[PDF] [PDF] COURS DAGRICULTURE

générale alphabétique de tout l'ouvrage Elle ne Collaborateurs du Cours d' Agriculture rédigé d'apnée Rozier Miller, célèbre agronome anglais connu par



Previous PDF Next PDF





[PDF] Cours dAgronomie Générale ( 1er T - cloudfrontnet

L'Agronomie, est une science dont l'objet est l'étude des relations entre les plantes cultivées, les climats, les sols et l'environnement dans lesquels elles se



[PDF] AGRONOMIE GÉNÉRALE - Faculté des sciences de lagriculture et

agronomiques principaux, soit les sols et l'environnement, les productions végétales et les productions animales Ses particularités et attraits cd Certains cours 



[PDF] COURS DAGRICULTURE

générale alphabétique de tout l'ouvrage Elle ne Collaborateurs du Cours d' Agriculture rédigé d'apnée Rozier Miller, célèbre agronome anglais connu par



[PDF] L2 Agronomie - Agro II (Partie végétale)

complémentaires qui ont été mis en place au cours d'une histoire de plusieurs En général pour établir un assolement - rotation, il faut tenir compte des règles 



[PDF] Agronomie : définition Les grandes productions végétales Systèmes

PRINCIPES GENERAUX D'AGRONOMIE Philippe GRIEU, 2004-2005 Agronomie : définition Plan Les grandes productions végétales Systèmes de culture



[PDF] BAPA2304 Exercices intégrés dagronomie générale II

BAPA2304 Exercices intégrés d'agronomie générale II cours de 2ème cycle et les divers enseignements de la deuxième année d'ingénieur agronome



[PDF] Bases de lagricultureindd - Lavoisier

Philippe Prévost, Ingénieur général des ponts, des eaux et forêts, Docteur en didactique des sciences agronomiques, Directeur de l'enseignement numérique de l'Institut références au cours des apprentissages successifs Notre plus grand 



[PDF] Module sol & Agronomie - Echange TVLe Valentinfreefr

Le sol et l'agronomie au carrefour de plusieurs enjeux majeurs Les agrégats sont en général petits, poreux et présentent des facettes courbes Il débute en affectant les horizons supérieurs et progresse vers la profondeur au cours des



[PDF] FORMATION DINGENIEUR AGRONOME PROGRAMME - ENSAT

23 sept 2016 · 45h en présentiel (12 séances de cours – 5 séances de TD, 2 sorties de 4h), Enfin cela pose les bases plus générales de la démarche



[PDF] 2ème partie : Les bases théoriques et pratiques de - Agritrop - Cirad

agronomique sur les « points d'essais » et les parcelles paysannes par Il ne s' agit pas ici de faire un cours d'agriculture, on ne traitera comme exemple De façon générale, on dit que par sa composition chimique, la plante est le reflet du

[PDF] cours agronomie sol pdf

[PDF] cours aide médico psychologique

[PDF] cours aide médico psychologique gratuit

[PDF] cours aide medico psychologique pdf

[PDF] cours alcool chimie organique

[PDF] cours algebre

[PDF] cours algebre 2 1ere année mi

[PDF] cours algebre 2 pdf

[PDF] cours algebre application linéaire

[PDF] cours algebre debutant pdf

[PDF] cours algèbre linéaire l1

[PDF] cours algèbre linéaire l2

[PDF] cours algorithme pdf debutant

[PDF] cours algorithme procedure et fonction pdf

[PDF] cours algorithme seconde pdf

COURS

D'AGRICULTUREET

I)'ÉCONO MIE

RURAL E

ET DOMESTIQUE.

PA IA M. Lovas DU BOIS.

PARIS,

RAYNAL,

LIBRAIRE,

A LTA

PAVtg -SAINT -

AADRli-

DPA - ARCS, AVIS.

