[PDF] RESUME 1 Le régime commercial des Émirats arabes unis

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ÉMIRATS ARABES UNIS - Awex

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RESTRICTED WT/TPR/S/338 27 avril 2016 - World Trade

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Émirats arabes unis WT/TPR/S/262

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RESUME

1. Le régime commercial des Émirats arabes unis (EAU) est ouvert et comporte des droits de

douane peu élevés ainsi que des obstacles non tarifaires au commerce peu nombreux. Cette ouverture

a contribué pour beaucoup à la forte croissance enregistrée avant la crise mondiale, et facilité la

diversification de l'activité économique. Le régime d'investissement reste notablement plus restrictif

que le régime commercial, dès lors que la participation étrangère dans toute entreprise ou activité

nationale est limitée à 49% du capital; toutefois, la propriété étrangère à hauteur de 100% est

autorisée dans l'ensemble des zones franches.

2. La crise financière mondiale a mis fin à une période de forte croissance. L'économie s'est

contractée en 2009, et la croissance n'a atteint que 1,4% (PIB réel total) en 2010. À la suite de la

crise, la croissance du PIB a subi le contrecoup de la baisse des cours du pétrole, des remous sur les

marchés financiers, en particulier dans le secteur financier de Doubaï, et d'une correction des prix sur

le marché immobilier de cet émirat. Face à la crise, les autorités ont soutenu les banques en leur

apportant des liquidités et des garanties de dépôts, et en ayant recours à la recapitalisation.

1) E

NVIRONNEMENT ECONOMIQUE

3. Les EAU ont enregistré de très bons résultats économiques au cours de la période 2005-2008,

avec un taux de croissance annuel moyen de 5,5%. La croissance s'est appuyée dans une large mesure

sur une stratégie de diversification réussie au profit des services, de l'immobilier et de l'industrie

manufacturière. La croissance hors hydrocarbures a été particulièrement élevée et rendue possible par

une politique favorisant l'investissement. La crise financière mondiale, associée à la baisse des prix

du pétrole et à la correction des prix sur le marché de l'immobilier de Doubaï, a mis fin à cette période

de forte croissance, et l'économie des EAU s'est contractée de 1,6% en 2009. La crise a fait augmenter la dette, en particulier celle des entreprises paragouvernementales de Doubaï.

4. Réagissant à la crise, le gouvernement fédéral a appliqué des politiques monétaire et

budgétaire anticycliques énergiques et adopté des mesures de sauvetage en faveur des entreprises

paragouvernementales, y compris une importante restructuration de la dette. L'économie émirienne a

commencé à sortir de la crise en 2010, avec une croissance du PIB réel de 1,4%. La crise mondiale a

eu pour effet de ralentir l'économie, mettant fin à l'accélération des hausses de prix observée au cours

de la période 2005-2008. Toutefois, avec la reprise de la croissance, l'inflation devrait s'accélérer

quelque peu, mais en restant toutefois inférieure aux niveaux enregistrés avant la crise.

5. Rompant avec une tradition d'excédent, par suite de la crise et de l'adoption d'une politique

budgétaire expansionniste, le gouvernement fédéral a affiché des déficits budgétaires en 2009 et 2010.

Les autorités ont pris des mesures pour réduire ce déficit en limitant la croissance des dépenses et en

réduisant les subventions et les transferts en faveur des producteurs. Toutefois, il faudra probablement redoubler d'efforts pour parvenir à assainir les finances publiques.

6. Les exportations de marchandises ont augmenté rapidement tout au long de la

période 2006-2008, mais ont diminué de 17% environ en 2009 sous l'effet de la baisse des prix du

pétrole et de la crise économique mondiale. Les importations ont suivi une évolution similaire, mais

tant les exportations que les importations ont commencé à reprendre de la vigueur en 2010, la

croissance ayant redémarré. Les EAU affichent un excédent structurel de la balance commerciale, qui

a culminé à 62,9 milliards de dollars EU en 2008, a diminué en 2009 à la suite d'une chute des

exportations pétrolières et malgré une réduction des importations, et a de nouveau augmenté en 2010

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et en 2011, principalement du fait de l'accroissement des exportations et réexportations hors hydrocarbures. L'excédent du solde des transactions courantes a atteint 3,8% du PIB en 2010. 2) R EGIME DE LA POLITIQUE COMMERCIALE: CADRE ET OBJECTIFS

7. Les EAU ont un régime commercial libéral, malgré un certain nombre de restrictions et de

conditions concernant l'investissement étranger. Améliorer l'accès aux marchés pour leurs produits

par le biais de la libéralisation commerciale multilatérale et des accords commerciaux bilatéraux et

régionaux constitue un objectif essentiel de leur politique commerciale. La formulation et la mise en

oeuvre des politiques se font tant à l'échelon fédéral qu'au niveau des différents émirats, ceux-ci

jouissant d'une assez grande indépendance.

