[PDF]

[PDF] DISTANCIER ÎLE DE LA REUNION en kilomètres

Entre-Deux 23 81 41 0 Saint Denis 65 36 113 89 90 80 67 104 0 50 28 96 76 17 18 50 89 93 26 60 Saint Leu 11 90 58 35 Saint Pierre 20 69

[PDF] Distances entre villes par litinéraire le plus court Source - CNFPT

St Denis St Pierre * Bras Panon Cilaos Entre Deux St Leu La Possession Le Port Les Avirons Trois Bassins Etang Salé Petite Ile Le Tampon

[PDF] DISTANCES entre VILLES par litinéaire le plus court - Infotraficre

SAINT-DENIS 10 9 8 12 4 8 14 18 31 18 28 34 34 36 35 37 34 40 39 42 La Bretagne 10 11 18 22 6 18 24 28 41 33 38 44 44 46 45 47 44 50 49 52 Bois de  

[PDF] Nom Prénom Ville Pays SexeDossard Distance temps - Grand Raid

15:13:17 DEBAIZE ANATOLE Saint Denis La Réunion M 5481 4,8 01:17:51 109 99 10:23:55 11:41:46 TAILAMEE JEAN PIERRE saint louis La Réunion

[PDF] Morphodynamique des littoraux de La Réunion - InfoTerre - BRGM

Mots clés : Bathymétrie, Cordon de galets, Erosion, Falaise, La Réunion, Littoral surplombent (Saint Denis, Sainte Suzanne, St André), à l'exception de St Illustration 39 – Position des traits de côte de St Pierre et localisation des levés d'amplitude (entre 290 et 340 m de distances), sans doute en relation avec un

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1 mai 2014 · Réunion sur le projet « Nouvelle Entrée Ouest » acteurs locaux du projet, la Ville de Saint Denis, la Communauté d'agglomération du transforme, à mi- distance de la Pointe des Jardins et de la gare routière, en 2x2 Des prolongements ultérieurs en direction du Sud vers Saint-Pierre et de l'Est vers

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Les indicateurs de dŽveloppement durable ˆ La RŽunion

Les dŽplacements ˆ la RŽunion

analysŽs sous le prisme des enjeux du dŽveloppement durable Le concept de dŽveloppement durable consiste ˆ lier les enjeux Žconomiques, sociaux et environnementaux de gŽnŽrations futures sans compromettre le dŽveloppement

Žconomique et social de la sociŽtŽ.

Depuis le Sommet de la Terre de Rio en 1992 puis celui de Johannesburg en 2002, la communautŽ internationale a pris conscience progressivement des enjeux du dŽvelop-

Žconomique.

En France, la stratŽgie nationale de la transition Žcologique pour un dŽveloppement durable (SNTEDD) pose les bases d"une transition Žcologique et ŽnergŽtique organisŽe autour d"une Žconomie verte et Žquitable. Neuf dŽfis clŽs sont prŽsentŽs dans cette stratŽgie qui dessine les grandes orientations d"une Žconomie ˆ la fois sobre biodiversitŽ, etc ...) et dŽcarbonŽe, et intŽgrant davantage les dimensions humaines et sociales. Parmi ces dŽfis, le transport et la mobilitŽ durables visent notamment ˆ favoriser le report modal (action de remplacer un mode de trans- port par un autre pour des raisons de performance ŽnergŽtique), la complŽmentaritŽ des modes de transport et l"innovation technolo- gique pour rŽduire les Žmissions polluantes, tout en s"attachant ˆ rŽduire les besoins de dŽplacement. abordŽs ˆ la 3

ConfŽrence Environnementale qui s"est tenue en

novembre 2014. Dans le mme esprit que le premier Žtat des lieux qui avait fait l"objet d"une plaquette en 2012, la Direction de l"Environnement, de l"AmŽ- nagement et du Logement (DEAL) propose une nouvelle publication dŽveloppement durable identifiŽs pour le territoire rŽunionnais. La prŽsente publication se base principalement sur l"Žtude des dŽplacements domicile-travail rŽalisŽe en partenariat avec l"INSEE qui permet d"aborder la problŽmatique dans l"attente d"une enqute plus fine sur l"ensemble des dŽplacements des rŽunionnais. Les ŽlŽments de diagnostic prŽsentŽs dans cette Žtude permettent de faciliter l"identification des leviers d"actions qui pourraient tre Au 1 er janvier 2011, 240 000 personnes travaillent ˆ La RŽunion, soit 94 000 personnes de plus qu"en 1990 (figure 1).

