Pensée et vérité de Carl Rogers, Toulouse, Privat, 1974 Du changement Relation, systémique, complexité, non-séparabilité s'imposaient comme des Je souhaite que ce livre aide le lecteur à se faire une opinion personnelle sur l' apport
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travaux de Carl Rogers en 1957 et Abraham Maslow dans la 2nde partie du Xxème siècle Selon Carl Rogers, la relation d'aide (la relation thérapeutique) est C'est le premier praticien à s'être livré à des enregistrements sonores et vidéo
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relation d'aide, c'est-à-dire, par la recherche de l'authenticité personnelle, par la Carl Rogers, psychologue fondateur de l'approche non-directive : Image : l' université de l'Ohio, puis de l'Université de Chicago, où il publia son livre célèbre
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En préface au livre d'André de Perretti, Pensée et vérité sur Carl Rogers, Privât, 1974, Carl Rogers écrit: dans la relation d'aide ou dans l'ensei- gnement ou
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Trois conceptions de relation d'aide : psychanalyse, humanisme et direction spirituelle conception de l'aide de Carl Rogers a montré la nécessité pour l' individu d'actualiser ses désirs et ses Le Séminaire livre X L'angoisse Éditions du
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I/ Les sources : théories, postures et outils autour de la relation d'aide et de l' accompagnement à la par Carl Rogers à son cadre théorique, un terme volontairement généraliste qui indique que sentiments, livre ses émotions 2 - Le para
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Carl Rogers a développé sa conception de la relation d'aide à partir de ses 1 A partir du livre écrit par Carl Rogers, « On becoming a Person », publié en
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Helga Hennemann 1- Qu'est-ce que la relation d'aide? Dans la relation au sens où l'entend Rogers il y a rencontre et communication entre deux individus en tant
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Elle repose sur le postulat de Carl Rogers selon lequel : « tout individu possède un potentiel suffisant pour gérer tous les aspects de sa vie » Rogers a une
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Présence de
Carl Rogers Retrouver ce titre sur Numilog.com
Bibliographie de l"auteur
uvres scientifiques
L"administration,
phénomène humain, Paris, Berger-Levrault, 1968.Risques et
chances de la vie collective, Paris, Epi, 1972.Pensée
et vérité de Carl Rogers, Toulouse, Privat, 1974. Du changement à l"inertie, Paris, Dunod, 1981. Mini-psycologie de l"ad-mini-stration », Marseille, Journal des psychologues, 1990.uvres pédagogiques
Liberté
et relations humaines, Paris, Epi, 1966. Les contradictions de la culture et de la pédagogie, Paris, Epi, 1969. Les techniques de groupe dans la formation, Paris, UNESCO, 1976.Rapport
au ministre de /" Education nationale sur la formation des personnels de l"Education nationale,Paris, Documentation française, 1982.
Pour une
Ecole pluriel le, Paris, Larousse, 1987.
Organiser
des formations, Paris, Hachette éducation, 1991.Controverses
en éducation, Paris, Hachette éducation, 1993.uvres littéraires
La légende
du Chevalier, inédit, pièce montée en 1943 à la Comédie française puis en 1944, salle Pleyel à Paris. Prix Toirac de l"Académie française (1943).Cantique d"amour
au Maroc, Paris, Seghers, 1952. La jeunesse et la machine, inédit, poème dramatique joué au stade de Lourdes, 1952. Le jugement d"dipe, inédit, 1953.Le jeu
de l"espérance, inédit, texte monté en enregistrement par Jo Tréhard et animé par deséquipes
de jeunes ruraux, 1954.Colloque au
chevet d"une basilique, spectacle son et lumière, musique et churs de Georges Delerue, monté à Lisieux, 1955.Poème
sur Abraham, inédit, 1956.Parole dans Chartres,
poème enregistré dans la cathédrale, 1957.Lumière
sur le Monde, Oratorio mis en musique par Georges Delerue et présenté sur l"étang deBerre, 1960.
Le sextuor
d"Orly, inédit, 1961.Itinéraires, Oratorio
mis en musique par Raymond Depraz et diffusé à partir de 1973 sur les antennes de France musique et France culture, 1962.Oratorio,
Paris, Epi, 1970.
Odes et
cris, Paris, Epi, 1977.Naîves ovations,
Paris, 1996.
