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Les Après-M'

de la protection de l'enfance Le parrainage de proximitéObservatoire départemental de la protection de l'enfance

Le parrainage de proximité

L'ancrage associatif du parrainage en

France

Le parrainage (de proximité)

est mis en œuvre par des associations (loi 1901), dont une partie a fondé une union, l'Union Nationale des Association de Parrainage de Proximité en 2005. La politique familiale de l'Etat français, au moment de la création de la DIF, puis du Ministère de la famille (au début des années 2000) a rendu visible l'activité des associations de parrainage. L'installation d'un comité national fondé par le gouvernement, aboutissant à l'écriture d'une Charte nationale de parrainage a été un moment important dans cette politique.

L'analyse des documents administratifs (notamment

la Circulaire de juin 1978) et des récits de parrains qui occupent souvent les postes de présidents associatifs véhiculent la représentation d'un "enfant-sans- famille" (délaissé, malheureux, immigré, orphelin, malade) ou, dans les meilleurs des cas, l'image d'un enfant dont les besoins seraient mieux évalués et pris en compte par sa marraine et son parrain que par quiconque, aboutissant jusqu'au récit de parrainage d'enfants qui "mettra en échec la famille d'accueil" 2

Depuis sa création, l'UNAPP porte une exigence

d'analyse des pratiques, à la fois du côté de la gouvernance associative 3 , que du côté de la traduction des principes éthiques en actions de parrainage et l'évaluation des e?ets produits pour les ?lleuls et leurs parents. Cela passe par la volonté de rendre lisibles les pratiques actuelles, d'élaborer

Le parraina

ge de proximité R epères anthropologiques pour l'inno vation dans le parrainage de proximité 1 "...le parrainage participe à l'ouverture de l'enfant vers le monde." Charte nationale de parrainage

Dans le paysage français, deux pratiques de

parrainage co-existent: la plus connue opère un transfère du dispositif de recrutement et de placement familial à des familles bénévoles (cf. "Le guide de parrainage"). Ces parrainages sont souvent arrêtés au moment où l'ASE trouve un assistant familial rémunéré pour placer l'enfant (le ?lleul). L'autre parrainage est une innova- tion dans la solidarité, voir l'alliance entre les parrains et les parents par la construction des réseaux. Cette approche nécessite de nouveaux repères pragmatiques non seulement pour les bénévoles mais aussi dans la formation et les pratiques des professionnels. Cette innovation en cours a été initiée et continue d'être por- tée par l'UNAPP en partenariat avec ARTEFA.

L'innovation dans le parrainage "bouscule"

les représentations et les pratiques des profes- sionnels de l'ASE et questionne le bénévolat et la gouvernance associative. Le parrainage agit aussi comme révélateur du système actuel de placement d'enfants, concernant notamment le devenir des enfants et les pratiques de recon naissance de leurs réseaux de parenté et de leur environnement dont font partie le parrain et la marraine (loi de 5 mars 2007). MA R LAT A R T

EFA (artefa17@yahoo.fr)

1 Ce texte est un inédit - tout droits réservés par Maria Maïlat 2 Maria Maïlat - La construction du référentiel associatif du parrainage de proximité, Rapport adressé à la CNAF par l'UNAPP et ARTEFA, 2010, p.32 3 Ces termes méritent des précisions, mais ici on part de la question: qui représente aujourd'hui le parrainage auprès des autorités et des instances politiques? Quel projet de société est réellement expérimenté et transformé en discours politique et en pratiques? 2 l'ouverture constructive du "guide" qui se limite aujourd'hui à une procédure donnée comme "bonne pratique" (calquée sur le placement familial). Une des conséquences de cette procédure unique consiste dans le fait que les citoyens qui ne voient pas le lien entre une action citoyenne et le passage par une expertise psychologique ne franchissent pas le seuil de ses associations. Et ces associations se plaignent ensuite qu'elles "ne trouvent pas de parrains potentiels". L'alternative proposée par ARTEFA permet de constater que les citoyens s'intéressent au parrainage à condition que le projet associatif s'adresse à eux aussi... L'UNAPP en s'associant avec ARTEFA s'est proposée de repérer quelles sont les "forces vives" d'innovation tant au niveau des associations qu'au niveau des collectivités territoriales. C'est dans cet esprit que les deux partenaires ont lancé une recherche-action nancée en partie par la Fondation de France.

