L'audit interne est une fonction de plus en plus importante au sein de 4 RENARD Jacques, « Théorie et pratique de l'audit interne », Editions Le règlement de la facture peut se faire en espèces, par chèque, par virement bancaire,
Previous PDF | Next PDF |
[PDF] CONTRIBUTION DE LA BANQUE NATIONALE DE - Le Hub Rural
La Banque Nationale de Développement Agricole (BNDA) a été créée en 1981 avec l' au Comité des Prêts (composé de 4 membres choisis en son sein) pour Dans ce cas, elle passe avec celui-ci un protocole d'accord qui détermine les politique interne qui a consisté à suspendre l'octroi de crédits à moyen terme
[PDF] Mali - Deuxième ligne de crédit à la BNDA - Rapport dachèvement
12 fév 2011 · BNDA Banque Nationale de Développement Agricole (Accord de RESPONSABLES DU PROJET AU SEIN DE LA BANQUE interne Activité 2 Financement du sous-secteur de l'élevage aux crédits de campagne : cas de l' approvisionnement des pesticides ; rapports d'audit 2008 et 2009 soumis à
[PDF] N°28 MARS 2020 - APBEF MALI
Youssouf TOURE (BDM SA) - Moussa CAMARA (BNDA) Tiémoko DEMBELE des banques classiques (cas de Boursorama créée en start-up par pratiques, rapides et faciles d'utilisation font la force majeure des vision au sein des BEF dans une perspective de crois- sance des Responsable de l'Audit Interne
[PDF] Rethinking National Development Banks
27 jui 2006 · Etude réalisée par BRED Gestion, filiale de BRED Banque Populaire, Des cas opposés : la Corée et l'Amérique latine (Chili, Argentine) BNDA : Banque Nationale de Développement Agricole BNDE : transmission de ressources au sein de ce processus Capacité interne de montage Inexistante
[PDF] RAPPORT ANNUEL - Caisse dépargne
20 juil 2012 · Place de l établissement au sein du Groupe BPCE les conclusions des missions d audit interne rapports de contrôle interne (97r02), Banque Nationale de Développement Agricole du Mali (BNDA) économiques de chaque Caisse d Epargne et améliorées grâce au partage des bonnes pratiques
[PDF] AUDIT INTERNE ET PERFORMANCE DE LENTREPRISE : CAS DE
L'audit interne est une fonction de plus en plus importante au sein de 4 RENARD Jacques, « Théorie et pratique de l'audit interne », Editions Le règlement de la facture peut se faire en espèces, par chèque, par virement bancaire,
[PDF] Guide méthodologique de laudit externe des SFD - FinDev Gateway
31 déc 2020 · Outil de cartographie et d'évaluation du cadre de contrôle interne Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest l'audit externe de SFD et d'offrir une approche pratique et spécifique des rôles et En premier lieu les Directions Nationales de la Microfinance au sein de Ministères fonctionnels
[PDF] CONSOLIDATION DES COMPTES - MODALITES PRATIQUES
[PDF] Droit civil - cas Dupont Dubois Petit #8211 annales ENM 2016
[PDF] Cas pratique/Corrigé - Magnard
[PDF] DCG session 2014 UE3 Droit social Corrigé indicatif I- CAS
[PDF] Corrigés des cas pratiques - Dunod
[PDF] Manuel DCG 2, Droit des sociétés - Dunod
[PDF] Les fiches outils de la création d 'entreprise
[PDF] Division audit interne - Institut Supérieur de Gestion de Tunis
[PDF] Négociation commerciale - Decitre
[PDF] TD séance 5 : Les effets du divorces #8211 Correction cas pratique Corrigé
[PDF] Bibliothèque numérique d 'Assasnet
[PDF] Droit administratif 2016-2017 - Licence 2 - Semestre 1
[PDF] Droit administratif 2016-2017 - Licence 2 - Semestre 1
[PDF] Bibliothèque numérique d 'Assasnet
UNIVERSITE D'ANTANANARIVO
DOMAINE SCIENCES DE LA SOCIETE
MENTION GESTION
Mémoire de MASTER en sciences de gestion
PARCOURS : Finances
CAS DE LA JIRAMA
Présenté par : RAFITOHARSON Mandaniaina Michaël Encadré par : Madame ANDRIANALY Saholiarimanana,Professeur Titulaire
Année Universitaire : 2014/2015
Session : Juin 2016
Date de soutenance : 30 Juin 2016
UNIVERSITE D'ANTANANARIVO
DOMAINE SCIENCES DE LA SOCIETE
MENTION GESTION
Mémoire de MASTER en sciences de gestion
PARCOURS : Finances
CAS DE LA JIRAMA
Présenté par : RAFITOHARSON Mandaniaina Michaël Encadré par : Madame ANDRIANALY Saholiarimanana,Professeur Titulaire
Année Universitaire : 2014/2015
Session : Juin 2016
iREMERCIEMENTS
Nous remercions :
DIEU de nous avoir donné la force et le courage de faire ce mémoire Monsieur RAKOTO DAVID Olivaniaina, Maître de conférences, Doyen de la Faculté DEGS Madame RANDRIAMBOLOLONDRABARY Corinne, Maître de conférences, Chef de département GESTION, qui malgré ses engagements, nous a dirigé et nous a prodigué des précieux conseils tout au long du travail Madame ANDRIANALY Saholiarimanana, Professeur Titulaire et de Recherches en Gestion et notre encadreur pour son dévouement et son implication dans la production de ce mémoire dispensé , de leur disponibilité leur disponibilité Notre famille et nos amis pour leur encouragement et leur soutienà la production de ce mémoire
