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À rayons ouverts sont tirées de documents issus des collections de BAnQ première pièce de théâtre de langue anglaise publiée au Québec : The Battle of Aughrim, qui paraît à palement au visionnement de films populaires En effet, en 



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Tous droits r€serv€s La revue S€quences Inc., 1959 Ce document est prot€g€ par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. l'Universit€ de Montr€al, l'Universit€ Laval et l'Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. (AsLcZU^efa^LL eJjes pieces de tkédt re au cinema Dè s 1910
le s "Film s d'Art puisaien t leur s sujet s dan s l e répertoir e d e l a

Comédi

e française L e "théâtr e filmé (braque r un e camér a devan t un e scèn e d e théâtr e e t filme r e n glissan t ic i e t l quel que s gro s plans n'es t don c pa s n récemment V u qu e le s rapport s "théâtre-cinéma son t exposé s ailleur s dan s c e cahier rappelon s seulemen t deu x point s avan t d e s'attarde r su r quelque s exemple s e n premie r lieu l a différenc e fondamental e d e ce s deu x arts Alor s qu e l e théâtr e repos e avan t tou t su r l a parole su r le s dialogue s (certaine s pièce s son t jouée s e n habi t d e soirée san s décor) l e cinéma pou r s a par t s'appui e avan t tou t su r l'image l e visuel Rythm e d e l a ville I l

étai

t un e chaise Corral sont parfaitement compris bien qu'aucune parole n' y soi t prononcée E n deuxièm e lieu i l fau t signale r la différenc e d e ressource s don t disposen t l e comédie n d e théâtr e (qu i doi t simultanémen t

émouvoi

r l e spectateu r d e l a dixièm e rangé e d e l'orchestr e e t celu i d u dernie r ran g d u balcon e t l'acteu r d e ciném a (pou r qu i la camér a multipli e infinimen t l e moindr e plisse men t d e lèvres) Ce s deu x distinction s

établies

examinon s quelque s oeuvre s cinématographique s qui de s degré s di vers , ont su traduire ou adapter adéquatement des pièces de théâtre. 1 . Réussites exceptionnelles I l es t dommag e d e cite r e n premie r lie u u

n film qui n'a pas été distribué ici. Il s'agit du film suédois d'Alf Sjoeberg Mademoiselle Julie, d'après la pièce d'August Strindberg. Le meilleur compliment que l'on puisse faire à ce film est de dire que c'est un excellent film, donc qu'il ne se ressent nullement de ses origines théâtrales. En effet, le réalisateur du Chemin du Ciel a vraiment "adapté" la pièce de Strindberg : il lui a ajouté plusieurs personnages et a renversé la notion du "temps" de façon inoubliable et originale (dans une même image, on voit l'héroïne à 25 ans et à 8 ans).

L a court e pièc e d e

Prosper Mérimée Le Carosse du Saint-Sacrement est devenue un divertissement de la "commedia d'elle arte" avec musique de Vivaldi (Le Carosse d'or de Jean Renoir avec Anna Magnani). L'esprit de la pièce est différent désormais : Renoir en a fait un divertissement à l'italienne en insistant sur le fait que quelques personnages du film font partie d'une troupe de théâtre; mais le film pour cela, n'est nullement théâtral.

Th e

Heires

s

(L'Héritière) est un film tragique où l'atmosphère s'avère étouffante. Tous les éléments du film contribuent à créer le climat : le décor (maison bourgeoise du XIXe siècle aux Etats-Unis) baroque, les costumes lourds, les é-clairages sombres, le style même de la coiffure

d'Olivi a d e

Havilland

Wyle r a chois i u n styl e de mise en scène qui s'éloigne sensiblement de la pièce.