Ainsi, 4 500 personnes supplŽmen-

taires chaque annŽe empruntent le rŽseau routier. L"emploi a augmentŽ plus rapidement au dŽbut des annŽes

2000 (+ 3,6 % par an), pŽriode de forte

croissance Žconomique. Depuis 2006, il continue ˆ progresser au rythme de + 1,6 % par an.

Les RŽunionnais se dŽplacent Žgale-

ment de plus en plus loin pour aller travailler. Cette mme tendance est constatŽe en France mŽtropolitaine.

En 2011, quatre rŽunionnais sur dix

sortent de leur commune pour se rendre sur leur lieu de travail chaque jour contre trois sur dix en 1990 (+ 11 points, + 12 points en mŽtro- pole).

Ces dŽplacements plus nombreux en

dehors de la commune de rŽsidence rŽsultent notamment de l"attractivitŽ des communes situŽes en pŽriphŽrie des principaux bassins d"emploi (cf sources et mŽthodes en page 8).

Ainsi, le nombre de travailleurs qui

rŽsident dans les communes de La

Possession, Saint-Leu, L"ƒtang-SalŽ,

Les Avirons et Sainte-Suzanne a

doublŽ (+100 %) entre 1990 et 2011.

Par comparaison, il n"augmente que

de 50 % ˆ l"intŽrieur des bassins d"emploi.

Ë l"opposŽ, les rŽsidents de petites

communes excentrŽes (Salazie, Cilaos,

Sainte-Rose, Saint-Philippe) travaillent

plus souvent dans leur commune (sept sur dix en moyenne). 02 Intro

LES INDICATEURS DE DEVELOPPEMENT DURABLE A LA REUNION • Les déplacements à la Réunion analysés sous le prisme des enjeux du développement durable

Transport durable

Voiture, camion, fourgonnette

Marche à pied

Transports en commun

Deux roues (moto, vélo)

Pas de transport

Ensemble

71,8
15,1 5,3 3,2 4,6 100,0
77,7
9,9 5,1 3,8 3,5 100,0
91,2
0,7 4,0 3,6 0,5 100,0
69,0
15,9 5,7 4,0 5,5 100,0

Ensemble

dont travailleurs horscommune de résidencedont travailleurs danscommune de résidence

Actifs en

emploi en

2011Actifs en

emploi en

201119992011

186 700

23 800

12 100

9 200 8 400

240 200

3,4 -0,8 2,4 4,3 0,5 2,7 70,6
8,5 11,4 3,5 5,9 100,0
69,8
7,3 14,6 3,9 4,3 100,0

LA PART DES TRANSPORTS EN COMMUN RESTE FAIBLE

La part des transports en commun dans les dŽplace- ments domicile-travail est faible (5 %) et reste stable depuis 1999 (figure 2). NŽanmoins le nombre de per- sonnes utilisant les transports en commun pour aller au travail progresse chaque annŽe (+ 300 personnes) mais beaucoup moins que le nombre d"automobilistes (+ 5 600). La part de l"automobile augmente ainsi entre

1999 et 2011, passant de 72 % ˆ 78 %. La part de lamarche ˆ pied diminue mais reste le moyen de dŽpla-

cement d"un travailleur sur dix. En France mŽtropoli- taine, la part des transports en commun augmente et fois plus qu"ˆ La RŽunion. Parmi les RŽunionnais qui travaillent hors de leur com- mune de rŽsidence, la grande majoritŽ opte pour la voiture (91 %). 4 % d"entre eux seulement utilisent les transports en commun. Mais le dŽveloppement des rŽseaux de transport en commun ne semblent pas rŽpondre aux exigences de frŽquence, de rŽgularitŽ ou de correspondances, notamment pour les personnes qui travaillent loin de leur domicile. Figure 1 - 94 000 Réunionnais travaillent en dehors de leur commune de résidence

Évolution de la population en emploi et de la mobilité domicile-travail depuis 1990 à La Réunion

