[PDF] [PDF] Quand la re ch e rch e é clai re la pédagogie - Enseignement

s Des camions-écoles suivent les Tziganes dans le périple retrouveront les 5 et 6 avril prochain pour échanger française handisport et des contacts ont comprennent en effet sept cartes, chiffre biblique venir arch é o l o g u e , ne sup-



Previous PDF Next PDF





[PDF] B ulletinmonumental - histara ephe

ome 175-2 e s o c i é t é f r a n ç a i s e d ' a r c h é o l o g i e expresse de la Société française d'archéologie et du/des auteur(s) des articles Société archéologique de Bordeaux, 2016, 27 cm J Hubert, professeur à l'École des chartes, Cygnes ou au Champ de Mars les grandes figures de la villosité : bibliques



[PDF] programme des auditeurs - être auditeur - Ecole du Louvre

Le terme d'auditeur à l'École du Louvre désigne les personnes inscrites à ces différents cours Dates : du 16 octobre 2018 au 13 avril 2019 (selon les cours) L'architecture française : au-delà du classicisme Depuis 2015-2016, un cycle de trois ans a offert des aperçus, pour l'Occident, du contexte historique



[PDF] Quand la re ch e rch e é clai re la pédagogie - Enseignement

s Des camions-écoles suivent les Tziganes dans le périple retrouveront les 5 et 6 avril prochain pour échanger française handisport et des contacts ont comprennent en effet sept cartes, chiffre biblique venir arch é o l o g u e , ne sup-



[PDF] Bibliographies spécialisées en littérature et en histoire au - Enssib

sous Lo dLr cie i I BeoudLquez,- VLLLeurbonne : EcoLe BibLiographie d' histoire Litteraire fran

[PDF] 30 bienfaits du végétarisme - Divorce

[PDF] 30 BIENNALE NOIR et BLANC au VIETNAM

[PDF] 30 chefs d`entreprise, 30 aventures à partager

[PDF] 30 cm de profondeur Micro-ondes (800 W) 18 litres

[PDF] 30 coups par - ATF40 Armée de terre Française 1940 - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 Courrier Restons fermes et sans tapage

[PDF] 30 couverts en terrasse - Tourrettes-Sur-Loup - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 Day IBS Treatment Protocol Sheet (French).indd - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 de enero, Día Mundial de la PAZ - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 décembre 2015 - Gestion De Projet

[PDF] 30 découverte des honneurs cachés - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 dessins humoristiques sur la dette le chômage et la précarité 08 - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 ème RALLYE NATIONAL TOUT TERRAIN DUNES ET MARAIS - Anciens Et Réunions

[PDF] 30 euros pour une aprem au TOP!!!

[PDF] 30 F 1 - Archives départementales de la Nièvre

Culture

Histoire

et mu s i q u e

L iv r e s

M u l t i m i a

ActualitŽs

Larguez les a m a r r e s!Portrait

J i l lG l o b e - t r o t t e u s eRŽßexion Le théâtre et le sacréEn seignementcatholiquewww.scolanet.org

ACT UAL I T É SFormation

Des écoles sur la routedes "fils du vent»

Numéro 289,décembr e 2004,4,50eQuand la re ch e rch eé c l a i re la pédagogie SommaireN °2 8 9 ,DÉCEMBRE 2004Enseignement catholique actualités3O u ve r t u r e ae t re attentif ˆ lÕEspŽrance 5

A c t u a l i t é s

Enseignement cat h o l i q u e7

u c at i o n1 7

R e l i g i o n2 0

R evues Expre s s / A g e n d a / B O2 2

Po r t ra i t

J i l lG l o b e - t ro t t e u s e3 8

nDepuis dix semaines, une collégienne deonze ans est partie en familleà la rencontre des enfants du monde.I n i t i at ives

C o l l ePar-delˆ les images4 0

nRetour sur une matinée passée à l'Institutde l'Assomption, à Paris, autour du dern i e ropus de Raymond Depardon, en compagnied'élèves de 3

eet d'une animatrice du Serv i c echrétien du cinéma.

