[PDF] [PDF] INTRODUCTION A LINFORMATIQUE

Ce texte concerne le cours "Introduction à l'informatique" destiné au second gage” et en quelque sorte télécharger en temps réel de nouvelles fonctionna-



Previous PDF Next PDF





[PDF] Introduction à linformatique - Cours complet - LIPN

Interaction Hardware/Software La plupart du temps, l'informaticien n'a pas a interagir directement avec le matériel Pour traiter avec les composants, tous les  



[PDF] Linformatique pour débutants - Ville de Nîmes

En route, pour découvrir l'informatique et là, ne soyez pas prudents les logiciels de bureautique (Word, Excel, PowerPoint) ou Open office gratuit à télécharger Cliquez sur le lien ci-dessous pour visualiser un support de formation de la 



[PDF] INTRODUCTION A LINFORMATIQUE

Ce texte concerne le cours "Introduction à l'informatique" destiné au second gage” et en quelque sorte télécharger en temps réel de nouvelles fonctionna-



[PDF] Programme dapprentissage de lordinateur pour les aînés

1 Formation en informatique pour les personnes âgées : programme du moniteur Vous pouvez télécharger certains cliparts gratuits sur le site Web de



[PDF] Proposition dun plan de cours dinformatique - RERO DOC

De nombreux auteurs, associations et fondations militent également pour l' introduction d'une formation en informatique pour tous De manière résumée (et un peu 



[PDF] Initiation à l informatique - Collectif Alpha

Guide de Formation pour Informatique de base : Cahier de formation Windows Vous pouvez toutefois également les télécharger directement sur les sites 



[PDF] Introduction à lInformatique licence 1ère année

Début des cours magistraux : semaine du 14 septembre 2 Début des Dans son acception courante, l'informatique désigne l'ensemble des sciences et



[PDF] GENERALITE SUR LINFORMATIQUE

logiciels sont l'apprentissage avec des mises à jour constantes en cours de vie ➢ Organe de sortie: sont les muscles Pour les ordinateurs modernes et les 

[PDF] cours informatique word pdf

[PDF] cours informatique excel pdf

[PDF] pdf natation 60 exercices et programmes

[PDF] technique de natation pour debutant

[PDF] technique de natation pdf

[PDF] natation méthode d entraînement pour tous tests plan d entraînement exercices techniques

[PDF] natation méthode d'entraînement pour tous pdf gratuit

[PDF] pechomaro

[PDF] cryptographie cours et exercices corrigés pdf

[PDF] cours de cryptographie pour debutant

[PDF] cours de cryptographie decrypter les codes secrets

[PDF] cryptographie sécurité informatique

[PDF] cryptographie et sécurité informatique pdf

[PDF] exercices de guitare pour les nuls pdf

[PDF] cours langage c pdf gratuit

Faculté des Sciences

INTRODUCTION

A

L'INFORMATIQUE

H.P. Garnir & F. Monjoie

Notes de cours

Année 2005-2006

Préface

Ce texte concerne le cours "Introduction à l'informatique" destiné au second baccalauréat en Biologie et Géologie et à la première licence en Biochimie. Notons que les travaux pratiques se déroulent actuellement sur des micro-ordinateurs fonc- tionnant sous le système d'exploitation Windows de Microsoft. Les logiciels installés sur ces machines permettent de se familiariser avec le traitement de texte, les tableurs et diffé- rents logiciels de traitement de données. Les étudiants apprendront à rédiger un rapport

présentant, sous forme attractive, des données numériques préalablement analysées. Toutes

les machines sont reliées à l'Internet. Une part importante des travaux pratiques sera

orientée vers la maîtrise des nouvelles possibilités offertes aux scientifiques par ce nouveau

moyen de communication. Tous les étudiants sont amenés à utiliser le courrier électronique

et le WWW. Nous indiquerons aussi comment trouver rapidement des informations perti- nentes sur le Web. Depuis 1999, les notes de cours ainsi que des documents relatifs aux exposés oraux se trouvent sur un serveur WWW ( http://www.ulg.ac.be/ipne/info). Ce serveur est local et son accès est limité par un mot de passe. Le "user name" est "info" et le "password" est "ok".

