On interrogera l'histoire géologique de la terre pour expliquer la place du sable dans maladie dont la falciformation est à l'origine, c'est-à-dire l'anémie falciforme était le dernier ancêtre commun au,singe et à l'homme jusqu'à ce que des fie actuellement comme australopithèque, remonte à 1925, lorsque Raymond
Previous PDF | Next PDF |
[PDF] Discours prononcés et documents lus devant la Cour
introduite par la Requête allemande du 15 mai 1925, pourvu que Whereas the written procedure of the only suit pending before the Court at the present Je crois devoir donner lecture à la Cour de la traduction fran- Signé le 24 décembre 1919 prédécesseur qui vous a renseignés sur l'histoire intime de cette affaire
[PDF] REMERCIEMENTS - TEL - Thèses en ligne
A Jean-Marc Edeline et Sidney Wiener pour avoir participé à mes évaluations annuelles A Aurélie indépendant des mouvements distaux, et les singes pauvres en de telles couche III et dessinent ainsi une frontière nette avec M1( von Economo Koskinas, 1925) Conf Proc IEEE Eng Med Biol Soc2010 1569 –1572
[PDF] pdf French - Université de Genève
On interrogera l'histoire géologique de la terre pour expliquer la place du sable dans maladie dont la falciformation est à l'origine, c'est-à-dire l'anémie falciforme était le dernier ancêtre commun au,singe et à l'homme jusqu'à ce que des fie actuellement comme australopithèque, remonte à 1925, lorsque Raymond
[PDF] Languillulose à Strongyloïdes fulleborni O von Linstow - Agritrop
l'une ou l'autre peut parasiter indifféremment l'homme ou le singe Le cynocé- En 1925, SANDGROUND parle d'instabilité Celle dose semble cependant ne pas devoir les strains of Strongyloides, Proc Morphology and life history of
[PDF] La guerre froide, les États-Unis et la genèse de la - Archipel UQAM
ont contribué à ce projet ou à faire de mes cinq années d'études à l'UQAM, un passage inoubliable confère aujourd'hui un caractère quasiment mythique à la DUDHs L'histoire Single Confused Page to the Decalogue for Six Billion Persons: The Roots of the Universa1 Criminal Procedure» (1998) 76 N C L Rev
[PDF] le processus d achat du consommateur en ligne
[PDF] le processus d'étalement urbain
[PDF] Le processus de cancérisation
[PDF] le processus de création monétaire
[PDF] Le processus de décentralisation
[PDF] le processus de la décentralisation au maroc
[PDF] Le processus de réalisation de l'objet technique
[PDF] Le processus de socialisation et la construction des identités sociales
[PDF] Le processus de socialisation introduit-il une rupture entre les générations
[PDF] le processus du controle de gestion
[PDF] le proche et le moyen orient un foyer de conflits depuis la fin de la première guerre mondiale
[PDF] LE PROCHE ORIENT ou moyen orient
[PDF] le produit d'un nombre par (-3) est toujour negatif
[PDF] le produit d'un nombre par (-3) est toujours négatif
Stuart J. Edelstein
Biologie
d'un mytheRéincarnation et génétique
dans les tropiques africainsTraduit de l'anglais par
JEAN-FRANÇOIS CUENNET
SAND Cet ouvrage est la traduction du livre de langue angbise, paru sous le titre:THE SICKLED CELL
From Myrhs lo Molccules
I.S.B.N. 2-7107-0415-5
OThç President and Fellows of Harvard college, 1986éditions Sand, 1988.
Préface
à l'édition française
La version française de
mop livre est le fruit de mes contacts avec Joanne Esner, des Editions Sand, qui a ensuite suivi la réalisation de ce travail avec dévouement. Je lui adresse ici mes plus vifs remerciements. Je tiens également exprimer ma gratitude à tous les autres collaborateurs des Éditions Sand qui m'ont aidé, en particulierà Car1 van
Eiszner, Frédéric Ferney et Agnès de Gorter, dont les appuis enthousiastes m'ont encouragé. Ma collaboration avecM. Jean-François Cuennet, traducteur, fut
à la fois agréable
et très enrichissante, je le remercie de son sérieux et j'ai apprécié son discernement. Je voudrais aussi remercier ma secrétaire, MmeJocelyne Fricker, pour son aide quant aux
questions de langage.Genève,
le24 janvier 1988.
