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s'interroger sur la suprématie de l'homme par rapport à l'animal L'homme peut être considéré comme « le seigneur » de la nature car il transforme par son A la suite du texte, le philosophe allemand instaure une différence entre le

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Stage : la conscience est- ?

et en conséquence est dépourvu de droits, de sensibilité. mieux connaître " le monde animal ». Dans cette perspective, il serait intéressant d et du niveau cognitif). sensibilité présent dans le Code pénal). Dès lors, il conviendrait de

En quoi les données actuelles de biologie apportent un éclairage sur la question : La conscience

est-elle le propre de l'homme ?

Et si tel n'est pas le cas, si la conscience n'est pas un attribut exclusif de l'homme, alors où situer

la frontière entre l'homme et les autres êtres vivants ?

Pour établir un " point de vue du biologiste », il est nécessaire d'aborder quelques aspects de

la ligné humaine et de son évolution en déterminant 1) la place de l'homme parmi les primates

2) la place de l'homme dans le genre Homo. Par un survol rapide du fonctionnement du système

nerveux, des fonctions du cerveau, la question est élargie au champ de la neurobiologie. attention); G.G Gallup

Critique de J. Vauclair :

On ne peut identifier la conscience de soi (self-awareness) avec la représentation de soi intention consciente : débat entre J.Searle et D. Davidson quant à la : comment est- comportement sans faire appel aux normes de sa propre rationalité ?

I a nature

1 Humanisme philosophique et conséquence

-ce que la conscience de soi ? a) connaissance de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. b) Capacité de l'homme à faire retour sur ses pensées ou ses actions.

Pour Kant, la pensée distingue :

" Une chose qui élève infiniment l'homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent

sur la terre, c'est d'être capable d'avoir la notion de lui-même, du Je. C'est par là qu'il devient

une personne ; et grâce à l'unité de conscience qui persiste à travers tous les changements

auxquels il est sujet, il est une seule et même personne. La personnalité établit une différence

complète entre l'homme et les choses, quant au rang et à la dignité. A cet égard, les animaux

font partie des choses, dépourvus qu'ils sont de raison et l'on peut les traiter et en disposer à

volonté. » être conscient et doué de raison. n et de conscience valeur absolue afin de lui accorder des droits. Pour Kant, seuls les êtres raisonnables au droit

au respect : un être raisonnable est une personne qui doit être respectée dans son humanité. Mais

Comment peut-ique ?

- absolue

et par voie de conséquence les droits et les devoirs qui lui sont conférés. Kant dans

semble-t- droit de conduire ses sujets, qui en majeure partie sont son propre produit, à la guerre comme à la chasse et à une bataille rangée comme à une partie de plaisir1. » le seigneur » de la nature car il transforme par son parvient à domestiquer les animaux sauvages. En conséqu pouvoir humain. A la suite du texte, le philosophe allemand instaure une différence entre le citoyen qui ne peut être une propriété - souveraine - : il ne peut en conséquent être considéré comme un citoyen et acquérir des droits. seigneur de la nature 2» êtres vivants car il affronte

le froid, les maladies, le danger. Mais il possède un entendement qui le rend indépendant de la

aptitude aux fins » qui rend possible la culture. De fin dernière de la nature de deux excès déraisonnables.

Kant oppose les êtres sensibles et les êtres rationnels. Si un animal est reconnu pour sa

sensibilité et so

seul un être rationnel doit être respecté dans sa personne et dans son humanité. Il doit donc par

conséquent admettre que les êtres dignes de respect ont une valeur et non un pourquoi, la personne doit être considérée comme une fin en soi et non comme un simple absolue indépendamment de )RQGHPHQWVGHOD0pWDSK\VLTXHGHVPquotesdbs_dbs43.pdfusesText_43