Janvier 2006

Henri-Pierre GarnirFrancine Monjoie

I.P.N.A.S.Mathématiques Générales

Sart Tilman B-15Institut de Mathématique B-37

B-4000 LiègeB-4000 Liège

Tél.: 4/ 3663764 & 3663690Tél.: 4/3669432

C H A P I T R E I

Concepts fondamentaux

1.- INTRODUCTION

manipuler des in- formationsfi fi ordinateurs fi unité logique mémoire

L'unité logique est banalisée

Les programmes et les données sont placés sur un pied d'égalité entrée sortie fi fiChapitre 1: Concepts fondamentaux phénomène de "l'informatisation de la société" et permet dutiliser loutil dans les meilleures conditions.

2.- LA PROGRAMMATION

Programmer consiste à construire un ensemble ordonné d'instructions qui, lors- qu'elles sont exécutées, produisent des effets précis et utiles sur les informations contenues dans un ordinateur. L'ensemble des instructions s'appelle un programme. Préparer un programme destiné à un ordinateur est une tâche délicate et complexe. En effet, contrairement à l'être humain, l'ordinateur est incapable d'initiative ou de tolérance. Par conséquent, son programme doit être parfaitement explicite, doit cou- vrir tous les cas de figures possibles et doit entrer dans les moindres détails. Cepen- dant, lorsque le programme s'exécute, l'ordinateur fait preuve d'une précision et d'une persévérance à toute épreuve. Un autre truisme est de rappeler que l'ordinateur ne résout jamais un problème. Ce sont les hommes qui utilisent l'outil ordinateur pour aboutir à leurs fins. Sauf panne technique (extrêmement rare), toute "erreur" de l'ordinateur doit être comprise comme ayant une origine humaine. Puisqu'un programme d'ordinateur doit être parfaitement précis, une grande part de la construction d'un programme consiste à analyser le problème que l'on désire ré- soudre, à le définir clairement, et à envisager les cas marginaux qui, bien que peu probables, peuvent perturber un schéma de solution. Il faut aussi considérer le jeu d'instructions dont on dispose afin de l'utiliser au mieux dans le contexte de la réso- lution du problème. L'étape suivante consiste à coder le schéma de solution adopté dans un format que l'ordinateur peut assimiler. En général, le programme prend la forme d'un texte dont la syntaxe est extrêmement rigide pour se conformer aux directives d'un langage donné. Ce texte est tout d'abord écrit "dans" l'ordinateur grâce à un dispositif adé- quat. A notre époque, on utilise généralement un clavier et un écran de moniteur (TV). Un programme préexistant, fourni par le constructeur de la machine et appelé Editeur de texte, aide le programmeur dans sa tâche. L'Editeur permet de faire "en- trer" le texte du programme dans la mémoire et ensuite de le corriger très aisément. Le texte du programme est ensuite traduit automatiquement par l'ordinateur en une suite d'instructions élémentaires qui lui sont spécifiques. Cet ensemble d'instructions peut être exécuté et il faudra vérifier que l'effet du programme sur les données cor- respond bien à l'attente du programmeur (phase du "debugging", littéralement: "de la chasse à la petite bête"). Il sera aussi utile de composer un "mode d'emploi" du

programme qui explique comment s'en servir et qui décrit son fonctionnement.Chapitre 1: Concepts fondamentaux

Introduction à linformatique - ©U.Lg. 2006 H.P. Garnir et F. Monjoie2 nouvelle façon de penser fl fi

3.- QUE PEUT FAIRE UN ORDINATEUR ?

Caractères entrés Caractères sortis

Chapitre 1: Concepts fondamentaux

4.- QU'EST-CE-QU'UN ORDINATEUR ?

Schéma d'un ordinateur

UNITE D'ENTREE UNITE CENTRALE UNITE DE SORTIE input device

Central Processing Unit

output device Un auxiliaire précieux: la mémoire de sauvegarde backing store

Chapitre 1: Concepts fondamentaux

nant de l'ordinateur (=output) ou à y introduire des informations (=input). Pour les mi- cro-ordinateurs, il s'agit habituellement du disques durs, de lecteurs de disquettes souples ("floppy disks") ou de mémoires flash.

5.- QU'EST QU'UN LANGAGE?

