12 juil 2020 · notamment auprès de la BIRD (7,6 MMDH) et de la BAD (2,3 BCP a finalisé en octobre 2019 l'acquisition des 3 actifs Primes d'émission, de fusion et d'apport 11 066 547 FCP Iddikhar Chaabi Tawil Al Mada 0,40
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31 août 2020 · 11, Avenue Bir KACEM Souissi de la BCP suite à la fusion de la BP Fès Taza et BP Meknès Forte d'une expérience de 17 ans en fusions acquisitions chez Rothschild et exécutant FCP Iddikhar Chaabi Tawil Al Mada
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24 mai 2019 · n'autorisent pas la souscription ou l'acquisition des titres de capital, objet de ladite 11, Avenue Bir Le 29 octobre 2010, suite à l'opération de fusion- absorption de la BP Casa par la FCP Iddikhar Chaabi Tawil Al Mada
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12 juil 2020 · notamment auprès de la BIRD (7,6 MMDH) et de la BAD (2,3 BCP a finalisé en octobre 2019 l'acquisition des 3 actifs Primes d'émission, de fusion et d'apport 11 066 547 FCP Iddikhar Chaabi Tawil Al Mada 0,40
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Le CDVM a fait le choix de l'acquisition d'un progiciel qualité en 2009 la fusion absorption de DISTRISOFT par MATEL PC MARKET La fusion des Imm Romandie I, Bd Bir Anzarane, Maârif, AL IDDIKHAR CHAABI TAWIL AL MADA
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l acquisition parts gales du capital de la Q Fusion absorption de la soci t Safripac Bd Bir Anzarane Ma rif AL IDDIKHAR CHAABI TAWIL AL MADA FCP
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Le résultat de cette fusion humaine et culturelle se manifeste aujourd'hui bîr 7zm-ktn: puits sacré des lieux saints duquel les pélerins rapportent toujours un acquisition par la Eadition thérapeutique locale est récente gar'a tawîl a (litt
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RAPPORT DE
GESTION
EXERCICE 2019
2RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
3RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
I. EVOLUTION DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE ET BANCAIREI-1. CONJONCTURE INTERNATIONALE
I-2. CONJONCTURE ECONOMIQUE NATIONALE
II. ACTIVITE ET RESULTATS DE LA BANQUE CENTRALE POPULAIREII-1. ACTIVITE D"INTERMEDIATION DE LA BCP
II-2. ACTIVITES DE MARCHE
II-3. RESULTATS
II-4. CONTRIBUTION DES FILIALES
II-5. ORGANISATION ET SYSTEMES D"INFORMATION
II-6. QUALITE
II-7. GESTION GLOBALE DES RISQUES
II-8. GESTION ALM
II-9. NOTATION DE STANDARD AND POOR"S ET DE MOODY"SII-10. VISION STRATEGIQUE ET PERSPECTIVES 2020
III. ANNEXES
4RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
L"économie mondiale a considérablement fléchi en 2019 en raison de plusieurs évènements, dont notamment : l"accentuation des tensions commerciales sino-américaines, l"exacerbation des tensions géopolitiques en particulier entre les Etats-Unis et l"Iran, ainsi que la poursuite de l"atonie de l"activité économique en Zone Euro et de persistance des incertitudes autour du Brexit. Après plusieurs révisions à la baisse, le FMI ramène finalement son estimation de croissance mondiale autour de 2,9% en 2019, soit son rythme le plus lent depuis le déclenchement de la crise financière internationale de 2008. La fragilité de l"activité aura été largement observée dans les économies avancées.Aux Etats-Unis, le rythme de croissance a
été plus lent en 2019 se situant à 2,3% (Vs.2,9% en 2018), en raison particulièrement
d"un ralentissement de l"investissement des entreprises et d"un affaiblissement de la demande extérieure. Au registre de la politique monétaire, la dégradation de l"activité économique et la décélération de l"inflation ont amené la Réserve fédérale américaine (Fed) à alléger sa politique monétaire. Au cours de l"exercice 2019, l"institution monétaire américaine a opéré trois abaissements de ses taux directeurs pour les ramener en octobre2019 à 1,75%, contre quatre relèvements de