Objectifs de la recherche-action pour

innover des parrainages d'enfants pris en charge par l'ASE (notamment enfants placés)

ARTEFA accompagne le processus d'innovation dans

la méthodologie de parrainage en associant les Départements du Rhône, de l'Eure, de la Vienne et de la Vendée. Depuis 2009, sur chaque territoire, des groupes de recherche-action réunissent professionnels de terrain, cadres, psychologues, responsables associatifs, parrains. Il s'agit de mettre en commun et de débattre à partir des expériences et des représentations concernant les parrains, mais aussi concernant les dicultés d'articulation et de communication entre parrains et professionnels. A ce travail du groupe départemental s'ajoutent : - un travail interne au niveau des associations de parrainage concernant l'accompagnement associatif

des parrainages et les alternatives à envisager pour dépasser le "guide" et innover des nouveaux projets associatifs de parrainages de proximité;

- des séances de formation-sensibilisation aux apports de l'anthropologie et de la philosophie de l'action auprès des équipes de professionnels des

MECS, MDS, psychologue, effectuées par ARTEFA

an d'alimenter le projet pour l'enfant (loi de 5 mars

2007) et l'inscription du parrainage dans le projet

pour l'enfant Plus de 200 personnes se sont mobilisées au fur et à mesure de l'avancée de la recherche-action qui continue en 2010-2011. En 2009-2010, plusieurs objectifs ont été atteints et continuent d'être approfondis :

1. bâtir un processus qui permet de valoriser les

parents dans le projet de parrainage et d'évaluer la manière réelle dont les parents sont reconnus par les services de protection de l'enfance : comment passe-t-on d'un dispositif centré sur "carences, défaillance, danger" vers un travail éthique, politique avec les parents. Comment construire les conditions d'exercice de l'autorité parentale en accord avec la responsabilité des professionnels et des bénévoles?

2. repenser les rapports parrains-professionnels dans

le sens où le parrain construit une alliance avec les parents de son lleul;

3. créer un processus de préparation des enfants à

parrainer : changer les repères dans la présentation de l'histoire de l'enfant par les professionnels en construisant ensemble un "canevas de présentation"; se mettre d'accord sur ce que l'on dit à l'enfant du parrainage de proximité... recueillir mot à mot ses questions, propos...

4. Repenser la manière dont on ouvre le parrainage

aux membres de la société civile : construire des réseaux de parrains potentiels en amont de toute relation individuelle "privilégiée"; élargir le réseau de parrains potentiels aux parents des enfants 3 "pressentis" pour faire l'expérience du parrainage de proximité 5. Expérimenter un processus innovant dans la cooptation des parrains qui adhèrent au projet associatif, collectif de parrainage et qui font connaissance entre eux, puis avec les parents... Sortir d'une logique " o?re-demande » dans le projet de parrainage, de sorte que les parrains potentiels soient accueillis dans et par un réseau pour élaborer, mûrir leur projet, décider de la manière dont ils vont s'investir dans le projet collectif de parrainage.

La recherche-action mobilise également une

réflexion au niveau des conseils d'administration des associations de parrainage sur la question de la gouvernance et de la diversication des pratiques d'animation des liens tissés, sur la distance critique à prendre par rapport à la seule pratique stipulée dans le "guide" (risque de "pensée unique"). Courant

2009-2010, deux groupes de travail nationaux

ont été constitués et fonctionnent, animés par

ARTEFA : le groupe transversal de la recherche-

action réunissant des participants impliqués sur les sites (départements), mais aussi d'autres associations de parrainage; un groupe d'analyse de l'accompagnement associatif des parrainages et de consolidation des innovations réalisées sur le terrain. Depuis 2009, à l'initiative de l'UNAPP, les associations et les parrains se retrouvent dans des groupes de réflexion régionaux ouverts aux associations de parrainage de l'Europe (la Belgique, l'Espagne...) Le parrainage est donc désormais confronté à l'ouverture vers l'altérité et à l'application du principe d'hospitalité, notamment en direction des parents des lleuls.

Quelques noeuds à délier pour avancer

vers des nouveaux projets...