D'un point de vue matériel, un ordinateur est un appareil électronique traitant des ensembles de signaux électriques. Son fonctionnement est contrôlé par un pro- gramme qui est une suite d'instructions. Il ne nous serait pas commode d'introduire des instructions et des informations dans l'ordinateur directement sous forme de si- gnaux électriques (bien que cette méthode fut celle utilisée par les premiers pro- grammeurs). Aussi l'ordinateur est-il fourni avec un programme qui traduit en lan- gage machine un langage de programmation que nous comprenons facilement. Lordinateur parle en signaux électriquesLhumain parle : - Java - C - Pascal - Basic - Excel - Explorer...Un programme traduit ou interprète les instructionsen langage machine Un langage machine, dit de bas niveau, comporte des instructions qui correspondent directement aux ensembles de signaux électriques que l'on peut produire dans l'or- dinateur. Un langage de programmation, dit de haut niveau, est facilement compré- hensible par un être humain non nécessairement spécialisé en électronique. Le Java ou le C sont de tels langages. Ainsi, votre dialogue avec l'ordinateur se décompose en les étapes suivantes. - Vous avez un problème à résoudre. - Vous analysez le problème en fonction du langage disponible. - Vous concevez un programme. - Vous introduisez ce programme dans l'ordinateur au moyen du clavier. - L'ordinateur exécute votre programme dans son langage. - L'ordinateur sort les résultats sous la forme que vous avez précisée dans le pro- gramme. Chapitre 1: Concepts fondamentaux Introduction à linformatique - ©U.Lg. 2006 H.P. Garnir et F. Monjoie5

C H A P I T R E II

Les grandes dates de l'évolution de l'informatique

1.- RAPPEL HISTORIQUE

Le premier ordinateur digital, l'ENIAC (Electrical Numerical Integrator And Calcula- tor) a été construit aux Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale en vue de résoudre des problèmes de balistique. Il s'agissait d'une énorme machine occupant une salle de 150 mètres carrés, consommant 137kWH et tout juste capable d'effec- tuer quelques opérations arithmétiques simples. Cette machine avait moins de pos- sibilités que les calculateurs de poche programmables actuels. Le premier "compu- ter" à usages multiples commercialisé fut l'UNIVAC I (Rank Corporation) suivi de près par les premières machines d'I.B.M. (International Bussiness Machine) qui mo- nopolisèrent rapidement le marché, marché qui était considéré en 1954 comme ne devant pas dépasser quelques dizaines de machines.

Les ordinateurs, dits de la première génération, fonctionnaient grâce à des lampes à

vide, consommaient énormément d'énergie pour le chauffage des filaments et le re- froidissement de l'ensemble. En 1959 apparut la seconde génération d'ordinateurs utilisant des circuits imprimés à transistors qui rendirent les ordinateurs plus petits et moins chers. En 1965, le marché comptait environ trente mille machines. A cette date apparut la troisième génération d'ordinateurs (la série SPECTRA 70 de R.C.A.) utilisant des

circuits intégrés. Cela réduisait encore le coût du matériel et sa taille tout en aug-

mentant ses performances. L'informatique n'est plus l'apanage des grosses admi- nistrations ou des banques mais commence à envahir la plupart des services comptables des entreprises. L'apparition des mini-ordinateurs (DIGITAL Equipment) augmente encore ce phénomène et permet d'inclure des ordinateurs dans des pro- cessus de contrôle ou de fabrication. Les ordinateurs trouvent leur place dans les laboratoires et les usines et ne sont plus utilisés exclusivement pour faire des cal- culs. Ils deviennent de plus en plus performants. Pour amortir leur coût élevé de fonctionnement, on établit les techniques de travail en temps partagé (=Time sharing), qui permettent à un grand nombre d'utilisateurs disposant de terminaux d'accéder à la même machine sans être (en principe) gênés par les activités de leurs collègues. En 1974, la technologie de fabrication des circuits électroniques a tellement progres- sé qu'il est possible de loger sur une "puce" (=chips) toutes les fonctions fondamen-

tales d'un ordinateur. Le microprocesseur est né et va révolutionner l'informatique en Chapitre 2: Historique

Introduction à linformatique - ©U.Lg. 2006 H.P. Garnir et F. Monjoie6 fi fiquotesdbs_dbs3.pdfusesText_6