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Victor Hugo (1802-1885)

Stella (IHV FOkPLPHQPV)

-H P pPMLV HQGRUPL OM QXLP SUqV GH OM JUqYHB

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Elle resplendissait au fond du ciel lointain

Dans une blancheur molle, infinie et charmante.

Aquilon s'enfuyait emportant la tourmente.

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Le ciel s'illuminait d'un sourire divin.

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GHV JRpOMQGV debout sur un escarpement,

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Et, rugissant tout bas, la regardait briller,

Et semblait avoir peur de la faire envoler.

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Les oiseaux se parlaient dans les nids; une fleur

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RPNUH OHYMLP VRQ YRLOH

J'entendis XQH YRL[ TXL YHQMLP GH O

pPRLOH Et qui disait: - Je suis l'astre qui vient d'abord. Je suis celle qu'on croit dans la tombe et qui sort.

ML OXL VXU OH 6LQM Ó

ML OXL VXU OH 7M\JqPH

Je suis le caillou d'or et de feu que Dieu jette,

Comme avec une fronde, au front noir de la nuit.

-H VXLV ŃH TXL UHQMvP TXMQG XQ PRQGH HVP GpPUXLP

2 QMPLRQVA ÓH VXLV OM 3RpVLH MUGHQPHB

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ML NULOOp VXU GMQPHB

IH OLRQ RŃpMQ HVP MPRXUHX[ GH PRLB

J'arrive. Levez-vous, vertu, courage, foi!

Penseurs, esprits, montez sur la tour, sentinelles!

3MXSLqUHV RXYUH]-vous! allumez-vous, prunelles !

7HUUH pPHXV OH VLOORQ YLH pYHLOOH OH NUXLP

Debout, vous qui dormez ! ² car celui qui me suit,

Car celui qui P

HQYRLH HQ MYMQP OM SUHPLqUH

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Le Mendiant (Les Contemplations)

Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.

-H ŃRJQML VXU PM YLPUH LO V

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Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu -H OXL ŃULML ©9HQH] YRXV UpŃOMXIIHU XQ SHXB Comment vous nommez-YRXV " ª HH PH GLP © -H PH QRPPH IH SMXYUHBª -H OXL SULV OM PMLQ ©(QPUH] NUMYH ORPPHBª

Et je lui fis donner une jatte de lait.

Le vieillard grelottait de froid; il me parlait,

(P ÓH OXL UpSRQGMLV SHQVLI HP VMQV O

HQPHQGUHB

©9RV OMNLPV VRQP PRXLOOpV GLV-ÓH LO IMXP OHV pPHQGUH

GHYMQP OM ŃOHPLQpHBª HO V

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ePMOp OMUJHPent sur la chaude fournaise,

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kPUH HP VHPNOMLP XQ ŃLHO QRLU pPRLOHB (P SHQGMQP TX

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6M NXUH RZ ÓH YR\MLV GHV ŃRQVPHOOMPLRQVB

Nox facta est (Fin de Satan)

GHSXLV TXMPUH PLOOH MQV LO PRPNMLP GMQV O

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Il n'avait pas encor pu saisir une cime,

1L OHYHU XQH IRLV VRQ IURQP GpPHVXUp

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RPNUH HP OM NUXPH HIIMUp

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Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes.

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Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux, I

ORUUHXU GX JRXIIUH HPSUHLQPH j VM IMŃH OLYLGHB

II cria: Mort! - les poings tendus vers l'ombre vide.

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MSSHOM FMwQB

HO PRPNMLPB 7RXP j ŃRXS XQ URŃ OHXUPM VM PMLQ HH O pPUHLJQLP MLQVL TX

XQ PRUP pPUHLQP VM PRPNH

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MUUrPa. Quelqu'un, d'en haut, lui cria: - Tombe!

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