[PDF] [PDF] Le Rouge et le Noir - Société des études romantiques et dix

27 sept 2013 · été pendant longtemps l'édition de référence sur Le Rouge et le Noir Elle bénéficie principales de son livre Je demandais à mes parents



Previous PDF Next PDF





[PDF] STENDHAL LE ROUGE ET LE NOIR

LES PERSONNAGES PRINCIPAUX Julien Sorel Le Rouge et le Noir de Stendhal paraît le 13 novembre 1830 Le sous-titre B □ que diront mes ennemis ?



[PDF] Le Rouge et le Noir - La Bibliothèque électronique du Québec

assiduité les principaux salons littéraires où il fait a ajoutées aux volumes du Rouge et Noir parus tirant sur le bleu, mes regards ont plongé dans la



[PDF] LES MODES DE LACTION DANS LE ROUGE ET LE NOIR - CORE

L'action de Le rouge et le noir se présente comme un champ de forces, chacune modèle principal se faufilent d'autres modèles héroïques: le Cid, Bo- niface de la de sévé:ité que, dans le fait, je ne suis point jugé par mes pairs Je ne vois 



[PDF] Le Rouge et le Noir entre effet-chronique et effet-fiction

A cet égard, Le Rouge et le Noir sous-titré Chronique de 1830, constitue L' objectif principal visé dans ce travail de recherche et de rédaction est celui le sang de mes ancêtres ne s'est point attiédi en descendant jusqu'à moi, se disait



[PDF] Le Rouge et le Noir - Société des études romantiques et dix

27 sept 2013 · été pendant longtemps l'édition de référence sur Le Rouge et le Noir Elle bénéficie principales de son livre Je demandais à mes parents



[PDF] STENDHAL - Le rouge et le noir - Comptoir Littéraire

Il alla chercher au fond de lui-même les caractéristiques principales de Julien '' Le rouge et le noir'' est sous-titré “Chronique du XIXe siècle”, ce qui indique prétendre être passé à Verrières : «Mes regards ont plongé dans la vallée du 



[PDF] Compréhension du texte

LE ROUGE ET LE NOIR STENDHAL NIVEAU 3 ascension ttiré par ui, sous la Compréhension du texte Qui sont les principaux personnages du roman ?



[PDF] Le Regard performatif dans Le Rouge et te Noir A1f(, - Université de

Le roman Le Rouge et le Noir sera notre principal terrain d'enquête et les autres oeuvres de Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout 



[PDF] René et Julien Sorel : ambition et mélancolie chez Chateaubriand et

un point à mes pieds, et la mer déroulée au loin dans les espaces Rouge et le Noir par deux méthodes principales ; le triangle du désir de René Girard nous 



[PDF] Stendhal, Le Rouge et le Noir - NRP Lycée

5 sept 2019 · le rôle de Julien Sorel, Le Rouge et le Noir, film de Claude Autant-Lara, 1954 roman : l'hypocrisie ; Affiner le portrait du personnage principal mes principes, et je le dis à dessein : car ils ne sont pas, comme ceux des 

[PDF] le rouge et le noir une vieille épée commentaire

[PDF] le roy d'espagne marseille

[PDF] le royaume de france en crise dans les annees 1780

[PDF] le royaume de kensuké analyse des personnages

[PDF] le royaume de kensuké controle 5ème

[PDF] le royaume de kensuké exploitation pédagogique

[PDF] le royaume de kensuké questionnaire

[PDF] le royaume de kensuké résumé chapitre par chapitre

[PDF] le royaume de kensuké séquence

[PDF] le royaume de kensuké tapuscrit

[PDF] Le royaume de Logres

[PDF] le royaume des francs

[PDF] le royaume uni

[PDF] le royaume unis

[PDF] le Royaume-uni

1 Journée préparation agrégation (le 27 septembre 2013) organisée par la SERD (Paris 7, bibliothèque salle J. Seebacher, vendredi 27 septembre 2013, 14 heures)

Le Rouge et le Noir

Yves ANSEL et Xavier BOURDENET

Dans notre esprit, cette réunion avait pour but d'apporter des informations, mais surtout de

répondre aux questions, aux interrogations des enseignants qui ont à préparer les candidats à

l'agrégation. Nous avons donc conçu cette intervention comme une séance où il s'agirait d'aller au plus

urgent, et où le dialogue serait essentiel.

Pour la mise en ligne, nous n'avons pas cherché à modifier les textes que nous avions préparés. Ils

demeurent sous forme de notes plus ou moins organisées et/ou développées. Dans la mesure où ce

document s'adresse aussi, sinon surtout, à tous les préparateurs qui n'ont pu être là ce jour-là (vendredi

27.09), nous avons ajouté [Add.] quelques remarques, quelques observations issues des débats.

