[PDF] Les caractéristiques concrètes du capitalisme libéral - Érudit

LES CARACTERISTIQUES CONCRETES DU CAPITALISME LIBERAL GEORGES-HENRI sente le capitalisme libéral dans son contexte amé- ricain Régime 



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Les caractéristiques concrètes du capitalisme libéral - Érudit

LES CARACTERISTIQUES CONCRETES DU CAPITALISME LIBERAL GEORGES-HENRI sente le capitalisme libéral dans son contexte amé- ricain Régime 



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Les caractéristiques concrètes du capitalisme libéral - Érudit

Le socialisme, seule alternative au capitalisme

Le monde impĠrialiste s͛Ġcroule

Le monde capitaliste affronte la sixième année d'une crise économique majeure dont l'ampleur est

sans équivalent depuis celle des années 1930. Dans l'ensemble des pays impérialistes en déclin, que

ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, la bourgeoisie sur la défensive économique est passée

à l'offensive politique. Alors que les rangs des chômeurs et des travailleurs pauvres et à statuts

prĠcaires s͛agrandissent, les tats bourgeois sabrent dans les dépenses publiques et détruisent ce qui

reste des systèmes de retraite, d'enseignement et de santé qui ont été - depuis les années soixante

environ -, le prix à payer (c'est-à-dire le coût de la force de travail) pour obtenir la stabilité politique

et la paix sociale dans le monde occidental.

Pendant ce temps, rongées par le réformisme et le démocratisme-électoraliste, les dernières

organisations prétendument communistes continuent de se décomposer au profit des partis

nationalistes bourgeois les plus réactionnaires qui accaparent leur électorat traditionnel alors que le

syndicalisme de collaboration de classe n͛en finit plus de se compromettre avec les dirigeants du

Capital et leurs politiciens serviles en donnant son aval à la destruction des chaînes dorées des

esclaves salariés (exit les régimes de retraite raisonnables, les salaires permettant de survivre, le

crĠdit bon marchĠ, l͛aide sociale et les soins de santĠ accessibles, l͛allocation chƀmage, etc.).

En dépit de cette offensive de grande ampleur, la classe ouvrière et ses alliés semblent apathiques et

méfiants vis-à-vis des organisations censées les représenter, davantage résignés que révoltés, et

quand la révolte éclate, elle est spontanée-inorganisée-désorientée. Alors que jamais au cours de

l͛histoire rĠcente les fondements garantissant la stabilitĠ sociale dans les ǀieudž pays impĠrialistes

n͛ont semblĠ aussi fragiles, jamais la résistance opposée par la classe ouvrière et ses alliés -

travailleurs, étudiants, chômeurs - n͛a semblé aussi faible. En témoignent les ''réformes'' successives

du système de retraite qui aboutiront à une augmentation de la durée du travail pour les actifs et à

une baisse du niveau réel des pensions pour les retraités. Le Capital continue à dégrader les

conditions d͛edžploitation du traǀail salariĠ le plus impunément du monde.

Alors que jamais dans l͛histoire rĠcente, la possibilitĠ et la nécessité de la destruction du mode de

production capitaliste n͛ont paru aussi évidentes, jamais les conditions subjectives n͛ont paru aussi

défavorables, présentant la classe ouvrière internationale plus divisée, plus désorientée que jamais.

Pourtant, la révolte gronde sourdement

La faute en reǀient d͛abord, aux conditions matérielles objectives et à un approfondissement

constant et inexorable de la crise Ƌui prĠcarise l͛emploi ; paupérise des millions de familles de plus en

plus obnubilées par les nécessités impératives de la survie ; terrorise les travailleurs craignant de

perdre leur emploi et entrave toute velléité de résistance organisée.

La bourgeoisie a veillé au grain et elle a perverti les organisations de la classe ouvrière en assurant la

domination sans partage des directions et cadres révisionnistes, opportunistes et réformistes sur le

mouvement ouvrier et sur le mouvement pseudo-communiste international. Une domination si

prĠgnante Ƌue pour nombre d͛ouǀriers, le socialisme n͛est mġme plus une hypothğse de solution aux

maux du capitalisme. C͛est Ƌue le mot " socialisme », tant galvaudé, dissimule dans la bouche des

réformistes toutes les tares inexpugnables de l͛impĠrialisme.

La conséquence la plus immédiate de cette trahison des clercs gauchistes, sociaux-démocrates et

réformistes résulte en une conscience politique de la classe ouvrière qui retarde par rapport à

l͛Ġǀolution des conditions économiques, politiques et sociales objectives. Cependant, prenez garde manants, à l͛Organisation Communiste de France, nous pensons que la

braise couve sous la cendre, les tensions révolutionnaires se multiplient et se concentrent et les

forces de la rĠǀolte s͛accumulent si bien Ƌu͛un jour, pas si lointain (voyez les camarades brésiliens),

l͛insurrection jusƋu͛ici rĠprimĠe, éclatera en une guerre de classe inextinguible. Ce jour-là, la

question de la direction révolutionnaire se posera avec acuité. Le grand Capital le sait et il s͛y

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