[PDF] [PDF] Logique

Le programme officiel de mathématiques supérieures prévoit que les notions apparaissant dans les trois premiers chapitres (logique, ensembles et applications, 



Previous PDF Next PDF





[PDF] Logique

Le programme officiel de mathématiques supérieures prévoit que les notions apparaissant dans les trois premiers chapitres (logique, ensembles et applications, 



[PDF] Introduction à la Logique Mathématique

tifs) et dériver, à partir de notre liste d'axiomes, les propriétés des ensembles qui nous permettent de mener des raisonnements mathématiques Bien sûr, il faut 



[PDF] La logique des mathématiques - Numdam

fonction logique, quand elle fait intervenir d'autres fonctions logiques, n'exige l' emploi'd'aucun des deux derniers procédés énumérés dans la remarque XL (p 23) 



[PDF] TD : Exercices de logique - Mathématiques à Angers

TD mathématiques : logique 1/9 TD : Exercices de Exercice 7 Examiner les relations logiques existant entre les assertions suivantes : A - Tous les hommes 



[PDF] Logique, ensembles, raisonnements - Exo7 - Exercices de

Compléter les pointillés par le connecteur logique qui s'impose : ⇔, ⇐, ⇒ 1 x ∈ R x2 Sachant que la proposition en langage mathématique s'écrit ∀x ∈ Z 



[PDF] Logique, ensembles, raisonnements 1 Logique

Exercice 3 Compléter les pointillés par le connecteur logique qui s'impose : ⇔, ⇐ , ⇒ 1 x ∈ R Sachant que la proposition en langage mathématique s'écrit



[PDF] Cours de logique

Ce cours présentera quelques résultats de base en logique mathématique ( http://www logique jussieu fr/∼hils/enseignement/Notes Cours2012-13 pdf )



[PDF] Logique mathématique : introduction - IRIF

29 sept 2004 · Frege souhaite donner des fondements purement logiques aux mathématiques Il rejoint en cela Cantor qui fonde les mathématiques sur la 



[PDF] Support de cours Logique Mathématique

Le calcul des propositions ou calcul propositionnel est une théorie logique ayant pour objet l'étude des relations logiques entre «propositions» et définissant les 



[PDF] COURS DE LOGIQUE MATHEMATIQUE - ESEN

7 nov 2016 · notions mathématiques utiles pour la conception d'algorithmes et le Démonstration de formules (Logique des tables de vérité, Théorie de

[PDF] logique seconde

[PDF] Logique sens de variation de la fonction carre

[PDF] logistique au maroc pdf

[PDF] logistique de production cours

[PDF] logistique de production et de distribution

[PDF] logistique globale cours

[PDF] logistique globale définition

[PDF] logistique globale pdf

[PDF] logo aston martin png

[PDF] logo aston martin racing

[PDF] logo aston martin vectoriel

[PDF] logo bentley

[PDF] logo china export

[PDF] logo ministère de l'agriculture maroc

[PDF] logo ministère de l'éducation nationale maroc

[PDF] Logique ECE1-B2015-2016CH I : Logique et raisonnements mathématiques Dans ce chapitre, on introduit la syntaxe et la sémantique d"éléments de base du langage mathématique. L"objectif est double : pouvoir comprendre et écrire des phrases mathématiques simples, donner des bases rigoureuses afin de pouvoir démontrer ce type de phrases mathématiques.

I. Propositions mathématiques

DéfinitionProposition mathématique

On appelleproposition mathématiqueun énoncé auquel on peut attri- buer une valeur de vérité (vrai ou faux).

Exemple

Les énoncés suivants sont des propositions mathématiques. a)1 + 1 = 2

Cette proposition

est vraie.b)1 + 1 = 3

Cette proposition

est fausse.c)ln(1) = 1

Cette proposition

est fausse.

Par contre,1 + 12et(p18)

3ne sont pas des propositions puisqu"on ne

peut leur attribuer de valeur de vérité. Ce sont des expressions arithmé- tiques dont le résultat est un réel. Il est à noter qu"une proposition mathématique peut comporter des va- riables. En conséquence, il est possible que la valeur de vérité d"une propo- sition dépende du choix de ces variables.Exemple Les énoncés suivants sont des propositions dont la valeur de vérité dépend du choix des variables. a)x+ 2>4 cette proposition est vraie pour toutxplus grand que2, cette proposition est fausse sinoni.e.pour toutxstrictement infé- rieur à2. b)px 2=x cette proposition est vraie pour toutxplus grand que0, cette proposition est fausse sinoni.e.pour toutxstrictement infé- rieur à0. c)px

2+y2=x+y

Pour connaître la valeur de vérité cette proposition, on aimerait la sim- plifier, en commençant par se débarrasser de l"opérateurp: Une telle démarche est périlleuse : si on reprend la proposition précé- dente :px

2=x, une élévation au carré de part et d"autre du symbole

d"égalité fournit l"expression :x2=x2, qui est vraie pour toutxréel! L"élévation au carré n"est donc pas un opérateur neutre en terme de valeur de vérité (nous reviendrons plus tard sur ce point). Sans entrer dans les détails, on peut remarquer que : six= 0, la proposition est vraie pour touty>0, siy= 0, la proposition est vraie pour toutx>0, six <0ety <0, la proposition est fausse. Par contre,10x(py)n"est pas une proposition. C"est une expression arithmétique dont le résultat est un réel. On peut nommer une proposition. Si elle dépend d"une variable explici- tement donnée, on fera apparaître cette dépendance. Par exemple, on pourra noterp(x;y)la propositionpx

2+y2=x+y.1

ECE1-B2015-2016II. Connecteurs logiques

II.1. Conjonction

DéfinitionConjonction

Soientpetqsont deux propositions mathématiques.

On notepETqla proposition qui est :

vraie quandpetqsont simultanément vraies, fausse sinon. Autrement dit, une conjonctionpETqest fausse si (au moins) l"une des deux propositionspouqqui la compose est fausse. L"opérateurETpermet de combiner deux propositions pour former une nouvelle proposition.

Exemple

Les énoncés suivants sont des propositions mathématiques. a)(x+ 2>4)ET(1 + 1 = 3) La proposition1 + 1 = 3étant fausse indépendamment de la vealeur de x, cette conjonction est fausse pour toutxréel. b)(1 + 1 = 2)ET(x+ 2>4) cette proposition est vraie pour toutx>2, cette proposition est fausse sinoni.e.pour toutx <2.

II.2. Disjonction

DéfinitionDisjonction

Soientpetqsont deux propositions mathématiques.

On notepOUqla proposition qui est :

fausse quandpetqsont simultanément fausses, vraie sinon. Autrement dit, une disjonctionpOUqest vraie si (au moins) l"une des deux propositionspouqqui la compose est vraie. L"opérateurOUpermet de combiner deux propositions pour former une nouvelle proposition.Exemple Les énoncés suivants sont des propositions mathématiques. a)(x+ 2>4)OU(1 + 1 = 3) La proposition1+1 = 3étant fausse indépendamment de la valeur dex, cette disjonction est : vraie lorsque(x+ 2>4)l"esti.e.pour toutx>2, fausse sinoni.e.pour toutx <2. b)(1 + 1 = 2)OU(x+ 2>4) La proposition1 + 1 = 2étant vraie indépendamment de la valeur dex, cette disjonction est vraie pour toutxréel.

Remarque

quotesdbs_dbs2.pdfusesText_2