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(s'arrête en 1537 ; résume la période de 1533 à 1737 en termes très sévères) II — Etudes de détail Acton H , Gli ultimi Medici, Turin, 1962 ; Albertini von Rudolf,  



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(s'arrête en 1537 ; résume la période de 1533 à 1737 en termes très sévères) II — Etudes de détail Acton H , Gli ultimi Medici, Turin, 1962 ; Albertini von Rudolf,  



[PDF] FLORENCE HISTOIRE : LES MEDICIS

Ce neveu de Laurent le Magnifique précipite en 1527 Florence dans un nouveau conflit avec Charles Quint La ville capitule une nou- velle fois ; les Médicis 



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Florence est l'endroit idéal pour les amoureux de l'histoire, de l'architecture et évidemment de l'art Reconnu comme étant le berceau de la renaissance, son 



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Taïga est une histoire magnifique et palpitante qui ne révèle que peu à peu son secret Florence Reynaud a su, en effet, créer, au départ, un mystère propre à sti- Si les trois personnages de cette histoire se révèlent extrêmement attachants, 



Florence Francesco Guicciardini et la

REsUME: Les guerres d'Italie - qui debutent en 1494 - et 1es bouleversements de 1535 it 1540, Florence, son histoire, son gouvernement sont toujours

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QUE SAIS -JE ?

Histoire de Florence

PIERRE

ANTONETTI

Professeur émérite à

l"Université d"Aix-Marseille I

Deuxième

édition mise à jour

13e mille

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DU MÊME AUTEUR

Francesco

de Sanctis. Son esthétique et sa critique, Gap, Ophrys, 1963 (Publications de la Faculté des lettres d"Aix-en-Provence).

Francesco

de Sanctis et la culture française, Florence, Paris, Sansoni-Didier, 1964
(Publications de l"Institut français de Florence).

Histoire

de la Corse, Paris, R. Laffont, 1973.

L"histoire

de Florence, Paris, Laffont, 1976.

La vie

quotidienne à Florence au temps de Dante, Paris, Hachette, 1980 (coll. " La vie quotidienne ») (trad. ital. Rizzoli, 1983).

Le drapeau

à tête de Maure. Etudes d"histoire corse, Ajaccio, La Marge, 1980.

Histoire

de Bastia (en collaboration), Paris, Berger-Levrault, 1983.

Sampiero

(1498-1567), Paris, France-Empire, 1987.

ISBN 2

13 042714 6

Dépôt

légal - 1 édition : 1983 2

édition mise à jour : 1989, septembre

Presses Universitaires de France, 1983

108,
boulevard Saint-Germain, 75006 Paris Retrouver ce titre sur Numilog.com

INTRODUCTION

L"histoire de Florence pose quelques questions

auxquelles il n"est pas facile de répondre. Comment une ville, dont l"entrée dans l"histoire est assez tardive, a-t-elle pu devenir, dès la fin du XIII siècle, l"une des capitales économiques de l"Occident ? Pour- quoi est-elle, dès le début du XV siècle, l"un des centres intellectuels et artistiques où s"élabore une nouvelle conception du monde ? Pourquoi perd-elle, dès

la fin du XV siècle, son incontestable préémi- nence dans les arts et dans les lettres ? Existe-t-il

vraiment une " décadence » florentine, perceptible, selon

certains, au début du XVI siècle, et qui irait en s"accentuant au XVII et au XVIII siècle ? Faut-il en

croire, au contraire, ceux qui soulignent la vitalité artistique de la Florence des grands-ducs, tout en admettant sa récession économique ? A ces questions majeures, le présent petit ouvrage ne prétend pas apporter de réponses. Il se propose seulement de dessiner un profil de l"histoire florentine appréhendée dans toutes ses composantes. D"où ses caractéristiques.

La première est la recherche d"un

équilibre

entre le Moyen Age et la Renaissance, d"une part, les Temps modernes et l"Epoque contemporaine, d"autre part. La seconde est la présence du fait culturel, sous la forme d"un simple rappel de dates et de noms, pour qu"apparaisse la continuité culturelle, en contrepoint de la continuité historique. La troi- Retrouver ce titre sur Numilog.com sième est d"ordre intellectuel. Une longue familiarité avec la ville, la culture et l"histoire de Florence, si elle n"a en rien atténué notre admiration pour celles-ci, nous a peut-être permis de prendre de la hauteur par rapport