8. Les EAU ont été un participant actif du Programme de Doha pour le développement et ont

présenté des propositions visant à supprimer les droits de douane et les obstacles non tarifaires (ONT)

sur les matières premières, ainsi qu'une offre initiale dans le domaine du commerce des services. Ils

n'ont été impliqués dans aucune procédure de règlement des différends pendant la période considérée.

9. Les EAU attachent une grande importance aux accords commerciaux régionaux en tant que

complément utile, et non comme substitut, à un système commercial multilatéral fondé sur des règles

et non discriminatoire. Ils sont l'un des membres fondateurs du Conseil de coopération du Golfe

(CCG). Au cours de la période examinée, ils ont progressé dans le processus d'intégration régionale à

travers leur participation au CCG. Cependant, au milieu de 2011, l'union douanière du CCG n'était

pas encore totalement réalisée; elle était prévue pour la fin de l'année. Des accords de libre-échange

ont été signés entre le CCG et l'AELE, et entre le CCG et Singapour, mais n'avaient pas encore été

mis en oeuvre fin 2011. Les EAU sont partie au Traité créant la Zone panarabe de libre-échange

(PAFTA).

10. L'ouverture du régime commercial des EAU s'oppose au caractère relativement plus fermé de

son régime d'investissement. Une évolution importante au cours de la période considérée a été

l'amorce de la rédaction d'une nouvelle Loi sur l'investissement pour accroître la participation

étrangère et promouvoir l'investissement étranger, ainsi que le transfert de savoir-faire. Cependant,

l'investissement étranger reste soumis à des limitations et tous les projets d'investissement doivent

comporter une proportion de 51% de capitaux nationaux. En outre, le recours à des agents locaux

pour exercer une activité commerciale est toujours obligatoire, et bien que la législation relative à

l'exécution des contrats de représentation ait été modifiée au cours de la période examinée, elle

demeure biaisée en faveur de l'agent, car il est difficile pour l'investisseur de résilier le contrat.

3) P OLITIQUE ET PRATIQUES COMMERCIALES - ANALYSE PAR MESURE

11. Depuis le précédent examen en 2006, les EAU ont simplifié les procédures documentaires et

réduit les délais de dédouanement, principalement en instaurant le dédouanement entièrement

électronique et un système d'évaluation des risques. Néanmoins, les importations doivent encore être

traitées par des agents commerciaux désignés, et des restrictions de nationalité sont appliquées à cet

égard. Un agent commercial doit détenir une licence commerciale, et cette licence n'est délivrée qu'à

des Émiriens ou à des entreprises dont au moins 51% du capital appartiennent à des Émiriens.

12. Les EAU appliquent depuis 2003 le tarif extérieur commun du Conseil de coopération du

Golfe (CCG). La structure tarifaire comprend quatre taux de droits ad valorem: un taux nul, un taux

de 5%, qui est le taux général, et des taux de 50% et 100%, qui s'appliquent respectivement aux

alcools et aux tabacs. Environ 97% du total des lignes tarifaires font l'objet de droits ad valorem; les

droits sont perçus sur la base de la valeur c.a.f. des importations. Des droits alternatifs ou des droits

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spécifiques s'appliquent à 0,3% du total des lignes tarifaires. Depuis le dernier examen, la moyenne

des taux de droits a légèrement fléchi, passant de 5,1% à 4,9%. Les EAU ont consolidé l'ensemble de

leurs lignes tarifaires. D'une manière générale, les taux consolidés, compris entre zéro et 200%, sont

nettement supérieurs aux taux appliqués et pourraient donc être réduits. Les EAU n'appliquent aucun

autre droit ni redevance à l'importation.

13. Des prohibitions à l'importation ont été mises en place, visant environ 30 lignes tarifaires du

SH, et les produits relevant de 244 autres lignes tarifaires au niveau des positions à huit chiffres sont

soumis à des restrictions. Les prohibitions et les restrictions reposent, pour la plupart, sur des

considérations sécuritaires, religieuses ou morales. Aucun régime de licence d'importation n'a été mis

en place, et pour les besoins de l'évaluation en douane c'est la valeur transactionnelle des marchandises qui est généralement utilisée.

