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RUBIO Thibaut, L3 MI

Université de Nîmes

RAPPORT DE STAGE

Du 30 Janvier 2008 au 5 Février 2008

Lycée GENEVIEVE DE GAULLE ANTHONIOZ

43 Rue du Moulin

30540 Milhaud

SOMMAIRE

I.Présentation de l'établissement

II.Description et analyse d'une séance de cours

1) Observation d'une classe de seconde avec Mme LACOUR

2) Analyse de la séance de cours

III.Conclusion

IV.Annexes

2

I.Présentation de l'établissement

Le lycée Geneviève De Gaulle Anthonioz est un établissement récent, car inauguré en

2003. Il est situé à Milhaud, commune de l'agglomération de Nîmes. Il est dirigé par M.

CLAMENS, aidé de Mme PUIGREDO, et accueille 1500 élèves, venus des communes des

alentours, et scolarisés antérieurement aux collèges d'Aigues-Mortes, Vergèze, Vauvert, Saint

Gilles, mais aussi Feuchères et Capouchiné.

L'établissement est centré sur les métiers sociaux et de santé. Ainsi, il comporte une filière CAP petite enfance, BEP Carrières sanitaires et sociales, BTn, SMS, BTS EST, DCESF, regroupant le tiers des effectifs du lycée. Une formation continue y est également présente, regroupant 30 élèves. Outre le cycle professionnel, l'établissement offre des formations pour un cycle

général et Technologique. Ainsi, on y retrouve les filières L, S, ES menant au baccalauréat

général, et des filières STG et ST2S, qui aboutissent à un baccalauréat technologique, suivi

d'un BTS et DCESF (Annexe 2). Les langues sont un point fort de ce lycée, on y retrouve l'enseignement de l'Anglais,

Espagnol, Italien, Allemand, Latin et Occitan.

Le projet pédagogique de l'établissement est axé sur quatre points essentiels (Annexe 1) : -Mieux apprendre, mieux enseigner, -Développer un esprit citoyen responsable et engagé, -Ouvrir le lycée sur l'extérieur, -Mieux se connaître pour travailler ensemble.

Ainsi, le lycée se veut être un lieu de formation tant pour le bagage scolaire de l'élève

que pour sa place dans la société. C'est dans ce sens que le projet d'établissement met l'accent

sur le fait que l'élève est un citoyen, et doit donc respecter d'une part les professeurs, les

locaux, les autres élèves, ... mais doit aussi devenir un citoyen actif, par exemple en élisant

ses délégués. Un autre point important est l'accès à la culture. Pour cela, les élèves ont un libre accès au CDI, en autonomie, afin d'enrichir leur savoir, de travailler sur un devoir, ou bien de se tenir au courant de l'actualité. 3 II.Description et analyse d'une séance de cours Mon stage s'est déroulé en plusieurs parties. Tout d'abord, j'ai suivi les cours de Mme LACOUR, professeur de mathématiques,

durant la première journée. J'ai pu ainsi observer le déroulement de séances de

mathématiques de niveau seconde et terminale S, ainsi qu'un cours d'aide individuelle (soutien scolaire) niveau seconde. Les jours suivants, j'ai observé une autre classe de seconde, ainsi qu'une terminale SMS (Sciences Médico-Sociales), prises en charge par M. VANDROMME en mathématiques, ainsi que des terminales S et STG avec M. LACOUR. En suivant le parcours de différents professeurs, j'ai ainsi pu assister à des cours de mathématiques très divers et observer le large panel mathématique qu'offre le lycée.

1) Observation d'une classe de seconde avec Mme LACOUR :

Avant de commencer le cours, l'enseignante m'a parlé des objectifs de la séance. Elle

a pour but qu'à la fin du cours, les élèves sachent les bases sur les vecteurs, c'est à dire ce

qu'ils ont déjà vu au collège, mais pas seulement : Il ne s'agit pas que d'une séance de " révisions », car l'introduction de nouveaux termes, et la vision plus approfondie qu'au collège en font un cours enrichissant, même pour ceux qui se rappellent parfaitement du chapitre. Le cours a débuté par le rendu d'un devoir à la maison, avec pour consigne que les

élèves le revoient et le corrigent. Parallèlement, l'enseignante a relevé les nouveaux devoirs

qu'ils avaient à faire pour ce jour. J'ai remarqué en particulier que l'enseignante a motivé les