iiSOMMAIRE
REMERCIEMENTS _________________________________________________________ i LISTE DES ABREVIATIONS ________________________________________________ iii LISTE DES TABLEAUX _____________________________________________________ v LISTE DES FIGURES _______________________________________________________ v INTRODUCTION ___________________________________________________________ 1 Chapitre 1 : Matériels et méthodes ______________________________________________ 5 Section 1 : Matériels ______________________________________________________ 7 ________________________________________ 24 Chapitre 2 : Résultats _______________________________________________________ 28 Section 1 : Etude du système de contrôle interne _______________________________ 30Section 2 ____________________________ 36
Chapitre 3 : Discussion et proposition de solutions ________________________________ 44Section 1 __________________________________ 46
Section 2 : Proposition de solutions __________________________________________ 53 CONCLUSION ____________________________________________________________ 60 BIBLIOGRAPHIE _________________________________________________________ VI ANNEXE________________________________________________________________ VII TABLE DES MATIERES____________________________________________________ X iiiLISTE DES ABREVIATIONS
CMS Centre Médico-Social
DAI Direction d'Audit Interne
DALDAPPRO Direction des Approvisionnements
DCOM Direction Commerciale
DDEL Direction de Distribution Electricité
DECC Direction Environnement et Contrôle Carburant DEELDEO Direction Equipement Eau
DERI Direction Exploitation des Réseaux InterconnectésDEXO Direction Exploitation Eau
DFIN Direction Financière
DG Direction Générale
DGAA Direction Générale Adjointe Administratif DGAE Direction Générale Adjointe ElectricitéDGAO Direction Générale Adjointe Eau
DIR Directions Interrégionales
DPS Direction Planification Stratégique
DPTE Direction de la Production et Transport ElectricitéDRH Direction des Ressources Humaines
DSI Direction des Systèmes Informatiques
DT Direction des Travaux
DTE Direction Technique
FRAP Feuille de Révélation et d'Analyse de Problème iv IFACI Institut Français de l'Audit et du Contrôle InterneIIA Institute of Internal Auditors
JIRAMA Jiro sy Rano Malagasy
QCI Questionnaire de Contrôle Interne
SCECTM Société Civile d'Etudes de Concessions et des Travaux de MadagascarSEM Société des Energies de Madagascar
SINEE Société d'Intérêt National de l'Electricité et de l'Eau SMEE Société Malagasy des Eaux et ElectricitéSWOT Strengths Weaknesses Opportunities Threats
vLISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Modèle de FRAP _________________________________________________ 42 Tableau 2 : Evolution du chiffre d'affaires et du résultat (en pourcentage) ______________ 48 Tableau 3 : Plan d'audit ______________________________________________________ 58LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Organigramme de la JIRAMA _________________________________________ 9 Figure 2 : Organigramme de la direction d'audit interne ____________________________ 12 Figure 3 : Procédure lors d'opérations d'achat _____________________________________ 30 Figure 4 : Procédure relative à la réalisation de branchement ________________________ 32Figure 5 : Procédure relative à la consommation d'eau et d'électricité __________________ 33
Figure 6 : Phase de préparation ________________________________________________ 37 Figure 7 : Phase de réalisation _________________________________________________ 38 Figure 8 : Phase de conclusion ________________________________________________ 39 Figure 9 : Etapes d'élaboration de la cartographie des risques ________________________ 41 1INTRODUCTION
A Madagascar, les entreprises vivent dans un environnement instable et imprévisible dûà -ci subissent cet environnement et ne
composent son système. Pour atteindre leurs objectifs, elles doivent ainsi agir sur ceux-ci. Dans un environnement changeant, toute entreprise cherche à créer de la valeur et à êtreplus performante. Pour cela, il faut savoir maîtriser les opérations, les activités et les hommes.
