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26 oct 2018 · Vendredi 26 octobre 2018 - Supplément - Ain □Les lauréats et les de cette 12e édition des Trophées de l'entreprise de l'Ain qui se tenait à Ainterexpo, à Bourg-en-Bresse lisée dans la région, sur Annecy et Greno- ble



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[PDF] TROPHÉES DE LENTREPRISE DE LAIN - Le Progrès

26 oct 2018 · Vendredi 26 octobre 2018 - Supplément - Ain □Les lauréats et les de cette 12e édition des Trophées de l'entreprise de l'Ain qui se tenait à Ainterexpo, à Bourg-en-Bresse lisée dans la région, sur Annecy et Greno- ble



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ÉDITION NUMÉRIQUE

Vendredi 26 octobre 2018 - Suppl■ment - Ain

ÉLes laurats et les partenaires de cette 12e dition des Trophes de l'entreprise de l'Ain. Photo Jean-Pierre BALFIN

Bravo aux entreprises

dynamiques de l'Ain

110948600NOSPARTENAIRES

LESTROPHÉESDE

IN

AINTEREXPO-HALLABOURGENBRESSE

AAIN

LEGROUPE

PROGRÈS

PRÉSENTE

TROPHES DE L'ENTREPRISE DE L'AIN

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LE PROGRÈS VENDREDI 26 OCTOBRE 2018

www.leprogres.fr BOURG-EN-BRESSELES TROPHES DE L'ENTREPRISE DE L'AIN

Une 12e Ôdition très rÔussie

Sant, nature, gastronomie, le tout, ■videmment li■ par l'innovation. Huit cat■gories, huit aventures ■conomi-ques et humaines et un Troph■e d'honneur remis, pour la premire fois, Georges Blanc, pour l'ensemble de son úuvre. L'heure ■tait au bien-tre, hier soir jeudi, dans une salle Ainterexpo de Bourg pleine de quelque 400 invit■s. travers les laur■ats, se d■voile la richesse du tissu ■conomi-que de l'Ain, premier d■partement industriel de France, comme l'ont si bien rappel■ les diff■rents acteurs pr■sents. L'Ain est aussi le quatrime d■partement o le taux de chmage est le plus bas de France. la pointe dans le monde de l'entreprise mais aussi grce au cadre de vie offert aux habitants et visiteurs, ne reste plus l'Ain qu' " jouer en premire division au niveau touristique ». C'est en tout cas l'objectif que s'est fix■ Damien Abad, pr■sident d'Aintourisme, sur la scne d'Ainterexpo. Hier soir, les ac-teurs du D■partement ont su " rendre aux entreprises ce qu'elles lui appor-taient », dixit le pr■sident Jean De-guerry. C'est bien l le principal.

Le public de la 12e Ôdition des TrophÔes de l"entreprise de l"Ain venu en nombre. Photo Jean-Pierre BALFIN

Emmanuelle Henry-Dazy, FrÔdÔrick MacÔ, Martine Goubatian, Marie Rigaud, Monsieur le prÔfet Arnaud Cochet, Madame

la colonelle Florence Guillaume et Jean Deguerry, prsident du Dpartement et de Haut-Bugey Agglomration. Photo J-P BALFIN

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LES TROPHÉES DE L"ENTREPRISE DE L"AINFESTIVITS

Une soirÔe festive en prÔsence

des trapzistes du cirque Imagine

Hier, jeudi, la crmonie de remise des trophes de l'entreprise de l'Ain tait riche en animations. taient prsents lors de cette soire les tra-p■zistes du cirque Imagine qui ont propos■ des num■ros acrobatiques de haut vol ; Pauline Ianiro, Miss Rhne-Alpes mais aussi Marie Rigaud, la directrice g■n■rale du Printemps de P■rouges ainsi que les restaurateurs d'picur'Ain.

