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ÉPREUVE COMMUNE D'HISTOIRE-GÉOGRAPHIE 4ÈME du vendredi 23 mai 2014
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Nom : Classe :
Prénom :
Contrôle commun
d'Histoire-Géographie, 4eConsignes.
Durée de l'épreuve : 1 heure.
Matériel : une copie double, une trousse, des crayons de couleurs.Histoire :
- Faites des phrases pour répondre aux questions (Pas de phrases, pas de points !) - Sautez des lignes entre chacune de vos réponses.Géographie :
- L'ensemble des réponses sont à faire sur les feuilles de sujet : n'oubliez pas de les rendre avec votre copie double et n'oubliez pas d'indiquer vos noms et prénoms : - Pour colorier et délimiter, n'utilisez que des crayons de couleurs !Histoire. 20 points.
La monarchie absolue et sa remise en cause.
Document 1. Louis XIV définit le pouvoir royal. " Toute puissance, toute autorité réside dans la main du Roi. Tout ce qui se trouve dans l'étendue de nos États nous appartient. Les rois sont seigneurs absolus. Celui qui a donné des rois aux hommes a voulu qu'on les respectât comme ses lieutenants, se réservant à lui seul le droit d'examiner leur conduite. La volonté de Dieu est que quiconque est né sujet obéisse totalement au Roi (...) Il faut cependant que les souverains soutiennent par leur propre exemple la religion catholique sur laquelle ils sont appuyés. Si mauvais que puisse être un prince, la révolte de ses sujets est toujours infiniment criminelle. Je résolus de ne point prendre de premier ministre, rien n'étant plus indigne que de voird'un côté toujours les fonctions et de l'autre le seul titre de roi. Il fallait connaître que
mon intention n'était pas de partager mon autorité. Louis XIV, Mémoires pour l'instruction du Dauphin (*), 1665. (*) Dauphin : désigne son futur héritierDocument 2.
A. "Il y a dans chaque État trois sortes de pouvoirs : la puissance législative, la puissance exécutrice et la puissance de juger. Tout serait perdu si le même homme ou le même corps des nobles ou du peuple exerçait ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d'exécuter les résolutions publiques et celui de juger des crimes ou les différends des particuliers. Chez les Turcs où ces trois pouvoirs sont réunis sur la tête du Sultan, ilrègne un affreux despotisme (...) Il faut que le peuple légifère par ses représentants. Le
grand avantage, c'est qu'ils sont capables de discuter les affaires. Le peuple n'y est pas du tout propre, ce qui forme un des grands inconvénients de la démocratie."Montesquieu, De l'Esprit des Lois, 1748.
B. "Aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres... Le prince tient de ses sujets mêmes l'autorité qu'il a sur eux... Le prince ne peut donc pas disposer de son pouvoir de ses sujets sans le consentement de la Nation". Diderot, article "Autorité Politique", Encyclopédie, 1751 C. " Le peuple soumis aux lois doit en être l'auteur... La puissance législative appartientau peuple et ne peut appartenir qu'à lui (...), les députés du peuple (...) ne peuvent être que
ses commissaires. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifié est nulle..." (...) Pour assurer les lois, il faut un gouvernement, mais il n'est que le ministre du peuple souverain."