Rappelons que le "guide"

stipule une procédure de

recrutement des futurs parrains calquée sur le modèle du placement familial. Dicile d'ouvrir l'innovation, lorsqu'une telle procédure "va de soi" pour certaines

associations, mais aussi pour les services de l'ASE. Or, sans la critique de ce modèle de recrutement, les pistes vers l'innovation demeurent marginales. On se heurte à un idéal-type d'accueil à domicile dans une famille-modèle, recrutée sur des critères de moralité et de "santé mentale", mais aussi en fonction de leur logement et aisance à s'exprimer... Ces critères correspondent à la société néo-libérale, individualiste, excluant le caractère formateur du collectif, la possibilité d'élaborer une intelligence collective dans le parrainage. Quelques exemples de ces critères néo-libéraux: "Il suffit d'être une personne de bonne moralité, de bonne éducation, en bonne santé; d'être propre, patient mais aussi un caractère agréable et ouvert. 4 " Ou : "Tout d'abord la traduction d'une vie saine et équilibrée qui peut apporter un plus à un enfant, sachant que la dénition de saine et équilibrée est di?érente pour chacun, il y a malgré tout des critères communs, par exemple : impossible pour un S.D.F. ; pour une personne ayant une problématique alcoolique, vivant dans une ambiance conictuelle ou de violence ou maladie psychiatrique. 5 Le pendant de cette procédure est la représentation de l'enfant "délaissé", subissant les "négligences" et les "caprices" de ses parents pour qui, il n'est qu'un "jouet"... mais qui est "reconnaissant" devant son parrain-sauveur (il "nous donne beaucoup" dit une marraine de son lleul). Cette "gure" est décrite également dans la Circulaire de 1978. L'association reçoit des informations de ce même type de la part des services de l'ASE. Il s'avère que ces représentations produisent des véritables barrières lorsqu'il s'agit d'intégrer dans l'association les parents "ciblés" par 4 Réponse d'un bénévole à un questionnaire CNAF di?usé par l'UNAPP en 2008 5 Réponse d'un travailleur social au questionnaire CNAF di?usé par l'UNAPP en 2008 4 les grilles d'observation de l'enfant en danger. Les parrains parviennent, cependant, tantôt à tolérer les parents de leur lleul, tantôt à construire une relation de coopération. Mais assez souvent les critères d'observation du parent, véhiculés par les professionnels de l'ASE, sont assimilés par les parrains aussi : cela produit des effets de distorsion, des malentendus, des tensions et parfois, l'association décide de l'arrêt d'un parrainage. Une série d'incompréhensions et de nœuds perdurent ce qui rend malheureux tout le monde. Le dé de la recherche-action se situe à cet endroit: proposer des alternatives dans un processus de reconnaissance des parents et des enfants, et dans l'accompagnement des parrains, en appliquant la loi et les principes de la Charte. Lorsqu'une fratrie est parrainée, il s'agit d'initier, accompagner et consolider un réseau d'alliance entre les parrains de proximité et les parents qui se partagent les tâches dans l'éducation et l'accompagnement des enfants et des adolescents, de sorte que ni le père ou la mère, ni le parrain ou la marraine ne sont jamais seuls face aux institutions et face aux obligations et problèmes que l'on rencontre au cours de l'éducation des enfants et des jeunes. La nalité est la construction des autorités lisibles, cohérentes dans laquelle vient s'inscrire l'autorité parentale, de sorte que l'enfant perçoit une autre capacité d'être chez ses parents. La question matérielle et nancière est aussi abordée dans la recherche-action de parrainages d'enfants pris en charge par l'ASE. La majorité des parrains sont issus d'un milieu plus favorisé que le milieu de leurs lleuls. L'association qui institue ce système d'aide, voir cette "relation privilégiée" et qui ne rééchit pas

sur l'impact de la reproduction des inégalités entre les parents et les parrains, ni sur la question de l'argent,

