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Première publication : 23 juillet 2009

Mise à jour : Jeudi 23 Juillet 2009

Léry, Jean de (1536-1613)

HISTOIRE

D'UN VOYAGE

FAIT EN LA TERRE

DU BRESIL, AUTRE-

ment dite Ame- rique.

Contenant la navigation, & choses remar-

quables, veuës sur mer par l'aucteur: Le compor tement de Villegagnon, en ce païs là. Les meurs & façons de vivre estranges des Sauvages A- meriquains: avec un colloque de leur langage.

Ensemble la description de plusieurs Animaux,

Arbres, Herbes, & autres choses singulieres,

& du tout inconues par deça, dont on verra les sommaires des chapitres au commencement du livre.

Non encores mis en lumiere, pour les causes

contenues en la preface.

Le tout recueilli sur les lieux par JEAN DE

LERY natif de la Margelle, terre

de sainct Sene au Duché de

Bourgongne.

Seigneur, je te celebreray entre les peu-

ples, & te diray Pseaumes entre les na- tions. PSEAU. CVIII. A LA ROCHELLE.

Pour Antoine Chuppin.

M. D. LXXVIII.

( Chuppin, Antoine - La Rochelle - 1578) [ã1v] [page blanche] [ã2r]

A ILLUSTRE ET PUIS-

SANT SEIGNEUR, FRAN-

çois, Comte de Colligny,

Seigneur de Cha-

stillon, &c.

MONSIEUR, parce que

l'heureuse memoire de celuy par le moyen duquel Dieu m'a fait voir les choses dont j'ay basti la presente Histoire, me convie d'en faire recognoissance, ce n'est pas sans cause puis que luy avez succedé que je pren la hardiesse de vous la presenter. Comme doncques mon inten- tion est perpetuer ici la souvenance d'un voyage fait expressément en l'Amerique pour esta- blir le pur service de Dieu, tant entre les Fran çois qui s'y estoyent retirés, que parmi les Sau- vages habitans en ce pays là: aussi ay-je estimé estre de mon devoir, faire entendre à la posteri- té, combien la louange de celuy qui en fut la cause & le motif doit estre à jamais recom- mandable. Et de fait osant assurer qu'il ne se trouvera par toute l'antiquité qu il y ait jamais eu Capitaine Francois & Chrestien, qui tout à une fois ait estendu le regne de Jesus Christ

Roy des Rois, & Seigneur des Seigneurs,

& les limites de son Prince Souverain en pays si lointain, le tout consideré comme il appar- tient qui pourra assez exalter une si sain-

ã 2

[ã2v] te & vrayement heroique entreprinse? Car quoy qu'aucuns disent, veu le peu de temps que ces choses ont duré, & que n'y estant à present, non plus de nouvelle de vraye Religion que du nom de Francois pour y habiter, qu'on n'en doit faire estime: nonobstant telles allegations, ce que j'ay dit ne laisse pas de demeurer tousjours tellement vray, que tout ainsi que l'Evangile du fils de Dieu à esté de nos jours annoncé en ceste quarte partie du monde dite Amerique, aussi est-il tres certain si l'affaire eust esté aussi bien poursuivi qu'il avoit esté heureusement commencé, que l'un & l'autre Regne spiri- tuel, & temporel, y avoyent si bien prins pied de nostre temps, que plus de dix mille person- nes de la nation Françoise y seroyent mainte- nant en aussi pleine & seure possession pour no- stre Roy, que les Espagnols & Portugais y sont au nom des leurs.

Partant sinon qu'on voulut imputer

aux Apostres la destruction des Eglises qu'ils avoyent premierement dressees: & la ruyne de l'Empire Romain aux braves guerriers qui y avoyent joints tant de belles Provinces, aussi par le semblable ceux estans louables qui avoyent posé les premiers fondemens des choses que j'ay dites en l'Amerique, il faut attri- buer la faute & la discontinuation, tant à

Villegagnon qu'à ceux qui avec luy au

lieu (ainsi qu'ils en avoyent le commandement [ã3r] & avoyent fait promesse) d'avancer l'oeuvre ont quitté la forteresse que nous avions bastie, & le pays qu'on avoit nommé France Antar- ctique aux Portugais qui s'y sont tresbien ac- commodez. Tellement que pour cela il ne lair- ra pas d'apparoir à jamais que feu d'heureuse memoire Gaspard de Colligny Admiral de

France vostre tresvertueux pere, ayant exe-

cuté son entreprinse par ceux qu'il envoya en l'Amerique, outre qu'il en avoit assujetti une partie à la Couronne de France, fit encore ample preuve du zele qu'il avoit que l'Evan- gile fut non seulement annoncé par tout ce

Royaume, mais aussi par tout le monde uni-

versel.