à l"objet de notre étude, et elle nous a,

espérons-le, gardé de toute hyperbole. Celle-ci est toujours détestable. Elle est, de surcroît, superflue et ridicule à l"égard d"une ville qui n"a pas besoin de thuriféraires pour être unaniment reconnue comme l"un des

lieux privilégiés où s"est épanouie une civilisa- tion dont l"éclat et l"influence furent tout à fait

exceptionnels. Retrouver ce titre sur Numilog.com

PREMIÈRE PARTIE

LA

RÉPUBLIQUE

DES ORIGINES

A 1434

CHAPITRE PREMIER

LES

ORIGINES

ET

LA FORMATION

DE LA COMMUNE

Les

origines. - Un habitat italique de la période villanovienne (X siècle av. J.-C.) a été mis au jour

au

confluent du Mugnone et de l"Arno. Fut-il détruit par les Etrusques, quand ceux-ci vinrent s"installer, au VII siècle, sur les collines de Fiesole ? Au II siècle

Rome établit à son tour, probablement sur le même emplacement, un municipium. Selon la tradition, celui-ci était splendidissimum quand Sylla le détruisit totalement, en 80, au moment de la " guerre sociale ». Le " castrum » (50 ou 59 av. J.-C.). - Fondé en

vertu de la loi agraire de César, le castrum, établi pour les vétérans, occupait le même emplacement que le municipium détruit par Sylla.

Formant

un rectangle de 500 m sur 400, délimité par les actuelles via dei Cerretani, via del Proconsolo, via Tornabuoni, et une ligne parallèle à la via delle Terme et via Vaccareccia, le castrum se tenait un peu à l"écart du fleuve. Il posséda bientôt ses thermes, son forum (sur l"emplacement de l"actuelle piazza della Retrouver ce titre sur Numilog.com

Fig. 1. - Plan de la Florence romaine

(Firenze e dintorni. Milan. Touring-Club italiano, 1974)

Repubblica),

son théâtre, son amphithéâtre hors les murs (capable d"accueillir 15

000 spectateurs), d"autres édifices encore, dont un

sur l"emplacement de l"actuel Baptistère, et un temple à Jupiter capitolin. Ce castrum, dont le cardo et le decumanus se croisaient à l"emplacement de

l"actuelle piazza della Repubblica, devint rapide- ment une colonia florissante, au cœur d "une centuriatio, dont les

traces sont encore visibles dans la campagne environnante. Il dut son nom (" Florentia ») soit aux ludi florales, pendant lesquels il fut fondé, soit aux champs fleuris (arva florentia), au milieu desquels il s"étendait. Au III siècle de notre ère, Florence devint le siège du

" Corrector Italiae », autrement dit du gouver- neur de la Toscane et de l"Ombrie. Elle est alors reliée

au reste de l"Italie par la nouvelle via Cassia, et des marchands orientaux y ont apporté le culte d"Isis. Elle a construit son premier pont sur l"Arno (sur l"emplace- Retrouver ce titre sur Numilog.com ment de l"actuel Ponte Vecchio). Elle s"ouvre ensuite au christianisme, auquel elle donne son premier martyr, Minias, en

250. Elle devient, au début du

IV siècle, le

siège d"un évêché, dont la cathédrale (dédiée à saint Laurent) est consacrée en 393 par saint Ambroise.

Les invasions

barbares. - Les documents sont rares sur cette longue période. En 405, les Goths y furent écrasés par le général Stilicon. Au milieu du

VI siècle,

durant l"occupation byzantine, on resserra l"enceinte romaine, devenue trop large pour une ville de mille habitants. En 552, l"Ostrogoth Totila détruisit la ville. Reconquise, l"année suivante, par les Byzan- tins, elle connut une période de paix. En 570, les

Lombards la

conquirent, en même temps que le reste de la Toscane, et y installèrent un dux, qui partageait le pouvoir avec l"évêque. Elle possédait déjà son baptistère, dédié à saint Jean. Une église dédiée à saint

Michel,

patron des Lombards, y est construite au

VIII siècle

(sur l"emplacement de l"actuel Orsanmi- chele). Mais

Florence n"occupe qu"une place de second

rang dans la " Tuscia » lombarde, loin derrière

Lucques, qui

en est la capitale, et Pise, le port.