I. PREMIER POINT, LES ÉDITIONS :

A. Les éditions de poche [Y. A.]

L'édition d'A.-M. Meininger (2000), dans sa catégorie (éditions de poche) n'est pas la meilleure,

loin s'en faut1 ; les notes sont indigentes, et toutes très " vieille école », celles des sources ; des clés sont

données, qui ne sont pas les bonnes2.

Celle de M. Crouzet (1997) est nettement supérieure, en dépit des partis pris assez ostensibles3,

mais les notes demeurent dns l'orbite de l'inégalée/inégalable édition Castex (sollicitée, pillée sans que

les dettes soient toujours avouées). L'Introduction, elle, est très orientée, ouvertement réactionnaire, et

grandement " illisible » tant elle règle des comptes à usage interne4, sans rendre compte de la nouveauté

et de la spécificité du roman. De surcroît, la perspective fausse les intentions de l'auteur dans la mesure

même où le romancier est célébré pour n'avoir fait que retranscrire un fait divers (l'affaire Berthet),

pioché dans la presse (comme s'il y avait continuité entre les journaux et le roman, comme si le

romancier ne travaillait pas les " pilotis », se contentait de rabouter des informations puisées dans le

" journal du matin ª HP G·avoir connu " le ѱXU humain » (une interprétation psychologisante aux

antipodes de ce que fait précisément Stendhal dans Le Rouge).

À noter que " la pire des erreurs », selon M. Crouzet, est d'ignorer " l'Affaire Berthet5 », mais

non...d'ignorer G. Lukacs (le seul à avoir réglé définitivement la question du " dénouement », grâce à

une lecture interne, structurale, de l'±XYUH, mais critique non cité, non répertorié dans la bibliographie), G.

Mouillaud ou P. Barbéris.

1. Abstraction faite de la Préface de J. Prévost (ce qu'il y a de bien, de mieux dans cette édition), fort peu de choses à retenir de la

Postface. Quant aux notes, éclaircissements historiques (indispensables), mieux vaut se reporter à l'édition Crouzet et, évidemment, à

l'édition de P.-G. Castex (Garnier, 1973, rééd. 2013).

2. Cf. le compte rendu (Y. A.) dans L'Année Stendhal, n° 4, 2000, p. 204.

3. Voir en I, 28, la note relative à " la leçon d'armes » au séminaire de Besançon (une des notations typiques de " la bêtise » de la

gauche d'alors), ou, encore, en II,10, la note associée à " : " c'est une tête, c'est une tête », qui donne droit à une " pique » (illisible,

incompréhensible) contre " toute une critique » qui se réduit à des jeux de mots (cible " introuvable »: Y. Ansel " Stendhal littéral »,

Littérature, n° 30, 1978, article qui faisait observer, ô hérésie, que la fin du Rouge ² Mathilde garde la tête de Julien ² vérifiait au sens littéral

l'expression : " un amour de tête »).

4. Cf. le compte rendu (Y.A.) dans L'Année Stendhal, n° 2, 1998, p. 158-160.

5. " La pire des erreurs sur le Rouge est d'oublier les sources du roman, deux crimes, ceux de Berthet et de Lafargue... » (1997,

Introduction, p. VIII). C'est naturellement le point de départ de l'analyse dans Le Rouge et le Noir. Essai sur le romanesque stendhalien (PUF,

1995) qui a pour premier chapitre : " Le romanesque de la cour d'assises » (p. 7-15) et qui aborde donc Le Rouge par ce postulat : " Repris

d'un procès, d'un ou de deux faits divers, le roman ne peut être abordé sans référence à ce "romanesque" premier et spontané que livrent

les cours d'assises » (op. cit., p. 1). 2 [Add. Une collègue fait justement remarquer que si l'édition de M. Crouzet est objectivement

meilleure, pour les agrégatifs, cette édition n'aurait pas manqué de poser des problèmes tant on

se trouve devant une interprétation forte, une évidente lecture politique. L'avantage de l'édition

Meininger, c'est que celle-ci est " insignifiante », qu'elle ne propose pas de " lecture » (en dehors de

la quête effrénée des " pilotis » et des " modèles », il n'est jamais question du sens du roman) et

que, de ce point de vue, c'est peut-être tant mieux. De fait, oui.]

À noter la parution d'une autre édition de poche récente : celle de Marie Parmentier, en GF (2013),

tout à fait satisfaisante, parfaite dans son genre (compte tenu des finalités et des contraintes éditoriales

inhérentes aux éditions de poche), qui fait la part belle au T.L.F pour éclairer bien des des expressions,

des termes aujourd'hui obscurs et qui ne sacrifie aucun éclaircissement historique. La Présentation (c'est

une vraie introduction) et le Dossier thématique sont pertinents, clairs ; n'oubliant jamais les premiers

lecteurs de cette édition (lycéens, étudiants), M. Parmentier met des notes tout à fait indispensables à la

compréhension que l'on ne trouve nulle part ailleurs.

