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L'AUDIOVISUEL COMME SUPPORT PEDAGOGIQUE

Lect. univ. dr. Simona Botină-Bratu

Résumé

Apprendre une langue étrangère, c'est s'ouvrir sur le monde, c'est découvrir de nouvelles

possibilités d'expression, d'action et d'interaction, c'est aussi faire la fête, c'est découvrir le plaisir

d'apprendre... Réduire l'apprentissage de la langue à l'assimilation de vocabulaire, de structures

de phrases, de règles grammaticales et d'un contenu de civilisation préétabli, équivaut à

enseigner... une langue morte. Les moyens audiovisueles en classe, bien maîtrisés, apportent un

impact plus appuyé aux dires du professeur et soulignent les points importants u'il désire faire

acquérir. Le son et l'image constituent non seulement un moyen d'apprendre la langue vivante,

telle quelle, mais aussi un lien avec la culture de l'autre , dans sa diversité, et un lieu de découverte

de la réalité multiculturelle française et francophone.

Les évolutions pédagogiques liées aux développements technologiques des derniéres années

placent les apprenants et les enseignants en relation directe avec le présent, l'actualité. Elles

facilitent l'accès diversifié à l'information et mènent logiquement à l'action et l'interaction

immédiate en langue cible. Apprendre, c'est accepter le défi de l'apprentissage: faire des efforts constants pour surmonter la difficulté d'aborder, comprendre et acquérir de nouveaux connaissances et

savoir-faire. Enseigner, c'est motiver à l'apprentissage, donner le goût du risque aux élèves,

développer avec les apprenant(e)s des projets de découverte. Apprendre une langue étrangère, c'est d'abord revenir à la définition de base d'une langue vivante: la langue sert à communiquer, elle permet à des personnes d'échanger des informations, de réagir, d'exprimer des désirs, des sentiments, des opinions, elle permet d'interagir... Apprendre une langue, c'est aborder une autre manière de voir le monde, découvrir un univers culturel et linguistique différent de sa culture d'origine: la perception des autres, la compréhension, les repères personnels sont remis en question par ce projet. Pour créer aux étudiants le désir d'apprendre, pour révéler la pertinence de

l'apprentissage, il faut mettre en place une stratégie d'enseignement qui consiste à créer un

affect positif entre l'apprenant et la langue cible. Aussi, l'apprentissage d'une langue

devrait-il se définir au sens large, comme une approche faisant appel à tous les sens: l'ouïe,

le toucher, le goût, l'odorat, la vue, approche réalisable grâce aux moyens audiovisuels: les

cassettes audio, la vidéo, l'Internet... La vidéo en classe, bien maîtrisée, apporte un impact plus appuyé aux dires du professeur et souligne les points importants qu'il désire fa ire acquérir. Tous les tests effectués montrent qu'une image vue sur un téléviseur est facilement mémorisée. L'utilisation de l'image à des fins pédagogiques a connu, depuis le début du siècle, bien des hauts et des bas dans les enseignements disciplinaires. L'image est redevenue une préoccupation éducative à partir des années 1960, notamment avec l'engouement pour le petit écran. Aujourd'hui, la reconnaissance de l'image comme support à part entière, voire privilégié, des activités de langage semble acquise dans le système éducatif. L'image est un langage ce qui signifie que, comme l'écrit, l'image est une représentation, donc objet de lecture et d'apprentissage. Et le même niveau d'exigence est

requis à la lecture de l'image qu'aux apprentissages de l'écrit. L'image, en cessant d'être un

plus, se place désormais au même rang que la lecture, l'écriture, la pratique de l'oral, et ce

sont bien les interactions, les combinatoires entre les situations langagières qu'il faut travailler. L'éducation à l'image comporte trois aspects complémentaires: - l'image comme partie intégrante de la maîtrise des langages et donc des apprentissages fondamentaux ; - l'image comme partie intégrante de la maîtrise des apprentissages disciplinaires spécifiques ; - l'image au service du dialogue culturel et de l'insertion des connaissances dans les pratiques culturelles. Il y a quelques objectifs qu'il faut avoir en vue lors de l'utilisation de l'image dans des buts pédagogiques. Le premier est celui de permettre à l'élève de reconnaître et d'identifier les différents types de discours iconiques (distinguer une fiction d'un message d'information, une reproduction de tableau d'une reproduction de photographie etc.). Un