à ces opérations et ces activités peuvent empêcher un " contrôle ia maîtrise » doit être ainsi maîtrisé1. Par ailleurs, les dirigeants prennent les décisions à partir des informations comptables.Celles-ci doivent être ainsi fiables pour que les décisions prises ne soient pas erronées et pour
La concurrence du marché pousse les entreprises à chercher les moyens pour satisfaireles besoins du marché et à prendre des mesures pour être plus performantes. Pour cela, il faut
interne peut se définir comme un ensemble de dispositions et des sécurités contribuant à la
maîse.indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise
de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur
ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche
systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle et de
2.1 RENARD Jacques, " Théorie et p.155
2 2 de pouvoir entre le principal einterne va alors apporter des informations au principal afin que celui-ci puisse agir en
connaissance de cause. maîtriser les activités par un diagnostic des identifiées et qui sont toujours les mêmes. dans le temps4 international. De nouvelles règlementations comme la loi américaine Sarbanes-Oxley, la loi de entreprises de moyenne importance. maîtrise des risquesapproche par les risques. Ainsi, il ne se contente plus de missions de vérification et de contrôle
Tout cela a ainsi conduit à choisir le thème intitulé : " Audit interne et performance deà atteindre ses objectifs de performance.
3 EBONDO WA MANDZILA Eustache, " : Lectures théoriques et
enjeux pratiques », Euromed Cahier de recherche n°17-2007, 2007, p.54 RENARD Jacques, " », p.36
3 Il est ainsi nécessaire de maîtriser les activités et de d -t-il ? aibles qui clients, le développement des capacités stratégiques. La performance globale prend alors en compte ces différentes variables.Les questions relatives à cette problématique auxquelles le mémoire va essayer de
répondre sont : -t-il le système de contrôle interne de - ? Pourquoi la maîtrise des activités importantes ? QuelleLe mémoire va se baser sur deux hypothèses pour traiter le thème. La première
hypothèse est maîtrise En effet,recommandations pour améliorer le système pour une meilleure maîtrise des activités. La
seconde hypothèse est maîtriser et contrôler ses activités, cela peut re de contrôle interne a un impact négatif sur la maîtrise 4 mémoire est basé sur une recherchede la société JIRAMA. Les méthodes utilisées pour obtenir les informations sont entre autres la
-à-dire un ensemble de questions.Pour traiter le thème, le mémoire va se diviser en trois chapitres. Premièrement, il y a les
sont étudiées. Ensuite, les théories sur la performance et sur exposées. Enfin, les méthodes de collecte de données et les méthodes de traitement de données sont étudiées.Deuxièmement, les résultats sont présentés. Les résultats proviennent des informations
rassemblées au cours des entretiens. Troisièmement, la discussion sur le thème et les solutions proposées sont étudiées.part, une analyse SWOT est faite afin de déterminer les forces, les faiblesses, les menaces et les
proposées en ce qui concerne consistant en une amélioration des procédures appliquées 5Chapitre 1 : Matériels et méthodes
6 théo interne est relative aux généralités, aux normes, aux phases En ce qui concerne la performance, celle-ci ne doit pas seulement être considérée sur le plan processus internes par exemple.des données et la méthode de traitement de celles-ci. Les données ont été collectées par
7Section 1 : Matériels
de justifier la zone comprend les théories sur lesquelles le mémo 1.1.Z elle va permettre de donner les raisons du choix de celle-ci. uel seJIRAMA.
1.1.1.1.Généralités sur la JIRAMA
La JIRAMA est une société d'Etat régie par le droit commun des Sociétés Anonymes sous réserve des dispositions pa5.149, Rue Rainandriamampandry-Antananarivo.
