪ franchir : avec ou sans appuis manuels▪ pendant le saut :
• en l'air : positions différentes en▪ réception : 1 pied, 2 pieds tourner, rouler, ...
fonction des actions▪ enchaîner des actions • réceptions : orientations variées variées avant et après 14 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012Depuis : ▪ un matériel fixe : plinth, banc, bahut, poutre, planche, espalier ... ▪ un matériel mobile : tremplin, trampoline, planche mobile, tas de pneus, de tapis ...Au-dessus de :
▪ élastique, cordelettes, lattes, caissettes, cageots, tapis ...Avec :
▪ cordelettes, cerceauxVeiller à la qualité de l'aire de
réception.▪ en hauteur, longueur... ▪ en contrebas, contre-haut ▪ à l'intérieur d'une cible horizontale, verticale, de dif. tailles, à dif. hauteurs ▪ dans dif. positions• enchaînement de sauts rythmés • en cadence sur dif. temporelle • sur une structure rythmique • à un moment précis • avec la notion de durée • en simultanéité avec ... • en alternance avec ...LES FORMES DE TRAVAIL
Forme de travailPlace et rôle de l'enseignantOrganisation pédagogique des apprentissages. AteliersL'enseignant supervise l'ensemble (position dans un angle) mais ne travaille que sur un atelier : il veille à ce que tous les élèves passent dans son atelier. A la séance suivante, il travaille sur un autre atelier.4 à 5 ateliers dispersés dans la salle. Des cerceaux verts disposés en file matérialisent l'entrée de chaque atelier.Les cerceaux sont répartis équitablement devant chacun des ateliers. Le nombre total de cerceaux correspond au nombre
d'élèves de la classe. Le premier de la file passe, les suivants avancent d'un cerceau.La sortie de chaque atelier est matérialisée par un cerceau rouge. L'élève suivant s'engage quand son prédécesseur est dans
le cerceau rouge. La circulation dans les ateliers est libre et régulée par les places disponibles. Circuit/ateliersL'enseignant supervise l'ensemble (position dans un angle) mais ne travaille que sur un atelier : il veille à ce que tous les élèves passent dans son atelier A la séance suivante, il travaille sur un autreatelier.4 à 5 ateliers dispersés dans la salle. La classe est divisée en autant d'équipes que d'ateliers. Les équipes sont
reconnaissables (foulards, chasubles ...).Des cerceaux verts disposés en file matérialisent l'entrée de chaque atelier. Les cerceaux sont répartis équitablement devant
chacun des ateliers. Le nombre total de cerceaux correspond au nombre d'élèves de la classe. Le premier de la file passe, les suivants avancent d'un cerceau.La sortie de chaque atelier est matérialisée par un cerceau rouge. L'élève suivant s'engage quand le précédent est dans le
cerceau rouge.Les élèves restent en équipe et changent d'atelier au signal en suivant un ordre de rotation établi.
CircuitsL'enseignant est placé à l'endroit qui nécessite sa présence pour des raisons de sécurité et d'apprentissage, ce qui induit un parcours proposant un seul apprentissagenouveauLe circuit est composé de nombreuses épreuves autour d'une ou deux actions motrices choisies, à réaliser successivement.
Le circuit optimal est composé d'une épreuve pour deux élèves, de manière à ce que le temps d'attente (repos/observation)
soit réduit au minimum nécessaire. Les élèves enchaînent toutes les actions proposées. Dans ce cas, c'est l'élève le plus lent qui règle le rythme de passage. 15 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012 LE PARCOURS, UNE FORME D'ORGANISATION PEDAGOGIQUE 3Pour découvrir
le matériel en explorant librementPour exécuter un enchaînement d'actionsPour choisir un enchaînement d'actionsPour apprendre en répétant •les coins •les pays•le parcours en boucle •le parcours en étoile•le parcours en étoile•les ateliers •les paysLES PAYS
Chaque pays propose un thème différent en relation avec l'activité support. Chaque pays peut être organisé sous forme d'ateliers ou de coins.LE PARCOURS EN ETOILE
L'élève choisit son chemin en évaluant ses capacités. Chaque chemin peut avoir un niveaude difficulté et/ou proposer un verbe d'action différent. Le départ et l'arrivée sont matérialisés
au centre de l'étoile. Le chemin peut être par une couleur ou un objet que l'enfant rapporte. 16350 activités gymniques à l'école, S.Danos et S.Fourteau
M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012Espace pour regarder ou écouter les consignes
Pays de
l'équilibrePays des rouladesPays de la
quadrupédie Espace pour regarder ou écouter les consignesChemin des équilibres Chemin des roulades arrièreChemin des roulades avantChemin des renversements
LE PARCOURS EN BOUCLE
L'enfant exécute un enchaînement d'actions. Le départ, l'arrivée et le sens d'exécution
sont matérialisés. Afin d'éviter trop d'attente au début du parcours, les enfants commencent en même tempsà différents endroits.