MM. les Acqu•reurs du Cours complet et

simplifié d'Agriculture sont pri•s de ne pas faire relier ce volume avant d'avoir re'u la Table g•n•rale alphab•tique de tout l'ouvrage. Elle ne sous presse , et sera d•livr•e gratuitement en m"me temps que ce volume. COURS

D'AGRICULTURE.

VI. COURS

COMPLET ET SIMPLIFIE

D'AGRICULTUREET

D'€CONOMIE RURALE

ET DOMESTIQUE;

PAR M. Louis DU BOIS,

Membre de plusieurs Acad•mies de Paris , des D•partemens et de l'Etrauger ; ancien Biblioth•caire , et l'un des Collaborateurs du Cours d'Agriculture r•dig• d'apn•e

Rozier.

TOME VI.

PARIS,

RAYNAL, LIBRAIRE,

RUE

PAV€E- SA TNT...

ANDRɗ DES... ARCS, N° 13.

1825.
o y vee vsa.,o S

L./a-o

ma^u^uevo^se,weyowo.00 :r o^^arovo^e-€on.nvtSone COURS

D'AGRICULTURE.

JARDINS ET VERGERS.

LIVRE PREMIER.

POTAGER.

CHAPITRE PREMIER.

Consid€rations pr€limina re8;

U x Jardin, bien entretenu, offre partout beau-

coup d'agr•ment et d'utilit•; mais, ‡ la campagne, il est i ndispensable au m•nage, puisqu'on ne peut s'y procurer autrement les l•gumes dont on a constamment besoin. Le Potager, bien fum• et bien cultiv•,.,ge se lasse jamais de produire. A •tendue •gale,. il61

2 CONSID2LRATIO\S PIII LI7IIINAIRI S.

rapporte trois ou quatre fois plus qu'un champ, et, toute l'ann•e , on y recueille une foule de productions utiles pour la table.

On doit donc apporter beaucoup d'attention

au choix du terrcin , ‡ l'emplacement, ‡ la clˆ- ture et aux travaux des Potagers. Plac• ‡ proximit• de la maison , afin qu'il soit mieux surveill• , et parce qu'on a souvent besoin d'y icourir, peu •loign• de l'eau , ‡ cause des arrosemens , offrant un bon terrein substan- tiel et profond , pour que les l•gumes y soient plus beaux , il sera bien expos• au soleil , afin que ses produits aient à la fois plus de pr•cocit• et de saveur , et une forte clˆture , telle qu'un mur ou du moins une haie, le mettront ‡ l'abri des incursions des animaux.

Le meilleur terrein pour un Potager doit "tre

frais sans "tre tout-‡-fait humide , et sain sans .. aridit•. Ii est bien_important que, tourn• au sud, ex- posé aux bienfaits du soleil pendant toute la jour- n•e , il soit mis ‡ l'abri des vents du nord-ouest, du nord et du nord-est, qui emp"chent de lever les premiers semis , font p•rir les premi‰res plantes d•licates ‡ mesure qu'elles l‰vent , arr"- tent la végétation , retardent la maturité, et di- minuent la saveur des l•gumes et •les fruits. Les vents d'ouest , uuoiquc moins froids, ont l'incon-

CONs1D ANTIONS i'RLLIM1N4IRES. ;

ve' tient d'•branler, par la violence de leur at- teinte , les rames des haricots , de tourmenter les tiges •lev•es de certaines plantes, et de bri- ser m"me celles dont la contexture n'est pas tres solide.

Le Potager doit , autant qu'il est possible ,

"tre pourvu d'une r•serve d'eau pour les arrose- mens, et d'une fosse pour recevoir les sarclures et le grattage des all•es, qui s'y mŠrissent pen- dant l'automne et l'hiver, et sont bons ‡ em- ployer comme engrais aux premiers labourages du printemps.

