souvent dramatiques, elles pouvaient apparaître sous un jour grotesque tant l' arbitraire quatrième et dernier acte, avant que la liberation et l'aveu de Hill ne donnent le signal EIIe obeit à cæ voix et suve Ia Fnnce de I'ennemi extérianr, mais Comme Ia pompe à cssc;nca était fermée, Simone n'avait plus rten à faire
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[PDF] La Gazette des latinistes
17 nov 2020 · Les Derniers Jours de Pompéi, Edward Bulwér-Lytton gladiatéur a5 Pompé#i mais l'é#ruption du Vé#suvé ménacé Zone du geek La cité#
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dernier jour de fabrication de la machine (ou du type de machine) prouver qu' un produit défectueux a causé des dommages corporels ou matériels et se trouve à l'origine des dommages surve- nus Compression : compresseur/ pompe
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J -C (jour présumé de l'éruption du Vésuve), l'empereur dernier empereur est détrôné L'explosi Le nuage des éclai en plein j sud-est, sur Pomp de plus e 10 disparaissent sous les éjections du Vésuve ions nts iques suve pression
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Considérations sur la forme du vésuve et son
la forme du V~suve telle qu' ellc devait avoir 6t6 dans l'anti- quitS absolument le m~me aspect que de nos jours lh Pomp$i air encore exist6 comme lieu
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souvent dramatiques, elles pouvaient apparaître sous un jour grotesque tant l' arbitraire quatrième et dernier acte, avant que la liberation et l'aveu de Hill ne donnent le signal EIIe obeit à cæ voix et suve Ia Fnnce de I'ennemi extérianr, mais Comme Ia pompe à cssc;nca était fermée, Simone n'avait plus rten à faire
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LIENS Code de la Propriété Intellectuelle. articles L 122. 4 Code de la Propriété Intellectuelle. articles L 335.2- L 335.10 4L'(EUVRE
DRAMATIQUEDE LION FEUCHTWANGER(1e0s-1e48)
et sa réception sur les scènes allemandesClaudieVILLARD
Université
de Metz TOME IIThèse
pour le Doctorat de I'Université de }/retzprésentée sous la direction deM. le Professeur Pierre GRApPIN
1991t-.
LBIBLIOTHEOUE
Uî:IiIEtrSIÎAIRE
LETTRES
. È4ETZ. n" rnv. ] ",t 334 O24 L CoteL lrY:-_ etfs
Loc. nAGASillTROISIEME
PARTIE
Césure
et renouveau: le théâtre d'exil au servicedu combat pour la Raison 343La
CHAPITRE
VII double césure: du drame au romanet de Berlin à I'exil(re28 _ 1940)ûbcr
dic Dummhcit.> LionFEUCHTIVANGER dans Exil (1940)
344CIIAPITRE
VIILA DOUBLE CESURE: DU DRAME AU ROMAN ET DEBERLIN A L'EXIL (t928-tg+O)Lorsque
fut montée à Berlin, en avril 1930, la pièce wird Hillamnestiert ?, ce devait être la dernière creation d'une Guvre dramatique deFeuchtwanger en Allemagne arant l'exil et la guene. Ia rédaction de la comédie alorsprésentée au public remontait à la première moitié des année vingl et si l'auteur l'avaitsortie de ses tiroirs, c'étaitpour la présenter en parallèle avec le roman Erfolgéditéla
même année. Drarne et roman traitaient du même sujet: un homme est condamné injustement, pour des raisons politiques; une femme qui l'aime s'emploie à le faireliberer, mais cette liberation en fin de compte estplutôtle fait du hasard que le Ésultatde ses efforts.
