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LEDOSSIER
RENNES 1
RENNES 2
UNIVERSITS
EN CHANTIER
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Et la fac de lettres
devint universit Dcidment, la vie des universits est pleine de soubresauts. Au moment o le monde universi- taire s"apprte mettre en place les dispositions de la loi Pcresse de 2009 sur Ç les liberts et responsabilits des universits È (LRU), voil que court l"ide d"un rappro- chement des universits de Rennes 1 et de Rennes 2 pour crer une Ç grande-universit-rennaise È l"instar des mouvements de fusions qu"on constate dans de nom- breuses grandes villes franaises... Allant plus loin, on parle mme, ici ou l, d"une Universit de Bretagne, qui runirait les quatre universits actuelles de la rgion en une seule. Dans le mme temps, on voque le rappro- chement des universits bretonnes avec celle de Nantes ou Caen, ou, tout au moins, d"troits partenariats ren- forcs avec celles-ci. Si de tels projets devaient aboutir, cela ne constitueraitqu"une srie de pripties de plus dans les phases de re-KoLNFo 6Lx ktJ1:78)Jr tokyoOJjkJUkttkJOgo
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RENNES 1, RENNES 2: UNIVERSITS EN CHANTIER | DOSSIERNOVEMBRE-DCEMBRE2009 | PLACE PUBLIQUE |7
groupements, de scissions ou de fusions en tous genres que les composantes de l"ensemble universitaire de la capitale bretonne ont connues depuis leur origine. Parmi ces p- ripties, il en est une qui a profondment marqu, c"est celle qui a abouti la cration des deux universits ac- la transformation de l"ancienne facult des lettres de la de quelques faits.8HeVHORUeGWeUVDVW%SWQ
Jusqu"en 1967, l"universit de Rennes, c"tait avant tout quatre facults, au sens traditionnel, avec leur doyen lu par les seuls professeurs, leur conseil de facult, leurs enseignants classs par Ç rangs È bien distincts et leur sateur. Ces facults, c"tait le droit et les sciences cono- miques; les lettres et les sciences humaines; les sciences; la mdecine et la pharmacie; chacune vivait bien spare de ses voisines, et l"Universit en tant que telle n"avait que peu de poids: son conseil, compos des doyens des fa- cults et prsid par le recteur d"acadmie, aux pouvoirs bien limits, se gardait bien de toucher ce que ses fa- cults considraient comme leur Ç autonomie È... De ce point de vue, rien n"avait chang depuis longtemps - mme si, aux lendemains de la guerre, un recteur d"aca- dmie avait lanc l"ide d"un regroupement de toutes les facults sur un site unique, sorte de campus l"amri- caine, aux abords de Rennes, pratiquement en campagne, au lieu-dit Villejean; le projet fut vite abandonn, ne se- rait-ce que parce que bon nombre d"universitaires ima- ginaient mal s"exiler loin des quartiers centraux... Pourtant, dans ces annes 60, il fallut vite en convenir: alors mme que les effectifs d"tudiants commenaient gonfler, on ne pouvait plus se contenter de rafistolages et d"agrandissements sur place; Rennes s"engagea alors dans une impressionnante srie d"oprations immobi- structures universitaires d"aujourd"hui. Ë l"est, a surgi l"immense campus de Beaulieu, richement dot parce que l"essor des sciences tait devenu un impratif natio- nal puissant: la facult des sciences s"y transfra en 1965. Ë l"ouest, fort logiquement, la facult de mdecine et dela facult des lettres, quittant l"ancien sminaire de laplace Hoche, vint s"implanter en 1967 entre le centre