14. En 2005, les EAU ont promulgué une législation nationale portant adoption et mise en oeuvre

des dispositions du Traité du CCG en ce qui concerne les mesures antidumping, compensatoires et de

sauvegarde. Aucune mesure antidumping ni mesure compensatoire n'a été prise durant la période

considérée, et aucune enquête n'a été ouverte à cet égard.

15. L'Office de normalisation et de métrologie des Émirats (ESMA) assure l'élaboration et

l'adoption des normes, qui sont établies par ses comités techniques à la demande des pouvoirs publics,

des branches de production ou des consommateurs. D'une manière générale, les normes émiriennes

sont élaborées sur la base des normes internationales et régionales existantes. Les projets de norme

sont communiqués aux organismes pertinents, qui peuvent formuler des observations. Les EAU ne

disposent pas d'une instance centrale chargée d'élaborer les règlements techniques. Ces règlements

peuvent être élaborés par l'ESMA, initialement sous forme de normes, puis acquérir un caractère

obligatoire; ils peuvent aussi être élaborés directement par un ministère. Aux fins de leur mise en

oeuvre juridique, tous les règlements techniques sont approuvés par décision du Cabinet. L'ESMA

surveille l'application des normes et des règlements techniques. Durant la période considérée, les

EAU ont présenté plus de 90 notifications au Comité OTC.

16. Les EAU disposent d'un vaste corpus législatif national pour la réglementation des

mesures SPS; la plupart des lois en question sont basées sur des normes du CCG. Les mesures SPS

sont appliquées au niveau fédéral et au niveau des différents émirats. Tous les végétaux et produits

d'origine végétale qui entrent sur le territoire des EAU sont soumis à quarantaine, et leur importation

exige un certificat phytosanitaire. De même, tous les animaux et produits animaux sont soumis à

quarantaine, et leur importation exige un certificat sanitaire. Toutes les expéditions de produits

alimentaires font l'objet d'une inspection qui vise à garantir le respect de la réglementation concernant

l'étiquetage et la durée de conservation.

17. Les EAU n'appliquent ni taxes, ni impositions, ni redevances à l'exportation, à l'exception

d'une taxe sur les exportations de ferrailles d'acier. L'exportation des produits à double usage exige

une licence. Les EAU mettent en oeuvre un certain nombre de programmes destinés à promouvoir les

exportations, y compris un programme de zones franches. La participation étrangère dans les

entreprises des zones franches peut aller jusqu'à 100%, et les investisseurs sont exonérés de l'impôt

sur le revenu des particuliers et de l'impôt sur les bénéfices des entreprises pour une durée de 15 ans,

renouvelable une fois. En outre, les marchandises peuvent être importées en franchise de droits dans

les zones franches. Les entreprises implantées dans ces zones sont exonérées des prescriptions

concernant le statut d'agent/de distributeur, le parrainage et la propriété nationale. Les zones franches

produisent des marchandises et fournissent des services.

WT/TPR/S/262 Examen des politiques commerciales

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18. Il n'existe pas de législation concernant la politique de la concurrence dans les EAU, mais le

Cabinet ministériel examine actuellement un projet de loi sur la concurrence dont les dispositions

concernent, entre autres choses, les ententes restrictives, l'abus de position dominante, ainsi que les

fusions et acquisitions. L'adoption d'une loi sur la concurrence serait bénéfique pour l'économie, étant

donné la relative concentration des producteurs/fournisseurs dans certains secteurs.

19. Les EAU ne sont pas partie à l'Accord plurilatéral de l'OMC sur les marchés publics et n'ont

pas non plus le statut d'observateur pour cet accord. Leur politique dans ce domaine continue de

favoriser les entreprises et les fournisseurs locaux, car des exigences de nationalité restreignent la

participation étrangère. Toutefois, il est fait largement appel aux entreprises étrangères, en particulier

dans le cadre des grands projets pour lesquels les compétences ne sont pas toujours disponibles au

niveau local. Un programme de compensation a été mis en place pour les marchés liés à la défense.

Les EAU étant un état fédéral, les marchés se situent majoritairement (sur le plan de la valeur) au

niveau des différents émirats.

