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La même année encore, Henry Van de Velde, créant Les peintres Henri Leys, de Braekeleer, Stobbaerts Joannes filius et posthumus Joannis » de Jacobo 

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L'étude clinique conduite par Henry Murray (1938)266 et son équipe 385 Joannis, H (1965) sur les motivations à partager de l'information sur Wikipédia

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BIOGRAPHIE NATIONALE

PUBLIÉ

E PA R

L'ACADÉMI

E ROYAL E PE S

SCIENCES

DE S

LETTRE

S E T DE S

BEAUX-ART

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BELGIQU

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SUPPLÉMEN

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ABRASSAR

T LANGH E

BRUXELLE

S

ÉTABLISSEMENT

S EMIL E

BRUYLAN

T

Société

anonyme d'éditions juridiques et scientifiques RU E D E L A

RÉGENCE

6 7 197
3

BIOGRAPHIE NATIONALE

Les opinions exprimées dans les notices

n'engagen t qu e leur s auteurs

BIOGRAPHIE NATIONALE

PUBLIÉ

E PA R

L'ACADÉMI

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LETTRE

S E T DE S

BEAUX-ART

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Société

anonyme d'éditions juridiques et scientifiques RU E D E L A

RÉGENCE

6 7 197
3 A

ABRASSAR

T (Jul es-Florent-Aimé-Joseph),pseudonyme JULES

AIMÉFLOR

poète traducteu r e t pro

-fesseur, né à Pâturages le 20 mai 1826,décédé à Louvain le 11 juin 1893.Dès 1847, Abrassart publie LesAbeilles, recueil d'élégies, de balladeset d'odes. Godefroid de Bouillon,poème épico-lyrique, accompagnéd'une épître au duc de Brabant,paraît en 1848. A partir de 1853,Abrassart se consacrera aux fonctionsprofessorales (École moyenne de Lou-vain). Après Les illusions, poèmeslyriques (1855), il se taira pendantseize ans.En 1871, il rentre dans l'arènelittéraire avec son Epître sur la mis-sion du poète dans la Société contem-poraine. En 1872, Deux cahiers deballades de Goethe, traduits pour êtremis en musique par Emile Mathieu,lui valent les éloges de GeorgesEekhoud. Ses poèmes seront éditésà titre posthume en 1894 (5 volumes).Chez ce poète abondant, souvent cou-ronné en Belgique, en France et enSuisse, et qui a choisi pour maîtresVigny, Lamartine et la Fontaineainsi que son contemporain AndréVan Hasselt, la création personnelle(Hexaméron et Mandragores, 1894, etc.)alterne avec l'étude de la prosodie.Les Ailes de la Lyre (1894) illustrentpar des transcriptions rythmiques d'uncertain nombre de poèmes allemandscélèbres, les revendications du poèteprofesseur dans le domaine de la

DIOOR NAT T

XXXVII

Iversification française basée, selonlui et certains de ses devanciers, surl'accentuation des syllabes d'appui.

François

e Dony

Bibliographie

Nationale,

t I er Bru

-xelles, 1888, p. 3. - E. De Seyn, Diction-naire biographique des Sciences, des Lettreset des Arts en Belgique, t. Ier, Bruxelles,1935, p. 2.

ADA N (Henri-

François-Gustave)

,juriste et assureur, né à Bruxellesle 1er février 1830, décédé à Bruxellesle 9 mai 1901.Reçu docteur en droit en 1852, ilentra à la compagnie d'assurances" La Royale Belge » en 1855 et endevint rapidement le directeur. Il lefut toute sa vie et l'accomplissementde ses devoirs professionnels, lesrecherches auxquelles il se livra firentde lui un spécialiste de la science desassurances qu'il s'efforça de vulga-riser en Belgique pendant plus detrente années.

E n 1870
i l

étudi

a la limitatio n de

srisques dans les assurances sur lavie, se préoccupa, en 1872, du risquede guerre, exposa les caractères géné-raux de l'assurance sur la vie enAllemagne, et, dès 1874, signala lanécessité de réformer les caisses deveuves et orphelins instituées en Bel-gique par la loi du 21 juillet 1844.

