6 jui 2007 · avec des énergies cinétiques très faibles, souvent inférieures à celle de Notons que cette représentation est schématique dans la mesure où, en pratique , la valeur de b Kronig pour la susceptibilité diélectrique en optique), et l'on peut en utilisant des fibres semi-orientées du complexe tétralaurate de
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[PDF] Compilation de cours sur la diffusion et la diffraction des neutrons
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r r r rProgame ardsFnsurLB2s2LBsmesFa00L2ards
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s r r 2Table des matières
Généralités
Programme des Fan du LLB 2010 5
Les groupes par thèmes 7
Cours disponibles sur internet
Introduction à la diffusion de neutrons (J. Teixeira) 9 Stratégies des déterminations structurales sur poudres (A. Le Bail) 19 Diffusion de neutrons aux petits angles (L. Auvray, A. Brulet) 27 Réflectivité des neutrons (G. Fragneto, R. Cubitt) 55 Temps de vol, rétrodiffusion et écho de spin (M. Bée) 67Diapositives des cours des Fan
Fabrication, conditionnement et distribution des neutrons (A. Menelle) 85 De l"utilisation des neutrons en physique de l"état solide (F. Porcher) 95 La réflectivité de neutrons (A. Menelle) 121 De l"utilisation des neutrons en physico-chimie (J. Teixeira) 137Plan du campus de Gif 173
Photo 174
Cette école a bénéficié du soutien financier de " NMI3 Networking activities » 4 L L !"#$% "&'$()$*+&,-*..&/)&$0, 00123Te0m0Tps drc 0uiti0
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!2722yé dd uyéméy-c#'yb-c, 7 8Collection SFN8(2007) 1-9
cEDP Sciences, Les Ulis
DOI: 10.1051/sfn:2007002
Introduction à la diffusion de neutrons
J. Teixeira
Laboratoire Léon Brillouin (CEA/CNRS), CEA Saclay, 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, FranceL"étude de la matière condensée au niveau atomique et moléculaire s"appuie souvent sur les résultats de
l"interaction avec des particules ou le rayonnement électromagnétique.Parmi les sondes les plus courantes, le neutron dit thermique est une des plus intéressantes et riches
de possibilités. En fait, le neutron est une particule neutre et qui n"interagit donc pas avec les champs
électriques, dont celui dû aux électrons. De ce fait, la pénétration dans la matière est très facile même
étudiés. Les informations sur la structure et la dynamique des échantillons étudiés par diffusion de
neutrons proviennent donc exclusivement des forces nucléaires entre les neutrons et les noyaux des
atomes.Une autre interaction importante est celle du neutron avec l"induction magnétique du milieu traversé,
dont celle qui résulte d"électrons dépareillés dans les matériaux magnétiques. Cette introduction
n"abordera pas l"interaction magnétique, malgré son énorme intérêt.Pour saisir globalement la nature des interactions neutrons-matière, il est utile de rappeler quelque-
sunes des propriétés du neutron :Masse=1.675×10
24
gCharge=0
Durée de vie : 886.8s(14.8 minutes)
Spin=1
2Moment dipolaire :1.913μ
BLes expériences de diffusion de neutrons utilisent exclusivement des neutrons "thermiques", ce qui
veut dire que leur vitesse a été préalablement diminuée ("modérée") par interaction inélastique avec un
milieu "thermalisé" à des températures adéquates : 20 K (thermalisation à l"hydrogène liquide, neutrons
"froids"), 300 K (neutrons "thermiques"), 1200C (neutrons "chauds"). Dans ces domaines de basse
énergie, il n"y a presque jamais lieu de tenir compte de termes de résonance ou des niveaux d"énergie
des noyaux dans l"interaction neutron -noyau.En tenant compte de la masse du neutron et des valeurs de la température, on peut facilement déduire
les vitesses,v, des neutrons. La relation de de Broglie qui relie le moment d"une particule à celui d"une
onde plane, donc à une longueur d"onde (mv=hk/2?=h?), permet d"écrire les relations suivantes, où
E est l"énergie,k
B la constante de Boltzmann,Tla température,mla masse du neutron,vsa vitesse et? la longueur d"onde. E=(k B T)=1 2mv 2 =h 2 2m 1? 2 ?=6.2831 k=3.9561v=9.0451 EE=5.227v
2 =81.811 2 =2.072k 2La relation énergie-température figure entre parenthèse parce que, physiquement elle devrait être égale
à3k
BT/2, mais la "tradition" la fait écrire de cette manière. Cela est sans conséquences, puisque de
Article published by EDP Sciences and available at http://www.neutron-sciences.org or http://dx.doi.org/10.1051/sfn:200700292 CollectionSFN
le paramètre intéressant est la longueur d"onde, souvent imposée par monochromatisation du faisceau
incident, où déduite de la vitesse.Il est important de constater les domaines numériques (voir le Tableau ci-dessous) des paramètres
qui résultent des équations ci-dessus, pour les neutrons thermiques. La "fenêtre" de longueur d"onde
s"étend de 0.5 à 20 Å, des valeurs comparables aux distances inter-atomiques ; la fenêtre d"énergie est,
par construction, comparable aux énergies cinétiques. Ces deux caractéristiques rendent la diffusion de
neutrons une technique de choix pour l"étude de la structure de la matière à l"échelle atomique, ainsi que
?vEE1Å/v (Å)(km/s)(meV)(K)(ps)13.9681.819490.025
40.995.1159.30.101
100.400.8189.490.252
Rappelons que, dans le cas de la diffusion de la lumière visible, la longueur donde est de lordre du
μmet que les rayonsXont des énergies très supérieures àk BT. Peut-être plus important est le fait que
l"énergie varie avec le carré de la longueur d"onde offrant une plage d"étude en énergie très large. Dans
le cas des ondes électromagnétiques, l"énergie dépend linéairement de la longueur d"onde.