Ly c Ž eUn cercle europŽen

qui ra y o e4 2

nÀ Sainte-Geneviève d'Asnières, près de Paris,depuis une quinzaine d'années, un noyaudur d'Européens convaincus développe l'es-prit communautaire chez les lycéens. G e s t i o n

Une Providence aux normes de qualitŽ4 4

nPar la voie de la certification ISO 9001, unlycée de Blois (Loir-et-Cher) a réorganisé l'en-semble de sa gestion et de son fonctionne-ment, fixant à chacun des objectifs qualitéqui redynamisent aussi la gestion du per-s o e l .Fo r m at i o n

Des Žcoles sur la route des ÇÞls d u ventÈ4 6

nDes camions-écoles suivent les Tziganesdans le pé riple nomade qui fonde leur culture, apportant à leurs enfants les fonda-mentaux du lire-écrire-compter.Pa roles d'élève s

Elle a bon dos, la prŽcocitŽ!4 8

nRencontre à l'Institution Notre-Dame-de-Sion de Strasbourg avec des enfants dits "i n t e l-lectuellement précoces». C u l t u r e

H i s t o i renAu X I Xesiècle, sur l'île du Levant, au large de Toulon, il y avait un bagneet mu s i q u ed ' e a n t s .Claude Gritti a raconté ces histoires de vies broyées dont le Crea,centre d'éveil artistique d'Aulnay-sous-Bois, a tiré un opéra pour enfants. 5 6

L i t t Ž rat u renAvec Titus Flaminius, un thriller antique, Jean-François Nahmias est devenu la

j e u n e s s ecoqueluche des ados. Alexandre Révérend, dans Le pays du bout du lit, abordeun sujet difficile : la mort.5 8

L iv re snUne sélection de quinze titres.6 0

M u l t i m i anCédéroms, CD, et télévision.6 6D o s s i e r Quand la re ch e rche Žclaire la pŽdagogie3 0

ƒcouter un enfant nÕest pas le cro i re5 0

nLes remous de l'affaire d'Outreau sont à peine apaisés. Les portes de la prison se sontouvertes, refermées, rouvertes sur des vies brisées. Des questions restent en suspens. Faut-il,ou non, croire les enfants? Point de vue d'un expert auprès des tribunaux. Le thŽ‰tre et le sacrŽ5 2

nLe fait religieux peut-il éclairer l'enseignement du théâtre ou l'enseignement du théâtreouvrir sur le fait religieux? Un homme de théâtre, doubl é d'un pédagogue, répond.O u t i l s

Le fait religieux et les langues5 4

nLes professeurs de langue peuvent-ils être concernés par l'enseignement du fait religieux?Oui, s'ils tirent parti de l'étude de la civilisation.

Les ch i res clefs de lÕenseignement catholique Pages 24 ? 29

N ¡2 8 9 ,DECEMBRE 2004Enseignement catholique actualités5P u b l i c ation officielle du SecrŽtariat gŽnŽral de l'enseignement catholique / AG I C E C

nDirecteur de la publicat i o n> Paul Malartre nRédacteur en ch e f>Gilles du Retail nRédacteur en ch e fadjoint >Sylvie Horgue-

lin nOnt participé à la rédactionde ce numéro > Jean-Louis Berger-Bordes, Marc Beyer, Sophie Bizouard, Joseph Decoopman, Bernard

Descouleurs, Élisabeth du Closel, Yvon Garel, Véronique Glineur, Marie-Christine Jeanniot, Bruno Grelon, José Guillemain, Christophe Merlant, Colette Moreau, Antonio Neme-Capitaine, Mathilde Raive, Olivia Verdier

n i t i o n> M a r i e - Françoise Comte, Dominique Wasmer (rédacteurs-graphistes), René Troin (secrétaire de rédaction) nConception graphique> Pro Public nDiffusion et publicité> Inès de Saint-Germain,