Plu s tard i l publi a un e

étud

e su rla nature du contrat d'assurance sur 1

3 AIMËFLOR - ANTO-CARTE 4

la vie et e n 1879
i l commenç a

àtraiter en des notices qui se succé-dèrent jusqu'en 1901, l'importantequestion des accidents du travail.A maintes reprises, il signala l'in-suffisance et les défectuosités de notrelégislation en matière d'assurance etil démontra, notamment dans sonrapport présenté au premier Congrèsd'actuaires, tenu à Bruxelles en 1895,la nécessité d'une législation spécialeconsacrant les principes généraux ducontrat d'assurance sur la vie.Ses connaissances exceptionnellesattirèrent plus d'une fois sur luil'attention du Gouvernement. Il futprésident de la Commission spécialeinstituée par arrêté ministériel du5 novembre 1890 et chargée d'exa-miner les modifications proposées àla loi du 30 mars 1861 instituant laCaisse centrale de prévoyance dessecrétaires communaux.En 1891, il fut nommé membre dela commission chargée de la prépara-tion d'un avant-projet de loi destinéea régler les effets des contrats delouage des ouvriers et domestiques.En 1892, il fut appelle à faire partiede la Commission centrale de sta-tistique et, en 1894, de la Commissionpermanente des sociétés mutualistes,dont il devint l'un des vice-présidentsen juillet 1900. Enfin, il fit partiede la Commission extra-parlementairedes pensions ouvrières.Polémiste infatigable, sincère etd'un caractère plein de noblesse,Henri Adan prit une large part auxdéveloppements du droit relatif auxmultiples modalités de l'assurance.

François

e Dony

Renseignement

s communiqué s pa r M l

ePrésident-administrateur délégué de laRoyale Belge, G. Martin. - Picard etLarcier, Bibliographie générale et raisonnéedu droit belge, Bruxelles, 1882-1800, p. 20. - Bibliographie nationale, t. I", Bru-xelles, 1886, p. 6.

AIMÉFLO

R (Jules Voi r

ABRASSART

(Jules) .ANTO-CARTE, pseudonyme deCARTE (Antoine-Victor), artiste peintre n Mon s l e 8 décembr e 1886
,décédé à Ixelles (Bruxelles) le 15 février 1954
D e so n père menuisier l'artist e s

eplaît à dire que c'est à ce bon artisanqu'il doit son souci de perfection, sonamour du beau matériau.

U n do n

éviden

t pou r l e dessi

noriente le petit Antoine qui doitgagner sa vie, vers le métier de déco-rateur. 11 suit les cours de l'Académiede Mons. Il s'intéresse à tous les artsmanuels et y est encouragé par lechanoine Puissant. Mais il apprendsurtout la peinture et il connaîtbientôt des succès locaux. L'octroid'une bourse communale lui permetde s'inscrire à l'Académie royale desBeaux-Arts de Bruxelles, où il suitles cours de Jean Delville, de ConstantMontald, son véritable maître.

Anto-Carte

e n bo n

Montois

n

erésiste pas à l'appel de Paris. Il entredans un atelier, au service de Sergede Diaghilev et de Léon Bakst qui,avec les Ballets russes, révolutionnentles arts décoratifs d'Occident.

Anto-Cart

e admir e

Mauric

e Deni

set Puvis de Chavannes, visite assidû-ment le Louvre où il découvre lespeintres florentins et siennois duQuattrocento, dont il n'oubliera ja-mais les leçons.

E n 1914

Anto-Cart

e revien t e

nBelgique où l'autorité allemande l'em-prisonne temporairement. Mais sonami, Louis Buisseret, organise pourlui une exposition. L'artiste dira :" La vente de mes premiers dessins» me permit d'acheter ce qu'il me» fallait pour peindre à l'huile. »

Mariu s Renar d e t

Gustav

e Van

-zype s'intéressent au jeune peintre.A partir du Salon du Printemps,en 1921, au Cercle Artistique, ilobtient des succès à Bruxelles.

Jule s

Delacre

rénovateu r d u théâtr

een Belgique et fondateur du Théâtredu Marais (1922-1927), s'adresse àAnto-Carte qui, avec René Moulaert,

5 ANTO-CARTE 6

v a l'aide r dan s l'inventio n d e nou velle s mise s e n scθne d e dιcor s e t d e costume s d e caractθr e inιdit E n 1923
l e baro n Ren

Steens

secrιtair e d u Cercl e Pou r l'Ar t prιsent e Paris a u Salo n d'Automne u n groupe le s

Ymagier

s Belge s o i l rassemble ave c

Anto-Cart

e e t l e sculpteu r Marce l

Wolfers

le s peintre s

Valeriu

s d e

Saedeleer

Gustaa

f Va n d e

Woestyn

e e t

Isidor

e

Opsomer

Anto-Cart

e rencontr e Pari s l'ami ti e t l'admiratio n d e Home r d e Saint

Gauden

s qu i dirige au x

Ιtats-Unis

l a sectio n de s

Beaux-Art

s d e l'Institu t

Carnegie

Celui-c

i organis e Pittsquotesdbs_dbs21.pdfusesText_27