Ouvrages collectifs
Recueils d"instruments
et de processus d"évaluation formative, Paris, INRP, 1981.Rapport
de recherche sur les points d"appui de l"enseignant, Paris, INRP, 1985. Les enjeux de la fin du siècle (présentation de René Rémond), DDB, 1986. Ecole et culture en Europe (avec Eric Bouchez), Paris, Savoir-lire, Belin, 1990.Techniques pour
communiquer (avec Jean A. Legrand et Jean Boniface), Paris, Hachette éducation, 1994. Les polytechniciens dans le siècle, Paris, Dunod, 1994. Louis Massignon et le dialogue des cultures, Cerf, 1996. Retrouver ce titre sur Numilog.comAndré de Peretti
érès
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plus de quarante pays. La plupart de ses ouvrages ont connu rapidement un succès considérable : " Près de trois quarts d"un million d"exemplaires d"On becoming aPerson
» (Le développement de la personne) toujours réimprimé ; trois cent mille exemplaires de Freedom to learn ? (Liberté pour apprendre ?) vendus en une di- zaine d"années ; deux cent cinquante mille exemplaires de Carl Rogers on En- counter groups (Les groupes de rencontre) . Sans faire même l"addition des multiples traductions, on peut parler de " best-sellers » à répétitionMÉCONNAISSANCE
ET CONTROVERSES
Et pourtant, constatent ses
présentateurs " ironiquement, alors que Rogers a in- fluencé et continue à influencer les vies de millions d"individus pris en charge dans des cadres professionnels dans le monde entier, le public, ici ou là, ne pourrait même pas reconnaître son nom » Même s"il n"a pas recherché une large popula- rité, il a toujours écrit et parlé pour être accessible au plus grand nombre ; et l"inspi- ration pionnière de ses propos est devenue, avec l"évolution des temps, sous-jacente de nombreuses démarches dans le champ des rapports humains et des orientations institutionnelles. Car " bien des concepts de Rogers (notamment le concept de soi) ont été absorbés dans la psychologie courante, souvent sans la reconnaissance de leur origine. A un large degré, l"impact de Rogers a été indirect. En conséquence, l"ampleur de son impact est difficile à évaluer »En toute
hypothèse, l"influence, directe ou indirecte de Carl Rogers, aussi bien que son message et son image doivent être dégagés des défauts de perception et de perspective ou des altérations et confusions qui ont pu, à certains moments, brouiller ou restreindre leur qualité. Il s"agit bien de voir sereinement, avec leurs prudentes limites, les suggestives possibilités qu"il a ouvertes, en précurseur, dans des champs multiples : ceux de la psychothérapie, du travail social, de l"éducation et de la for- mation, des institutions, de la gestion des conflits à tous les degrés de l"échelle des relations, ainsi que, plus généralement, de la personne et des sciences humaines.L"ampleur
et l"extension croissante de ses entreprises et de ses propositions, théoriques et pratiques, devaient naturellement provoquer des contestations. Rogers a été et demeure, dans tous les domaines qu"il a abordés, une personnalité vivement controversée, " a controversial person », comme il le reconnaît dans son Autobio- graphie, en1967 : " J"ai souvent été ce qu"on appelle un "fauteur de troubles". C"est
que j"ai été impliqué dans toutes sortes de conflits, de batailles professionnelles » Il a connu le sort de tous les pionniers : précisément, par le fait d"avoir été placé la charnière des deux moitiés du XX siècle, en précurseur des décloisonnements 9.H. Kirschenbaum, Positive Regard, p. 51.
10.Ibid., p. 65.
11.B. Thome, op. cit., p. 32.
12.Ibid., p. 123.
13. H. Kirschenbaum et V. Henderson, op. cit., pp. XIII et XIV. 14.D.J. Cain; " Celebration, Reflection and Renewal », dans : Person-Centered Review, vol. 5, n° 4, Sage
publications, 1990, p. 358. 15. C. Rogers, Autobiographie, Paris, Epi, 1971, p. 85. Retrouver ce titre sur Numilog.comgénéralisés qui allaient préparer le passage des sociétés postindustrielles aux carac-
téristiques du troisième millénaire, après un demi-siècle de virulence guerrière et d"enrégimentement, qu"il importe d"évoquer comme contexte puissamment signi- fiant sur son message même.IDÉOLOGIES
RADICALES ET DICTATURES
Dans sa première
moitié, en effet, notre siècle a été le théâtre d"un asservisse- ment croissant des individus, neutralisés en masse, sous l"invocation d"entités inexorables (l"Etat ; le Parti ; le Prolétariat ; le Capital ; le Progrès ; la Nation ou laPatrie).