risque d'être instrumentalisée dans une société en crise. Pour l'instant, la réexion sur la reproduction des inégalités dans le parrainage en est à ses débuts. La logique du don sera utilisée pour construire un référentiel dans ce domaine. ARTEFA introduit l'approche anthropologique qui relie "principes" et proximité: "toute action en faveur des êtres humains doit servir ces êtres humains, et non seulement notre intégrité idéologique ou morale." Dans ce contexte, "il faut revaloriser l'objectif d'efficacité - la vertu des responsables - et la rechercher à un horizon pas trop lointain, sans sacrier de génération 6 ". La réexion sur les aspects matériels rejoint la question de la relation privilégiée ou du lien de parrainage qui, pour l'instant, garde un caractère inégalitaire: "le parrain donne et l'enfant reçoit". Dans ces parrainages, la réciprocité dont parle la Charte est située entre l'adulte et l'enfant sans se rendre compte de l'instrumentalisation de l'enfant. Le lien de parrainage étant un lien vertical inter-générationnel, la réciprocité ne peut être que di?érée : on donne à l'enfant pour qu'il puisse donner à son tour aux autres. En réalité, la réciprocité réelle et symbolique devrait être installée entre les parrains et les parents: que reçoit le parrain de la part des parents ? De même, les associations utilisent la notion de "lune de miel" en parlant de la "construction d'une relation a?ective privilégiée instituée entre un enfant - le lleul - et un adulte - le parrain 7 ". Là encore, on laisse ler la symbolique du couple amoureux, marié, comme s'il s'agissait de deux adultes... 6 Paul LÖWENTHAL " Société civile et participation politique. », Mondes en développement 1/2005 (no 129), p. 59-73, www.cairn.info/revue-mondes-en- developpement-2005-1-page-59.htm 7 cf. La dé?nition o?cielle du parrainage de proximité 5 Réinventer le bénévolat via le parrainage dans la protection de l'enfance Les apports de l'anthropologie et de la philosophie mettent en lumière la nécessité de construire du réseau en amont des parrainages individuels. Une fois qu'il est pris en charge, l'enfant change de vie et d'histoire : il devient un sujet à projet. Le projet s'impose - par la loi de 5 mars 2007 - comme un "impératif technique et moral". Dans cet esprit, les services de protection de l'enfance se chargent d'une double obligation éthique : élaborer des ?nalités pour chaque enfant pendant sa prise en charge et évaluer la réalisation réelle du projet de développement et d'insertion des enfants et des jeunes "con?és".

Dans le parrainage, le projet ouvre vers ce que

l'on appelle "faire connaissance". La personne n'est pas un parrain, il le deviendra, peut-être. Il fait connaissance avec l'enfant, avec ses parents et, parfois, avec les professionnels qui l'entourent. Ce bénévole est accompagné par le réseau des parrains et par l'association. Cette étape importante marque la di?érence avec le placement : dans le parrainage, l'enfant chemine avant que le lien s'installe. C'est lui qui pourra nommer ce lien et cet étranger. Un jour, il dira "mon parrain". Mais ce n'est ni l'association, ni les services de l'ASE qui collent l'étiquette "parrain" à un étranger. L'enfant n'est pas assigné à une place et à une catégorie. Il navigue dans l'entre-deux qui lui permet d'expérimenter l'hospitalité, les doutes, la liberté, les rencontres, l'attente, le demi-tour, le fait que l'on peut se tromper sans être stigmatisé, etc.... autant d'expériences positives, accompagnées pour préserver et enrichir leur caractère positif. Ce lien n'est pas décidé par les autres, même si l'occasion de faire connaissance est organisée par les institutions. L'expérience de "faire connaissance" est une des innovations, sûrement très ténue, mais fondatrice du lien social pour l'enfant. Plus tard, il sera riche

de cette expérience, des souvenirs et d'une forme d'a?ectivité reliée à la rencontre et à l'hospitalité, même si cela n'aboutira pas à un lien de parrainage.

Pour comprendre et accompagner cette expérience, les bénévoles doivent développer leur propre capacité d'analyse et de cheminement dans le projet de parrainage. De son côté, l'enfant n'est pas seul, jamais seul, il est entouré de professionnels et institutionnalisé.

Comment les services de protection de l'enfance

envisagent-ils de développer ces espaces de liberté, de spontanéité, d'imprévu que le parrainage apporte dans la vie de l'enfant? Qui doit rendre compte de l'évolution du projet de parrainage et pour quoi faire?

Dans le parrainage en cours d'innovation, il est

question de mieux comprendre l'accompagnement associatif entre bénévoles tout en facilitant la réciprocité entre les parrains et les parents : qui donne quoi et qui rend quoi ? Les parents ne sont- ils pas les premiers bénévoles donneurs lorsqu'ils acceptent de tenter l'aventure avec une association dont ils ne sont pas membres et ne connaissent pas grande chose, si ce n'est l'analogie qu'ils feraient entre le parrainage de proximité et le parrainagequotesdbs_dbs9.pdfusesText_15