Un seul exemple pour montrer l'intérêt que l'on pourrait trouver à la consultation de cette édition,

cette phrase : " Une profonde méfiance l'empêcha d'admirer le Paris vivant, il n'était touché que des

monuments laissés par son héros » (II, 1, p. 329). Seule l'édition de M. Parmentier juge utile de mettre

une note précisant quels sont ces monuments : " Parmi lesquels il faut compter , outre l'Arc de

triomphe de l'Étoile (1806), l'arc de triomphe du Carrousel (1808), la colonne Vendôme (1810), les

ponts d'Austerlitz, d'Iéna, des Arts, l'église de la Madeleine (1806), la Bourse de Paris (1808) et la rue de

Rivoli (1801) qu'affectionnait Stendhal » (p. 299, note 3). Comme on voit, rien de plus opportun, utile

que des notes de ce genre ! Bref, une fort bonne édition qui, malheureusement, ne comporte ni le

" Projet d'article » (1832) de Stendhal ni l'article de J. Janin (qui a servi d'hypotexte à Stendhal pour

écrire son propre article).

B. Autres éditions [X. B.]

Edition Castex :

Classiques Garnier, 1973 (les Classiques Garnier ont tout récemment procédé à un retirage). Elle a

été pendant longtemps l·édition de référence sur Le Rouge et le Noir. Elle bénéficie du travail effectué par

Castex pour un cours d·agrégation sur Le Rouge et dont une bonne partie avait été publiée dans son

étude Le Rouge et le Noir de Stendhal (Paris, SEDES, 1970).

L·introduction (meilleure et plus utilisablH SRXU O·MJUpJMPLRQ TXH O·pPXGH SMUXH ŃOH] 6(G(6 et les

notes critiques sont un exemple, parfait en son genre, d·histoire littéraire ancienne manière, préoccupée

surtout de débusquer les sources et " pilotis » réels des personnages, des décors (Dole pour Verrières

par exemple), des événements (" Un roi à Verrières »). Conclusion : " le romancier a su composer une

vérité typique à partir de choses vues » ; le but de l·éditeur est alors de reconstituer autant que possible

ces choses vues. Cela dit les notes sont fournies et restent précieuses. L·édition demeure néanmoins utile sur bien des points. Notamment pour la contextualisation

historique et politique, très claire et sans doute faut-il en recommander la lecture aux agrégatifs (place et

rôle de la congrégation, positions respectives des ultras et des libéraux, etc. : des éléments essentiels

pour la bonne intelligence du roman, que les agrégatifs connaîtront peu et sur lesquels l·édition

Meininger ne fait pas une totale lumière). Cela permet de situer assez bien les personnages sur l·échiquier politique de la Restauration.

L·édition Castex reproduit :

- in extenso les articles de La Gazette des tribunaux sur l·affaire Berthet (A.-M. Meininger n·en

donne que de (larges) extraits ; M. Crouzet les donne aussi in extenso) : édition précieuse ne serait-ce

que pour cela. 3 - le passage des Promenades dans Rome6 dans lequel Stendhal reproduit une partie des articles consacrés à l·affaire Lafargue.

- l·article de Jules Janin (Journal des Débats, 26 décembre 1830) et du Temps (26 janvier 1831).

- Le projet d·article (1832) de Stendhal

- L·ensemble des corrections et marginales portées sur l·exemplaire personnel de Stendhal, dit

exemplaire Bucci.

Trois remarques à ce sujet :

- la transcription des marginales Bucci dans l·édition Castex n·est pas bonne. Il faut, pour en

avoir la version exacte, impérativement se reporter à l·édition Pléiade. [A.-M. Meininger ne donne

qu·une sélection des marginales, en notes]

- l·édition au programme d·A.-M. Meininger a choisi d·introduire dans le texte les corrections

portées sur l·exemplaire Bucci. Elle ne reproduit donc pas exactement l·édition originale du roman.

C·est un choix contestable, et dont il faut avertir les agrégatifs. Sans doute est-ce là réflexe de

balzacienne : c·est comme si, pour une édition de la Comédie humaine, on établissait le texte à partir

du Furne corrigé et non du Furne. A signaler O·pGLPLRQ RULJLQMOH GX Rouge est consultable en ligne

sur Gallica.

- O·H[HPSOMLUH %XŃŃL ŃRQVHUYp GMQV OH © Fonds Bucci » de la Bibliothèque Sormani de Milan) est

ŃRQVXOPMNOH LYXHV QXPpULVpHV GHV SMJHV MQQRPpHV Ą PUMQVŃULSPLRQ@ HQ OLJQH j O·MGUHVVH VXLYMQPH :

http://www.digitami.it/stendhal/

Edition Pléiade (édition d·Yves Ansel)

Dans le tome I des °XYUHV romanesques complètes de Stendhal dans la Pléiade (2005).