Il faut bien rappeler, tout d"abord, les nationalismes plus ou moins belli- queux (même en France jusqu"en 1918 !) diabolisant les peuples étrangers, mais aussi le colonialisme dominant. On ne peut oublier, en Europe et en Asie, les conceptions oligarchiques ou élitaires de l"Etat, ayant abouti, par leur dérive, à l"é- mergence tragique des dictatures : au Portugal, en Espagne, en Italie, en Allemagne, au Japon, en URSS et dans les pays de l"Est ou en Chine. On doit y ajouter les sé- grégations ou relégations sexuelles (la femme tenue en dépendance, sans droit de vote le plus souvent).Couvrant
le tout, il y avait l"emprise d"un scientisme hautain, gouvernant, au nom du Progrès, des logiques coupantes, une pensée par oppositions radicalisées, des jugements catégoriques en tout ou rien. Et, en ces conditions, l"individu n"était souvent plus rien, sinon une unité conforme ou informe, un " homme-masse », disaitOrtega
y Gasset, inséré et enfermé, par l"application d"un " mythe identitaire », dans unedes strates hiérarchisées d"identification, maîtrisant les " révoltes »16, à la mode
indo-aryenne des castes (Hitler ne s"y était pas trompé !). La voix des idéaux per- sonnalistes était étouffée ; les individus étaient dépouillés de leur " moi irrévo- cable » (Ortega y Gasset), et séparés, disjoints les uns des autres, abstraitement classés ». Qu"on ne l"oublie pas ! A tous les niveaux il y avait, en effet, une sorte de cli- vage endémique séparant les élites reconnues (jusqu"aux " apparatchiks » !) et le vulgum pecus : même en France, les enseignements secondaires et supérieurs étaient encore réservés à un petit nombre. L"esprit du temps laissait croire volontiers à la distinction », inéluctable et apparemment définitive, entre des individus (cultivés ou non) réputés supérieurs et d"autres classés comme inférieurs ou ennemis : occi- dentaux et " indigènes », blancs et " colorés », ingénieurs et ouvriers, hommes et femmes, chefs et " assujettis », bourgeois et " prolétaires », mandarins [universi- taires ? scolaires ?] et auditeurs [ou élèves] passifs. On prônait, corrélativement, une seule bonne manière de faire ou de voir : le " One best way » cher à Taylor (en at- tendant la " pensée politiquement correcte » !) ; et il ne pouvait y avoir qu"" un petit nombre d"élus », selon un jansénisme rampant. 16.Cf. Ortega y Gasset, La révolte des masses, Paris, Stock. Traduit en 1961, p. 19 : " Partout l"homme -
massea surgi [...], un type d"homme hâtivement bâti, monté sur quelques pauvres abstractions et qui
pourcela se retrouve identique d"un bout à l"autre de l"Europe ». Retrouver ce titre sur Numilog.com
Dans ces dispositions, les " différences » et la variété étaient mal considérées,
sinon exclues. Les cloisons, sociales ou intellectuelles, disciplinaires ou culturelles,étaient bâties
en dur. Même Sartre, quoique philosophe de la liberté existentielle, al- lait jusqu"à saluer " les gigantesques planifications socialistes » et reconnaître " au niveau de l"intérêt individuel [...] la massification des individus en tant que tels », sur le plan " pratico-inerte » Loin de se dégager ou de se révolter, Sartre a long- temps défini sa propre démarche comme " enclavée dans le marxisme lui-même qui l"engendre et la récuse tout à la fois » Ainsi les édifices, sociaux ou psychiques aussi bien qu"économiques et intellec- tuels étaient cimentés par les ferveurs d"un rationalisme abstracteur et réductionniste ainsi que par le mythe identitaire hostile aux différences. Les rigidités, les intransi- geances et les totalitarismes, les haines qu"ils engendraient devaient provoquer des déflagrations de violences inouïes qui allaient en contrepartie les ébranler, puis les fissurer, secousses par secousses, dans les ricochets monstrueux de deux guerres mondiales et des luttes coloniales : amorçant la décolonisation généralisée et, non sans remous ni répressions, de multiples mouvements d"émancipation (notamment pour la " condition » féminine et l"enfance) ou de décloisonnement.DÉCLOISONNEMENT ET COMPLEXIFICATION DANS
LE SECOND DEMI-SIÈCLE
Le paradoxe des déchaînements de violence brute, au cours du premier demi- siècle, tient dans les conséquences inattendues des résistances ou précautions qu"ils provoquèrent dans le second demi-siècle. La défense contre les attaques aériennes fit, en effet, développer, par réplique, les radars mais surtout des organes de calcul et d"automatisation qui se perfectionnè- rent selon une incroyable explosion technologique : la cybernétique engendra, après la mécanographie, l"informatique (démultipliée et miniaturisée par les microproces- seurs et les micro-ordinateurs), mais aussi la robotique et la bureautique ou la pro- ductique qui allaient alléger, restreindre et menacer l"emploi à son terme.L"épée
de Damoclès, forgée d"autre part par les armements nucléaires, allait contraindre à la " froideur » les formes de la guerre ; elle rendit alors possibles des explosions » scolaires, universitaires, culturelles dans tous les pays, mais aussi celles des communications, des migrations et des différenciations sociales ou mer- cantiles, imposant la mondialisation des rapports d"interaction entre les individus et les peuples.L"économie, l"organisation
et la recherche devenaient des continuations de la guerre sous d"autres formes, pour paraphraser Clausewitz. L"obstacle des distances, alibi des morgues et des cloisonnements, se dissolvait devant la quasi-instantanéité des échanges réciproques d"informations et de savoirs, et l"accélération des dépla- cements. 17. J.P. Sartre, Critique de la raison dialectique, Paris, Gallimard, 1960, p. 66. 18.Ibid., pp. 4 et 263.