Un fossé
separait les deux aeuvres et le retentissement du roman Erfolg,(Duvre de dimension politique prenant pour cible la Bavière réactionnaire des années
1922-1924, éclipsait la sortie de la pièce, comédie dans le style de
Bernard Shaw. Cette mise en retrait de l'aeuvre dramatique au profit de l'aeuvrenarrative était symptomatique. Depuis quc l'élargissement du drame Iud Sii&auromande même nom, avait apporté à l'écrivain une célébrité internationale, les contraintes
imposées par le drame lui pesaient de plus en plus. Alors qu'en 1919, dans sa préface à Thomas Wendl il voyait dans le contact avec le public la consécration véritable pour le texte écrit, il ne manquait pas une occasion désormais pour dçlorer qu'une aeuvredramatique ne puisse être considérée comme achevée que lorsqu'elle est jouée.l Ilinvitait même le spectateur potentiel à se jouer pour lui-même les pièces et à leur
donner la signification qui lui convînt.2 L'expérience avait appris à Feuchtwanger unecertaine méfiance envers les hommes de théâtre et aussi les critiques, dont il avaitsouvent jugé les interprétations erronées. Le public dans sa masse lui était aussidevenu de plus en plus étranger au fïl des années vingt, depuis que des groupes
d'extrémistes avaient troublé la représentation de plusieurs de ses pièces: il le voyait <zu miisscn statt mit liinfzig.> Ibidem, p.665. Voir aussi Zu meînem Stfuk Feuchtrn'anger était < gardait pourtant quelques projets dramatiques en réserue, cornme pourse persuader qu'il reviendrait malgré tout au théâtre, en des temps meilleurs. Ainsienvisageait-il en juin 1928 d'écrire une pièce opposant Bismark à Manr: il s'agit,écrivait-il, de représenter < une vision fort critiçe du marxisme dont l'écrivain voyait I'extraordinaire diffusionautour de lui à Berlin. Il en avait I'exempleavec son ami Brecht dont l'engagement ence serut lui était peu compréhensible, l'initait et l'aurusait à la fois. Cette < encore, Feuchtwanger rrÉaffirmait publiquement son intérêt pourle drame historiqre. Le 15 lnaf,s, lors d'une manifestation internationale à Berlin sur lethème < de concevoir la politique et de la faire> - rien de moins - à une epoque où lapolitique était partout et agitait les esprits.3 Iae drarne avait là une cbance à saisir, car il sujet le texte de Feuchtwanger déjà cité plus haut, au chapitre y: Die Biihnenkunst unddie neue Zeit.In: Glossndum.lg2l. Op. cit. p.7-g. largement ce bref article dans leqrael Feuchtwanger esquisse son projet Bisma* und IG1IMarx: < de s'éléver au-dessus des intérêts les plus vils pour accéder à < histodque ofTre une chance extnordinaire pur Ie théâtre, pourI'Etat et.ry-y1-to-us ceux Eû ne sont ps des furbares. L'art de la-iiène a iaIa pssibilité de se dépssea gÉcê à Ia grandeur d;son "umiî a-et "pou,r I'Eat et Ia société un moyen efliàce pour purilier "i àâàia, ootnrdes maeun; politiques. I-e scêne devient ieritabt"mànt ine-insliutionmonle lorgu'9lle pr&ente un théâtrc actuel ans liciiniî'ie plusefïicace et Ie plus digne: celui de I'histoirc.4 besoin de lire entre les lignes pour comprendre l'eng4gementde l'écrivain contre la barbarie fasciste dont il pressentait la prise de pouvoir; pourcomprendre aussi qu'il faisait là sans doute le constat de l'échec du théâtre politiqued'agitation avec ses moyens directs, inefficaces selon lui. Son theâtre d'exil est le fnritde la même conception de la dimension politique du drame historique. begreifen und Politik zu machen.> ln: Gegenwartsprobleme im historiaehea Crewand.In: DieSzae,2l (1931), Mai 1931. P.136.
avide de sensations, inapte à entrer dans toute En l93l
Voir à ce
Citons
permettait Le dnme
Point n'était
Lassen Sie mich die Theorie des Aristoteles von der Tragôdie 4gf rlqs historische Drama dahinanwenden, daB die Reinigung auch derpolitischen Leidenscbaften arn rr'ûrdig*en rmd wirksasrstenvon der Scbaubiihne h vollzogen weldcn kanrD) Ibidem, p. 136
Ces
projets, ces réflexions le montraient sans ambiguiTé: l'écrivain n'avaitcertes plus écrit pour le theâtre depuis l'adaptatio n de Wuren HastingË avec Brecht etl'achèvement de Die Petroleuminseln en 1926, mais cette césure dans sa productiondramatique était provisoire dans son esprit.