Préface
Lors de mon dernier voyage au Nigeria, je parlais avec un guérisseur dans un village igbo de l'intérêt que je portais l'anémie causée par la falciformation desglobules rouges. Après que je lui aie expliqué le sens du mot "anémie» et du mot "falciformation», il m'a dit qu'il comprenait le terme (à amputer la dernière phalange de
l'auriculaire gauche des enfants reconnus comme étant des "enfants revenants», dont on pensait qu'ils mouraient en bas âge pour renaître dans la même famille. Par cette amputation rituelle, le guérisseur incitait l'enfant a rester. Personne n'aétudié
à fond la possibilité, pourtant évoquée dans des ouvrages scientifiques, d'un lien entre les enfants revenants et l'anémie falciforme, maladie pouvant provoquer une tuméfaction doulou- reuse des articulations des doigts, empêcher la croissance des mains et causer une mort prématurée. C'est pour cette raison que j'ai décidé de mener, pendant mon travail sur le terrain, une enquête anthropologique parallèle à ma recherche en laboratoire sur les causes moléculaires de la falciformation. Sui fini par être convaincu qu'un livre traitant à la fois de l'aspect anthropologique et de l'aspecr moléculaire dePanémie
falciforme pourrait être utile, notamment en ouvrant de nou- velles perspectives permettant la mise au point d'un agent antifalciformant sûr et efficace qui fait toujours défaut, bien que nous connaissions presque tous les aspects moléculaires de la falciformation. La connaissance que nous avons de cette maladie en Afrique est en comparaison bien faible, alors que lesproduits naturels utilisés par la médecine africaine traditionnelle pour- raient détenir la clé d'un progrès décisif en matière de traite- ment. Jose espérer que ce livre avivera l'intérêt que le monde scientifque porte a ces perspL,ctives. L'anémie falciforme est apparue en Afrique tropicale, ou elle est encore très répandue (dans certaines régions, environ2p. 100 des nouveau-nés en sont atteints). Tai commencé mon
travail sur le terrain avec l'importante ethnie des Igbos, qui occupe le sud-est du Nigeria. Je présente certaines de leurs tratlitions dans le chapitre premier, notamment ce concept fasc~nant des ogbanjes, ou enfants revenants, quej'ai placé au centre de mes recherches. Pour situer les aspects culturels de la falciformation dans leur contexte biologique, je présente tout d'abord un aperçu des derniers stages de l'évolution des primates au chapitre2. Le chapitre 3 est consacré à un examen des
estimations que l'on peut établir de façon précise pour le développement dans le temps et dans I'espace de la mutation falciforme. Grâceà ces estimations, Von peut essayer de
comparer les inconvénients résultant de l'anémie falciforme I'avantage que constitue une résistance accrue au paludisme, conférée par la mutation. Ensuite, le chapitre4 traite en détail du
concept des enfants ogbanjes chez les Igbos et décrit un concept similaire, Pabikh, chez leurs voisins, les Yorubas. Uneprésenta- tion rapide de conceptions comparables que ton rencontre dans d'autres ethnies de l'Afrique tropicale montrera que les enfants revenants sont une notion répandue dans toute l'Afrique occiden- tale. Bien que le lien entre les ogbanjes et la falciformation ne puisse être prouvé dans tous les cas, les éléments dont nous disposons suffïsent à avancer la thèse d'un lien bien établi, au moins dans le passé. Alors que des rapports ne peuvent pas