19.Ibid., p. 9. Retrouver ce titre sur Numilog.com
La complexité croissante des relations à tous les niveaux, les effets d"interferti- lisation (conceptuels ou technologiques) et de métissages amplifiés qui en résul- taient se trouvaient en même temps renforcés, potentialisés, par la révolution épis- témologique, qui, préparée dans la première moitié du siècle, était désormais en irrésistible déploiement.Les conceptions du
monde et les structures sociales pouvaient-elles rester clas- siques, en effet, c"est-à-dire distinctes et claires ou définitives, alors que la Relativité généralisée d"Einstein ne permettait plus de séparer l"espace et le temps, l"énergie et la matière. Il n"était plus question non plus, depuis Max Planck et Louis de Broglie, d"opposer les ondes et les corpuscules, le continu ou le discontinu. Pouvait-on croire encore à avertissait, dès1953 : " La chose qu"on a toujours nommée particule et qui est en-
core par la force de l"habitude appelée d"un nom de ce genre, n"est [...] certaine- ment pas une entité individuellement identifiable » ? Un autre physicien suren- chérissait : " On est obligé de concevoir l"univers comme un système d"intercon- nexions, comme un système de relations, d"événements, et non pas comme un système d"objets séparés »Relation,
systémique, complexité, non-séparabilité s"imposaient comme des considérations essentielles à prendre en compte. Il fallait : accepter des contradic- tions non séparables ; renoncer au principe du tiers exclu ; sur le plan scientifique, combiner la rigueur avec l"incertitude ou l"indétermination (Principe d"Heisenberg) ; faire son deuil du rationalisme total (théorème d"indécidabilité ou d"incomplétude irrémédiable deProfitant
de l"effervescence des connaissances et de ces considérations, la bio- logie allait au surplus s"imposer comme étant " de plus en plus la scène où se reflè- tent avec le plus d"acuité les métaphores et les sensibilités de la pensée contempo- raine. Dans ce rôle elle remplace peu à peu la physique, qui sert de point de référence depuis plus d"un siècle » Biologisation, personnalisation... le neurobio- logiste Francisco Varela insisterait, selon l"expérience des " laboratoires », pour marquer " que notre monde et nos actions sont inséparables » de même qu"il y a une spécification mutuelle des transformations chimiques et des frontières phy- 20. penseur,Paris, Albin Michel, 1953, p. 23.
21.B. Nicolescu, Troisième millénaire, n° 2, p. 10. 22.
Cf. B. d"Espagnat et le développement d"un concept de " non-séparabilité » en physique nucléaire, à
proposde la réalité. Dans : A la recherche du réel, Paris, Gauthier-Villars, 1979, p. 95 : " Un enseigne-
ment majeur de la physique contemporaine fondamentale est - encore une fois - que la séparation spa- tialedes objets est elle aussi en partie, un mode de notre sensibilité ». Ibid., p. 46 : " La distance n"est pas
defaçon intrinsèque, entre tel et tel élément de la réalité indépendante. C"est nous qui la mettons, d"une
certainemanière... » Cf. du même auteur, Une incertaine réalité, Paris, Gauthier-Villars, 1985, pp. 111 et
239.23.
1958), p.
143 : " On peut démontrer rigoureusement que dans tout système formel consistant contenant
unethéorie des nombres finitaires relativement développée, il existe des propositions arithmétiques indé-
cidables etque, de plus, la consistance d"un tel système ne saurait être démontrée à l"intérieur de ce sys-
tème 24.F. Varela, Autonomie et connaissance, Paris, Le Seuil, 1989, p. 14. 25.
Ibid., p. 224. Retrouver ce titre sur Numilog.com
inespérée auprès de Menahem Begin, au nom de l"hospitalité sacrée d"Abraham : et c"est la paix de Camp David, patronnée par le président Carter (admirateur de CarlRogers),
mais aussi marquée par l"assassinat de Sadate en 1981. Andrei Sakharov défend magnifiquement, en URSS même, les droits de l"Homme jusqu"à sa mort en 1989,facilitant l"évolution décisive de Gorbatchev, au-delà de la " glasnost » et de la " perestroïka ». En Afrique du Sud, après une trentaine d"années d"emprisonne- ment Nelson Mandela est libéré par le président De Klerk en 1990 et il abolit avec lui l"Apartheid. Shimon Pérès, pour Israël et Yasser Arafat, pour les Palestiniens, préparent en Suède des accords de paix qui sont signés par Yitzak Rabin, à nouveau