La renaissance

carolingienne. - Selon la tradi- tion, la renaissance de Florence est contemporaine de

Charlemagne, qui

y séjourna à trois reprises. On construit alors (début du IX siècle) une nouvelle enceinte, qui reprend le tracé de la romaine, en l"élargissant au Sud vers l"Arno, qu"elle touche au lieu dit Altafronte (l"actuel palais des Giudici). A la place du dux lombard, Charlemagne installe un comes, avec juridiction sur tout le diocèse. En 854, Florence devient capitale du comté, qui comprend aussi Fie- sole. En

874, son évêque est investi de l"autorité Retrouver ce titre sur Numilog.com

temporelle sur son diocèse qui est plus vaste que celui de Fiesole. La lente ascension de Florence continue sous les

Othons

(X siècle). Elle est alors à la tête d"un comté

étendu,

gouverné par un comte et un vicomte. L"indus- trie textile, apportée de Lombardie par l"ordre des

Umiliati,

autour du couvent d"Ognissanti, y fait ses débuts et procure à la ville une prospérité dont témoignent les nouveaux édifices religieux (entre autres le Baptistère, qui est alors remanié). Avec quelque

6 000 habitants, Florence est, autour de l"an

mil, une des villes importantes de Toscane et d"Italie.

La féodalité. -

D"une période où la légende et

l"histoire s"emmêlent, on voit émerger quelques figu- res de premier plan, telle celle du marquis Ugo, mort en

1001, qui aurait abandonné Lucques, jusque-là

siège du marquisat de Toscane, pour s"installer à

Florence,

où sa mère avait fondé en 978 une abbaye bénédictine (la

Badia), destinée à devenir un des

hauts lieux de la spiritualité florentine, dont l"autre pôle est l"église de San Miniato, reconstruite au début du XI siècle. C"est à la même époque que vivent le saint ermite Romuald, d"origine romagnole, fondateur de

l"ermitage de Camaldoli, saint Giovanni Gualberto, fondateur de l"ordre bénédictin de Vallombrosa, et

son contemporain, le moine, devenu plus tard cardi- nal, Pietro, dit " Igneo », l"un et l"autre dénoncia- teurs de la corruption de leur évêque, qu"ils font déposer en

1068, après un " jugement de Dieu ». Ce

renouveau de la foi explique que Florence soit choisie en

1055 comme siège d"un concile et que son évêque

devienne pape en 1058 sous le vocable de Nicolas II. Sur le plan politique, l"événement capital est, en 1076,
le refus opposé par Florence à l"entrée en ville de l"empereur Henri IV, bien que son prédécesseur Retrouver ce titre sur Numilog.com

La première guerre mondiale trouve Florence divi- sée comme le reste de l"Italie entre neutralistes et

interventionnistes.

La droite nationaliste est alors

représentée par la revue La Voce, fondée en 1908 par G.

Prezzolini, que vient renforcer en 1913 la revue

Lacerba, fondée

par G. Papini et A. Soffici, et qui est le porte-parole florentin du " futurisme ». Aux élections de 1919 le succès socialiste est considérable : 8 députés (contre 3 aux " populai- res »,

2 aux libéraux et 1 aux démocrates) et

92

000 voix (contre 33 000 aux " constitutionnels »

et

40 000 aux catholiques du Parti populaire). Et ce

succès est supérieur à la moyenne nationale. Mais son ampleur même inquiète la droite nationaliste, la classe moyenne (commerçants et petits artisans) et les catholiques

qu"effraie l"anticléricalisme des " maxi- malistes ». Florence devient le théâtre d"affronte-

ments sanglants entre fascistes et socialistes (15 morts

début mars 1920) au point que l"armée inter- vient avec les chars et l"artillerie ! Aux élections de

1921,
les socialistes n"ont plus que 4 députés, contre 5 au " Bloc national » (dont deux fascistes), 3 au Parti populaire et 2 au jeune Parti communiste. Même recul à la mairie où les socialistes ne sont plus que 12 contre 48

élus de l" " Union politique nationale »,

qui regroupe les libéraux, les nationalistes et les fascistes. Cependant, la gauche totalise encore 45 % des voix (33 % aux communistes, 12 % aux socialis- tes) . Retrouver ce titre sur Numilog.com

CHAPITRE II

1922-1989

DU FASCISME A

NOS JOURS

Fascisme

et résistance : 1922-1944. - Le recul de la gauche s"accentue aux élections de 1924 ; elle ne totalise plus que 57 000 voix, contre 171 000 aux fascistes et à leurs alliés. Il ne lui reste plus qu"à tenter de s"organiser dans la résistance à l"ordre nouveau : en

