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Nombre de logements en 2010 104 188 Nombre de constructions projeté à 25 ans 32 000 Taux de construction annuel 1,2 (Source Insee, RP 2010)



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PROGRAMME D'ACTION POUR LA QUALITÉ DE LA CONSTRUCTION ET DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE N E U F R N O V A T I O N J

UILLET

2017 - V

ERSION

2.0

RAPPORT

ANALYSE DÉTAILLÉE

DU PARC RÉSIDENTIEL

EXISTANT

AVANT-PROPOS

Programme PACTE

Le Programme d'Action pour la qualité de la Construction et la Transition Energétique a pour

objectif d'accompagner la montée en compétences des professionn�els du bâtiment dans le

champ de l'efficacité énergétique dans le but d'améliorer la qualité dans la construction et

les travaux de rénovation. Financé par les Pouvoirs publics, le programme PACTE s'attache depuis 2015 à favoriser

le développement de la connaissance, la mise à disposition de ré�férentiels techniques et

d'outils pratiques modernes adaptés aux pratiques des professionnels et, à soutenir les territoires dans toutes leurs initiatives dans ce champ. Les actions menées s'inscrivent dans la continuité des travaux de modernisation des Règles de l'art initiés dans le cadre du programme RAGE.

Les Rapports PACTE

Les Rapports PACTE présentent les résultats soit d'une étude conduite dans �le cadre du

programme, soit d'essais réalisés pour mener à bien la ré�daction des Recommandations

Professionnelles et Guide PACTE.

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ROGRAMME D'

A

CTION POUR LA QUALITÉ DE LA

C

ONSTRUCTION ET DE LA

T

RANSITION

NERGÉTIQUE

ANALYSE DÉTAILLÉE

DU PARC RÉSIDENTIEL

EXISTANT

SEPTEMBRE 2016 - VERSION 1.0

RAPPORT

P

ROGRAMME D'

A

CTION POUR LA QUALITÉ DE LA

C

ONSTRUCTION ET DE LA

T

RANSITION

NERGÉTIQUE

N EU

F •

R N O V A T IO N N E U

F-RÉNOVATION

P R O G R A M M E D ' A C C O M P A G N E M E N T D E S P R O F E S S I O N N E L S " Règles de l'Art Grenelle Environnement 2012 » GUIDE

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Conception : JOUVE /Lenox/CB - Illustrations : Laubywane - Editeur : AQC - ISBN : 978-2-11-151982-43

SOMMAIRE

fiRésumé exécutif 01 F Méthodologie de�l'étude.................................7 02 F Cartographie du�parc résidentiel francais.................18 03 F Analyse détaillée du�parc de�maisons individuelles........39 04 F Analyse détaillée du�parc d'immeubles collectifs..........61 05 F Travaux réalisés .......................................95 06 F Parois verticales�: catalogue des�matériaux...............97 fi fi

VERSION DATE DE LA PUBLICATONMODIFICATIONS

INITIALE

Septembre 2012

2.0

Juillet 2017•

Actualisation de la base de données territoriales (MAJ 2016) Graphique de consommations énergétiques pour les 13 nouvelles

Régions

Complétude des Fiches types - Rénovations effectuées entre é�tat initial et état actuel 54

PROGRAMME D'ACTION POUR LA QUALITÉ DE LA

CONSTRUCTION ET DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUEANALYSE DÉTAILLÉE DU PARC RÉSIDENTIEL EXISTANT

5

RÉSUMÉ EXÉCUTIF

La loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) 1 du 17�août

2015�rappelle les objectifs�: réduire de 40�% les émissions de gaz à effet de

serre en 2030�par rapport à 1990�et diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre entre 1990�et 2050. Concernant les consommations d'éner- gie, l'objectif est de réduire la consommation énergétique nale de 50�% en

2050�par rapport à 2012. Ces objectifs concernent tous les secteurs�: bâti

ment, sidérurgie, industrie, agriculture et transport.