Jean-Noël Ravolet et Géraldine Brouillet (commandes) nRédaction, administration et abonnements> 277 rue Saint-Jacques, 75 2 40 Paris Cedex 05. Tél. :01 53 73 73 75. Fax. : 01 4 6 34 72 79

nE - m a i l>eca@scolanet.org nA b o e m e n t> 45e/an nNuméro de commission paritaire>0707 G 79858nI m p r i m e u r>Vincent, 26 avenue Charles-Bedaux, BP 4229, 37042 Tours Cedex 1. Ouverture

ae t re attentif ˆ lÕEspŽra n c e ‡Au moment o nous bouclons ce nu m Ž ro,l Õ e n s e i g n e m e n t catholique entre dans un doubl e temps fort,celui de ses assises dontlÕun des points dÕorgue se situe les

3 et 4 dŽcembre 2004,et celui de

l Õ a m Ž n agement lŽgi s l a t i f ,n Ž c e s- s a i re pour clariÞer la situation ju- ridique des ma"tre s ,dont le vo t e sÕeffectue ˆ lÕAssemblŽe nationa- le le 8 dŽcembre 2004.

Ces deu x ŽvŽnements so nt

dÕailleurs profondŽment liŽs puis- quÕils visent au respect des per- s o e s: comment faire en sorte que dans chaque Žtabl i s s e m e n t , chaque acteur de la commu n a u- tŽ Žducative soit accueilli,re c o n- nu et va l o r i s Ž? Et comment per- m e t t re ˆ chaq ue enseignant dÕaccomplir sa mission en aya n t une ŽquitŽ de rŽmu n Ž ration et de seignement publ i c?

Dans notre dossier du mois de

j a nv i e r,no us vous prŽsentero n s gagements pris dans les Žtabl i s- sements en communautŽ Ždu- c a t ive comme au niveau diocŽsain et national,et les pages dÕactua- litŽs se feront largement lՎch o des précisions légi s l a t ives qui se- ront vo t é e s .

Cette fin de trimestre s'av è re donc

p a r t i c u l i è rement dense puisque les membres des commu n a u t é s u c a t ives doive n t ,comme ch a q u e a é e,a jouter à leur quotidien les contrôles scolaire s ,les conseils de classe,les conseils d'établ i s s e- m e n t ,les préparations de la fête de Noël...

C ep e n d a n t ,toutes "ces ch a rge s

de trava i l» constituent autant d'oc- casions d'être attentifs dans nos actes à l'Espérance de ceux qui nous entoure n t .M i t o n s ,en ce temps de Noël,cette phrase du pape Jean XXIII: ÇIl vaut mieux tre un chrŽtien sans le dire que de le dire sans lՐtre.È

Avec toute la rŽdaction,je vo u s

souhaite de bonnes ftes de No‘l et une annŽe 2005 propice ˆ la rŽa- lisation de tous les pro j e ts qui

Gilles du RetailRédacteur en chef

Se former pour mieux apprŽhender la diffŽrenceLa commission nationale d'adaptation et d'intégration scolaires (Cnais) s'est réunie à Pa ris

les 23 et 24 nove m b re 2004.Au pro g ramme de sa session d'automne: "Comment penser a u j o u rd'hui la formation pour les membres de la communauté éducat ive?1» . S i les cinq commissions du

Comité national de l'en-

seignement catholique (Cnec) se sont donné un même sujet d'inve stigation et de r é flexion (c f .note 1), la ques- tion de la forma tion d es membres de la communauté

éducative se pose dans des

t e rmes particuliers dès lors que l'on s'intéresse à l'adaptation et à l'intégration scolaires (AIS).

