[PDF] 2009 : baptême du feu et bilan - Tribuca PDF C1n517251209.pdf

23 déc 2009 · N° 517 du 25 décembre 2009 – 0,70 a Nice >15, rue A Mari - 04 92 17 55 Dans notre actualité de la semaine dernière, nous avons noté sur 5 points (en référence aux articles Ségurane - siège - TRIBUCA 18/12/2009

Durée de dépassements horaires sur la période de repos Note d'impact sonore 5h - 7h 20h - 23h lundi mardi mercredi jeudi vendredi samedi dimanche

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3 sept 2015 · le 31 août entre la rue Philibert et la rue Ségurane pour une durée une durée d 'une à deux semaines maximum Lorsque Au final le bilan

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Ce bilan, de la première Métropole créée en France, est présenté en partie II de ce 1 000 ponts et ouvrages d'art et 80 000 points lumineux partir de septembre 2014 pour la réalisation du puits d'entrée du tunnelier rue Ségurane Le site internet du tramway http://tramway nice fr, permet chaque semaine grâce à la

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8 jan 2018 · Supprimées Le présent rapport développement durable présente le bilan annuel de l'Agenda 21 métropolitain d'entrée rue Ségurane et le quai Cassini Le réseau est aujourd'hui constitué de 149 points de En mai 2017, la Ville de Nice a organisé une semaine d'activités ludiques et sportives à

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Garibaldi, point de départ de la route de Turin, et à proximité du nouveau port de Nice C'est entre la rue Ségurane et la rue Cassini que se localisent les Le bilan de l'état des logements du quartier est certes moins lamentable que celui du

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François de Paule pour le vieux Nice, la rue Bavastro et la rue Ségurane pour le port Ceci diversifie également au point de vue social et économique, ce quartier périphérique s'intégrera dans la vie Le bilan de l'implantation été informé que M Crispi a fait appeler, il y a quelques semaines, l'entrepreneur chargé de

[PDF] 2009 : baptême du feu et bilan - Tribuca

[PDF] 17- TOME 2PieceG1a100

22 nov 2011 · long de l'avenue de Californie et jusqu'à la plaine du Var, de semaine, hors vacances comme des Points Noirs de Bruit (PNB), c'est-à-dire correspondant à en privilégiant le mode le meilleur en bilan carbone, comme le sur deux sites : installations rue Ségurane, au niveau du port et de la place Ile

[PDF] Bilan 2019 - CICRP

Ces différents points seront développés tout au long de ce bilan On peut Une semaine de formation et d'échanges (mai Avec l'Académie de Nice : Collège Ségurane à Nice, classe de 3ème et Lycée Nicolas rue de Vaugirard (nuit du 8

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18 rue Catherine Ségurane 4 semaines durant l'été du 10 juillet au 4 aout 2017 Effectifs habilitation: -6 ans : Affichage des programmes d'activité de la semaine Détermine les points négociables et non négociables relatifs au bon fonctionnement du Il participe aux réunions de préparation, d'évaluation et de bilan

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[PDF] Bilan SNGRO saison 2013-2014

[PDF] bilan social

[PDF] bilan social 2012 - Achats

2009 : baptême du feu

et bilan En 2010, Eric Ciotti refroidit la machine départementale : stabilisation fiscale, contraction des dépenses improductives et de l'endettement.

ANNONCES LEGALES

Voir en pages intérieures

Hebdomadaire de l'actualité économique et juridique - Annonces Légales

N° 517 du 25 décembre 2009 - 0,70 a Nice > 15, rue A. Mari - 04 92 17 55 00 - Cannes > 13, bd Carnot - 04 93 39 38 88 - Antibes > 32, ave R. Soleau - 04 93 34 00 50 - Web > www.tribuca.fr

Grippe A :

"Il ne faut pas baisser la garde» ? Médecins et collectivités tentent une piqûre de rappel pour éviter un second pic

épidémique trop virulent. p. 5

Fêtes : la note est lourde

pour les collectivités ? Ce sont des millions d'euros que les municipalités consacrent aux fêtes de fin d'année. Mais crise oblige, elles débusquent toutes les

économies

possibles. p. 6

Peach Up :

avoir et garder la pêche... autrement ? Un nouveau concept de centre de remise en forme / bien-

être s'installe à

Nice. p. 19

Patron, j"ai mal

à mon mécénat !