Voila Monsieur, comme en premier lieu,

vous considerant representer la personne de cest excellent Seigneur, auquel pour tant d'actes gene reux la patrie sera perpetuellement redevable, j'ay publié ce mien petit labeur sous vostre autori té. Joint que par ce moyen ce sera à vous auquel

Thevet aura non seulement à respondre, de ce

qu'en general & autant qu'il a peu, il a con- damné & calomnié la cause pour laquelle nous fismes ce voyage en l'Amerique, mais aussi de ce qu'en particulier parlant de l'Admirauté de France en sa Cosmographie il a osé abbayer contre la renommee, souëfve & de bonne odeur

à tous gens de bien, de celuy qui en fut la

cause.

ã 3

[ã3v]

Davantage Monsieur, vostre constance &

magnanimité en la deffence des Eglises refor- mees de ce Royaume, faisant journellement re marquer combien heureusement vous suyvez les traces de celuy qui vous ayant substitué en son lieu soustenant ceste mesme cause, y a espandu jusques à son propre sang: cela di-je en second lieu m'ayant occasionné: ensemble pour recognoi stre aucunement le bon & honneste accueil que vous me fistes en la ville de Berne, en laquelle apres ma delivrance du siege famelique de San cerre je vous fus trouver, j'ay esté du tout induit de m'adresser droit à vous. Je scay bien cepen- dant qu'encores que le sujet de ceste histoire soit tel, que s'il vous venoit quelques fois envie d'en ouir la lecture, il y a choses ou vous pourriés prendre plaisir, neantmoins pour l'esgard du langage, rude & mal poli, ce n'estoit pas aux oreilles d'un Seigneur si bien instruit dés son bas aage aux bonnes lettres que je le devois faire sonner. Mais m'asseurant que par vostre natu- relle debonnaireté recevant ma bonne affection vous supporterés ce deffaut, je n'ay point fait difficulté d'offrir & dedier ce que j'ay peu tant à la saincte memoire du pere, que pour tes- moignage du treshumble service que je desire continuer aux enfans. Surquoy

Monsieur je prieray l'Eternel, qu'avec

Messieurs vos freres & Madame de Teli-

gni vostre seur, plantes portans fruits dignes du tronc d'ou elles sont issues, vous tenant en sa sainte [ã4r] sainte protection, il benisse & face prosperer de plus en plus vos vertueuses & genereuses actions. Ce vingtcinquieme de Decembre, mil cinq cens soixante & dixsept.

Vostre treshumble & affectionné

serviteur, DE LERY. [ã4v]

A Jean De Lery sur son discours de

l'Histoire de l'Amerique.

J'honore celui-là qui au ciel me pourmeine

Et d'ici me fait voir ces tant beaux mouvemens

Je prise aussi celuy qui scait des Elemens.

Et la force, & l'effet, & m'enseigne leur peine.

Je remerci celuy qui heureusement[unclear] peine

Pour de terre tirer divers medicamens:

Mais qui me met en un ces trois enseignemens

Emporte à mon advis une louange pleine.

Tel est ce tien labeur, & encores plus beau

De Lery, qui nous peins un monde tout nouveau

Et son ciel, & son eau, & sa terre, & ses fruits

Qui sans mouiller le pied nous traverses l'Afrique

Qui sans naufrage & peur nous rends en l'Amerique

Dessous le gouvernail de ta plume conduits

L. Daneau 1577.

P. Melet à M. De Lery son

singulier amy.

Ici (mon de Lery) ta plume as Couronnee

A descrire les moeurs, les polices & loix:

Les sauvages façons des peuples & des Roys

Du pays, inconeu à ce grand Ptolémé.

Nous faisant veoir de quoy telle terre est ornee.

Les animaux divers errants parmy les bois

Les combats tres cruels, & les braves harnois

De ceste nation brusquement façonnee.

Nous peignant ton retour du ciel Ameriquain.

Ou tu te vis pressé d'une rageuse faim

Mais telle faim helas ne fit si dure guerre

Ni la faim de Juda, ni celle d'Israel

Ou la mere commit l'acte enorme & cruel

Que celle qu'as ailleurs escrite de Sancerre.

[ã5r]

Sonet.

A Jean De Lery, sur son histoire

de l'Amerique.

Malheur est bon (dit-on) à quelque chose.

Et des forfaits naissent les bonnes Loix.

De ce LERY, lon void à ceste fois

Preuve certaine en ton histoire enclose.

Fureur, mensonge, & la guerre dispose

Villegagnon, Thevet, & le Francois.

A retarder de ta plume la voix,

Et les discours tant beaux qu'elle propose.

Mais ton labeur, d'un courage indomté,

Tous ces efforts en fin a surmonté:

Et mieux paré devant tous il se range.

Comme cieux, terre, hommes & faits divers

Tu nous fais voir, ainsi par l'univers

Vole ton livre & vive ta louange.

[ã5v]

PREFACE.