toujours être clairement établis dans le domaine culturel, l'on obtient en revanche, pour le.: molécules, des descriptions très précises. La seconde moitié de ce livre est consacrée à un examen en détail des aspects moléculaires de la falciformation. Le chapitre Sprésente les traits essentiels de la mutation de l'A.D.N. qui provoque la falciformation de l'hémoglobine et l'importance de leur décou- verte pour la biologie moléculaire. Les jïbres falciformes, dont I'extrême complexité surprend, ainsi que la façon dont elles déforment les globules rouges, sont traitées au chapitre6. Les
problènzes pratiques qui rendent difficiles le diagnostic et k traitement de la falcifarmation, ainsi que des aspects touchant à I'A.D.N., sont étudiés au chapitre 7 et les méthodes de modifica- tion de I'hémoglobine et d'autres composés cellulaires au chapitre8. Concluant cette série de sujets culturels puis
moléculaires, nous retournerons en Afrique pour examiner les traitements appliqués par la médecine africaine traditionnelle. La version finale de ce livre est le fruit de plusieurs versions antérieures, lues et critiquées par six collègues auxquels je dois beaucoup: DrsH.F. Bunn, W. A. Eaton, M. Goossens,
L. C. Jackson,
N. Neaher et C. Poyart. Plusieurs versions ont été examinéespar MmesT. Auld et L. Edelstein et par le DrRozycki
dont les remarques sur le style et la clarté ont été judicieuses. Saimerais également exprimer ma reconnaissance, pour deséchanges
enrichissants sur les projets étudiés dans ce livre, aux Drs C. Acquaye, B. Alter, R. Benesch, R.E. Benesch, L. Benjamin, J. Bernard, M. Bessis, Y. Beuzard, R. M. Bookchin,J. Brady, S. Charache,
R. H. Crepeau, G. Dykes, F. Ferrone,
F. Galacteros, M.-C. Garel, J. Hercules, J. Hofrichter, W. Love,B. Lubin,
B. Magdoff-Fairchild, C. T. Noguchi, R. N. Nagel,
E. P. Orringer, J. Pagnier, D. Rodgers, J. Rosa, R. Rosa, E. F. Roth, A.N. Schechter, G. Serjeant, 1. Stevenson, M. -H. Steinberg, W. Soyinka, F. Udekwu, J. A. Walder, G. D. Webb etS. Wodak.
Je suis extrêmement
reconnai.want aux nombreuses per- sonnes qui m'ont prêté aide et assistance pendant mon travail enAfrique,
notamment les enfants ogbanjes et leurs familles. Ma gratitude va également, pour cette phase de mes recherches, aux Drs R. G. Armstrong, R. Cabannes, W. N. Kaine, J. Lonsdorfer,G. O. Obi et
F. Ogah, ainsi qu'à Mmes J. Ndour, 2. Sossah et S.Wenger, et
MM C. Ani, O. Ebohon, N. Ibekwe, B. Kalu, P.
Onwuka, P. Onyekelu, R. N. Tagbo et D. Udeji. Je dois remercier spécialement le DrI. Stevenson qui m'a encouragé à
entreprendre ce travail au Nigeria et a mis ses ressources à ma disposition. L'fi Institute for African Studies» de l'université d'Abadan m'a accordé un "Associate Membership» et m'a donné accès a ses installations. ce dont je suis reconnaissant. J'ai terminé en grande partie la rédaction de cet ouvrage durant une année sabbatique (1984-1985) en France où les Drs J. Rosa, Y. Beuzard, M. Goossens et C. Poyart m'ont accordé leur aide et leur hospitalité. J'aimerais également remercier le Fogerty Centre, N.I.H., qui m'a octroyé cette année-là un "Senior InternationalFellow-
ship ». Le directeur de la section scientifique et médicale desHarvard University Press, M. Howard
Boyer, a pris part à la
mise en route et à la réalisation de cet ouvrage et ses remarques touchantà Porganisation m'ont été d'un grand secours. La remarquable mise au point du manuscrit est Pauvre de
Mme