Quelque

s mot s d u

Chapea

u d e paill e d'Itali

e que René Clair a tiré du vaudeville de Labiche. L'auteur a fait preuve de tellement de génie cinématographique que les sous-titres s'avèrent presque inutiles et le rythme est provoqué par l'image. Dans ce film, Clair se sert beaucoup d'objets : un gant perdu, des souliers neufs qui blessent, une é-pingle qui glisse dans la robe de la mariée, le cornet de l'oncle sourd, les cadeaux des invités, un noeud de cravate, etc., etc. et naturellement ce fameux chapeau de paille ! Clair utilise l'accéléré (le contraire du "slow-motion") dans une séquence de rêve : l'effet hilarant qui s'en dégage est irrésistible ! (A noter qu'une version parlante mettant en vedette Fernandel est très inférieure au chef-d'oeuvre de René Clair).

Deat h o f

a Salesman (La mort d'un commis-voyageur), de Laslo Benedek, suit pas à pas la mise en scène théâtrale (du moins pour ce qui a trait aux "flashes-back") mais celle-ci était très "cinématographique". Voyez un peu : deux personnages : Willy Loman, le commis-voyageur arpente la pièce et n'entend pas sa femme qui lui parle, en train de travailler à la table de cuisine. En même temps que la voix de sa femme s'éteint dans les oreilles de Willy, il s'avance dans une pièce sombre attenante à la cuisine, y entre; la lumière se fait et il se trouve dans une cham-

Jui n 195
9 17

bre d'hôtel avec une fille, il y a déjà quelques années, alors qu'il avait eu une aventure avec cette personne. Au théâtre, la scène était jouée comme cela : cette optique n'est-elle pas authen-tiquement cinématographique ? La version à l'écran de cette pièce d'Arthur Miller n'a donc aucun petit air de théâtre filmé.

L e ca s d e Th e

Fourposte

r (L e cie l d e lit)

, d'Irving Reis, est intéressant à plus d'un titre : le film ne comporte que deux personnages; de plus, on a eu recours à des dessins animés pour raconter les événements qui se passent entre les actes de la pièce. Naturellement, on parle beaucoup dans ce film mais ce n'est pas un défaut parce qeu le style de l'ensemble de l'oeuvre filmée ne s'apparente pas à un style théâtral. Le portrait de ce couple du premier soir de mariage à la mort s'avère plutôt comme le portrait d'une époque.

Qu i dirai t qu e Th e

Brownin

g

Versio

n (L'Om

bre d'un homme) d'Anthony Asquith est tiré d'une pièce ? Cette tragédie qui raconte l'échec (professionnel, conjugal et matériel) d'un professeur de collège est une des plus belles "études psychologiques" que nous ait données le cinéma. Le style est très linéaire, et ne fait pas appel aux ressources dramatiques (voire le suspense) que le cinéma serait en mesure d'offrir et pourtant, à aucun moment, on n'a l'impression que le film provient d'une pièce.

Jea n

Coctea

u es t u n touche-à-tou t poésie

, théâtre, peinture, cinéma. Il était donc normal qu'il songeât à adapter ses pièces de théâtre au cinéma : L'Aigle à deux têtes, Les Parents terribles. De ce dernier film, Cocteau lui-même affirme : "Je dois admettre que Les Parents terribles sont, cinématographiquement parlant, ma grande réussite. J'y ai, comme disait Barrés, "bouclé ma boucle". Je souhaitais trois choses : 1° fixer le jeu d'artistes incomparables; 2° me promener parmi eux et les regarder en pleine figure au lieu de les voir à distance, sur une scène; 3° mettre mon oeil au trou de serrure et surprendre mes fauves avec le télé-objectif". Donc, une multitude de gros plans, ce qui est une formule fort intéressante. Comme le dit Pierre Leprohon, Cocteau a fait un film "au microsco-pe".

Shakespear

e a tent plusieur s homme s d e théâ

tre qui étaient cinéastes. Tous n'ont pas eu le même succès. Dans une note de son : Précis de cinéma", Henri Agel classe les adaptations shakespeariennes de la façon suivante : "Le théâtre de Shakespeare a lui seul pose une foule de problèmes qui ont

1 8 ét résolu s d e faço n for t différente s depui s quelquotesdbs_dbs5.pdfusesText_10