Nous avons parl• des avantages d'une bonne

clˆture : ils sont consid•rables , puisque , si elle est compos•e d'une muraille, ind•pendamment de la sŠret• et de l'abri qu'elle offre , elle re- 'oit des espaliers qui rapportent beaucoup d'ex- cellens fruits, et qu'elle favorise la culture des primeurs sur les bordures qui sont ' sa proxi- mit•.

On construit les murs, suivant les lieux et au

meilleur march• qu'il est possible. Toutefois c'est une •conomie bien entendue que de tra- vailler solidement. Les meilleurs murs sont de briques; ensuite ceux de pierre, et de cailloux li•s ‡ chaux et ciment , et m"me ceux de pis• dans les localit•s on la brique et la pierre sont rares.

CONSID€RATIONS PR€LIMINAIRES.

A défaut de murailles, on élève une forte haie d'aubépine à triple ou quadruple rang , bien serrée, bien touffue, et de la hauteur qui con- vient. On la protége, au pied, par un fossé assez large et assez profond pour que les animaux n'y entrent pas. Cette baie doit avoir un mètre à un mètre et demi (5 à 4 pieds 6 pouces) au sud , au sud-est, et au sud-ouest. Il est à désirer que partout ailleurs , et surtout au nord, elle soit beaucoup plus haute. Faute de mieux, il serait convenable de planter sur ces points , on il faut

élever un bon abri , quelques arbres que; l'on

pût dresser en éventail au moyen du croissant : le charme , le tilleul , le hêtre , seraient propres à cet emploi. Il est toutefois une sorte de clôture que je ne cesse de recommander, et qui est su- périeure à toutes celles que nous connaissons : c'est une haie d'ifs , qui ont le triple avantage (I: conserver leurs feuilles, de s'élever haut, et de se garnir de rameaux touffus depuis le pied jusqu'à la cime. Cette baie est même très solide, parce qu'une fuis que l'if a acquis une certaine hauteur , son bois est dur, et offre une grande résistance. fine telle baie vaut presque un mur : elle peut s'élever à cinq mètres et plus (i 5 pieds).

Nous ne parlons pas du buis, parce qu'il vient

trop lentement, qu'il s'élève peu, et que, lors- qu'un pied vient à mourir, il laisse une brèche

CONSIDÉRATIONS PR€LIMINAIRES.

d•sagr•able qu'il est presque impossible de fer- mer proprement.

Ce que nous avons dit de la nature des terres

dans le premier volume de cet ouvrage , re'oit ici en partie son application. La vari•t• de la terre du Jardin bien connue, on s'appliquera à la perfectionner, ‡ la corriger par des m•langes, s'il le faut, et on lui procurera l'esp‰ce d'engrais et de compˆts qu'elle peut exiger. Quoi qu'il en soit, on ne doit pas n•gliger d'avoir ‡ sa dispo- sition une provision de terreau, parce qu'il est indispensable pour faire lever certaines graines et pour dle"ver quelques plantes d•licates. On le forme avec de la terre recueillie au pied des haies et produite par la d•composition des feuilles et des bois pourris; on le retire des fumiers con- somm•s dans les couches ; on l'obtient des sar- dures que l'on a jet•es dans des fosses. Le ter- reau si propre ‡ faire lever les graines et ‡ faire sans m•lange, pour la culture des l•gumes et-des fruits qui n'acquerraient de volume qu'aux d•- pens de la saveur.

On amende commun•ment le sol des Pota-

gers avec du furnier, soit de cheval, soit de b"tes à cornes, soit de b"tes ‡ laine : tous ces engrais sont bons chacun dans son genre , ainsi que nous avons eu occasion de le dire. Il faut les employer

G CONSID€RATIONS PR€LIMINAIRES.

avec discernement, mais il ne faut pas n•gliger de faire usagedes charr•es, des cendres, des brŠ- lis de sarclure , des marnes , des curures bien mŠries, et m"me du sable, si le fond est trop dur et compacte.