LES COINS
Cette organisation permet une découverte et une exploration libre du matériel et des situations.LES ATELIERS
La tâche est à exécuter plusieurs fois sur le même atelier ou pendant une durée déterminée par
l'enseignant. On change d'atelier tous ensemble au signal. 17M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012Espace pour regarder ou écouter les consignes
Espace pour regarder ou écouter les consignes
Espace pour regarder ou écouter les consignes
Atelier roulades avantAtelier roulades arrière
L'ECHAUFFEMENT
C'est un moment qui permet aux élèves d'être disponibles physiquement et mentalement. Il aide à préparer le corps à entrer dans l'activité. Il donne une tonalité,
permet aux enfants de se mettre en situation d'écoute et de concentration. Il n'est pas indispensable chez les jeunes enfants de maternelle mais il doit être vécu
comme un rituel.Lors des premières séances, l'échauffement est proposé par l'enseignant. Peu à peu, ce dernier implique les élèves. Puis un élève mène seul l'activité.
Le vocabulaire est imagé.
On peut opter pour :
-une activité ludique qui peut avoir un double objectif : une première approche du matériel mis en place et une mise en route cardio-vasculaire,
-des activités ludiques dont l'objectif est un échauffement spécifique d'une partie du corps.
Pour conduire l'échauffement, l'enseignant peut proposer : -des formes de travail différenciées : en dispersion, en petits groupes, ..., -des jeux connus par les élèves : chat perché, jeu des statues, 1, 2, 3 soleil, ..., -des consignes qui appellent un comportement inhabituel : des verbes d'action inducteurs, ..., -des supports variés : instruments de musique, -des musiques, des silences, ...Pour visualiser des situations d'échauffement en gymnastique, consulter le projet Didapages à l'adresse suivante :
18 M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012L'EVALUATION
1.Document départemental :
Le groupe départemental EPS 74 a conçu un document relatif à l'évaluation en gymnastique selon trois niveaux de pratique, après 10h, 20h et 30h de
pratique.Il est disponible à l'adresse suivante : http://www.ac-grenoble.fr/ecole/74/eps74/spip.php?article63
2.Exemples de support à l'évaluation 4 :
Les fiches d'évaluation proposées ci-dessous reprennent systématiquement chaque verbe d'action travaillé et proposent 3 niveaux de réalisation.
Les modalités de mise en oeuvre :
• élaboration de fiches ou panneaux... • explicitation des critères de réussite • mise en place d'ateliers dont 1 atelier-évaluation tenu par l'enseignant • notation par l'élève de ses résultats ( couleur, cocher...) Dessin de niveau 1 Dessin du niveau 2 Dessin du niveau 3Prénom de l'élève
Dessin de niveau 1 Dessin du niveau 2 Dessin du niveau 3 L'élève écrit son nom, colle une étiquette ... 194Equipe EPS 68, Gymnastique aux agrès en maternelle. Utilisation des structures existantes, mai 2001
M-P Degeorges - CPC EPS St-Julien-en-Genevois - 2011/2012 Ce qui est évalué : Effectuer des sauts de lapin en situation inhabituelle.NIVEAU 1NIVEAU 2NIVEAU 3
Les sauts ne sont pas enchaînés.Les sauts sont enchaînés.Les sauts sont enchaînés et effectués avec
amplitude