Marie Rigaud, directrice gÔnÔrale du Printemps de PÔrouges. Photo Jean-Pierre BALFIN Les trapÔzistes du cirque Imagine. Photo Jean-Pierre BALFIN Les invitÔs ont pu dÔguster des spÔcialitÔs savoureuses et surprenantes concoctÔes par les restaurateurs d'■picur'Ain. Photo Jean-Pierre BALFIN Pauline Ianiro, Miss Rhène-Alpes. Photo Jean-Pierre BALFIN 04

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TROPHÉES DE L"ENTREPRISE DE L"AINLES LAURATS

Huit trophÔes ont ÔtÔ dÔcernÔs

Les Trophes de l'entreprise de l'Ain, organiss par Le Progrs en collaboration avec des partenaires locaux et rgionaux, ont mis en lumire les entreprises de l'Ain parmi les plus performantes. Huit troph■es ont ■t■ remis l'occasion de cette 12e dition des Trophes de l'entreprise de l'Ain qui se tenait Ainterexpo, Bourg-en-Bresse.

éYves Mboda, PrÔsident de Colnec Health et laurÔat du trophÔe de l"espoir de l'anne et Patrice Fontenat, prsident de la CCI de l'Ain. Photo Jean-Pierre BALFIN éGuillaume Jubeaux, co-fondateur de Biomae et laurÔat du trophÔe du dveloppement durable et Pascale Lyaudet-Sarron d'EDF. Photo Jean-Pierre BALFIN éAmandine Roussel, prÔsidente d"Iswip, a reèu le trophÔe du digital par Marie-Claude Foucr, dlgue rgionale d'Orange. Photo Jean-Pierre BALFIN éChristian du Verne (Gallin SAS et Groupe Desautel) a reèu le trophÔe du chef d'entreprise de l'anne par Jean Deguerry. Photo Jean-Pierre BALFIN éGeorges Blanc, le chef de cuisine, a reèu le trophÔe d"honneur par Guillaume Lacroix, Prsident d'Ainterexpo. Photo Jean-Pierre BALFIN éMarie Rigaud, la directrice gÔnÔrale du Printemps de PÔrouges, a reèu le trophe coup de cúur du jury par Alexandre Nanchi. Photo Jean-Pierre BALFIN éDaniel Viel (sociÔtÔ Viel Plastiques), le laurÔat du trophÔe de l"innovation et Jean Deguerry, le Prsident de Haut-Bugey Agglomration. Photo Jean-Pierre BALFIN éJustine Brenkel (Jiva Hill Resort), la laurÔate du trophÔe du tourisme et Damien Abad, Prsident d'Aintourisme. Photo Jean-Pierre BALFIN 05

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Guillaume Jubeaux, le cofon-

dateur de la soci■t■ Biomae, cr■■e en 2014, a reu le troph■e du d■veloppement durable.

L'■quipe de fondateurs est cons-

titu■e de Laurent Viviani et de deux chercheurs d'Irstea (1), Oli- vier Geffard et Arnaud Chau- mot. " Recevoir ce troph■e est une excellente nouvelle, confie le laur■at. Cela permet de met- tre en lumire tout le travail d'quipe pour dvelopper et ap- porter des solutions aux acteurs de l'eau. » Biomae travaille dans le domaine de la m■trolo- gie environnementale. L'entre- prise d■veloppe des essais bio- logiques innovants permettant de caract■riser l'impact de la pollution chimique dans les cours d'eau. partir de petits crustac■s (des gammares) enca- g■s directement dans les rivi- res, Biomae ralise ensuite des analyses qui permettent de me- surer les contaminants chimi- ques accumul■s dans les gam- mares (m■taux, pesticides, etc.). " Nous faisons aussi sur les gammares des mesures biologi- ques pour ■valuer les potentiels effets de ces micropolluants.

