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Proposition d'analyse du texte 1 : Ronsard, « Mignone, allons voir si la rose », Odes, 1550- 1552 La figure de ce couple apparaît dans le verbe « allons » conjugué à la 1e sentimental, précisément grâce à son style littéraire B A travers 



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14 fév 2012 · La métaphore peut engendre deux autres figures de style : la comparaison et l' allégorie Mais nous allons voir que, pour lui, "parvenir" consiste moins à mignonne vraiment, et parfaitement nippée » Sa raison est "A ce compliment les roses du beau teint augmentèrent ; je rougis un peu par pudeur 



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Depuis 1995, date de parution des Figures de style, l'intérêt collectif pour ce Nous venons de voir que l'extension de la rhétorique, et corrélativement des figures, gras de pommade à la rose, et ayant bien peur de salir ses gants ( Flaubert) amenée à donner les équivalents dénotatifs du trope (« la mignonne » = « la

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Les figures de style

Les figures de style consistent à dire les choses autrement, de manière plus expressive. Elles sont très

utilisées en littérature, ou dans le domaine de la communication (publicité, discours), mais nous nous en

servons aussi naturellement tous les jours quand nous nous exprimons. a. Les figures de ressemblance et d'opposition

La comparaison

rapproche un élément d'un autre à l'aide d'un outil de comparaison. Paul (comparé) est doux comme (outil de comparaison) un agneau (comparant).

La métaphore

rapproche un élément d'un autre directement, sans outil de comparaison. Elle écoutait monter cette marée d'hommes. (V. Hugo, Les Misérables) Quand la métaphore se développe sur plusieurs lignes ou vers, on dit qu'elle est " filée La personnification prête des caractéristiques humaines à un élément inanimé ou un animal. Le crépuscule ami s'endort dans la vallée. (A. de Vigny, " La maison du berger », Les

Destinées)

La périphrase

remplace un mot par une expression. Il maitrise parfaitement la langue de Shakespeare. (= l'anglais)

L'antithèse

rapproche deux éléments opposés pour souligner un contraste. Je vis, je meurs, je me brûle et me noie. (L. Labé) b. Les figures d'amplification

L'hyperbole

exagère, amplifie la réalité.

Je meurs de soif.

c. Les figures de répétition

La répétition

permet de mettre en valeur ce qui est répété ou de donner du rythme. Le héron au long bec emmanché d'un long cou (La Fontaine)

L'anaphore

est une répétition en début de phrase, de proposition ou de vers. Elle permet de mettre en valeur ce qui est répété ou de donner du rythme. Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir. (Corneille, Suréna)

L'assonance

consiste à répéter un son voyelle. Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine, Phèdre)

L'allitération

consiste à répéter un son consonne. Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes. (Racine, Andromaque)

Dites si les exemples ci-dessous contiennent une comparaison, une métaphore, une personnification, une

périphrase, une répétition, une antithèse, une anaphore ou une hyperbole.

Il peut y en avoir plusieurs par exemple.

a - Comme à cette fleur la vieillesse

Fera ternir votre beauté.

(" Mignonne, allons voir si la rose » de Pierre de Ronsard) b - Et comptez -vous pour rien Dieu qui combat pour vous ?

Dieu, qui de l'orphelin protège l'innocence,

Et fait dans la faiblesse éclater sa puissance ? Dieu, qui hait les tyrans, et qui, dans Jezraël,

Jura d'exterminer Achab et Jézabel ?

(Athalie de Racine)

c - On le poursuivit sans relâche pendant une heure, et je commençais à croire qu'il serait très difficile

de s'en emparer, quand cet animal fut pris d'une malencontreuse idée de vengeance dont il eut à se

repentir. (Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne)

d - [...] une telle huître contient quinze kilos de chair, et il faudrait l'estomac d'un Gargantua pour en

absorber quelques douzaines. (Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne)

e - Je suis deux jours sans la voir, qui sont pour moi des siècles effroyables [...] (Le Bourgeois gentilhomme de

Molière)

f - Vous me faites priser ce qui me déshonore,

Vous me faites haïr ce que mon âme adore,

Vous me faites répandre un sang pour qui je dois Exposer tout le mien et mille et mille fois. (Cinna de Pierre Corneille) g - Loup Garou se dirigea donc vers Pantagruel avec une massue d'acier pesant neuf mille sept cents quintaux et deux quarterons [...]. (Pantagruel de François Rabelais) h - Hâtez-vous lentement (Art poétique de Boileau)

i - Enfin ! il m'est donc permis de me délasser dans un bain de ténèbres ! (" À une heure du matin » de Charles

Baudelaire)

j - Monsieur, il était bon et doux comme un Jésus. (" Souvenir de la nuit du 4 » de Victor Hugo)

k - Voici ce que je vis : Les arbres sur ma route Fuyaient mêlés, ainsi qu'une armée en déroute [...] (" Le réveil en voiture » de Gérard de Nerval)

l - Pendant trois mois, trois mois dont chaque jour durait un siècle ! l'Abraham Lincoln sillonna toutes

les mers septentrionales du Pacifique [...]. (Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne)

m - Je voyais couler mon sang comme j'aurais vu couler un ruisseau, sans songer seulement que ce sang

m'appartînt en aucune sorte. (Les rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau)

n - Je n'eus pas la force de soutenir plus longtemps un discours, dont chaque mot m'avait percé le coeur.

(Manon Lescaut de l'abbé Prévost)quotesdbs_dbs47.pdfusesText_47