hospitalier et les barres de Villejean; seuls les juristes en- tendaient bien rester en ville, abandonnant l"ancien ar- chevch de la place Saint-Melaine pour occuper le nou- vel immeuble de la rue Jean-Mac (1962); les cono- mistes nouvellement spars des juristes, firent de mme avant de rejoindre, mais beaucoup plus tard, la place immeuble en propre sur le campus de Beaulieu, dans les annes 70, et chou).BPH!eGHWY!eVTQLUeWPLXHTULViU0 Cette rpartition des activits universitaires en facul- ts bien distinctes, sur des sites ddis, aurait pu se stabi- liser de la sorte si le 12septembre 1969, la fameuse loi Ed- gar Faure n"tait venue modifier les contours de l"ensei- gnement suprieur franais: elle invitait les composantes des facults, clates en Units d"enseignement et de re- cherche (UER), se grouper pour constituer des Ç uni- versits autonomes È; celles-ci, d"un genre bien nouveau, devaient tre assez grandes pour regrouper un nombre si- gnificatif d"tudiants, mais pas trop pour rester gouver- nables; surtout, elles devaient tre ncessairement plu- ridisciplinaires et gres en associant les enseignants de tous rangs, les personnels techniques et administratifs, et les tudiants... Ë partir de l, videmment, se poseraient avec acuit plusieurs questions centrales: combien d"uni- versits Rennes? Et surtout, en mariant qui avec qui? D"emble, la solution d"une seule universit, un mo- ment voque, fut quasi unanimement carte: trop grande! Il fallait donc constituer plusieurs universits, avec les morceaux des facults. Mais, de quelles faons? A priori, il fut convenu que les units issues de la facult des sciences ou celles nes de la facult de mdecine et de pharmacie ne pouvaient pas se disperser, et qu"au fond, les deux ensembles taient inscables 1 . Ë vrai dire, les deux autres facults n"taient pas mieux disposes, sauf quelques scessionnistes, affronter les affres de la par- tition. Le dbat restait donc entier pour dfinir des en- tout de pluridisciplinarit, imposs par la loi. Pendant un certain temps, lors des pres discussions cv"!ctv"3ivv"2!97784 v!8DAD!Jv!Ëvt¡Ç¡" ¡JKvË" U"!rJ ¡¡v"4
8| PLACE PUBLIQUE |NOVEMBRE-DCEMBRE2009
menes entre responsables universitaires, on s"orienta quelque peu inspire (entre autres) par la gographie des lieux: l"est, les sciences sur le nouveau campus; au cen- tre, le droit, l"conomie et la gestion; l"ouest, les activi- ts mdicales et littraires... Mais rien de cela n"abou- visags, que la constitution de deux universits (ce qui n"empcha pas, mais beaucoup plus tard, dans les an- nes 90, lors de l"opration Universit 2000, l"vocation de minante scientifique, mais ceci est une autre histoire.) admit alors assez vite le principe de deux universits, avec au dpart, tout au moins, d"un ct, les juristes et les lit- traires et, d"un autre, des scientifiques auxquels se se- raient joints des conomistes, nouvellement acquis aux d- lices des mathmatiques. Mais que faire alors des mde- cins et des pharmaciens? Pas question de rejoindre les scientifiques! Encore moins, les littraires la rigueur, les juristes... Quelques partitions originales furent mme lettres avaient t sollicits pour rejoindre ceux du droit ou de la pense conomique; des gographes auraient pu se rapprocher des gologues de la facult des sciences... Mais rien ne se fit.8HUeNLVViTDLTHUeboHPeSWDTDPVDLPHoc0
En ralit, tout au long de ces ngociations, plana, sans qu"on le dise toujours ouvertement (mais aussi par- fois en le disant), l"ombre des vnements de 68: cha- cun les avait en mmoire, tout comme le fait que les tu- diants, et mme de nombreux enseignants, s"taient trou- vs aux premiers rangs des manifestations et avaient jou et autres occupations. Ces considrations ont t peu crites, mais sont conserves dans bien des mmoires... Dans les anciennes facults, on s"tait souvent braqu contre les littraires et bien peu imaginaient de cohabiter avec ceux qui avaient men les dfils de la contestation. C"tait l l"opinion dominante chez de nombreux ensei- gnants du campus Centre; mais c"tait aussi le sentiment de bien des responsables, de sensibilit conomiste, du campus Sciences.Sociologie, psychologie..., autant de vocables qui fai-saient peur... Sans qu"on puisse mesurer exactement la