? Au rendez-vous donné par Fenêtre sur Com' à l'Agora Einstein, beaucoup de communicants et de chefs d'entreprise, venus débattre autour du mécénat. Une valeur ajoutée, certes... Mais pour qui ? p. 4 "année qui s"achève aura été chaude pour le jeune président du Conseil général. Cha- leur intime et familiale d"abord, avec son mariage et la naissance de la petite Jeanne

Marie. Mais, plus négativement, échauffe-

ment pour les commandes d"une machine administrative qui a dû être manipulée, pour la première fois depuis longtemps, à contresens : en commençant à ralentir un train de vie peu regar- dant et en accélérant la collecte des ressources fis- cales (+15%) ainsi que les dépenses d"infrastructu- res et d'équipements dont le BTP a été le principal bénéficiaire. Jugée par lui "à la fois très exigeante et très passionnante», l"année fut surtout très déséquili-

brante à cause de l"ampleur de la crise, que per-sonne n"a vu venir, avec un brutal effet de ciseau :

d"un côté "une forte baisse des droits de mutation qui auront diminué de 110Ma à la fin de l"exercice, c"est à dire de 33%, de l"autre un creusement de nos dépenses de solidarité sociale avec une augmenta- tion des allocataires du RSA (ex-Rmistes) de 13% et la poursuite d"une tendance structurelle à l"alour- dissement de la protection de l"enfance ainsi que des prestations compensatoires d"handicap (presque deux fois plus d"allocataires en 2009) et le vieillisse- ment des populations.»

Plus de dépenses, moins de recettes ? Dans

une telle situation "le plus catastrophique aurait été de couper les moteurs de l"économie», juge Eric

Ciotti qui a fait "le choix inverse».

L suite en page 3

Côté Département, on a misé sur le BTP et l'investissement malgré la crise. Une période difficile pour une prise de

fonctions à haut risque, mais le nouveau président du Conseil général veut rester optimiste.

Retrouvez chaque semainele résumé completdes annonces légales parues dans le département ? sur : www.tribuca.com ? En version fl uidbook avec moteur de recherche ? Par Alerte E-mail

Renseignements : tél 04.92.17.55.06

RepèresRepères

Agenda

Communiqués

Suite à l"annonce de la création d"un

"Observatoire des Coûts» par la Ville de Nice, la Fédération du BTP des

AM indique être favorable à un tel

projet dans la mesure où une analyse perti- nente sera réalisée, permettant de mettre un terme à des accusations de marges abusives démagogiques, récurrentes et sans fondement.

Dans cette perspective, elle insiste sur divers

paramètres qui devront être intégrés dans cette étude, dont notamment : ? Le coût de la main d"oeuvre de notre dépar- tement qui, du fait du coût élevé de la vie, est supérieur aux salaires moyens d"autres dépar- tements français comparables. (cf. à titre d"il- lustration, les grilles des salaires minimaux en PACA sont supérieures à celles de bien des régions et même de l"Ile de France), ? Le prix des matériaux et du carburant qui, globalement, du fait de l"incidence "trans- port», est également et fréquemment plus élevé qu"ailleurs, ? Les contraintes réglementaires parasismi-

ques spécifiques à notre département, dont on peut estimer le surcoût moyen du gros oeuvre

autour de 3 %, ? La complexité de notre foncier (pente, géo- logie souvent défavorable) nécessitant des travaux de fondations ou d"adaptation au sol particulièrement lourds et coûteux, ? L"insuffisance chronique de décharges de matériaux et de déchets industriels banals (il est courant de constater un coût de mise en décharge équivalent au coût du terrassement lui-même, ce qui est, là encore, très spécifique à notre département et revient à doubler le coût du terrassement),

Enfin, la Fédération du BTP des Alpes-Mari-

times tient à rappeler qu"au-delà de tous ces éléments, les meilleures entreprises de cons- truction ont connu au cours de ces dernières années particulièrement fastes, des résultats annuels publiés et vérifiables de l"ordre de 3 à 4 %. Il est par conséquent très préoccupant de constater, en cette période de crise écono- mique, une recrudescence de prix anormale- ment bas dans le BTP qui conduiront, inévi- tablement, de nombreuses entreprises à des difficultés. FBTP 06 > Création d"un Observatoire des coûts pour la ville de Nice, réaction

Carnet

? Vendredi 25 décembre 2009 ? Tribune Bulletin Côte d'Azur ? 2 ?