taux en 2018. Pour la Zone Euro, son activité s"est sensiblement dégradée sur fond particulièrement de tassement de la production industrielle et des exportations. Ceci intervient malgré le maintien d"une politique monétaire accommodante avec une relance de son programme de rachats nets d"actifs à hauteur de 20 Milliards d"euros par mois. L"activité s"est affichée au ralenti à 1,2% en 2019 (Vs. 1,9% un an auparavant), plombée par la persistance des incertitudes autour du commerce mondial, le maintien de la volatilité des marchés des produits de base et la succession de chocs politiques et sociaux dans certains pays de la Zone Euro. Le ralentissement de l"activité a été encore plus prononcé dans les pays émergents et en développement, avec une croissance économique en creux à 3,7% en 2019 (Vs. 4,5% en 2018). La Chine aura particulièrement souffert de l"affaiblissement de la demande extérieure, avec l"application par Washington de taxes douanières restrictives sur les produits chinois. L"Inde a fait les frais, pour sa part, d"une demande intérieure en berne sur fond particulièrement de décélération de la croissance des crédits.Notons aussi les mauvaises performances du
Brésil, confronté à des perturbations dans le secteur minier, ainsi que de l"Argentine, qui a souffert de la dégradation de la confiance et du durcissement des conditions de financement extérieur.Dans la région du Moyen-Orient, la situation
géopolitique demeure tendue. La croissance dans la région a sensiblement ralenti atteignant0,8% en 2019 (Vs. 1,9% un an plus tôt), sous
l"effet principalement de la révision à la baisse des prévisions pour l"Arabie-Saoudite et l"Iran.I-1. CONJONCTURE INTERNATIONALE
Monde :
I-EVOLUTION DE LA CONJONCTURE
ECONOMIQUE ET BANCAIRE
5RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
S"agissant enfin des cours pétroliers, ceux-ci ont emprunté une tendance globalement haussière entre
début janvier 2019 et fin avril 2019, soutenus particulièrement par le maintien de l"Opep et de ses partenaires de leurs efforts en matière de réduction du niveau de production de brut, ainsi que des interruptions liées aux sanctions américaines frappant l"Iran et le Venezuela. A compter du mois de mai 2019, la volatilité des cours était le maître mot. Les cours pétroliers ont été tiraillés entre la perspective de conclusion d"un compromis entre Washington et Pékin au sujet de leurs différends commerciaux, la montée des tensions géopolitiques autour de l"Iran et l"Arabie-Saoudite et la persistance des signaux confirmant un ralentissement del"activité économique mondiale.Pour ce qui est du volume du commerce mondial (biens & services), son rythme de croissance
continue de se rétracter affichant en 2019 une nette décélération à 1,0% (Vs. 3,7% en 2018), sa plus
faible évolution depuis l"année 2010. Ce ralentissement notable est à mettre à l"actif de plusieurs
facteurs, dont notamment l"exacerbation des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine.Emergents & en développement
Etats-Unis
Zone Euro
Croissance du PIB au plan mondial (Var du PIB en volume) 2,5 05 -2,5 -520182019e2017201620152014201320122011
1,51,86,2
-0,72,3 5,1 -0,42,250,92,44,6
22,64,3
1,22,33,7
1,92,94,5
2,44,8
4,41,51,82,2
Evolution du commerce mondial (en volume)
Imports (Emergents & en dév)
Imports (Pays avancés)
Volume commerce mondial (biens & services)
05102019e
4,7
1,15,7
7,5 5,1 1,2 35,53,94 2,4
1,80,30,73,6
2,18,8
6,1 2,93,52,6
20112012201320142015201620172018
3,52,24,7
5,4 3,7 1 Evolution des cours pétroliers en moyenne annuelle (En USD/Baril)79,4111,2111,7108,699
52,452,868,3
60,643,5
40
080
120
Source : FMI
Source : FMI
6RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
En Afrique Subsaharienne, la croissance s"est finalement stabilisée en 2019 autour des 3,3%. L"économie du Nigéria retrouve un peu de dynamisme grâce, notamment, au raffermissement descours pétroliers, tandis qu"en Afrique du Sud, l"activité aura été atone impactée par des grèves aux
conséquences plus importantes qu"attendu. Par ailleurs, de nombreux autres pays dont l"économie
est généralement plus diversifiée ont fait preuve en 2019 d"une croissance économique vigoureuse.
Le panorama global occulte des disparités considérables entre deux groupes de pays. Les paysimportateurs de pétrole (hors Afrique du Sud), dotés d"une économie plus diversifiée, auraient
maintenu un rythme de croissance soutenu de près de 5,5% en moyenne, tandis que la croissancedans les pays exportateurs de produits pétroliers se serait limitée à 2,2% en moyenne (Vs. 1,4% en
2018).