C'est là une des convictions de

Serge Launey

2, le président de

la Cnais: "L e public scolaire accueilli dans l'AIS est tel que les besoins de formation sont parti- c u l i e r s .»

Ce point de vue, les membres

de la commission le parta- gent. C'est ce que mettent en

évidence les travaux conduits

dans les ateliers: interv e n i rdans le ch amp de l'AIS requiert une expertise parti- culière, qu'il s'agisse d'établir un diagnostic pédagogique, de développer des pratiques différenciées adaptées aux "b esoins éducatifs particu- l i e r s» des élèves, de nouer des partenariats avec les différents spécialistes qui interv i e e n t auprès de ces jeunes, d'ac- compagner chacun. Autant de compétences requises de tous les membres de la com- munauté éducative, même si elles se déclinent différemment pour chacun.

Par ailleurs, conséquence du

passage de l'intégration à l'in- clusion qui privilégie la scola- risation des élèves "h a n d i c a - p é s» en milieu ordinaire, les enseignants spécialisés devien- nent des personnes ressources qui aident les professeurs des classes dites "o r d i n a i r e s» à prendre en charge un public dont ils ne sont pas familiers.

Il leur faut alors développer des

compétences dans l'accompa- gnement de leurs collègues, l'analyse des pratiques, l'éva- luation des dispositifs péda-gogiques mis en place, leur réajustement.

Le choix d'une école inclusive

fait que la formation doit aus- si aider à un changement de regard sur la différence. Ce qui demande un travail sur les représentations qui doit impli- quer toute la communauté édu- c a t i v e: personnels de l'établisse- ment, élèves et parents. À cet

égard, "bien des choses ont évo-

l u é», souligne Serge Launey, et "l 'élève différent est regardé comme une personne en tant que t e l l e».

Pour le président de la Cnais,

s'il faut "pr endre en compte la différence sans se polariser sur e l l e», il convient aussi de "l a banaliser sans pour autant l'ou- b l i e r» .Et d'évoquer "ces jeunes intégrés en milieu ordinaire qui, souffrant de ce que leur différen- ce soit occultée, demandent à rejoindre, pour un temps de respi- ration, une structure spécialisée» .

Des situations qui exigent de la

souplesse dans le passage de l'école ordinaire à la structure et, plus encore sans doute, de la structure à l'école et, qui sup- posent là encore, pour surm o n t e r les résistances, de la form a t i o n .C o nviction partagée

À tout cela, s'ajoutent, comme

l'ont souligné Bruno Égron 3e t

Raymond Duittoz

4, le nombre

insuffisant d'enseignants spé- cialisés - un nombre important de postes AIS sont pris en char- ge par des enseignants "n o n s p é c i a l i s é s» - et l'absence de f o rmation spécialisée dans le second degré. Sur ce dern i e r point, les besoins sont impor- tants, a rappelé Bruno Égron, la part d'enfants handicapés diminuant au fur et à mesure que l'on s'élève dans les diffé- rents niveaux d'ens e i g n e m e n t .

Reste que si la formation dans

l'AIS présente des spécific i t é s , les membres de la Cnais ont aussi insisté sur sa transversa- lité, que celle-ci concerne le repérage des difficultés ou les méthodes mises en place pour les surm o n t e r. Comme le rap- pelait André Blandin

5, les pro-

fesseurs de collège, confrontés

à la prise en charge des diffi-

cultés des élèves et à la gestion de l'hétérogénéité, trouvent dans les m éthodes expéri- mentées avec des élèves à "besoins éducatifs particuliers»

évoqués plus haut, des solu-

tions adaptées aux spécific i t é s de leur public

6. Une conviction

partagée par Serge Launey: "L 'ensemble du système éduca- tif a tout à gagner en dévelop- pant des liens plus étroits avec l'AIS. Certes la pédagogique spé- c i fique à ce secteur mérite d'êtrequotesdbs_dbs18.pdfusesText_24