deuxième objectif est un objectif de maîtrise qui interpelle les activités de lecture. L'image

ne doit plus pour cela être considérée comme un simple auxiliaire d'apprentissage ou comme illustration d'un texte écrit, comme elle l'a été trop souvent. Il faut donc proposer des situations qui posent l'image en objet d'analyse, où elle devient, comme dans tout travail d'écrit, objet de structuration, d'observation, d'hypothèses, d'évaluation, de construction de sens, donc de compréhension. C'est en cela qu'il y a lecture. On s'aperçoit

alors que les capacités spécifiques de l'image sont transférées à d'autres activités de lecture.

On a constaté que, dans nombre de cas, l'élève mauvais lecteur de textes écrits se révèle un

bon lecteur d'écran tant pour l'image que pour le scriptural. Un autre objectif est celui d'inclure l'image dans la globalité des langages, en s'occupant d'abord de construire, avant tout, des savoirs, des repères, des stratégies d'apprentissage. La vidéo, bien que reconnue déjà comme un véhicule culturel avec ses débouchés

pédagogiques, doit néanmoins être utilisée avec modération. La vidéo n'est pas le reflet de

la réalité, ce ne peut être qu'une reconstitution de la réalité vue par le réalisateur. Elle n'est

pas un spectacle, non plus, l'image étant au service du professeur et non l'inverse. La vidéo doit, donc, rester un outil qu'il utilise à point nommé pour apporter des informations complémentaires, argumenter son cours, servir de facteur déclenchant et ce avec toutes les

réserves préalables nécessaires concernant l'objectivité relative de la réalisation et de son

mode de traitement. Mettre une cassette dans le magnétoscope est aujourd'hui incontestablement l'activité la plus répandue. Mais, comme la lecture complète d'un livre en classe n'est pas envisageable, la projection intégrale d'un document audiovisuel n'est pas recommandée.

Seul des extraits spécifiques seront exploités, quitte à ce que la vidéo intégrale puisse être

vue dans d'autres situations. Cette approche pédagogique se situe très loin de l'utilisation

intégrale d'un film ou d'un document illustrant le thème étudié. Une séquence courte (3-4

minutes au maximum), qui tient compte de la spécificité de l'audiovisuel, suffit pour mettre en oeuvre une séance de travail: l'image facilite l'accès au sens d'une langue orale authentique. Il s'agit ici d'apprendre autrement, en mettant en relation les paramètres du langage audiovisuel: images, textes, musique, bruits et paroles. La première question qui se posera, donc, au professeur de langue vivante sera celle des critères de choix du document audiovisuel: types d'émission, rapport image/son,

richesse du langage audiovisuel, difficulté de la langue, références culturelles, actualité,

potentiel de motivation des élèves, etc. Il s'agira ensuite de déterminer des objectifs pédagogiques pour concevoir des activités adaptées aux caractéristiques du document.

Selon qu'on privilégiera le plan visuel ou sonore, les activités retenues seront de différentes

natures: un bulletin météo permettra d'étudier la géographie ou d'acquérir un lexique

particulier, les publicités seront l'occasion pour les élèves de travailler l'expression de la

comparaison, les adjectifs qualificatifs et de comprendre l'exploitation des référents culturels; d'ailleurs, l'analyse du langage audiovisuel spécifique de la publicité permettra aussi aux étudiants d'en comprendre la fonction sociale. À partir d'un document authentique, le professeur peut fabriquer une bande vidéo

"didactisée" avec deux magnétoscopes connectés à un téléviseur. Il pourra, selon les

activités retenues, enregistrer un arrêt sur image, supprimer le son d'une séquence, enregistrer un nouveau commentaire, intervertir l'ordre des séquences, supprimer la chute d'un document, etc. Toutes ces manipulations ne sont pas réalisables en direct à la télécommande, d'où l'intérêt d'un montage. Selon le niveau des étudiants, on peut faire des exercices destinés à donner une plus grande force au message que l'on veut faire visionner et étudier: d'abord, les étudiants

écoutent le son du document vidéo préalablement enregistré sur cassette ; ils complètent

ensuite un questionnaire ou rédigent un texte. Pour les débutants, on peut enregistrer préalablement une cassette avec un ou plusieurs bruits évocateurs, comme par exemple: le

petit déjeuner du matin (le remplissage de la casserole, le bruit de la cafetière, le toaster, la

petite cuillère dans le bol...) ou des bruits caractéristiques de la campagne, la mer, la ville...