Par sous-région, le taux de croissance en zone UEMOA (Union économique et monétaireouest-africaine) se serait amélioré à 6,6% (Vs. 6,3% en 2018), avec des taux variant entre 7,5% pour
la Côte d"Ivoire, 6,9% pour le Sénégal, 6,5% pour le Niger et 5,0% aussi bien pour le Mali que pour le
Togo. Dans la zone CEMAC (Communauté économique & monétaire des Etats de l"Afrique Centrale),
le PIB se serait bonifié passant de 1,7% en 2018 à 3,3% en 2019, en dépit de la poursuite de la
récession économique en Guinée équatoriale, qui a enregistré une nouvelle chute de 4,0% de son
PIB (Vs. -5,7% en 2018).
Afrique Subsaharienne :
1 -1 -3 -53 579Croissance du PIB en Afrique Subsaharienne
(Var du PIB en volume)Pays exportateurs de pétrole
Afrique Subsaharienne
Pays importateurs de pétrole
5,0%Mali
7,5%Côte d'ivoire
6,3%Niger
6,0%Sénégal
5,1%Togo
3,9%Maurice
5,7%Mauritanie
5,2%Madagascar
4%Cameroun
4%Congo
6,6%Bénin
5,9%Guinée
4,5%Centrafrique
6,0%Burkina Faso
Croissance du PIB réel par pays d'implantation
(estimations 2019)Source : FMI
7RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
I-2. CONJONCTURE ECONOMIQUE NATIONALE
Dans un contexte d"activité économique mondiale fragile, notamment en Zone Euro qui est notreprincipal partenaire économique, conjuguée à un repli de 5,4% de la valeur ajoutée agricole (Vs.
4,0% en 2018), la croissance du PIB national aurait clôturé l"exercice 2019 au ralenti à seulement 2,3%
(Vs. 3,0% en 2018), selon le HCP. Cette évolution inclut, néanmoins, une amélioration du rythme de
croissance du PIB non agricole atteignant 3,3% (Vs. 3,0% un an auparavant), sous l"effet notamment du raffermissement du secteur tertiaire. La consommation des ménages continue d"être le principal ressort de la croissance et ce, en dépit d"une modération des revenus agricoles et d"une quasi-stagnation des transferts MRE. Laconsommation des ménages aurait maintenu son rythme de croissance à 3,3% en 2019, correspondant
à une contribution de l"ordre de 2 pts à la croissance du PIB.Pour sa part, le volume d"investissement se serait raffermi favorisé particulièrement par la hausse de
l"investissement de l"administration publique en infrastructure de base. La formation brute du capital
fixe (FBCF) se serait accrue de 2,4% (Vs. 1,2% en 2018), moyennant une contribution à la croissance
du PIB de 0,7 pt.Au final, le solde des échanges extérieurs aurait dégagé à nouveau une contribution négative de
0,4 pt à la croissance du PIB en 2019 et ce, malgré le bon comportement des échanges nets des
services, notamment les recettes touristiques.En termes de perspectives économiques nationales pour l"année 2020, celles-ci devraient être
marquées par une reprise des activités agricoles, confortées particulièrement par la consolidation des
autres cultures et de l"élevage. S"agissant des activités non agricoles, celles-ci devraient poursuivre
leur bonne orientation, profitant d"une reprise attendue de la demande extérieure. En somme, lacroissance du PIB national devrait se situer en 2020 autour de 3,5%, selon le HCP (3,7% d"après le
Ministère de l"Economie & des Finances).
3,7% 1,0%0,6% 0,9% 1,3% 1,5%
0,4% 1,6% 1,6%
0,7% 1,9%
0,2%Croissance du PIB du Maroc (en Volume)
2016201720182019e
PIB1,1%4,2%3,0%2,3%
VA non agricole3,1%3,0%3,0%3,3%
Consommation
des ménages3,7%3,8%3,3%3,3%FBCF8,7%-0,2%1,2%2,4%
Source : HCP
8RAPPORT DE GESTION EXERCICE 2019"
Dettes envers les établissements de crédit
L"encours des ressources de trésorerie de la BCP a atteint 142.695 MDH à fin décembre 2019 contre
139.719 MDH un an auparavant, soit une hausse de 2.975 MDH ou +2,1%.
Ces dettes sont composées principalement des ressources des BPR confiées à la BCP sous forme
d"excédents de trésorerie et d"emplois obligatoires (réserve monétaire).Dépôts de la clientèle (1)
Les dépôts de la clientèle de la BCP se sont chiffrés à fin 2019 à 59.640 MDH contre 62.414 MDH à fin
2018, affichant une baisse de 2.774 MDH ou -4,7%, suite essentiellement au recul des DAT entreprises
de -3,8 milliards de DH et des autres comptes créditeurs de -868 millions de dirhams, compensé par
la progression de l"activité de collecte sur le marché des particuliers locaux de 1,5 milliard de DH.