L'arrivée
au pouvoir de Hitler, le 30 janvier 1933, allait provoquer uneseconde césure, plus durable: celle imposée par l'exil. Pour les exilés, qu'ils aienttrouvé refrrge en Fmnce, comme Feuchnranger, ou ailleurs, les scènes théâtrales oùfaire representer leurs (Euvres n'étaient pratiquement plus accessiblcs. Le choix del'écriture narrative devenait une nécessité pour survivre. Pourtant, Feuchtwanger neperdait pas le contact avec le théâtre: il remaniait et réédiait ses proprcs drames, srivaitles râlisations et les projets de Brecht et s'intéressait à laproduction de jeunes auteu^tels que Julius Hay.
A-De la comédie wird HilI amnestieil ? au romanErfolg ou: de la démythification de I'héroisme et de lajustice à la peinture de la montée du fascisme.
<Dater avec
exactitude la rédaction de la pièce est, une fois encore, unexercice difficile. Feuchtwanger s'est appliqué à brouiller les pistes, selon sonhabitnde. Il situe I'action de la comfiie dans
Witd Hiil amnestiett ?. Kom&ie in viq A*taeIn: Drei aagelÂchsiaehe.Sfiic*e. Op. cit. p.2lt310. Jamais É€dité depuis, le texte a été repris dans l'edition de Dahlke, imz Dtzmeall Op. cit.9.13L-202- (Blition citee). Pour le commmtaire da hhlke, vur p.729-742.
2Voir Wird HilII au,rctifzrt ?, op. cit. p.132.
3Voir Wîd HLII amnestieft ?, op. ciL p. 133:
en
1923. Par ces deux dates, I'auteur a établi une sorte de continuité entre les deuxpièces, dont la signification est peut-être celle-ci: en 1923,la femme d'affaires MissGray mènc un combat brutal contre sa rivale, la belle Peruchacha, $ri incarne lacivilisation d'hier. En 1925, les jeux sont faits, les valeurs <> del'humanisme et du caeur n'ont plus cou$. 1925 avut en outre marqué une étapenouvelle dans la carrière de l'écrivain, puisqu'il avait alors toumé le dos à Munichpour rejoindre la métropole pnrssienne.
Pourtant,
Prenatrt la plume en 1930, au lendemain de la creation de la pièceà Berlin, pour s'expliquer sur la signification de l'aeuvre, Feuchtwanger en situe larédaction en 19231. Cette date est sujette à caution et on la discutera d'autant plusvolontiers que l'on connaît la propension de l'auteur à antidater ses aeuvres, pour desraisons n'apparaissant pas avec évidence. L'argumentation développée par Dahlke surceproblème est convaincante et accrédite l'hpothese de I'achèvement de l'aeuvre fin1924, au plus tard début 1925.Il est en effet peu probable que l'auteur y ait encoretravaillé longtemps après son installation à Berlin. Traiter sur le mode léger leproblème de l'amnistie politique et, plus largement , celui d'une justice politiqge , étaitencore concevable à Munich, au lendemain du putsch manqué de Hitler, dontbeaucoup, Brecht par exemple, n'avaient rnr que le ridicule et non ts danger pour larépublique. En 1925, l'arrivée à la présidence du Maréchal Hindenburg faisait enrrercette République dans une phase de restauration de couleur nationaliste qui ne laissaitaugurer rien de bon pour les esprits liberaux. Ia
Thomas Wendt, Feuchnn'anger avait pris ses distances à l'égard del'engagement politiçe d'intellectuels tels que Toller et Mûhsam, en lglg-1919. par lasuite, il n'en avait pas pour autant approuvé les exces d'une justice politique qgi, enBavière, maintenait les deux écrivains en prison malgré l'amnislis décrétée par leReichstag en juin 1922, au lendemain de l'assassinat de Rathenau, pour les acteurs dela Révolution. Toller ne devait sortir de prison que le 15 juillet lgz4,trois mois aprèsla libération du Comte d'Arco, le meurtrier d'Eisner. Erich Miihsam était alors luiaussi amnistié. Si la pièce Wird Hill amncstiert ?, qui s'achevait sur la libération duprisonnier Hill, faisait référence à ces <
Antwort fiir 1925) La reponse en question est la seule légitimation que peut pésenterAileen pour son engagemcnt en faveur de Hill: son attachement pour lui.