Ce procédé, basé sur l'audition de cette cassette et la rédaction d'un texte qui pourrait se

superposer à cette ambiance sonore, peut permettre à l'enseignant de tester chez ces étudiants la capacité de lecture d'un message sonore. Nous rappelons aussi d'autres exercices à appliquer en classe pour apprendre aux

étudiants à:

- repérer des éléments d'information: on visionne une séquence, d'abord sans le son ( demander aux étudiants de noter les informations livrées par l'image) puis avec le son ( demander aux étudiants de noter les informations complémentaires livrées par la bande son. On peut aussi proposer aux élèves une liste de mots qu'ils seront chargés de cocher quand ils auront été suggérés par l'image ou entendus dans la bande son. - zapper intelligemment: on projette une minute d'un extrait de programme enregistré

ou capté en direct et on fait déterminer le type d'émission: pub, télé-vente, météo, résultats

sportifs, bandes annonces, informations, dessins animés, feuilletons... tout en demandant aux étudiants de justifier leurs réponses.

- lire un programme télé: on choisit un programme télé satellite ou câblé donnant le

moins de détail possible de l'émission et déterminer la typologie des émissions: reportage,

documentaire, fiction, dessin animé, télé achat... (en français ou en anglais)...

- mémoriser une séquence: à partir d'images météo de France ou de pays étranger, en

observation directe, on fait reconstituer la carte des températures sur un document muet, en localisant les villes. - analyser les types de production: - comprendre la pub: les axes dominants choisis par le concepteur pour accroître l'efficacité d'une pub ; à partir de la rédaction de grilles d'analyse: axes de persuasion

(humour, érotisme, évasion, rêve, esthétisme, raisonnement, références historiques ou

sociales, agressivité...) et axes techniques (rythme, usage de la couleur, des images de synthèse, du jeu d'acteur, du son, des dialogues, du style fictionnel, reportage...), déterminer l'angle d'attaque choisi par le publiciste pour rentabiliser l'action publicitaire. - analyser la fiction: du livre à son adaptation cinématographique: comparer un chapitre de livre avec la séquence du film qui lui correspond.

- étudier le générique d'un film: relever la liste de tous les métiers du cinéma qui sont

indispensables pour réaliser un film. En déduire le rôle de chacun des membres de l'équipe

qui se détermine pour une réalisation. - regarder le journal télévisé: demander aux étudiants de regarder le 20 heures d'une des chaînes. Le lendemain demander de lister les titres des différents sujets abordés, en respectant l'ordre de diffusion. Comparer les résultats de l'enquête avec la liste exacte.

Analyser le pourquoi de la mémorisation sélective des sujets qui a été constatée. Après

visionnement accéléré du JT, déterminer la façon dont les sujets ont été introduits, l'ordre

dans lequel ils ont été diffusés et traités. On essayera ainsi de repérer la stratégie du

réalisateur. On peut aussi comparer les titres d'un ou plusieurs quotidiens avec le sommaire du JT et, comparer ainsi l'accroche d'un journal par rapport à celle de la télévision. - regarder des reportages: visionner les 5 premiers plans de plusieurs sujets de reportages et demander aux étudiants d'observer: comment sont utilisées et organisées les valeurs de cadre, quel est le rôle de la voix off, du son direct, de la musique, quels sont les points communs et les différences entre tous les sujets présentés. Ils essaieront aussi d'établir la classification d'une typologie des sujets de reportage. Pour être capable de s'exprimer librement dans une langue étrangère, il est nécessaire d'en avoir une pratique "physique": le document audiovisuel authentique transmet et sollicite le savoir-faire indispensable à l'expression. La camera vidéo est, dans ce sens, un très bon moyen pour aider les étudiants à apprendre la technique de construire un message

