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Il est impossible d'observer la variation des prix de tous les biens d'une économie On construit donc un indice des prix pour mesurer les variations observées



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Il est impossible d'observer la variation des prix de tous les biens d'une économie On construit donc un indice des prix pour mesurer les variations observées



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1

1.1. Définition

hausse continue du niveau général des prix espace donné. Elle se distingue donc : part, des hausses de prix généralisées mais sans lendemain.

1.2. Comment mesure-t- ?

sur une période donnée.

Il est imp

consommation mesure le prix des biens et des services proposés aux consommateurs sur échantillon de biens et services, représentatif de la de certains types de actualisé tous les ans. Cet huile de tournesol ») sur tout le territoire. On agrège

ensuite ces indices par catégories de plus en plus larges (" huile et margarines », " huiles et

graisses », " produits alimentaires structure de consommation des ménages, elle-même mise à jour chaque année. indice des prix à la consommation, ou IPC, mesure les variations, dans le temps, des prix des biens de consommation et des services acquis, utilisés ou payés par les ménages. Les IPC visent à couvrir toute la palette des B&S consommés par la population sur représentatif appelé "panier de la ménagère». Ce panier de biens et de services comprend, par exemple, des denrées alimentaires et des boissons, des produits logement et à , de santé, de transport, de communication et , loisirs et culture, les restaurants s économiques

Euros constants et euros courants

autrement dit sans correction. Le passage en euros constants permet de comparer un bien sur deux périodes en éliminan : entre euros en 1997 vaut donc 2 (12000/114,9)x100 = 10444 euros base 100 en 1990).

Variation nominale et variation réelle

Une grandeur nominale est une grandeur exprimée en euros courants. Son évolution tient en volume nominal. général des prix : est dite rampante Cet Si le taux de croissance des prix est à deux chiffres (à partir de 10% par an), on parle inflation galopante. i a frappé les pays industrialisés au cours des années 1970. est une situation extrême. Elle concerne des périodes où le taux mensuel pas en taux annuel, mais plutôt en taux mensuel, voire même journalier. Elle survient en général en cas de crise profonde (par exemple après une guerre). On parle de désinflation : par exemple, lorsque le taux sse de 10% à 8%, puis à 7% et ainsi de suite. Il ne faut pas confondre Pdéflation désigne une situation de baisse des prix. Ce qui faut que ce mouvement soit général et durable considérée comme de la déflation. La crise des années 30 est un exemple de période de déflation. phénomène. e. Elle influence seulement le niveau des prix. A la base de ces idées

monétaristes, on trouve la théorie quantitative de la monnaie. Sa formalisation la plus courante

TPVM u

où : - M est la masse monétaire en circulation, V est

la vitesse de circulation de la monnaie (une même unité monétaire est utilisée plusieurs fois

pendant une période donnée pour procéder à des paiements), P est le niveau général des prix, T

3

est le volume de transactions à assurer. On a donc une égalité entre la quantité de monnaie en

circulation (M V) et la valeur globale des échanges (P T). A vitesse de circulation de la

monnaie constante, toute augmentation de la masse monétaire supérieure à celle de la

production réelle se traduira par u : quand les

demandes et offres (phénomène illusion monétaire). Pour eux, il faut donc contenir

du phénomène inflation qui réfutent cette dichotomie économie monétaire/économie réelle.

Elles se distinguent des théories monétaristes sur deux points

seulement le résultat de la création monétaire et cette inflation a des conséquences sur

On peut également expliquer les phénomènes inflationnistes par un excès durable de la

sommation ons (prix, revenus, rémunération de les quantités.

productives (hommes, capital et matières premières), les stocks et les importations étant

matières premières) pendant un temps certain1. ainsi. facteurs d : -mêmes élèveront leurs prix ; aux consommateurs qui revendiquent alors de nouvelles hausses de rémunération. 1

disponible est employée (dans le cas contraire, la production peut augmenter grâce au facteur travail).

4 la rémunération des facteurs peut provenir de la croissance des coût des importations2 (exemple type du choc pétrolier de 1973). A la fin des années 50, par-

1957 en Grande-

variation des salaires nominaux3 et le taux de chômage, connue sous le nom de " courbe de

Phillips ».

Certains économistes ont trouvé dans cette relation une confirmation de Keynes pour qui

(le plein emploi entraîne une augmentation des coûts salariaux qui entraînent à leur tour

dilemme inflation-chômage.

Cependant cette analyse a été combattue par des monétaristes pour qui elle ne peut être valable

2.4 flation structurelle qui explique la Çdes prix par les structures du système

économique

3. La grande déflation : la crise de 1929

On peut distinguer trois formes de déflation : la déflation monétaire, la déflation financière, et

la déflation réelle. La déflation monétaire se caractérise par une diminution des moyens de

paiement en circulation, autrement dit par une réduction de la quantité de monnaie à disposition

des agents économiques. La déflation financière correspond à la contraction du crédit

disponible accordé par le système bancaire. La principale manifestation de ces deux formes de déflation est la baisse des prix des biens et des services. La déflation réelle est synonym 2

3 Les salaires réels touchés par

5

La crise de 1929 est essentiellement américaine. Elle éclate à la bourse de New-York le jeudi