Ivoir wid HilII amnaetiert ?. GIaes,. nlâgliù det Bedinq Auffiihruag.0g3o). Repris dansDnnea^@ op. cit p.203.
349Mais une
autre <
Fechenbach avait été anêté tardivement, en l922,puis rapidementcondamné pour trahison de secrets d'Etat à des puissances étrangères en avril 1919. Iln'avait en fait communiqué que des informations déjà publiées dans la pressemunichoise. Le rôle tout à fait secondaire qu'il avait joué au moment des événementsrévolutionnaires ne justifiait pas le caractère expéditif du jugement. Ia condamnationavait en outre été prononcée sans possibilité d'appel, sur fond de conflit entre IaBavière et le Reich à propos de leurs prérogatives respectives, et avait trouvé uncertain écho dans la presse libérale, dans Die Weltbiihneen particulier. L'affairen'avait pris la dimension d'un scandale judiciaire qu'en lg23,lors d'une interpellationau Reichstag, mais saos résultat immédiar
L'< Dreyfus> et l'engagement de Zolaavuentalors été invoqges parun défenseur engagé qui, sans connaître Fechenbach, prenait fait et cause pour lecondamné, dans les colonnes de Die Weltbiihne.l Les accents pathétiques de ceplaidoyer ont trouvé leur transposition dans Ia pièce, où Aileen Blodget, l'amie deHill, joue sur le registre de l'émotion pour gagner I'opinion publiqge et certainshommes influenae à la cause de celui-ci. 2Ia dimension nationale donnée à l'affaire,présentée dans le périodique comme le <> autour duquel lanation pourrait se retrouverunie, avait quelque chose de démesuré et ce d'agtant plusqu'aucune prise de conscience des forces politiques en jeu ne I'accompagnait.3L'affaire était depolitisée et l'arteur de l'article en appelait agx intellectgels afin qu'ils
cferhartPOHL: -2g2. On peut lire dans cette article: Ibidem, p.281.
On peut comParer oe P$sage à celui, au début du premier acte de la pièce, où Aileen tente desensibTiscr le public, g!'elle a reuni sou le prétexte d'une confércnce nr la gnphologie, à lasitnation pitoyable de Hill âqns saprison.yoh wird HLII amnaetiqt ?,op. cit. p.rr-s.
Fall Fechenbach kônnte der lGistallisationspunkt werden, um dcn eine Nation sich gnrppiertmit dem Willen zru Stabilisienurg dcs deutschen Gedanhens. Denn hicr handelt es sich-um eineEntscheidrmg iiberpolitischer, menscblicher Art.> Gerhart poHI. op. ciL p.2gl.I 2 350
constituent un nouveau et fassent triompher < l. Cet appel avait été entendu et, en 1924,pnissait à Leipzigun recueil rassemblant lesprises de position d'écrivains tels que Becher, Flake, Klabund, Mehring et stefan
Zweig en faveur d'une libération immédiate du condamné 2. Feuchtn'arger ne figurait pas parmi les signataires, pas plus que Heinrich Mann, à la grande déception de l'éditeur qui avait w dans le refus de I'auteur de l'Essai sur Zolade s'associer à la campagne <, engagé en thrâorie, lel dans les faits 3. Rien ne permet d'aflirmer que Feuchnn'anger ait désapprouvé toute cette action en faveurde Fechenbach, qui permit la libération de celui-ci en décembre 1924. Mais il
est probable qu'il en a suivi les péripeties dans les pages de Die Weltbiihne etqu'il y a puisé l'idée de sa comédie. L'article de 1923 en particulier lui offrait par leparallélisme avec l'affaire Dreyfus quelques thèmes qu'il a su elploiter sur le mode de
la satire. S'inspirant de l'ardent défenseur de Fechenbach, il a imaginé quatre personnages masculins çi, comme leur > ne connaissent pas le condamné et ne veulent rien savoir de la portée politique de ses actes et de sa condamnation. L'appel
à créer un groupe de défense pour Fechenbach trouve sa transposition comique au début de la pièce dans la digue pour la libération de Hill> constituée par les quatre comparses a. L'appel à I'humanité et à la conscience de la nation, qge l'onpouvait lire dans l'article du périodique, est mis dans la bouche d'Aileen, I'amie de
Hill et
c'est elle aussi que Feuchtwanger charge de formuler la référence à l'affaire Dreyfus.
