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Dans "Le Lac", Lamartine se souvient de la femme aimée Julie Charles (Elvire) : c'est un poème sur le souvenir du bonheur passé et sur la fuite inexorable du 



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Méditations poétiques (1820), d'Alphonse de Lamartine, chef-d'œuvre du lyrisme amoureux et à ses peines Les plus célèbres de ces méditations : Le lac, L' immortalité, Le désespoir, L'isolement, Le soir, le Analyse du texte STROPHE 1 



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Evocation d'un souvenir : le poème de Lamartine s'ouvre sur le retour du poète au lieu d'une intimité heureuse et partagée Les trois premières strophes 



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III) a- Dans « Le lac », de Lamartine, le registre employé est le registre lyrique En effet, on retrouve dans ce poème l'expression des sentiments et des émotions 

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Outils de la langue et de l'analyse littéraire L'énonciation en poésie : le " je » du poète ------ Exercices supplémentaires Exercice 1 Lamartine, dans " le lac », évoque le souvenir d'Elvire, dans la réalité Julie Charles, la femme aimée qu'il avait rencontrée un an plus tôt au lac du Bourget. Il revient au bord du lac seul car Elvire est malade et va mourir. a) Relevez les différents pronoms personnels et dites qui ils désignent. b) Expliquez qui parle et montrez comment le changement de voix narrative donne au poème sa structure. c) En vous reportant au paratexte, expliquez en quoi le " je » employé dans la première partie est autobiographique. d) Expliquez qui est désigné par " nous » et quelle dimension l'emploi de ce pronom donne au poème. Le Lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,

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Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots " Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit.

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" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule, et nous passons ! » Alphonse de la Lamartine, " Le Lac » (extrait), Méditations poétiques, 1820. Exercice 2 a) Dans le poème suivant, relevez les pronoms et adjectifs possessifs de la deuxième personne du singulier : qui désignent-ils ? Quel est leur nombre et leur place ? b) Faites le même relevé et le même commentaire pour les pronoms et adjectifs possessifs de la deuxième personne du pluriel. c) Après avoir défini le thème et le propos du texte, dites à quel moment se fait le passage du " tu » au " vous » et ce que cette variation apporte au poème. Les pas Tes pas, enfants de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine, Qu'ils sont doux, tes pas retenus ! Dieux !... tous les dons que je devine Viennent à moi sur ces pieds nus ! Si, de tes lèvres avancées, Tu prépares pour l'apaiser, À l'habitant de mes pensées La nourriture d'un baiser, Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d'être et de n'être pas, Car j'ai vécu de vous attendre, Et mon coeur n'était que vos pas. Paul Valéry, " Les pas », Charmes, 1922.

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