CONFERENCE

> Le 7 janvier à Saint-Laurent : communication & leadership, augmenter son capital confiance et améliorer ses qualités relationnelles, organisée par Dale Carnegie. De 19h à 20h30 au Novotel Cap 3000. Entrée gratuite mais inscription obliga- toire 04.92.12.21.15 et www.nice.dale-carnegie.fr > Philippe Moreau a été nommé directeur régional Alpes- Maritimes de LCL, établissement bancaire qui l'a vu débuter en 1979 à Lille. Il était auparavant responsable de la direction nord-Provence. > Jean Leonetti a été élu président de la Fédération hospita- lière de France (FHF) pour un mandat de trois ans. Il en était vice-président depuis 2006, assurant aussi la présidence de la Fédération hospitalière régionale PACA depuis cette date. > Christine Dorejo remplacera Sophie Duez, démission- naire, au sein du groupe Changer d'Ere au conseil municipal de Nice. Frédérique Grégoire-Concas occupera quant à elle son siège à la Communauté urbaine. > En préfecture, départ de Florus Nestar et arrivée de Christophe Marx au poste de directeur de cabinet de Fran- cis Lamy. > Pierre-Guy Morani, maire de Gilette, conseiller général, démissionne du SDIS (service départemental d'incendie et de secours) qu'il présidait depuis 2008. > Société des courses de l'hippodrome de la Côte d'Azur, renouvellement du Conseil d'administration : ont été élus François Forcioli-Conti, Georges Camprubi, Jean-Baptiste Andréani, Michel Capponi, Victor André Masséna d'Essling, Ghislain de Charnacé, Alain de Kermadec, Paul Essartial, Louis Nègre, Marc Geay, Didier Mayoux, Emile Eyvaso, Jean- Michel Costamagna, Francis Perugini et Roland Jaffrelot. > Tahar Saïah et Michel Rossi, maire de Roquefort-les- Pins, ont reçu des mains de Christian Estrosi les insignes de chevalier de la Légion d'honneur. > Jean-Sébastien Chantôme, 42 ans, ingénieur télécom, a été nommé directeur du centre du conservatoire national des arts et métiers (CNAM) en Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Il dirigeait auparavant le centre de Picardie.

Gaz asphyxiant très toxique qui prend

la place de l"oxygène dans le sang, le monoxyde de carbone résulte d"une combustion incomplète d"une énergie inflammable (butane, charbon, bois, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane...)

Il peut provoquer deux types d"intoxication :

? l"intoxication faible, dite chronique, qui se manifeste par des maux de tête, des nausées, une confusion mentale, une fati- gue. ? L"intoxication aiguë, qui provoque vertiges, perte de connaissance, impotence musculaire, troubles du comportement, voire coma ou décès.

En France métropolitaine, selon le système

national de surveillance des intoxications au CO coordonné par l"Institut de veille sanitaire,

1.365 épisodes d'intoxication au CO ont été

signalés entre le 1er septembre 2008 et le 31 mars 2009, exposant 4.224 personnes à des

émanations toxiques dont 51 intoxications

mortelles. Dans les Alpes-Maritimes, depuis le 1er janvier 2009, 68 cas ont été recensés. Que faire pour éviter l"intoxication ?? Les gestes à faire une fois par an, au début de la période de chauffe : faire ramoner et véri- fier l"étanchéité des conduits de fumée et de ventilation, faire entretenir tous les appareils de combustion, fixes et mobiles. ? Les gestes à faire chaque jour : aérer les loge- ments, même en hiver, respecter les consignes d"utilisation des appareils à combustion, net- toyer les brûleurs des cuisinières à gaz. ? Les gestes à ne jamais faire : obstruer les grilles de ventilation, utiliser pour le chauffage des appareils non destinés à cet usage, utiliser les chauffages d"appoint en continu, utiliser en intérieur un groupe électrogène.

Que faire si l"intoxication se produit ?

? Aérer immédiatement les locaux. ? Arrêter si possible les appareils à combus- tion. ? Evacuer les locaux. ?Appeler les secours : 18 (pompiers), 15 (SAMU) ou 112 (numéro unique d"urgence européen). ? Ne réintégrer les locaux qu"après expertise. Préfecture > Intoxication au monoxyde de carbone : comment l"éviter ?

Cérémonie

A l"invitation de M. Moha-

med Lamine Maherzi, Con- sul général de Tunisie et doyen du corps consulaire des Alpes-Maritimes, les consuls du département se sont retrouvés au

Théâtre de la photographie et de

l"image de Nice pour un traditionnel rendez-vous de fin d"année, accueillis par Christian Estrosi, Benoît Kandel,

Dominique Estrosi-Sassone et Jean-

Pierre Mascarelli. L"occasion de rap-

peler fonctions et devoirs du corps consulaire, et d"espérer pour l"année

à venir de multiples et fructueuses

collaborations transfrontalières.