La JIRAMA est la compag
créée le 17 Octobre 1975 et elle résulte de la fusion de deux sociétés qui exerçaient des activités
similaires que sont la SMEE et la SEM.coloniale. Vers la fin du 19e siècle, la production était assurée par la SCECTM qui plus tard
5 www.jirama.mg, 2016
8 devenait la SMEE. En 1953, la SEM avait été créée et celle- plus tard de réunir les compagnies grâce à la création de la JIRAMA.Depuis 1999 et la libéralisation
dans la production électrique. Elle conserve toutefois le monopole du transport et de la
infrastructures électriques du pays. Namorona en 1980, Andekaleka en 1981, Ampefy en 1986. Il y a également eu des projets dansMandroseza I et II.
1.1.1.2.Activités de la JIRAMA
à travers le pays.
Elle assure la quasi-
de 340 000 abonnés dans 65 Le taux de recouvrement pour la JIRAMA est de 86%. La productivité est de 45 abonnés1.1.1.3.Organisation de la JIRAMA
L'organisation de la JIRAMA reflète ses deux principales activités que sont l'eau etl'électricité. L'entreprise déploie aussi parallèlement une organisation géographique faite de
directions interrégionales dans chacune des six provinces de Madagascar. La JIRAMA rassemble 5 719 agents. .6 Direction Audit Interne de la JIRAMA, 2016
9Figure 1 : Organigramme de la JIRAMA
DGCMSDIR
DIRAntsiranana
DIRToamasina
DIRMahajanga
DIRFianarantsoa
DIRAntsirabeDIR Tana 1
DIR Tana 2DIR Toliary
DTDECCDTEDAIDPSDGAA
DRH DCOMDAPPRO
DAL DSI DFIN DGAE DPTE DDEL DPEL DERI DGAO DEO DEXOSource : DAI, JIRAMA, 2016
101.1.1.3.1.Organisation générale de la JIRAMA
La JIRAMA est dirigée par un Conseil d'administration auquel répond le DirecteurGénéral. Le Conseil d'administration est composé des représentants de l'Etat et des
représentants des employés. Le Directeur Général est nommé par décret en conseil des
ministres. Il est assisté, dans ses tâches, par trois Directeurs Généraux Adjoints : le Directeur
Général Adjoint Electricité, le Directeur Général Adjoint Eau et le Directeur Général Adjoint
Administratif. Par ailleurs, il y a les directions interrégionales, la Direction des travaux, la Direction Audit Interne, la Direction Environnement et Contrôle carburant, la Direction Planification stratégique, la Direction technique et le Centre médico-social.1.1.1.3.1.1.Le Directeur Général Adjoint Electricité
Le Directeur Général Adjoint Electricité a sous son autorité directe la Direction de laProduction et Transport Electricité, la Direction de Distribution Electricité et la Direction
1.1.1.3.1.2.Le Directeur Général Adjoint Eau
Le Directeur Général Adjoint Eau a sous son autorité la Direction Exploitation Eau et la directions ou des unités opérationnelles.1.1.1.3.1.3.Le Directeur Général Adjoint Administratif
Le Directeur Général Adjoint Administratif a sous sa tutelle :-La Direction Financière ayant comme attributions la comptabilisation des opérations de
traitement des problèmes juridiques. -La Direction courante et prévisionnelle des ressources humaines et de la politique de formation du personnel, -La Direction commerciale et de la définition de la gestion clientèle. 11 -La Direction des Approvisionnements qui assure les achats et le stockage des matériaux et fournitures diverses. -La Direc -La Direction des Systèmes Informatiques qui normalise les informations, le traitement lyse des données et la publication des tableaux de bord adressés à la Direction Générale et aux autres directions.1.1.1.3.1.4.Les Directions Interrégionales
Il existe plusieurs directions interrégionales. Celles-ci se trouvent à Antsiranana, Mahajanga, Fianarantsoa, Toamasina, Tuléar, Antsirabe. Les Directions interrégionales sont rattachées directement à la Direction générale.1.1.1.3.1.5.La Direction des travaux
r construction, etc bois, des véhicules et de la gestion des laboratoires compteurs. La Direction des Travaux est rattachée directement à la Direction Générale.1.1.1.3.1.6.La Direction environnement et contrôle carburant
des carburants qui font fonctionner les centrales thermiques et les matériels de transport ou les autres matériels du même genre appartenant à la société.1.1.1.3.2
: le di la figure suivante (Figure 2). 12 Figure 2 : Organigramme de la direction d'audit interneSource : DAI, JIRAMA, 2016
respect de son application, de la discussion des recommandations émises par les auditeurs avecIl est présent sur le terrain avec les auditeurs et les assistants. Il établit un projet de rapport à
Les auditeurs et les assistants effectuent les diverses investigations. Ils font desrapprochements, évaluent le système de contrôle interne et informent le site ou domaine audité
des dysfonctionnements constatés au cours de leurs missions.1.1.2.