POURCE qu'on se pour-

roit esbahir, qu'y ayant dix huit ans passez que j'ay fait le voyage en l'Amerique, j'aye tant attendu de mettre ceste histoire en lumiere, j'ay estimé en premier lieu estre expedient de declarer les causes qui m'en ont empesché. Du com- mencement que je fus de retour en Fran- ce, monstrant les memoires que j'avois, la pluspart escrits d'ancre de Bresil & en l'Amerique mesme, contenans les choses notables par moy observees en mon voya ge: joint les recits plus au long que je fai sois de bouche à ceux qui s'en enque- royent, je n'avois pas deliberé de passer plus outre ni d'en faire autre mention.

Toutesfois quelques uns de ceux avec les

quels j'en conferois souvent, m'alegans, qu'afin que tant de choses qu'ils jugeoyent dignes de memoire ne demeurassent en- sevelies, je les devois rediger plus au long & par ordre, à leurs prieres & solicita- tions, dés l'an 1563. en ayant fait un assez ample discours, que (m'en allant du lieu ou j'estois) je laissay & prestay à un bon person nage: il advint qu'ainsi que ceux ausquels il l'avoit baillé pour le m'aporter passoyent à Lion leur estant osté à la porte de la vil- le,

PREFACE.

[ã6r] le, il fut tellement esgaré que, quelque di ligence que je peusse faire, impossible me fut de le recouvrer. Partant faisant estat de la perte de ce livre, ayant quelque temps apres retiré les brouillars que j'en avois laissé à celuy qui le m'avoit transcrit, je fis tant, qu'excepté le Colloque du langa ge des Sauvages, qu'on verra au vingtie- me Chapitre, duquel moy n'y autre n'a- voit coppie, je mis derechef le tout au net. Mais quand je l'eus achevé, les con- fusions survenans en France sur ceux de la Religion, moy estant pour lors en la

Charité sur Loire, afin d'eviter ceste fu-

rie quittant à grand haste tous mes livres & papiers pour me sauver à Sancerre : le tout pillé incontinent apres mon depart ce second recueil Ameriquain s'estant ainsi esvanoui, je fus pour la seconde fois pri- vé de mon labeur. Cependant comme je faisois un jour recit à un notable Sei- geur de la premiere perte que j'en avois faite à Lyon, luy nommant celuy auquel on m'avoit escrit qu'il avoit esté baillé, il en eut un tel soin, que l'ayant finalement retiré, ainsi que l'an passé. 1576. je passois en sa maison il le me rendit. Voila comme jusques à present ce que j'avois escrit de l'Amerique, m'estant tousjours eschappé des mains n'avoit peu venir en lumiere.

Mais pour en dire le vray, il y avoit

PREFACE.

[ã6v] qu'outre tout cela ne sentant point en moy les parties requises pour mettre à bon escient la main à la plume, ayant veu dés la mesme annee que je revins de ce pays là, qui fut 1558. le livre intitulé Des

Singularitez de l'Amerique, lequel mon-

sieur de la Porte suyvant les contes & me moires de frere André Thevet, avoit dres sé & disposé, quoy que je n'ignorasse point ce que monsieur Fumee en sa pre- face sur l'histoire generale des Indes, a fort bien remarqué: assavoir que ce livre des Singularitez est singulierement farci de mensonges, si l'aucteur sans passer plus avant se fut contenté possible eusse-je encores maintenant le tout supprimé,

Mais quand en ceste presente annee 1577.

lisant la Cosmographie de Thevet j'ay veu que luy (pensant possible que nous fussions tous morts ou que si quelqu'un restoit en vie il ne luy oseroit contredire) n'a pas seulement renouvellé & augmen té ses premiers erreurs, mais qui plus est sans autre occasion que l'envie qu'il a euë de mesdire & detracter des Ministres & par consequent de ceux qui en l'an I556. les accompagnerent pour aller trouver

Villegagnon en la terre du Bresil, dont

j'estois du nombre, avec des digressions fausses, piquantes, & injurieuses, nous a imposé des crimes, afin de repousser ces impo-

PREFACE.

[ã7r] impostures, j'ay esté comme contraint de mettre en lumiere tout le discours de no stre voyage. Et afin, avant que passer plus outre, qu'on ne pense pas que sans tres- justes causes je me pleigne de ce nouveau

Cosmographe, je reciteray ici les calom

nies qu'il a mises en avant contre nous, contenues au Tome second livre vingt & un chap. 2. feuil. 908

Au reste dit Thevet, j'avois oublié à vous

dire, que peu de temps auparavant y avoit eu quelque sedition entre les Francois advenue par la division & partialitez de quatre Ministres de la religion nouvelle que Calvin y avoit en- voyez pour planter sa sanglante Evangile, le prin cipal desquels estoit un ministre seditieux nommé

Richier, qui avoit esté Carme & docteur de

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