et de s'exprimer, en temps limité, devant un public. Cela leur apprend aussi à s'évaluer, car

ils peuvent ensuite visionner, analyser leurs prestations, tant sur le fond que sur la forme et sur la phonologie et recommencer autant de fois que cela sera nécessaire. Cette utilisation ne nécessite pas de connaissances techniques élaborées puisque les images peuvent être visionnées sans faire appel à un montage. Par contre, cette technique nécessite quelques

précautions : certains étudiants peuvent avoir des réticences à leur image et au timbre de

leur voix. Pour une restitution correcte du son, il est à conseiller de les pourvoir d'un micro

additionnel branché sur la prise micro de la caméra et placé le plus près possible d'eux.

Voici un exemple adaptable à de nombreuses disciplines "2 minutes pour convaincre» L'objectif est d'apprendre aux étudiants à construire un message avec prise de position. Ils peuvent s'exprimer, en temps limité, devant une caméra. Les images seront projetées à la classe. L'étudiant pourra ensuite se revoir et évaluer sa prestation en comparant les résultats obtenus avec sa classe, par l'intermédiaire d'une grille d'évaluation. L'exercice peut avoir lieu étudiant par étudiant, en introduction de chaque cours ou avec plusieurs étudiants regroupés en quelques séances. L'étudiant dispose de quelques jours pour préparer son exposé. Ses camarades de classe remplissent la grille d'évaluation et on fait la moyenne de toutes les notes. Les sujets sont conçus, soit pour

permettre à l'élève de développer une argumentation de type thèse/antithèse, soit pour

soutenir une cause. Les arguments seront étayés par des informations scientifiques adaptées au sujet en cours d'étude en classe. Cet exercice prend environ 6 à 8 minutes. On peut considérer qu'il empiète sur le

temps limité du cours mais l'originalité de sa présentation rend les élèves très réceptifs au

sujet évoqué. En outre, sa concision et sa structure, l'importance de son écriture préalable,

le champ important de l'évaluation, la nécessité d'une recherche et l'entraînement à la

technique de l'argumentation et aussi à celle de l'exposé oral sont des bases formatrices

précieuses. Bien que difficile, cet exercice est très stimulant pour l'étudiant en raison des

notes toujours assez élevées qu'il obtient. De plus en plus à la mode s'avère être l'Internet. La visibilité actuelle des outils multimédia est indéniable, que ce soit en matière ludique, culturelle ou éducative. Ce moyen, outre ses caractéristiques connues, d'association du son, de l'image, de l'hypertexte et de l'informatique dans un produit favorisant l'interactivité et la souplesse pour son utilisateur, a aussi des visages divers. Grâce aux multimédias, des champs nouveaux s'ouvrent, spécialement en matière d'auto formation en individuel ou à plusieurs. Dans cette perspective, ou l'apprenant engagé dans une auto formation avec l'outil multimédia ne demande plus ( ou beaucoup moins) à l'enseignant de lui donner des cours (grammaire, lexique...), le rôle traditionnel de l'enseignant se transforme, ce qui pose le problème de la formation des enseignants..

Bibliographie

[1] Boiron, M., Apprendre et enseigner avec TV5, Le Français dans Le Monde, 290, 1997, pp.26-29 [2] Berchoud, M.-J., Enseignant, auto formation et multimédia, Le Français dans le

Monde, 281, pp. 60-62

[3] Holec, H., Huttunen, I., (Coordonné par) (1997): L'autonomie de l'apprenant en langues vivantes. Recherche et développement / Learner autonomy in modern languages. Research and development, Editions du Conseil de l'Europe Holec, H., Little, D., Richterich R. (1996): Stratégies dans l'apprentissage et l'usage des langues / Strategies in language learning and use, Editions du Conseil de l'Europe Korsvold A- K., Rüschoff, B. (ed) (1997): New technologies in language learning and teaching,

Council of Europe Publishing.

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