Nous sommes ainsi capables de

mesurer la toxicit■ des milieux aquatiques, pr■cise Guillaume

Jubeaux. Notre objectif court-

moyen terme est de consolider l'utilisation de ces bioessais en

France par les Agences de l'eau

et les industriels, puis de les ex- porter. » (1) Institut de Recherche en Sciences et Technologies pour l'Environnement et l'Agriculture.

BIOMAE

320 rue de la Outarde

Chteau-Gaillard

Open Tip, c'est un principe de

fermeture d'emballage de films plastiques qui r■sume lui seul l'histoire de la Plastics Vall■e.

C'est aussi le nom que Viel plasti-

ques a donn■ sa dernire inven- tion. Brevet■e sur toute l'Europe, et terme aussi pour les tats-

Unis, le moins que l'on puisse di-

re est que la petite entreprise oyonnaxienne a des perspecti- ves. " Open Tip est un systme de fermeture des emballages plastiques, » explique Daniel

Viel, le grant de la socit qui,

71 ans, ne manque vraiment pas

de ressource ni de dynamisme. " Nous destinons ce produit au march■ du petfood (alimenta- tion animale), la cong■lation et aux emballages de c■r■ales. L'en- treprise compte s'appuyer aussi sur le tissu industriel local pour la fabrication. Un beau d■fi pour la

TPE sp■cialis■e dans l'injection

de produits plastiques bi-mati- res et bi-couleurs. " Nous som- mes une entreprise de faonnage et de sous-traitance d'articles in- ject■s. Mais nous avons toujours veill■ d■velopper en parallle des produits propres : petits arti- cles pour le club des poup■es

Barbie, joints int■gr■s pour des

protecteurs de tube de p■trole, combinaisons pour les m■decins l■gistes et, plus r■cemment, des systmes de fermeture de sac dont Open Tip est issu. » Cette app■tence l'innovation, Daniel

Viel le doit aussi ses parents,

sa mre en particulier, qui a cr■■ l'entreprise en 1952. " Elle a tou- jours veill■ s'■quiper des der- nires machines, presse vertica- le, souffleuse¼ et fait en sorte d'tre la pointe en termes de technicit■ et d'innovation. » Un ■tat d'esprit que son fils Daniel, avec sa fille Val■rie - et dans quel- que temps son fils Julien - ont tou- jours eu cúur de poursuivre.

Nul doute que l'Open Tip va

donner des ailes l'entreprise qui r■alise aujourd'hui un chiffre d'affaires de 600 000 euros.

VIEL PLASTIQUESTROPHE DE L'INNOVATION

Daniel Viel a été récompensé pour son innovation

Daniel Viel. Photo DR

BIOMAETROPHE DU DVELOPPEMENT DURABLE

Biomae mesure la toxicité des milieux

aquatiques l'aide de crustacs

Guillaume Jubeaux,

cofondateur de Biomae. Ph. DR

La start-up franco-suisse Col-

nec Health bas■e Saint-Genis -Pouilly, qui a ■t■ cr■■e en juillet 2016 par Yves Mboda, possde des bureaux Genve, Lyon et au Maroc. Elle a con- u une application m■dicale pluri-pathologiques pour web et mobile. Il s'agit d'une plate- forme collaborative qui met en relation directe et en temps r■el tous les acteurs concerns par une pathologie chronique. En premier lieu, le patient et ses proches qui sont au quotidien confront■s la maladie. Il est d■montr■ que le suivi des traite- ments est am■lior■ lorsque le malade et sa famille sont impli- qu■s dans la d■marche th■ra- peutique. Cet outil am■liore la prise en charge du patient grce un plan d'accompagnement personnalis■ d■finit entre le pa- tient et les m■decins. Il com- prend l'identification des objec- tifs atteindre, tant quantitatifs que qualitatifs. partir de ces donn■es, un plan d'actions est ■labor■ incluant la m■dication et l'alimentation, l'accompa- gnement etc. Une ■quipe de soin est constitu■e en fonction de l'tat de sant du patient. Le systme de collaboration ins- tantan■, s■curis■ est ■tabli entre les acteurs. Celui-ci intgre l'■crit, l'image et la visioconf■- rence pour une t■l■consulta- tion par exemple. Cette applica- tion est un dispositif m■dical agr■■ (marquage CE), reconnu par le Ministre de la Sant■ Pu- blique et la S■curit■ Sociale.

