La couche d'ozone est la partie de l'atmosphère située entre vingt et cinquante kilomètres d'altitude, ce qui ont mis en évidence expérimentalement l'existence d'un trou dans cette d'être remise en cause à plus ou moins brève échéance
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[PDF] Trou dans la couche dozone
Animations AGEDEN – Comprendre l'énergie pour agir Les causes et les conséquences du trou dans la couche d'ozone Causes En utilisant par exemple la
[PDF] La destruction de la couche dozone et ses implications en Région
la présence récurrente depuis 1985 du "trou d'ozone" dans l'Antarctique Le chlore n'est toutefois pas seul en cause: le brome intervient lui aussi dans la
[PDF] La destruction de la couche dozone - ORBi
Le trou dans la couche d'ozone résulte de mécanismes complexes Représentation des mise en cause des CFC dans la destruction de la couche d'ozone,
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du trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique, non seulement les pays d'ozone et de causer un appauvrissement de la couche d'ozone
[PDF] Fiche n°7 Lozone et la couche dozone
Les causes et les conséquences de la destruction de la couche d'ozone Au niveau des trous de la couche d'ozone (les 2 pôles), les rayons ultraviolets nocifs
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Le trou dans la couche d'ozone résulte de mécanismes complexes Représentation des mise en cause des CFC dans la destruction de la couche d'ozone,
[PDF] La rupture de la couche dozone
La couche d'ozone est la partie de l'atmosphère située entre vingt et cinquante kilomètres d'altitude, ce qui ont mis en évidence expérimentalement l'existence d'un trou dans cette d'être remise en cause à plus ou moins brève échéance
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Energie et changement climatique
La rupture de la couche d'ozone
I) Trou dans la couche d'ozone
La couche d'ozone est la partie de l'atmosphère située entre vingt et c inquante kilomètres d'altitude, ce qui correspond à la stratosphère. La concentration en ozone y est de l'ordre de dix parties par million. L i m por t a nc e de l oz one de l a s t r a t os phè r e e s t que c e s t un g a z qui a bs or be l a pl u pa r t de s r a yons ul t r a vi ol e t s biologiquement néfastes. Il ne faut pas le confondre avec l'ozone présent dans l'air ambiant à la surface de la terre, qui est toxique s'il est inhalé en grande quantité.Sans l'action filtrante de la couche d'ozone, les rayons UV atteindraient la surface de la Terre et seraient dangereux
pour les organismes vivants.En 1985, d
es chercheurs anglais et japonais ont mis en évidence expérimentalement l'existence d'un trou dans cette
couche d'ozone au niveau de l'Antarctique au moment du printemps austral : son épaisseur normale a diminué de 50
à 66 %.
Depuis ce constat, la communauté internationale s'est sentie particulièrement interpellée. La rupture de la couche d'ozone est imputable à de nombreux gaz, en particulier ceux qui contiennent du chlore.Parmi ces gaz figurent les chlorofluorocarbones ou CFC, dont l'usage est pour environ 60% directement lié à des
applications énergétiques. Il s'agit de la production des isolants thermiques en mousse expansée, et de leur utilisationcomme fluides frigorigènes dans les équipements de climatisation, les réfrigérateurs et les congélateurs.
L'évaluation de la nocivité d'un gaz en termes de destruction de la couche d'ozone peut être estimée grâce à un indice
surtout connu sous son nom anglais d'ozone depletion potential (ODP), dont la valeur est égale à 1 pour le gaz R11 qui est l'un des CFC.II) Négociations internationales
La manière dont le sujet de la couche d'ozone a été instruit au niveau international est particulièrement exemplaire :
après quelques tergiversations, loin d'adopter une attitude conservatrice, les industriels ont globalement appuyé une
réglementation contraignante, dans le cadre du Protocole de Montréal, qui a pris effet début 1989.
Ce n'est pas courant et les raisons de ce comportement sont multiples.Toutefois, il apparaît clairement
que les industriels se livrent entre eux à une course technologique où ceux qui ontinvesti dans les recherches de substituts aux CFC cherchent à valoriser leur avance en préconisant un cadre
réglementaire strict limitant les parts de marché de leurs concurrents.Derrière l'apparente
convergence de vues se cache donc une bataille industrielle entre quelques grandes compagnies des pays industrialisés et leurs homologues des pays du "Sud », et notamment d'Inde et de Chine.
III) Fluides de remplacement
On peut regrouper les
fluides de remplacement des CFC en trois grandes catégories : - les fluides de transition, - les fluides à ODP nul, - et les fluides à ODP nul et faible GWP.La solution la plus immédiate pour chercher des fluides de remplacement aux CFC a été de travailler sur les
hydrochlorofluorocarbones ou HCFC, a priori relativement proches sur le plan chimique, tout en étant moins
nocifs pour la couche d'ozone.Toutefois, ces fluides à ODP non nul sont soit déjà tous interdits, soit le seront prochainement, de telle sorte qu'ils ne
constituent qu'une solution à court terme, d'où leur appellation de fluides de transition.Sur le plus long terme, les seuls dérivés halogénés acceptables vis-à-vis de la couche d'ozone sont les
hydrofluorocarbones ou HFC, qui, ne contenant pas d'atomes de chlore, ont un ODP nul.Leur principal inconvénient est que, si leur ODP est nul, leur GWP est très élevé. Il vaut par exemple 1300 pour le
R134a, 3200 pour le R125, 580 pour le R32,
et 4400 pour le R143a.De surcroît, leurs
molécules sont très stables et ont des durées de vie atmosphérique de plusieurs dizaines voire centaines d'années.Leur contribution à l'effet de serre est donc potentiellement importante et leur production est à ce titre susceptible
d'être remise en cause à plus ou moins brève échéance.Les seuls fluides de substitution sans inconvénient supplémentaire à la fois vis-à-vis de la couche d'ozone et de l'effet
de serre sont les fluides non halogénés comme l'ammoniac ou R717, le propane ou R290, l'isobutane ou R600a, le gaz carbonique ou R744 et l'eau ou R818Les trois premiers présentent de
s contraintes d'inflammabilité, ainsi que de toxicité et de compatibilité avec certains métaux comme le cuivre pour le premier, qui en limitent de fait l'utilisation.L'eau ne peut être employée pour obtenir des températures négatives, et les cycles au gaz carbonique ont aujourd'hui
des efficacités nettement plus faibles que les autres.Il est enfin possible d'utiliser des
mélanges comme fluides de substitution.Les fabricants de fluides frigorigènes considèrent en effet qu'à l'exception du R134a, il est maintenant peu probable
de trouver des fluides purs qui possèdent des propriétés thermodynamiques leur permettant d'être de parfaits
substituts aux anciens fluides.En revanche, en mélangeant des fluides purs dans des proportions bien choisies, il est possible d'obtenir des
caractéristiques mieux adaptées, ce qui explique l'intérêt que suscitent les mélanges.
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