24 octobre. Elle fait suite à une période de hausse spéculative tant sur le marché financier que

sur le marché immob

monétaire élevée. Car en réalité, le crédit alimente plus la spéculation boursière et immobilière

Unis ne peut cependant pas justifier une telle hausse des cours. Malgré les déclarations

ne peut pas durer, mais per de peur de stopper la croissance économique. Le " jeudi noir

première fois. Dès le début de la semaine suivante, le processus de baisse redémarre et plus rien

entier. Aux Etats-Unis, la production industrielle diminue de moitié et les prix de gros chutent de 30%. Les faillites des banques impliquées dans la spéculation sont spectaculaires, elles

atteignent ensuite les banques saines par contagion. Les crédits non remboursés contribuent à

produits a France, la production industrielle chute de près de 30%. Les prix de gros retrouvent le niveau uatre ans. Toutes

les principales nations capitalistes sont en situation de déflation. Le protectionnisme se

du travail à outrance et des bas salaires (le taylorisme) et la nécessité de son remplacement par

une consommation de masse (le fordisme).

Avant la crise, la création monétaire excessive alimente la spéculation à tous les niveaux et

e (sauf en

France), car elle reste cantonnée à la sphère immobilière et financière. La crise entraîne ensuite

remboursés, aux faillites bancaires et aux politiques monétai venant complètement à contre- La déflation de 1929-étaire et plus précisément causée par une insuffisance de crédit renforcée par les faillites bancaires.

4. Trichet : " »

monétariste : " », formule qui

étant due à un excès de la

demande globale. Cette formule justifie les politiques de contrôle de la masse monétaire pour

stable de la masse monétaire, à un rythme inchangé année après année), car si la demande de

6 monnaie est stable, comme le montre FRIEDMAN, il faut p Les banquiers centraux ont longtemps nié cette formule, avant de se rallier plus ou moins à un monétarisme pratique monnaie pour éviter un dérapage inflationniste. Mais certains, comme GREENSPAN aux Etats- : on vient encore de le voir la semaine dernière, où GREENSPAN a augmenté d des liquidités. Les déclarations de Jean-Claude TRICHET, Président de la Banque centrale européenne, au

Figaro-économie, montrent que la BCE est consciente de cette question : " Notre analyse

monétaire est importante paiements) et de sa composante la plus liquide M1 (monnaie fiduciaire), particulièrement

le dynamisme des prêts au secteur privé qui progressent beaucoup plus vite que le PIB en valeur.

proche de 2% joue un rôle important dans notre communication avec les observateurs, les

ménages et les agents économiques en général. Nous aidons tous les décideurs à faire les

la dissuasion efficace. ».

5.1. P

priorité. A cette époque, la hausse du prix du pétrole avait causé une hausse des prix, qui avait

entraîné une hausse des

inflationniste dont Jean-Claude Trichet et la BCE ont très sérieusement craint le retour pas plus

-là : dans certains mment toujours plus vite que les salaires L est fonction de ce qui va 7 se passer demain, comme les entrepreneurs : difficile de procéder à un investissement si vous ne pouvez pas anticiper le niveau futur de vos coûts de production, et de vos prix de vente. lation - end la croissance économique déséquilibrée et provoque la -t- fait, soutenir temporairement la demande. Mais surtout des dettes. Supposons que vous devez rembourser un crédit immobilier, avec un versement de de votre crédit représente 33% v -500) en 2009 ; il est

Il vous faut dépenser

lation accroît donc le niveau de vie des débiteurs. Réciproquement, elle diminue le niveau re temps, il pourra acheter

La grande inflation des années 1960 et surtout 1970 avait fortement réduit la valeur réelle de

ceux qui possèdent un patrimoine qui procure un revenu fixe, ou en tous cas qui augmente

Dominique Lévy et Gérard Duménil, les classes propriétaires et capitalistes ont fait en sorte que

les politiques économiques accordent . déflation ? consommateurs est augmenté. Cela stimule la consommation, et redonne du travail aux x relance la demande et permet la 8 ns que les prix et les salaires baissent de 33%. Votre revenu passe de

très sérieusement amputé. Votre consommation va alors être fortement réduite, même malgré

la baisse du prix des biens de consommation (Les prix ayant baissé de 33%, il vous faudrait ettent t fortement diminué, du fait de la baisse et licenciements.

Le même mécanisme se produit sur les marchés financiers : en situation de déflation, les acteurs

vendre toujours plus, ce qui ne fait que diminuer toujours plus le prix de ces actifs. A la limite,

1930).

5.4. Comment lutter contre la déflation ?

Ni la France ni la zone euro ne sont actuellement en situation de déflation. Les prix stagnent,

baissent par endroits, mais nous ne sommes pas en situation de baisse généralisée des prix. De

s plus ; mais cela est un autre problème). On ne peut pas faire la même chose avec la déflation. Pour pouvoir agir contre la baisse des

centrales, à commencer par la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ont baissé très fortement leurs

moment-là, il aurait été trop tard.

5.5. Conclusion

9

Il faut à tout prix éviter la déf

les Banques Centrales est une excellente chose. Certes, cette baisse des taux pourra nourrir -là à ce moment-là, Elle accompagne normalement les économies en croissance.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46