YVES MBODATROPHE DE L'ESPOIR DE L'ANNE

L"application de Colnec Health

pour un meilleur suivi des patients

Yves Mboda. fondateur

de Colnec Health. Photo Y.MBODA

Ce n'est pas le moindre des pa-

radoxes. Le jury des troph■es de l'entreprise de l'Ain a attribu■ le troph■e du tourisme un ■ta- blissement qui a ferm■ ses por- tes voici quelques semaines¼ pour mieux les rouvrir le 1er mai prochain ! Le Jiva Hill Resort, situ■ Crozet au pied des som- mets jurassiens et proximit■ de l'a■roport de Genve-Coin- trin, s'offre en effet un lifting avec 19 chambres suppl■men- taires et une piscine extrieure alors qu'il n'existait jusqu'alors qu'un bassin couvert, et toute l'■quipe de l'■tablissement tra- vaille sur un nouveau concept de restaurant. Jiva est un terme bouddhiste qui signifie un tre vivant et donc, Jiva Hill peut se traduire par colline vivante, " un rve en marche depuis

10ans avec l'id■e un peu folle de

transformer un terrain agricole avec une situation exception- nelle en un lieu paradisiaque of- frant luxe, sport, calme et d■ten- te ses htes. » L'htel 5* comprend aujourd'hui, avant agrandissement, 33 chambres et propose une multitude d'acti- vit■s de loisirs, du golf au tennis en passant par le ski nautique, de mai octobre, et un spa qui attire une clientle trs diverse : " Avec la proximit■ de Genve, notre porte d'entr■e est plus suisse que lyonnaise mais il n'y a pas une activit qui prend le pas sur l'autre » explique Aur■lie

Daractz, directrice strat■gie

commerciale et communica- tion. De nombreux s■minaires y sont ■galement organis■s, gr- ce aux quatre salles de r■union.

Les travaux engag■s compor-

tent un volet social, puisqu'une villa du personnel et une canti- ne qui lui sera d■di■e sont ■gale- ment au programme.

SITE INTERNET : www.jivahill.com

JIVA HILL RESORTTROPHE DU TOURISME

La " colline vivante » encore plus belle

Fabrice Mercier, directeur

gnral du Jiva Hill Resort.

Photo Lenaka

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Emmanuel Torchy a reu le trophe du digi-

tal pour les objets connects dvelopps par sa socit Iswip, base Dagneux, qui clture actuellement une premire leve de fonds. Dans quelle zone se trouve cette ma- chine ? Est-elle en fonctionnement ? Et la remorque de ce camion, quelle est sa tem- prature intrieure ? partir de trois cartes lectroniques, Iswip imagine des solutions connectes. La jeune start-up a, depuis qua- tre ans, dploy plus de 15 000 objets con- nects pour des grands noms de l'industrie ou des services. Iswip a t cre en 2011 par Emmanuel Torchy et quelques associs qui il a, par la suite, rachet les parts. L'en- treprise s'est recentre aujourd'hui sur les objets connects. " Nous avons positionn notre gamme sur du BtoB et proposons nos clients de gagner en performance en rendant " intelligents » leurs quipements.