Etaient présents parmi les invités

les bâtonniers Charles et Randon, ou encore Me François Forcioli-Conti et

Me Adam Kried.Au 2ème rang : M. Ali Redjel, Consul d'Algérie, Mme Elisabet Flambart, Chancelier de Suède, M. Ake Almroth, Consul de Suède. Au 1er rang : M. Pierre Joannon, Consul Général d'Irlande, Mme Dominique Sassone-Estrosi, M. Mohamed Lamine Maherzi, Consul Général

de Tunisie, Doyen du Corps Consulaire des Alpes-Maritimes, M. Christian Estrosi, Mme Michèle Felizzola, Consul du Canada, Vice-Doyen

du Corps consulaire, Me Jean-Jacques Ninon, Consul de la République Dominicaine, Secrétaire Général du Corps consulaire, (en arrière-

plan, entre Mme Felizzola et J-J Ninon : Mme Willy Nataf, Chancelier des Pays-Bas), Gérard Gaspar, Consul du Cap-Vert et des Philippines,

Pas de parution

le 1er Janvier 2010 Traditionnellement, l'économie observe une trêve des Confiseurs avant d'attaquer une autre année avec toute l'énergie qui s'impose : Tribune-Bulletin Côte d'Azur fait de même, et toutes ses équipes et agences vous souhaitent de très belles fêtes pour vous retrouver dès le 8 janvier 2010. Une permanence est néanmoins assu- rée dans nos agences pour recueillir vos annonces, formalités ou aiguiller vos recherches administratives (jours ouvrables uniquement).

Excellente fin d'année à tous.

ActualitéActualité

our Eric Ciotti, point d"alternative : "c"est l"in- vestissement qui crée la croissance, puis l"emploi.

Avec le plan de relance, ce

département, qui a depuis

1983 le meilleur taux d"investisse-

ment par habitant, s"est maintenu

à un niveau très élevé (400Ma)

où se distingue à Sophia-Antipo- lis le campus Stic pour 72Ma, en suspens depuis longtemps et pour lequel je me suis beaucoup battu.

Il y a aussi le programme des 18

maisons de retraite bloqué depuis des mois, les très gros chantiers routiers (pénétrante de la Siagne, de Cannes-Grasse, achèvement de la 202 bis et rocade de liaison entre la 202bis et l"A8), la mise en place d"un centre de valorisation des déchets au Broc et les travaux de protection contre les inondations du Var.»

Pour en rester à l'environne-ment

et plus particulièrement au problème -crucial- des déchets, le président du Conseil géné- ral estime que le département "arrive en vue d"une issue à la crise majeure ouverte par la disparition de la Glacière» grâce à une série de décisions. "J"ai soutenu forte- ment la création de la carrière de la Roque à Roquefort-les-Pins, qui donne une solution aux besoins du BTP en évitant le désastre éco- logique qu"auraient représenté les décharges clandestines dans les vallons ou le transport hors du département. J"ai soutenu le dossier du Broc, qui va s"appuyer sur un site d"enfouissement à

Massoins pour traiter près de

45.000 tonnes de déchets. C"est la première fois que s"ouvre un nou-vel équipement. L"installation d"un

centre de valorisation énergétique géré par le SIVADES à la Roquette-sur-Siagne règlera le problème des

déchets à l"ouest. Après la présen-tation en 2010 du nouveau plan départemental d"élimination des

déchets, il restera un dernière étape à laquelle nous travaillons et qui ne sera pas la plus facile à franchir:

trouver le lieu pour un dernier site d"enfouissement».

Certains grands dossiers

impliquant le département auront connu une évolution moins satis- faisante au cours de l"année, à commencer par celui de la LGV, "que j"aimerais voir avancer plus vite. Déjà difficile à cause de son tracé, même si j"apprécie le choix, il ne devrait pas susciter différen- tes musiques chez nous. La LGV doit desservir les Alpes-Maritimes et rejoindre l"Italie. Si le tracé est mieux accepté à l"Est qu"à l"Ouest, commençons par là.»

2009 aura vu l'enterrement,

clairement confirmé cette fois, du grand projet portuaire à l"embou- chure du Var, caressé par Chris- tian Estrosi. En cause, "deux contraintes majeures» ressortant d"études à la publication indéfini- ment reportée et au contenu pudi- quement distillé. "La première est imposée par la navigation aérienne; la hauteur des superstructures des navires requiert un système d"ap- proche par satellite plutôt que par radar, qui ne sera pas agréé en

Europe avant une dizaine d"années.