C·est actuellement l·édition de référence. Elle donne, en appendice, l·article de Jules Janin, le projet

d·article de Stendhal (lettre à Salvagnoli) et un seul des articles de La Gazette des Tribunaux relatifs au

procès Berthet. Son intérêt est toutefois ailleurs, dans l·appareil critique :

- la notice fait délibérément le choix de ne pas envisager le roman selon l·optique des " sources »

et pilotis, mais dans l·optique du parcours de romancier de Stendhal. Genèse du roman, mais

envisagée dans la carrière de Beyle, dans son rapport aux divers genres littéraires, question du titre

et de la réception immédiate du roman, principes de poétique romanesque de Stendhal, telle qu·on

peut la reconstituer à partir du Rouge, liens roman et société, socialisation du roman et des

personnages, question du dénouement. Manque, à mon sens, la question des deux héroïnes, peu

abordée dans la Notice, mais présente dans les notes.

- Les notes critiques sont capitales, et d·un apport nouveau. Je recommande là-dessus la lecture

des pages intitulées " Le Rouge littéral : principe d·annotation » de la " Note sur le texte » dans

l·édition Pléiade (p. 984-991), qui fait l·histoire en quelques paragraphes des principes d·annotation

et de lecture du roman sur plus d·un siècle et fait le choix, salutaire, de ne pas cantonner

l·annotation du Rouge dans l·identification des sources, modèles et pilotis (inutiles pour tout lecteur

non spécialiste de Stendhal, et plus largement inutile pour tout lecteur de roman), mais au contraire

de mettre en avant la dimension romanesque, c'est-à-dire en fin de compte structurelle, du texte,

dans l·idée que " c·est le texte qui fait la loi, non le " modèle réel » », qu·un personnage prend sens

bien plus relativement aux autres, dans le système des personnages du Rouge que par rapport au

modèle réel qui lui a donné quelques traits. Les notes de l·édition Pléiade visent donc à assurer la

compréhension du texte, de lui rendre sa lisibilité. Donc des notes historiques ou critiques qui ne

sont pas des notes " sourcières » mais qui éclairent l· " outillage mental » (L. Febvre) de la France de

1830 et facilitent la compréhension immédiate du texte. Les agrégatifs devraient donc tirer grand

profit des notes de l·édition Pléiade.

6. Cf. Promenades dans Rome (1829), dans Voyages en Italie, éd. V. Del Litto, Gallimard, Pléiade, 1973, p.1069-1080.

4

II. BIBLIOGRAPHIE [X. B]:

A. Quelques ±XYUHV de Stendhal utiles pour la lecture du Rouge :

Outre La Chartreuse de Parme, qui risque d·être l·autre grande référence stendhalienne des

agrégatifs :

De l·Amour : pour l·analyse de l·amour-passion et de la cristallisation, utile pour les études de l·amour

dans Le Rouge. Armance : premier essai romanesque de Stendhal, " chronique de 1827 » en quelque sorte, qui tente

pour la première fois de lier romanesquement politique et intrigue amoureuse, mais sans y parvenir

aussi bien que dans Le Rouge. Sa lecture permettrait aux agrégatifs de cerner combien la formule

poétique du " roman chronique » est au point dans Le Rouge, après ce premier essai inabouti.

Vanina Vanini, texte contemporain du Rouge, qui, sur bien des points, est en écho avec le roman :

nouvelle qui pose la question des relations de l·amour et de la politique et qui offre, avec Vanina, un

personnage qu·on a souvent rapproché de Mathilde de La Mole.

Paris-Londres. Chroniques (éd. Renée Dénier, Paris, Stock, 1997) : rassemble les chroniques écrites par

Stendhal pour les journaux anglais sous la Restauration et qui sont une radiographie du champ politique

et culturel de la Restauration. Le Rouge hérite très directement des analyses stendhaliennes dans ce

domaine du journal (sur la congrégation, le pouvoir des ultras, etc.). Une sélection d·articles pourrait

être donnée aux agrégatifs.

Le Projet d·article sur Le Rouge et le Noir (lettre à Salvagnoli de 1832) : lecture capitale où Stendhal

revient sur son roman et explicite son projet. B. Bibliographie critique : les classiques de la critique universitaire Dans la bibliographie mise en ligne sur le site de la SERD, nous avons souligné en jaune les

éléments qui nous semblaient prioritaires pour le travail d·agrégation. Je ne ferai que rappeler et

commenter rapidement quelques points.

1. D·abord le Dictionnaire de Stendhal (Champion, 2003), outil de travail précieux

pour les agrégatifs. Leur fournit une table d·orientation tant ds l·quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46