Nos solutions connectes sont trs polyva-

lentes, explique Emmanuel Torchy. Nous assurons conception, prototypage, indus- trialisation et vente, et la fabrication est ra- lise dans la rgion, sur Annecy et Greno- ble. » L'entreprise finalise aussi actuellement une leve de fonds, avec l'ob- jectif de rassembler 500 000 euros. Le capi- tal de la socit est pass de 50 000

65 000 euros. Originale et audacieuse,

Iswip l'est aussi dans son organisation. Elle

emploie actuellement 4 salaris (2 ing- nieurs en internet des objets (IoT), un direc- teur de production et une DAF). Lui et sa femme sont salaris d'autres structures et grent l'activit d'Iswip en parallle. " Cette leve de fonds va nous permettre de renfor- cer l'quipe et recruter un responsable com- mercial et deux autres techniciens. J'assure pour ma part la dfinition de la stratgie et des roadmap et l'quipe les met en úuvre. »

Sur 2018, le chiffre d'affaires devrait appro-

cher le million d'euros. Objectif d'ici 5 ans :

10 12 millions. Le march des objets con-

nects n'en est qu' son dmarrage¼

ISWIPTROPHE DU DIGITAL

Les objets connectÔs d"Iswip è l"honneur

Emmanuel Torchy. Photo DR

Le festival du Printemps de Prouges,

c'est l'histoire d'une passion qui dure depuis 22 ans. " Notre mtier, c'est d'tre passeur d'motions, de l'artiste jusqu'au public », raconte Marie Rigaud, chan- teuse lyrique de formation, et fondatrice du festival, et qui ce titre, a re■u le coup de cúur du jury. Son festival, elle le dcrit ainsi : " C'est un vnement cultu- rel et musical fort du dpartement de l'Ain. C'est un vnement qui a un ancra- ge fort et prenne sur le territoire, avec son public. Festival pluriesthtique, h- troclite, avec tout le style de musiques : du rock au hard rock, en passant par le classique, la pop, le rap, le jazz, la vari- t, etc. Le tout dans une ambiance bon enfant. »

Dsormais, elle tient l'affaire avec ses

trois súurs, et l'affaire roule ainsi bien culturellement qu'conomiquement. " Mme s'il faut quilibrer les comptes, nos choix ne sont pas que dicts par le succs commercial, explique Marie Ri- gaud. C'est certes une affaire de gestion, mais nous avons gard notre me de dpart. » Preuve en est, tout au long de son existence, le festival a accueilli de nombreuses sommits, comme Johnny

Halliday, Scorpions, Martin Solveig,

Nekfeu, et tant d'autres. Et pour ce qui

est des futurs projets : " Nous voulons nous ancrer dfinitivement sur un ma- gnifique site : le polo club de la plaine de l'Ain. L'enjeu est de taille, le challenge est important, car le site est norme, avec

15 000 places. Mais c'est prcisment

cette notion d'entrepreneuriat et de chal- lenge qui nous anime aujourd'hui. D- sormais, on est en train de s'attaquer l'international », conclut Marie Rigaud, sans en rvler davantage. PRINTEMPS DE PÉROUGESTROPH COUP DE CêUR DU JURY Marie Rigaud a crÔÔ le Printemps de PÔrouges

Marie Rigaud. Photo DR

Avant de s'offrir le trophe du chef d'entre-

prise de l'anne, Christian Duverne, 63 ans, a vcu plus d'une vie professionnelle. Aprs avoir travaill dans l'information et les tl- communications, il intgre pendant dix ans le groupe Philips. " Aprs, j'ai essay de crer ma propre entreprise. a a fonctionn pendant deux ans avant de s'arrter », con- fie l'actuel directeur gnral de Gallin (35 salaris), filiale du groupe Desautel.

C'est cette socit que Christian Duverne

intgre en 1992. Une histoire qui dure enco- re aujourd'hui. " Gallin a t cre en 1948, explique-t-il.

L'entreprise tait spcialise dans l'univers

de la scurit incendie. Ce n'est que dans les annes 60 que la construction de camion de pompier a commenc. » Aujourd'hui enco- re, Gallin ralise 16 millions d'euros sur cet- te activit. C'est la part la plus importante des 24,5 millions du chiffre d'affaires 2017.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46