Quel que soit le fumier dont on fera usage, il

ne faut pas en mettre ou du moins il finit l'en- fouir profond•ment, s'il est plac• dans une partie destin•e ‡ recevoir des racines. C'est dans cette partie, qui doit "tre ameublie, qu'il faut mettre, de pr•f•rence aux fumiers, des curures , des marnes l•g‰res, du sable et un peu de terreau.

Au surplus, on am•liore beaucoup k Potager,

en relevant en rayons, au mois de novembre, tout le terrcin qui n'est plus occup•. La terre se mŠrit, devient l•g‰re, et au printemps elle se b"che avec une grande facilit•. A ce moyen, on d•truit beaucoup de plantes parasites, et les cul- tures poussent avec rapidit•. On est amplement d•dommag• de ce travail d'automne au retour du printemps, pr•cis•ment ‡ l'•poque oit l'on a besoin d'op•rer promptement. C'est en carr•s •gaux qu'on distribue le Pota- ger. On peut leur donner une •tendue plus ou moins consid•rable , mais leur subdivision en planches a des r‰gles d•termin•es. Ces planches ne doiveut "tre larges que d'un m‰tre ‡ un m‰tre trente centim‰tres (3 à 4 pieds), afin qu'on

CONSID€RATIONS PR€LIMINAIRES. 7

puisse les ensemencer, les sarcler, les serfouir et y recueillir les produits, sans "tre expos• ‡ les pi•tiner fr•quemment. Chaque carr• doit pr•senter sur chacune de ses quatre faces, le long des all•es, une plate- bande dont la largeur sera d'un m‰tre au plus ( 3 pieds), et qui, ‡ ses extr•mit•s , sera cou- p•e par un petit. sentier pour faciliter l'acc‰s des planches. On borde la plate-bande avec des frai- siers du cˆt• des planches, et avec de l'oseille, du persil et d'autres fournitures du cˆt• de l'all•e : nous conseillons cette disposition , parce qu'elle nous semble avoir moins d'inconv•nicns que toute autre. En effet, on n'a que rarement besoin d'aborder les fraisiers , tandis qu'il arrive fr•- quemment que l'on est Oblig• de' cueillir de l'oseille et des autres plantes dont nous venons de parler.

B"cher souvent et ‡ fond, amender par des

fumiers et des compˆts , biner , serfouir, sarcler et tenir le sol propre et meuble : tels sont les moyens d'obtenir d'un Potager des produits tris beaux, abondans et savoureux.

Ordinairement on plante sur les plates-bandes

ide groseillers, tant ‡. grappes qu'•pineux, les cassis, et quelques poiriers ou pommiers. Les quenouilles et les pommiers nains sont pr•f•- rables ‡ l'espalier en. •ventail , parce qu'il in-

8 CONSID€RATIONS PR€LIMINAIRES.

tercepte la circulation de l'air et les rayons du soleil. Il ne sera admis que dans le cas oOE l'ex- position trop ardente du jardin et la nature ha- bituellement aride de son sol , rendent un peu d'ombrage n•cessaire et font redouter les courans d'air trop multipli•s et trop violons. Il a bien fallu fixer des •poques pour les tra- vaux du jardinage, afin de ne pas laisser les ou- vriers s'•garer arbitrairement, et savoir ‡ peu pr‰s quand il convient de se disposer ‡ travailler, pour faire de son temps une utile r•partition.

Toutefois cette fixation ne saurait "tre qu'ap-

proximative, puisque telle ann•e est pr•coce, puisque tel tcrrein , telle exposition favorisent de bonne heure la v•g•tation , tandis que, dans d'autres ann•es, et sur un sol moins l•ger et moins chaud , la v•g•tation s'opère beaucoup plus tard. C'est donc ‡ l'observateur intelligent qu'il convient de faire en temps opportun ses travaux et ses ensemencemens. Ce temps est in- diqu• par la nature elle-m"me qui, dans les au- n•es dites pr•coces, produit des fleurs et des feuilles, quelquefois un mois plus tˆt dans une ann•e que dans l'autre. Ainsi nous avons cru faire une chose utile , en donnant en t"te notre Ann•e de culture une sorte de calendr r v•g•tal et naturel , plus sŠr que les indications des almanachs astronomiques. En effet, lorsque