20. Les principaux textes législatifs concernant les droits de propriété intellectuelle contiennent

tous des mesures qui visent à prévenir les atteintes à ces droits; ces mesures comprennent la saisie

préventive, la confiscation, le retrait ou la destruction de produits ou de matériel, ainsi que

l'annulation des effets des actes illicites, le dédommagement et, dans certains cas, l'emprisonnement.

Ces dernières années, les EAU ont instauré divers programmes visant à renforcer la sensibilisation à

la protection de la propriété intellectuelle. L'objectif est de créer un environnement qui favorise

l'innovation et d'attirer des investissements dans les domaines liés à la propriété intellectuelle.

4) P

OLITIQUE COMMERCIALE - ANALYSE PAR SECTEUR

21. Le secteur pétrolier et les filières qui lui sont rattachées dominent toujours l'économie des

EAU. Des mesures de diversification ont néanmoins été prises, en particulier au profit des services et

de l'industrie manufacturière. En 2009, le secteur pétrolier représentait 29% du PIB, 69% des recettes

publiques et 85% des recettes d'exportation. Les réserves estimées de pétrole brut s'élèvent à

97,8 milliards de barils, soit près de 8,5% des réserves mondiales. La production a atteint

2,32 millions de barils/jour en 2010; elle provient pour 95% environ de l'émirat d'Abou Dhabi.

22. Conformément à la Constitution, l'exploitation des ressources naturelles des EAU relève de la

responsabilité de chaque émirat, et non du gouvernement fédéral. La participation étrangère aux

projets est déterminée par les autorités compétentes de l'émirat où la ressource naturelle est située.

23. L'agriculture représente une infinie partie de l'économie émirienne, à savoir 1% à peine du

PIB. La superficie cultivée totale a diminué ces dernières années, et les EAU demeurent un gros

importateur net de produits alimentaires. Les étrangers non ressortissants du CCG ne sont pas

autorisés à posséder des terres agricoles, mais peuvent détenir jusqu'à 49% du capital des entreprises

agroalimentaires. La pêche est réservée aux ressortissants des EAU et du CCG. En décembre 2011,

des notifications à l'OMC étaient en suspens dans le domaine de l'agriculture.

24. Au cours de la période examinée, les EAU, soucieux de diversifier leur économie pour moins

dépendre du pétrole, ont poursuivi leurs efforts de développement du secteur manufacturier.

Certaines des principales industries manufacturières, comme la pétrochimie, demeurent toutefois

associées au secteur pétrolier. Une expansion notable de la production d'aluminium et de la production pharmaceutique n'en est pas moins observable. La plupart des produits manufacturés

importés sont assujettis à un droit de 5%. Les matériaux utilisés pour la production dans le cadre de

projets industriels agréés sont cependant tous admis dans les EAU en franchise de droits.

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25. Le secteur des services connaît un essor rapide, en particulier les transports aériens et

maritimes, les télécommunications et le tourisme. Un certain assouplissement des restrictions en

vigueur concernant l'investissement étranger lui serait néanmoins globalement bénéfique.

26. S'agissant des services financiers, l'émirat de Doubaï a été particulièrement affecté par la crise

financière et économique mondiale. Les marchés d'actions ont subi une forte contraction en 2008 et

2009; la capitalisation boursière et l'indice général des cours des actions ont poursuivi leur chute en

2010. Face à la crise, les autorités ont renforcé la réglementation, y compris en portant de 10% à 12%

le ratio minimal de fonds propres pour les banques en 2010, en injectant des liquidités dans le système

et en recapitalisant les banques. Les autres mesures adoptées pour lutter contre la crise financière

comportent un moratoire sur la délivrance de nouvelles licences aux banques commerciales et la

limitation du nombre de succursales autorisées pour les banques étrangères agréées. Actuellement, les

banques constituées en sociétés dans les EAU sont bien capitalisées; elles affichent un ratio minimum

de fonds propres nettement supérieur à celui qui est prescrit par la loi, puisqu'il atteignait en moyenne

21,2% à la fin de septembre 2011.

27. Les banques étrangères doivent établir des succursales dans les EAU pour y fournir des

services; depuis 2010, le nombre de succursales qu'elles sont autorisées à ouvrir est limité à huit.

Elles n'ont pas le droit d'établir des filiales. Les banques étrangères bénéficient du traitement national

en ce qui concerne les prescriptions en matière de capital versé, mais pas l'imposition des bénéfices:

elles sont assujetties à ce titre à un impôt de 20% qui ne s'applique pas aux banques nationales.

28. Les compagnies d'assurance nationales et étrangères désireuses de s'établir dans un émirat

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