1925, Piero Calamandrei commence la publication

de son journal clandestin Non mollare. Mais la répression fasciste est dure et parfois sanglante : dans la nuit du 4 octobre 1925, en représailles contre l"assassinat d"un squadrista, une véritable chasse à l"homme est organisée, qui coûte entre autres la vie à l"ex-député socialiste Pilati (c"est la " nuit de l"Apoca- lypse » décrite par V. Pratolini dans Cronache di poveri amanti). Les antifascistes sont contraints à la clandestinité ou à l"exil (que choisissent notamment

Salvemini,

E. Rossi et les frères Rosselli).

Florence

devint-elle fascistissima, comme le préten- dit

Mussolini lors de la visite de Hitler, le 3 mai

1938
? Nullement, puisque l"opposition au fascisme avait continué, mais elle ne touchait que de petits groupes, notamment chez les intellectuels, et s"expri- mait surtout dans les nombreuses revues qui fleuris- sent alors. Retrouver ce titre sur Numilog.com

BIBLIOGRAPHIE

I. - Ouvrages généraux

Antonetti

Pierre, L"histoire de Florence, Paris, 1976; Bargellini Piero, La splendida storia di Firenze, Florence, 1961-1969, 4 vol. ; Caggese Romolo, Firenze dalla decadenza di Roma al Risorgimento d"Italia, Florence, 1912- 1921, 3 vol. ; Davidsohn Robert, Storia di Firenze, Florence, 1956-1968, 8 vol. (s"arrête en 1333) ; Panella Antonio, Storia di Firenze, Florence, nouv. édit., 1985 ; Perrens F. T., Histoire de Florence, Paris, 1877-1890, 9 vol. (s"arrête en 1537 ; résume la période de 1533 à 1737 en termes très sévères).

II. -

Etudes de détail

Acton

H., Gli ultimi Medici, Turin, 1962 ; Albertini von Rudolf, Firenze dalla repubblica al principato, Turin, 1970 ; Antonetti Pierre, La vie quoti- dienne à Florence au temps de Dante, Paris, 1980 ; Anzilotti Antonio, La crisi costituzionale della repubblica fiorentina, Rome, 1969; Bec Chris- tian, Le siècle des Médicis, Paris, 1977 (coll. " Que sais-je? ?); Becker Marvin, Florence in transition, Baltimore, 1967 ; Booth Cecily, Cosimo I, first duke of Florence, Cambridge, 1921 ; Brucker Gene, Florentine politics and society 1343-1378, Princeton, 1962 ; Id., Firenze nel Rinasci- mento, Florence, 1980 ; Id., Dal Comune alla Signoria. La vita pubblica a Firenze nel primo Rinascimento, Bologne, 1981 ; Cloulas Ivan, Laurent le Magnifique, Paris, 1982; Cochrane Eric, Florence in the forgotten centuries 1527-1800, Chicago-Londres, 1973; Diaz Furio, Il Granducato di Toscana, I Medici, Turin, 1976; Fasano-Guarini Elena, Lo Stato mediceo di Cosimo I, Florence, 1973 ; Florence au temps de Laurent le Magnifique, Paris, 1965 (art. de A. Chastel, R. Klein, J. Lucas-Dubreton, R. Mousnier, A. Rochon) ; Florentine studies. Politics and Society in Renaissance Florence, Londres, 1968 ; Francovich Carlo, La Resistenza a Firenze, Florence, 1975 ; Gutkind Curt, Cosimo de" Medici, pater patriae, Oxford, 1938; Herlihy-Klapisch, Les Toscans et leurs familles, Paris, 1978; La Roncière Charles-Marie (de), Florence centre économique régional au XIV s., Aix-en-Provence, 1976, 4 vol. ; Libera cattedra di storia della civiltà fiorentina, Florence, 1954-1963, 7 vol. ; Lopes- Pegna M., Firenze dalle origini al Medioevo, Florence, 1962; Marmottan Paul, Le royaume d"Etrurie 1801-1807, Paris, 1896; Ottokar Nicola, Il Comune di Firenze alla fine del Dugento, Turin, 1970; Palmarocchi Roberto, Lorenzo il Magnifico, Turin, 1946; Pampaloni Guido, Firenze al tempo di Dante, Rome, 1973 ; Renouard Yves, Les hommes d"affaires italiens au Moyen Age, Paris, 1949; Id., Les villes d"Italie de la fin du X Retrouver ce titre sur Numilog.com

au début du XIV s., Paris, 1969; Rodolico Niccolగ, Il popolo minuto..., Florence, 1968; Id., La democrazia fiorentina nel suo tramonto, 1387-

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Rome, 1970 ; Roover Raymond de, The rise and decline of Medici Bank, Cambridge, 1963 ; Roth Cecil, The last florentine republic, Londres,quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40