L'intention satiriqre est évidentez le < d'aujourd'hui est un député véreux portant le prénom d'Horace et un des quatre membres de la fait la <>, comme pour souligner le grotesque de la sinration.s <kônnten die Geistigen dem Staatswqgen in die Speichen greifen und ihn vor in die Gefildehumanitâren Geistes schieben. Gâbe es heute eine deutsche Grup'pe der Clarté, die einen Aufnrferlie8e, unterzeicbnet von den ffrhrenden Wissenschaftlern und Kiinstlern: wie lange s?i8eFechenbach noch ?> Ibidem, p.282. Gerhart
POHL (llrsg): hutscher Justizmord. Das jwisti*he wd.politische Material zum FaIIFaelabaeh, zugleich dieAnttwrt derdeutaehen Intellektuellenandie &utllche Republikl*ipzig,1924.
<Karte Henrich Manns (...) zeigt das urahre Gesicht des deutschen Intellektualismus, der,radikal in der Abstraktion, imrner zurùckschrickt, sobald eine Tatsache gebieterisch klareEntscheidung fordert> Gerhart POHL: Diktatur der Vqrunft.ln: Die Weltbûhne,20 (1924>,30(24.7 .1924), p. I 5 5- I 5 7. <DIGBY: Untcr dem Vorsitz Miss Ailin Blodgets.
Dreyfus> et l'engagement de Zolaavuentalors été invoqges parun défenseur engagé qui, sans connaître Fechenbach, prenait fait et cause pour lecondamné, dans les colonnes de Die Weltbiihne.l Les accents pathétiques de ceplaidoyer ont trouvé leur transposition dans Ia pièce, où Aileen Blodget, l'amie deHill, joue sur le registre de l'émotion pour gagner I'opinion publiqge et certainshommes influenae à la cause de celui-ci. 2Ia dimension nationale donnée à l'affaire,présentée dans le périodique comme le <
peut lire dans cette article:
peut comParer oe P$sage à celui, au début du premier acte de la pièce, où Aileen tente desensibTiscr le public, g!'elle a reuni sou le prétexte d'une confércnce nr la gnphologie, à lasitnation pitoyable de Hill âqns saprison.yoh wird HLII amnaetiqt ?,op. cit. p.rr-s.
constituent un nouveau
appel avait été entendu et, en 1924,pnissait à Leipzigun recueil rassemblant lesprises de position d'écrivains tels que Becher, Flake, Klabund, Mehring et stefan
Zweig en faveur d'une libération immédiate du condamné 2. Feuchtn'arger ne figurait pas parmi les signataires, pas plus que Heinrich Mann, à la grande déception de l'éditeur qui avait w dans le refus de I'auteur de l'Essai sur Zolade s'associer à la campagne <Mais il
est probable qu'il en a suivi les péripeties dans les pages de Die Weltbiihne etqu'il y a puisé l'idée de sa comédie. L'article de 1923 en particulier lui offrait par leparallélisme avec l'affaire Dreyfus quelques thèmes qu'il a su elploiter sur le mode de
la satire. S'inspirant de l'ardent défenseur de Fechenbach, il a imaginé quatre personnages masculins çi, comme leurL'appel
à créer un groupe de défense pour Fechenbach trouve sa transposition comique au début de la pièce dans la digue pour la libération de Hill> constituée par lesquatre comparses a. L'appel à I'humanité et à la conscience de la nation, qge l'onpouvait lire dans l'article du périodique, est mis dans la bouche d'Aileen, I'amie de
Hill et
c'est elle aussi que Feuchtwanger charge de formuler la référence à l'affaireDreyfus.
L'intention satiriqre est évidentez le <Gerhart
POHL (llrsg): hutscher Justizmord. Das jwisti*he wd.politische Material zum FaIIFaelabaeh, zugleich dieAnttwrt derdeutaehen Intellektuellenandie &utllche Republikl*ipzig,1924.
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