Malgré donc de solides atouts, la diffusion de neutrons est le plus souvent une technique "com-plémentaire". Ceci résulte de la faible intensité des sources, des processus de thermalisation et de
monochromation, des difficultés de focalisation des faisceaux. Les ordres de grandeur des flux moyens
disponibles dans une installation moderne sont les suivants : Flux au niveau du réflecteur du réacteur : 10 15 ncm 2 s 1Flux polychromatique après thermalisation : 10
9 ncm 2 s 1 Flux monochromatique au niveau d"un échantillon : 10 5à10
7 ncm 2 s 1Ces valeurs sont plusieurs ordres de grandeur inférieures à celles disponibles dans les installations
courantes de diffusion de la lumière ou de rayonsX, sans parler des grandes installations actuelles
de rayonnement synchrotron. La conséquence logique est que la diffusion neutronique est réservée à
des cas qui justifient absolument son utilisation, ce qui, pourtant, ne devrait pas limiter les demandes de
temps de faisceau et la bonne apprentissage de la technique!Si l"on part du flux disponible au niveau d"un échantillon, évoqué ci-dessus, on se rend compte que,
pour un échantillon typique contenant environ 10 22atomes, il faudrait attendre des millions d"années
avant que chaque site ait interagit avec un neutron. En réalité, la distance entre les neutrons dans le fais-
ceau incident est très grande (de l"ordre du cm) et chacun peut être pris comme une particule classique
dont on connaît et la position et le moment. Mais, dans l"échantillon, la distance typique entre atomes
étant, comme nous l"avons vu, comparable à la longueur d"onde, on se trouve dans la situation où on
connaît le moment du neutron (module de la vitesse imposée par la monochromatisation, direction im-
posée par la collimation) mais on ne connaît pas la position. Idéalement, chaque neutron est une onde
plane d"extension infinie qui interagit avec tous les noyaux de l"échantillon. En pratique, l"extension
est finie et imposée par la collimation (cohérence transversale) ce qui définit une "aire de cohérence" à
l"intérieur de laquelle les déphasages dus aux interactions avec chaque atome peuvent être interprétés
en termes de distances inter-atomiques. Pour les appareillages courants, cette aire de cohérence est de
l"ordre desμm 2 . Notons que, néanmoins, le neutron est presque toujours détecté en tant que particule.L"interférence constructive "régénère" le neutron avec une loi de probabilité qui dépend des interactions
et de la structure de l"échantillon. Une expérience visant la détermination de la structure doit se faire10
JDN 14 3
de manière à que l"aire de cohérence soit plus grande que les distances en jeu pour la définition de la
structure à une échelle donnée.Remarque : Ceci n"a strictement rien à voir avec la "résolution" expérimentale. Les faibles inten-
sités des flux disponibles amènent à utiliser des neutrons dont la longueur d"onde est à l"intérieur d"une
bande dont la largeur atteint parfois 10% de la longueur d"onde nominale, ce qui amène à une certaine
résolution structurale. Mais, dans l"interaction neutron-matière, chaque neutron doit être pris individu-
ellement. La théorie de la diffusion des neutrons par les noyaux atomiques est assez simple du fait que ces derniers peuvent être considérés comme ponctuels (10