Cette partie présente les
Directeur
Audit Interne
Superviseur
Auditeur
Assistant
Secrétaire
131.1.2.1.
6 petite envergure.1.1.2.2.
fonction assurant le contrôle des activités et le conseil. Le nom de la fonction changeait au fur
et à mesure de la restructuration de la société mais la mission et les attributions de la fonction
Direction de Contrôle et Coordination »,
puis " Inspection générale » et enfin " Direction Audit et Contrôle interne ». A partir de 2007,
elle était devenue " Direction Audit Interneeffectuées et des informations financières et offre des recommandations pour permettre
1.2.Cadre théorique
Le cadre théorique
il y La ell1.2.1.
audit 141.2.1.1.
Etats-Unis. Le recours aux auditeurs externes était trop cher. Il a donc fallu confier certaines interne7.informations notamment comptables, assurer la sécurité physique et comptable des opérations,
respectées. Finalement, ces définitions ne sont pas complètes et la définition retenue sera
ndépendante et objective quidonne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte
ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette
organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique,
faisant des propositions pour renforcer son efficacité ». . Selon cette théorie, les relations depouvoir entre les propriétaires et responsables opérationnels se sont transformées. Le
propriétaire perd peu à peu le contact avec le management de son organisation. Les responsables
ions par rapport aux propriétaires. Parfois même, les propriétaire et lui donne des informations afin de donner la possibilité à celui-En ce qui concerne la gouvernance
7 RENARD Jacques, " », p.37
15 communication des informations aux services concernés et la coordination des informations adéquates fournies au conseil, aux auditeurs externes et internes et au management. estime que cette méthodologie doit suivre des principes fondamentaux que sont : simplicité,rigueur c'est-à-dire obéissance à des règles, relativité du vocabulaire, adaptabilité, transparence.
1.2.La fonction La
Pour atteindre ces objectifs, il a été mis en place un code de déontologie, des normes de qualification, des normes de fonctionnement et d Il existe aussi d pas des normes proprement dites à cause de leur caractère facultatif.Les normes sont utiles Les principes
ont permis la création de la fonction mais ils permettent aussi son développement et son amélioration.1.2.1.3
La nature de la mis
spécifique ou une mission générale. Elle peut concerner soit une fonction unique soit plusieurs
e, la en trois phases : la phase de préparation, la phase de réalisation et la phase de conclusion8.8 BERTIN Elisabeth, " Audit interne », , p.39
161.2.1.3.1.Phase de préparation
La phase de préparation comprend les étapes suivantes les parties concernées c'est-à- destinataires et le mandataire et l'objet de la mission.se faire par un questionnaire, par les documents et procédures de travail, les rapports et comptes
rendus du service à auditer, les notes relatives à des modifications récentes ou à venir dans
endroits où les risques les plus dommageables sont susceptibles de se produire. Les risques sontélémentaires avec les objectifs associés, les risques encourus et le dispositif de contrôle interne.
qui vont être testés par les auditeurs et les services, les divisions et les lieux qui vont être audités.
objectifs de la1.2.1.3.2.Phase de réalisation
un document appelé progest procédé à la détermination et à la répartition des tâches. Sur ce document, les tâches des
différents membres de la mission sont réparties. Le travail y est organisé et planifié dans le
temps. Ce document permet également le suivi de la mission. 17 spécifiques de coproblème, constat, causes, conséquences et recommandations. A partir de tous ces éléments, le
chaque constat en recoupant1.2.1.3.3.Phase de conclusion
phase se termine par la réunion de clôture. Cette réunion entre les auditeurs et les audités est
1.2.1.4.
être utilisés pour le même objectif. Les résultats des uns validant les résultats des autres. Les
interviews, les outils informatiques et les vérifications et rapprochements divers et en outils de