porte de telles prventions contre des littraires si bruyants, il est incontestable qu"elles ont jou un rle majeur dans la recomposition du paysage universitaire rennais. D"un autre ct, bon nombre de tmoins de l"poque 1 se souviennent que de nombreux enseignants et tudiants de la facult des lettres cartaient toute hy- trices de l"universit, et s"avouaient ne pas tre trop m- contents de rester entre eux pour dvelopper leur pro- pre projet alternatif. Rsultat: malgr les tentatives de conciliation menes ici ou l, on s"orienta finalement, presque sans scrupule, vers une partition assez dsquilibre et la cration de deux universits, l"une (universit de Rennes) regroupant les trois facults de droit-conomie, de sciences et de m- decine-pharmacie (avec 12000 tudiants), l"autre, l"uni- versit de Haute-Bretagne (UHB) regroupant... les lit- traires (avec 6000 tudiants), isols, comme Ç mis en quarantaine È et, d"une certaine faon, punis d"avoir fourni les gros bataillons de l"agitation soixante-huitarde. Seule, la philosophie choisit de rejoindre les scientifiques: choix idologique, recherche de moyens supplmen- taires, identit de dmarche entre la logique et les sciences?... On cherche encore 3 . En tout cas, il restait tout, n"tait-ce pas le cas de certaines grandes universits parisiennes? Tout au plus, l"apport d"un institut d"du- cation physique et sportive donna un aspect plus ouvert cette universit facultaire... Ë noter que ce type de par- tition, aboutissant un certain isolement des littraires, n"a pas t propre au site rennais et que bien des villes (Lyon, Lille, Toulouse...) ont connu des scnarios du mme type...8DeILPeGWeJKHVVQ
Ë partir de ces regroupements, les deux universits rennaises ont connu des destins assez diffrents, mme si dans chaque cas l"autonomie de gestion ne fut pas aussi dveloppe que promis par la loi; mme si toutes deux ont multipli leurs succursales sur le territoire breton, grce leur stratgie de Ç dlocalisation È; mme si bien des traits de leur mtamorphose ont t en ralit bien com- parables. Ainsi, l"universit de Rennes, dont les effectifs ont tri- uUt¡JÇryv!r""vO cv Ëv"!v !"tvtv"Jrv"4
DOSSIER | RENNES 1, RENNES 2: UNIVERSITS EN CHANTIER RENNES 1, RENNES 2: UNIVERSITS EN CHANTIER | DOSSIER NOVEMBRE-DCEMBRE2009 | PLACE PUBLIQUE |9Gmsqd%Tdmmdr%3%ds%Tdmmdr ujpoqmvu ue-dfousbmjt-f)dfuufvojwfstju-bmpohufnqt-u- uju-opvwfmmf 0 npnfout)gbvufefnpzfot 18ejwfstjgjdbujpoeftftgj+
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des tudiants de Rennes 2 Les caractristiques des tudiants de Rennes 2 sont tout d"abord dfinies par la gamme ( do- minante Lettres - Sciences humaines) des tudes offertes, par le statut de l"tablissement (universit publique) et par la localisation de cette universit dans une capitale r- gionale. La plupart des disciplines proposes accueillent, comme c"est partout le cas en France, une majorit de dans les principales langues vivantes, en histoire de l"art ou en psychologie, le taux de fminisation est voisin de80 %. Il est vrai que certaines formations, comme la go-
graphie et surtout les sciences et techniques des activits physiques et sportives, sont dominante masculine mais, dans l"ensemble, la supriorit numrique des filles est crasante: deux inscrits sur trois, soit une proportion beau- coup plus forte que celle - 55 % - qui est constate dans l"enseignement suprieur l"chelon national.Comme on l"observe dans l"ensemble des formations
post-baccalaurat, les enfants des classes suprieures sontKoLNFo 6EggtgmkJjkJlorrk)JvrJjkJhuyoky)Jvr
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