Le parc résidentiel français compte

35,1 millions de logements

2 et une consommation énergétique annuelle de 476 TWh 3 Secteur des bâtiments existants≥: un enjeu stratégique Le parc de logements existants af�che un taux de renouvellement inférieur à 1�% par an. Ce faible taux, associé au rythme actuel des réhabilitat�ions, ne permet absolument pas d'atteindre les objectifs visés. Par conséquent, il n'existe aucune autre alternative que d'entreprendre, dès aujourd'hui, une campagne de réhabilitation massive et exigeante de nos bâtiments existants. Fruit du croisement entre les études disponibles sur le parc et des en�tretiens avec des professionnels du bâtiment, l'actualisation de cette étude (issue ini tialement du programme RAGE) porte sur les logements du parc résidentiel français construits jusqu'à l'année 2000 �; elle constitue une première étape avant l'élaboration de stratégies de rénovation énergétique pertinentes et durables. En outre, il nous a semblé opportun de répertorier les travaux effec tués sur le parc existant ces dernières années. Une liste non e�xhaustive des travaux réalisés est donc présentée dans cette étude. A n de poursuivre, dynamiser et réussir ce large chantier, une analyse archi tecturale, technique et sociale de ce parc est indispensable. La connaissance des bâtiments existants permet de mieux appréhender les choix effectués par nos prédécesseurs, de comprendre les objets�à traiter pour bien pres crire les solutions techniques adaptées respectueuses du patrimoine. Aussi, une classification explicite et méthodique des types de bâtiments selon les grandes époques de construction a constitué une action prioritaire� dans le cadre du programme. Cette classi cation a été conservée pour l'actualisation de la présente étude. Le parc de logements existants est donc scindé en deux grandes famille�s, les maisons individuelles et les immeubles collectifs, et trois grandes périodes de construction 4 ; 10�types de bâtiments en maison individuelle et 16�types en immeuble collectif sont précisément décrits dans l'étude 5 1

Loi n°2015-992 du17août

2015relative à la transition

énergétique pour la croissance

verte 2

TEF, édition 2016 - Insee Références; http://www.insee.fr/fr/ffc/tef/tef2016/T16F071/T16F071.pdf

3 1 er poste avec 30% de la consommation totale d'énergie nale en France. Le poids du parc résidentiel dans les

émissions de CO2 relatives aux

consommations énergétiques est moins élevé, en raison d'une dépendance moindre aux énergies fossiles en comparaison d'autres secteurs comme les transports. Chiffres clés du bâtiment, ADEME, 2013 4

La date de 1948correspond au début de la période de reconstruction massive d'après-guerre. Aussi, dans l'étude, on différencie les bâtiments d'avant 1948, appelés "bâtiments anciens», des bâtiments d'après 1948,

appelés "bâtiments récents».

La deuxième distinction, en

1974, correspond à la date de

la première réglementation thermique en France. Avant cette date, les bâtiments sont souvent non isolés, après 1974, les réglementations imposent un niveau minimum d'isolation. 5

Les principales caractéristiques urbaines, constructives, énergétiques sont regroupées dans des ches descriptives. Ces paramètres permettent ainsi de structurer les spécicités dominantes par types de bâtiments mais également de mettre en évidence les consommations énergétiques et les potentiels de réduction associés.

• Résumé exécutif 5

PROGRAMME D'ACTION POUR LA QUALITÉ DE LA

CONSTRUCTION ET DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUEANALYSE DÉTAILLÉE DU PARC RÉSIDENTIEL EXISTANT

5

LOGEMENTS

COLLECTIFS

MAISONS

INDIVIDUELLES

Avant

1948Avant

1948

1948-1974

1974-2000

1974-20001948-1974

12%

19%24%

14% 15% 16%

66% du parc français construit avant 1974 (non isolé)

Graphique 1: Répartition du�parc résidentiel par�familles de�logement�s et�par�périodes de�construction (nombre de�logements)�

Rénover dans le bon sens

Le chauffage représente plus de 60�% des consommations en énergie ≥nale tous usages des résidences du parc existant 6 La réduction importante de ce poste s'impose�; deux moyens�: Intervenir sur le bâti (isolation, baies, aération)�; Améliorer la performance des systèmes énergétiques. Même si la mise en place de systèmes énergétiques ef≥cients est évidem- ment nécessaire, elle est également bien souvent largement insuf≥sante. Une diminution d'environ 25�% des consommations énergétiques de chauf fage est attendue avec des équipements performants contre une diminution de 50�% avec une intervention thermique sur le bâti. Pourtant l'objectif du "�Facteur 4�» pour 2050�nécessitera un renforcement des exigences existantes. A dires d'expert, il sera nécessaire de viser une consommation énergétique conventionnelle 7 comprise entre 50�et 80�kWhep/ (m².an), ce qui équivaut à une consommation conventionnelle de chauffage comprise entre 10�et 60�kWhep/(m².an) 8 L'intervention thermique sur le bâti - isolation des parois, changement des fenêtres 9 - est une étape prioritaire et incontournable. Impossible d'atteindre la cible "�facteur 4�» sans intervention sur le bâti et les systèmes énergétiques La phase indispensable de réduction des besoins énergétiques explicitée, deux préconisations sont à respecter pour ne pas s'arrêter au milieu du gué�: Intervenir durablement�: l'exigence thermique sur les éléments à rénover doit être élevée, il s'agit de ne pas succomber à la tentation de la demi-me sure. Ramené au coût global (échafaudage, isolant, main d'oeuvre), le surcoût lié à la performance de l'isolant n'est pas prépondérant. Un travail durable sur le bâti évitera des interventions incessantes, non viables éco nomiquement pour le maître d'ouvrage.

Intervenir de manière cohérente et non en empilage d'améliorations élé-ments par éléments�: un bâtiment est un système complexe, dont les dif-férentes composantes interagissent fortement les unes avec les autres.

9 Ne pas oublier de véri�er le système d'aération. 8

On considère des consommations de refroidissement nulles, 10-15 kWhep/m².an pour les auxiliaires, 10-25 kWhep/m².an pour l'eau chaude sanitaire (ep≥: énergie primaire).

7

Comprenant les 5≥usages que sont le chauffage, la production d'eau chaude sanitaire, le refroidissement, les auxiliaires et l'éclairage.

6

Concerne les résidences principales≥; ce poste est complété par les postes "≥Eau Chaude Sanitaire - 12,1≥%≥», "≥Cuisson - 7≥%≥» et "≥Usages spéci�ques - 19,5≥%≥»≥; Les chiffres clés du bâtiment, ADEME, 2013.

76

PROGRAMME D'ACTION POUR LA QUALITÉ DE LA

CONSTRUCTION ET DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUEANALYSE DÉTAILLÉE DU PARC RÉSIDENTIEL EXISTANT

• Résumé exécutif 7

Chaque modi

F cation d"une partie du bâtiment est donc susceptible d"avoir des répercussions sur son ensemble. Cette approche globale plus écono mique conduit à des travaux plus rapides, de meilleure qualité et plus per- formants en termes d"économie d"énergie. Ce travail sur le bâti doit inévitablement être prolongé par un remplacement des anciens systèmes énergétiquesé; il présente l"intérêt d"aider à franchir la première étape, celle de la réduction des besoins énergétiques , tout en préparant au mieux la suivanteé: celle de la valorisation des systèmes perfor- mants 10 , voire du recours aux énergies renouvelables.

Rénover l'ensemble du parc résidentiel

On constate de fortes disparités dans les interventions énergétiques réalisé es sur les différents types de logements du parc. A titre d"exemple, les loge ments de la période 1948-1974 constituent une cible privilégiée, notamment du fait des matériaux constructifs, des faibles risques de pathologie s et des solutions techniques performantes éprouvées. Malheureusement, même un large programme de rénovations sur cette période ne sufFra pas pour atteindre les objectifs Fxés par la LTECV 11 Des interventions performantes "ébâti + systèmes énergétiquesé» doivent être engagées sur les bâtiments d"avant et d"après 1948é; en outre, on ne pourra se permettre de traiter le parc d"avant 1948éavec une unique interven tion sur les systèmes énergétiques. Impossible d'atteindre la cible " facteur 4 » sans intervention sur les 3 périodes constructives. Pourtant, pour les bâtiments construits avant 1948, les spéci F cités régio nales, la grande variété de matériaux constructifs et le manque de retours d"expérience induisent un manque de visibilité et donc la quasi -inexistence de techniques de rénovation performantes et adaptées. Dans ce contexte particulier, il est nécessaire d"engager des travaux sur le comportement des matériaux constitutifs de ce parc, notamment des parois verticales et des ponts thermiques avant et après rénovation. En outre, le recours accru à l'isolation thermique par l'intérieur en site occupé relève laquotesdbs_dbs27.pdfusesText_33