La seconde est déterminée par les

risques géologiques qui supposent l"utilisation de grues spéciales, en butte également à la réglementa- tion aérienne. Les coûts très élevés escomptés étaient de nature à ren- dre l"opération improbable.»

Autre action remisée avec

discrétion après avoir pourtant

été acceptée au terme de débats

contradictoires et coûteux : l"ex- tension de l"A8 dans le contour- nement de Nice, qui est appelé de ce fait à rester chaotique. Pour

Eric Ciotti, "le dossier n"a plus sa

raison d"être. Une politique très dynamique de transports en com- mun, avec le maillage complet du territoire, doit faire l"économie de ce projet extrêmement coûteux et pour lequel nous aurions des diffi- cultés à trouver des financements, du fait de sa complexité techni- que».

A la place ? "Il faut améliorer

les entrées et sorties d"autoroute.

C"est la priorité absolue, à com-

mencer par le goulet d"étrangle- ment de l"échangeur de la Prome- nade des Anglais pour lequel j"ai saisi le Ministère de l"équipement.

Escota, qui a beaucoup traîné, a

enfin déposé le dossier d"enquête d"utilité publique, et j"espère que le chantier démarrera dès 2012. Il faut également réaliser l"échangeur de Biot et améliorer celui de Mou- gins pour lequel le Conseil général va apporter des solutions. Mais aussi investir dans le bus à 1e, la

Carte Orange sur tous les modes

de transport. Dans 20 ans, au terme du projet, il y aura de nou- veaux modes de déplacements, la diminution du tout-voiture étant une évolution longue, mais aussi lourde.»

Jacques Bruyas

? LE CHIFFRE 6 Ma

C'est la levée de fonds entamée par Oro-

lia. La société, dont le siège est à Sophia Antipolis, est spécialisée dans les équipe- ments électroniques de haute précision pour les applications de positionnement, de navigation et de contrôle du temps, et procède à une augmentation de capital à

5,9 Ma par émission d'actions nouvelles.

L'opération a été menée par le Crédit du

Nord et Gilbert Dupont, prestataire de ser-

vices d'investissement. Ces fonds finance- ront la croissance externe en 2010. 3,5 Ma permettront de boucler le financement de l'acquisition de la société McMurdo (11 Ma de CA). Cette société renforce la filiale Kan- nad, spécialiste mondial des systèmes de positionnement en environnements mari- time et terrestre. D'autres acquisitions sont envisagées pour 2010. ? LA MAUVAISE NOUVELLE

Du retard à l'allumage

pour Jimagine

En 2008, l'université claironnait en grande

pompe la création d'une fondation "parte- nariale». Mais il aura fallu près d'un an pour la mettre vraiment sur les rails, et elle ne pourra engager ses actions qu'en 2010.

Avec le professeur Serge Miranda à sa tête,

elle devra changer aussi de nom, car une fondation médicale affiche un nom appro- chant, d'où confusion possible. Cette Fon- dation vise à favoriser les initiatives dans le domaine des STIC, à l'heure où le cam- pus du même nom se prépare à sortir de terre, campus qui, en toute logique, devrait

à terme l'accueillir. Avec ses partenaires

industriels, la fondation s'est fixée comme domaines d'intervention lesdits STIC et la santé ( MMA, la GMF et la MAAF), les STIC et le tourisme (Amadeus), les STIC et paie- ments mobiles (Crédit Agricole, Excellia) et enfin les STIC, développement durable et

économie solidaire (Veolia).

? LE COUP DE GUEULE ...des salariés de la FNAC de

Cannes, qui n'ont

pas hésité à faire grève un samedi d'affluence juste avant les fêtes : il faut dire que les conditions de travail s'y sont largement dégradées depuis l'arrivée d'une nouvelle direction, en juillet dernier. En moins de 6 mois, on dénombre dans les rangs 10% d'abandons de poste, deux licenciements, une rétrogradation et une mise à pied. Côté grévistes, on dénonce des techniques de management méprisan- tes et des pressions de plus en plus fortes.

Certains salariés arriveraient même rue

d'Antibes avec la boule au ventre. 2.000 tracts ont été distribués à la clientèle, plu- tôt compréhensive devant les réclamations formulées: respect de la personne et de la dignité humaine, humanisation des tech- niques de management, amélioration des conditions de travail et droit à la liberté d'ex-quotesdbs_dbs25.pdfusesText_31

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