élèves quant aux devoirs à la maison, en leur rappelant qu'ils avaient du temps, et donc qu'ils

pouvaient le commencer tôt pour essayer de trouver les réponses aux questions sur lesquelles ils butent. Une fois cela terminé, le cours a débuté. Il s'agit d'un nouveau chapitre : les vecteurs, révision d'un chapitre vu au collège, qui donnera suite à un approfondissement. Pour l'introduction, l'enseignante ne se lance pas dans un rappel magistral de ce qui a

déjà été vu par les élèves, mais procède par interactions entre élèves et professeur. Ainsi, les

élèves disent à leur tour, lorsqu'ils ont la parole, ce qu'ils savent sur les vecteurs. Le

professeur récupère alors toutes les informations, les éclaircit par des dessins au tableau, et, au

fur et à mesure des éléments donnés par les élèves, les classe afin d'en dégager les axes de

travail, en fonction des difficultés. L'enseignante soulève donc par exemple la confusion entre

direction et sens d'un vecteur. Cela l'emmène à distribuer la fiche de cours sur les vecteurs. La fiche de cours est en fait une leçon à trous, s'est à dire que le vocabulaire et les

propriétés importants sont remplacés par des pointillés, que l'enseignant demande de remplir

par les élèves (Annexe 3). J'ai donc observé les réponses que formulent les élèves, et

4 remarqué des erreurs redondantes, comme la difficulté de distinction entre droite, segment et longueur. La correction qui s'en suit est basée sur des questions-réponses. En effet, le professeur

lit le début des phrases du cours, et interroge un élève pour qu'il donne sa réponse. Cette

dernière est souvent contestée, et fait office de protestation de la part des autres élèves, qui

renchérissent en donnant d'autres réponses, parfois différentes. C'est alors que l'enseignante

met tout au clair, en donnant l'explication, et ce à chaque phrase de la leçon. J'ai donc constaté ici que le professeur donne la cadence, interroge, donne la parole, la reprend, et finit par faire la synthèse de ce qu'il a entendu. Un autre aspect de la leçon est l'introduction de

mots nouveaux, ici la norme d'un vecteur, appelée sa longueur par les élèves, lorsqu'ils ont vu

ce chapitre au collège. Ainsi, le professeur pose certaines questions qui font appel à ce mot,

afin que les élèves s'en imprègnent. En parlant de normes, le professeur s'est encore aperçu

que les élèves confondaient un segment et sa longueur, bien que les notations aient été rappelées il y a quelques minutes. La suite de la fiche fait encore débat auprès des élèves, il s'agit en effet d'expliquer comment on fait la somme de deux vecteurs (avec deux méthodes), ce qu'est le vecteur nul,

ainsi que l'opposé d'un vecteur, et pour finir l'égalité de deux vecteurs. C'est alors que les

élèves se mettent à donner leur avis, ce qu'ils ont compris de la définition donnée dans le

cours. Ils cherchent des exemples, les écrivent au tableau sur demande du professeur, et finissent par trouver la bonne solution, sans trop savoir pourquoi. C'est alors que le professeur

fait le point en expliquant ce qui n'était qu'une intuition, un exemple " qui marche ». J'ai pu

remarqué lors de la lecture des définitions, que les élèves connaissent déjà les équivalences, et

traduisent bien le symbole " <=> » par " est équivalent à ». Le cours terminé, le professeur demande aux élèves de travailler sur le premier exercice. Il s'agit d'un quadrillage sur lequel sont dessinés des points, et des droites les reliant. Sous celui-ci, un tableau est donné, avec des paires de vecteurs sur la première

colonne, et des propositions sur la première ligne. Les élèves doivent inscrire oui ou non en

fonction de la vérification ou non de la propriété par les deux vecteurs, et ce pour chaque case.