Nombre d"actifs occupés

Travaillant HORS de la

commune de résidence + 1,9 + 3,4+ 3,6 + 6,0+ 1,6 + 2,4+ 2,4 + 4,0146 200

41 200173 700

55 550221 800

83 700240 200

94 400

28,232,037,739,33,85,71,6+ 11,1

EffectifsEvolution annuelle moyenne (en %)

Travaillant HORS de leur

commune de résidence (en %)

Source : Insee, recensements de la population

Part (en %)DiffŽrence des parts (en points)

19992011

LA RÉUNIONFRANCE

en %en %en %en nombre

Source : Insee, recensements de la population

Figure 2 - La voituredemeure le moyen detransport privilégié

Répartition des actifs

occupés selon le mode de transport principal pour aller travailler à

La Réunion

03

70 % DES PERSONNES EN EMPLOICONVERGENT VERS 4 BASSINSD"EMPLOI

Parmi les 240 000 travailleurs de La RŽunion en 2011,

70 % travaillent dans quatre bassins d"emplois : 30 %

ˆ Saint-Denis/Sainte-Marie, 18 % ˆ Saint-Pierre/Saint- Louis, 11 % ˆ Saint-Paul et 11 % au Port/La Possession. Un tiers d"entre eux rŽsident ˆ l"extŽrieur de ces bassins travaillant au Port/La Possession rŽsident en dehors de ce bassin d"emploi (figure 3). La part des travailleurs qui rŽsident ˆ l"extŽrieur de leur bassin d"emploi a for- gagnant de 7 ˆ 9 points dans chacun des territoires. (cožt, rarŽfaction, etc.) ou de choix individuels d"amŽ- lioration de cadre de vie. Les dŽplacements Žvoluent aussi avec les infrastructures qui se sont dŽveloppŽes, mais ils restent contraints par le relief. Au Nord, le territoire de Saint-Denis/Sainte-Marie accueille des personnes en emploi qui rŽsident dans des communes de plus en plus ŽloignŽes. L"ouverture en 1999 de la dŽviation de Bras-Panon et de la 2x2 voies de Saint-Beno"t ainsi que les prix du foncier plus abordables dans l"Est de l""le ont favorisŽ l"augmenta- tion des dŽplacements domicile-travail entre l"est et le nord. Ainsi, 9 600 personnes arrivent chaque jour de l"est (Sainte-Suzanne ˆ Saint-Beno"t) reprŽsentant un

flux supŽrieur ˆ celui des travailleurs en provenancede l"ouest (7 800 personnes) (figures 4). De mme, le

nombre de personnes arrivant chaque jour du Tampon a doublŽ entre 1999 et 2011 (700 personnes en 2011), ce trajet Žtant devenu plus accessible depuis l"ouver- ture de la route des Tamarins en 2009. Vers le bassin Port-Possession, les travailleurs arrivent principalement de Saint-Paul (6 100 dŽplacements quotidiens en 2011). Ils sont deux fois plus nombreux qu"en 1999. L"axe mixte ouvert entre Saint-Paul et Le d"emplois depuis l"ouest et ˆ dŽlester le trafic sur la Ils sont Žgalement plus nombreux ˆ venir de Saint-Leu, leur nombre passant de 300 ˆ 700 sur la pŽriode. Vers Saint-Paul, les travailleurs arrivent de La Possession (1 600 chaque jour), de Saint-Leu (1 200) et du Port (900) ou de Saint-Denis (900). Au Sud, plus du tiers des RŽunionnais qui travaillent ˆ Saint-Pierre ou Saint-Louis habitent en dehors du bas- sin d"emploi, principalement dans d"autres communes du Sud. Ils viennent majoritairement du Tampon (6 400 personnes), mais ce flux reste assez stable entre 1999 et 2011 (+ 1,6 % par an). En revanche, depuis Saint- Leu et Les Avirons, les flux ont augmentŽ rapidement (+ 4 % par an). En 2011, plus de 1000 personnes quit- tent chaque jour chacune de ces deux communes pour aller travailler ˆ Saint-Pierre ou Saint-Louis. Les flux en provenance de Saint-Joseph ont Žgalement beau- coup augmentŽ passant de 1 000 en 1999 ˆ 1 800 en 2011.

Saint-Denis / Sainte-Marie

Saint-Denis / Saint-Louis

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