CONSIDTRATIONS PR€LIMINAIRES. 9

telle plante se couvre de fleurs, lorsque tel arbre se rev"t de son feuillage, il est certain due la terre est assez pourvue de calorique et la v•g•tation par cons•quent assez avanc•e , pour que l'on. puisse se livrer ‡ certaines cultures et confier à la terre certains enseinencemens.

Si le temps est froid, si la terre est lourde, il

faut employer plus de semence que s'il fesait chaud , ou si le-sol •tait l•ger. Les circonstances les plus favorables au succès des enscmencemens, comme des plantations, sont une terre l•g‰re, bien expos•e au soleil , une temp•rature humide et chaude. D‰s que le mois de f•vrier est arriv•, les tra- vaux du jardinage commencent pour durer jus- qu'en novembre, Ce sont alors de continuelles op•rations : b"cher, fumer, ensemencer, ser- fouir, arroser, sarcler, tailler, arracher, •claircir, remplacer, transplanter, recueillir; faire une guerre non interrompue aux plantes parasites, aux insectes et aux autres animaux nuisibles. Les plantes que l'on •tablit ‡ demeure doivent "tre choisies parmi les individus les plus beaux, les plus sains, les plus vigoureux et les mieux enracin•s. Les graines que l'en s‰me doivent, avoir •t• recueillies bien mŠres et conserv•es bien sainement au frais, "tre ‡ la fois bien grosses et bien pesantes. C'est le moyen d'obtenir plus L. tO CONSID€RATIONS PRI'LIDIIN_1IRES. tˆt et d'avoir des produits meilleurs, ainsi que de propager et de maintenir les bonnes esp‰ces. Nous r•p•terons, car il ne faut pas craindre de revenir ‡ la charge contre la routine et les pr•jug•s qui sont opini'tres dans leur erreur, qu'il est inutile d'avoir •gard aux phases de la lune pour les ensemencemens, les •mondages ou les tailles; qu'il est au moins inutile de faire tremper les graines dans le vin, lelait ou telle autre liqueur, qui ne sauraient communiquer aux fruits ‡ venir aucune esp‰ce de qualit•, et qui peuvent nuire ‡ la germination qui ne s'op‰re nulle part aussi bien que dans une terre l•g‰re, humide et chaude. Les graines ont besoin d'"tre d•pays•es, parce que celles que l'on s‰me au lieu oOE elles' ont mŠri finissent ‡ la longue par produire des plantes ab'tardies. En, g•n•ral on doit tirer de Paris les graines dont on veut faire usage. C'est une faible d•pense dont on est amplement d•dommag• par la bonne qualit• des vari•t•s que l'on veut cul- tiver. FLV E S.11

CHAPITRE II.

Graines légumineuses.

Nous r•unirons clans ce chapitre, les princi- pales graines l•gumineuses que l'on cultive dans nos jardins, et que l'on sert sur nos tables : tels sont les F‰ves, les Haricots , les Pois, et les Len- t i nes.

F• vrs. (.Fal.a major.)

D•sign•es commun•ment sous le nom de F‰ves de marais, parce que, ‡ Paris, on cultive la plus grande partie des l•gumes dans l'ancien ma- rais qui touchait aux murs de la capitale (1), ces F‰ves sont les plus grosses et les plus recher- cluses. Elles sont tr‰s d•licates tant qu'elles sont tendres. C'est un mets fort prisa dans sa pri- meur. La F‰ve r•ussit mieux dans les terres (i) C'est de là qu'est venu le nom de maraîcher,, donné , à Paris, anx jardiniers qui cultivent les le gn:nes.•quotesdbs_dbs7.pdfusesText_13