Cet exercice fait appel directement à la leçon, il s'agit d'un simple exercice d'application. Du

fait que les réponses à formuler ne sont pas très variées, je remarque que les élèves ont

tendance, pour certains, à écrire au hasard, alors que d'autres cherchent une logique entre les

colonnes : " si les vecteurs ne sont pas égaux, alors ils sont opposés, donc s'il y a NON dans la première colonne, on mettra OUI dans la colonne à côté ». Certains élèves ont bien compris, et ont fini, alors que d'autres n'en sont qu'à la moitié. Le professeur décide alors de donner une seconde fiche d'exercices aux plus rapides, afin de laisser chercher les plus lents (Annexe 4). Ce second exercice est une fiche de construction de vecteurs, somme de deux vecteurs proposés. Il fait appel aux deux méthodes vues en début de cours pour additionner les deux vecteurs. La correction des exercices se fait sur le rétroprojecteur, les élèves interrogés se

placent devant l'appareil et écrivent leur réponse directement sur le transparent à l'aide d'un

feutre. La séance se finit une fois le tableau rempli. Le professeur donne les consignes pour le cours suivant : finir la fiche et apporter les calculatrices. Je me suis alors interrogé sur le

travail des élèves qui sortent de la classe : un élève qui sort de la salle en ayant compris le

cours et avancé les exercices n'aura qu'à revoir la leçon, alors qu'un élève qui aura mis du

temps à comprendre toute la leçon, et n'aura pas bien appliqué le cours, se retrouvera avec la

5

leçon à comprendre puis à apprendre, l'exercice d'application à revoir, et le second exercice à

faire. Je me suis donc interrogé sur le fait de vouloir faire avancer les élèves les plus rapides,

et parallèlement ne pas accumuler le retard des élèves moins rapides.

2) Analyse de la séance de cours :

a) Le rôle du professeur : Tout au long du cours, le professeur donne la cadence, anime le cours. Il pose une question, donne la parole aux élèves, la reprend.

De plus, il organise les réponses des élèves afin d'en dégager les points essentiels de la

leçon. Ainsi, il démarre les explications à partir de ce qui ne va pas dans les formulations des

élèves, et introduit alors les nouveautés à apprendre. Lors des activités et exercices que l'enseignant propose, les élèves sont encadrés par ce dernier, qui les aiguille, leur indique les endroits où ils n'ont pas bien réussi.

Il est évident qu'un élève, en une poignée d'années, ne peut arriver à découvrir autant

de connaissances que ce qui a été fait en plusieurs millénaires. L'élève ne peut pas tout

deviner, et c'est pourquoi le savoir passe donc par l'apprentissage de connaissances, du professeur à l'élève. Son rôle est donc de passer le savoir à des élèves. Lorsque le professeur a la parole, les élèves sont attentifs, il n'a donc pas recours à une quelconque sanction. Ceci est probablement dû au climat qu'il a mis en oeuvre en début d'année (c'est ce que j'en ai conclu en questionnant plusieurs professeurs au sujet de la discipline). b) Le travail des élèves : Les élèves, au début du cours, sont attentifs. En effet, ils se concentrent sur la nouvelle

notion abordée. Lors des questions posées par l'enseignant, ils s'interrogent, certains donnent

la solution qui leur parait être la bonne, et cela sans être interrogés, d'autres s'en convainquent

en l'expliquant au voisin.

J'ai pu remarquer que les élèves étaient particulièrement studieux, ne parlaient pas trop

entre eux (hormis des vecteurs). En revanche, certains se débarrassent des exercices en

répondant aléatoirement aux questions, mais ces derniers sont une minorité, et heureusement,

l'enseignant veille à ce qu'ils ne bâclent pas leur travail. Le niveau de la classe est correct, comme me l'a précisé l'enseignante. Il n'y a donc

nul besoin de s'attarder sur des notions déjà acquises au collège, mais il faut tout de même

faire quelques rappels pour certains, et c'est pour cela que chaque élève doit fournir un travail

personnel différent, selon qu'il a compris ou non le cours. 6

III.Conclusion

Lors de ces quelques jours de stage, j'ai pu suivre plusieurs classes. Leur hétérogénéité

au niveau scolaire et disciplinaire m'a permis de découvrir plusieurs facettes de

l'enseignement des mathématiques au lycée. J'ai pu constater combien le métier d'enseignant

n'était pas facile, et particulièrement en mathématiques, discipline trop souvent redoutée par

les élèves. Le constat de ces difficultés m'a conforté dans l'importance de la préparation des

cours et de leur adaptation au niveau de la classe. De plus, j'ai apprécié que le cours ne soit

pas donné ex-cathedra, mais en partant des paroles des élèves, en répondant et en expliquant

pour les amener à acquérir les nouvelles notions qui font l'objet de la leçon. 7 Je tiens à remercier M. le Proviseur du lycée Geneviève de Gaulle Anthonioz, qui m'a accepté dans son établissement. Mes remerciements vontquotesdbs_dbs2.pdfusesText_2