d'application territoriale limité, cette génération d'accords bilatéraux permet sur le inondations; la promotion de la sécurité maritime et la protection contre les ou des universités, ce qui dans des domaines comme la santé ou la and the mechnisms of transfrontier co-operation in Europe », Geneva, Euryopa 6-1997
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LE GROUPEMENT
EUROPÉEN
DE COOPÉRATION
TERRITORIALE
- GECT -UNION EUROPEENNE
Comité des Régions
LE GROUPEMENT EUROPÉEN DE COOPÉRATION TERRITORIALE - GECT -CDR117-2007_ETU
Pour plus d'informations concernant les activités du Comité des Régions sur le GECT, reportez-vous au site web: http://www.cor.europa.eu/egtc.htm ou envoyez un courriel à l'adresse gect@cor.europa.eu Cette étude a été réalisée par des experts extérieurs.Elle ne
r eflète pas la position officielle du Comité des Régions Étude réalisée par le GEPE sous la direction du Professeur Nicolas LEVRAT dans le contexte du programme de recherche du CdR.Sous la supervision de l'Unité Analyse des Politiques, Études et Programmation législative et
interinstitutionnelle (M. Gianluca Spinaci, M. Jaroslaw Lotarski et Mme Lucia Cannellini) et du secrétariat de la Commission COTER (M. Damian Lluna Taberner). La rédaction de la présente étude a été clôturée en janvier 2007. IPREFACE
Je suis particulièrement heureux de vous présenter l'étude sur le Groupement Européen pour la
coopération territoriale (GECT). Cette recherche représente une nouvelle contribution du Comité des
Régions dans les chantiers de réflexion analytique et de débat politique ouverts à plusieurs niveaux
autour de la politique de cohésion et de la gouvernance européenne.Dans notre Europe élargie et au-delà de ses frontières, la coopération territoriale, soutenue par la
politique de cohésion européenne, engage une multiplicité croissante d'autorités régionales et locales
et de partenaires socio-économiques. C'est aussi par ces réalisations sur le terrain, très concrètes, que
l'Europe peut nourrir ses espoirs et réaliser ses objectifs de cohésion, de compétitivité et de solidarité.
Le renforcement et l'intégration de nos territoires nous demandent, toutefois, un esprit innovateur
dans la gouvernance de nos actions de coopération au niveau européen. Nous sommes appelés à une
action coopératrice plus structurée, sur le plan juridique également, en mettant en exergue une
participation ouverte aux différents niveaux de gouvernement et à une pluralité d'acteurs du
développement local. Dans ce sens, le GECT, en tant que nouvel instrument juridique prévu par le Règlement 1082 du5 juillet 2006, s'inscrit dans le parcours évolutif des solutions de gouvernance et d'organisation de la
coopération territoriale européenne, en ayant toutes les potentialités pour nous faire progresser
significativement dans les années à venir. Le Règlement sur le GECT apporte clairement une valeur ajoutée en donnant un cadre juridiquecommunautaire à tous les acteurs concernés. Comme pour toute législation d'origine communautaire,
nous sommes maintenant appelés à un effort conjoint pour sa mise en oeuvre dans tous les États
Membres. La cohérence de l'application du Règlement GECT à travers les différents États Membres
sera la clé de voûte du dispositif. Nous devrons tous nous mobiliser pour que la diversité de nos
cultures juridiques ne soit pas un obstacle à l'action. Le Comité des Régions publie aujourd'hui l'étude sur le GECT, dans un esprit ouvert etconstructif. C'est dans ce même esprit que nous souhaiterions coopérer avec toutes les collectivités
territoriales, les autorités nationales et les Institutions européennes, pour suivre l'application du GECT
sur le terrain et faire remonter au niveau européen les leçons à tirer des initiatives de coopération
inspirées par le nouveau Règlement européen.Michel Delebarre
Président du Comité de Régions
LE GROUPEMENT EUROPÉEN DE COOPÉRATION TERRITORIALE - GECT -CDR117-2007_ETU II
IIISOMMAIRE
Préface I
Sommaire III
Liste des abréviations V
Résumé de l'étude 1
Introduction 7
Première partie:
Emergence et enjeux du cadre juridique de la coopération européenne entre collectivités territoriales avant le GECT 11Chapitre 1:
De la coopération transfrontalière à la coopération territoriale 13Chapitre 2:
Les solutions juridiques existantes en Europe
25Chapitre 3:
Les enjeux de la préparation et de l'adoption du Règlement (CE) 1082/2006 55Deuxième partie:
Les potentialités de la coopération territoriale dès 2007 71Chapitre 4:
Le cadre juridique du GECT et ses potentialités 73Chapitre 5:
Les enjeux juridiques de la mise en oeuvre du Règlement relatif au GECT 127Chapitre 6:
Le positionnement des acteurs face à la nouvelle coopération territoriale européenne 153Annexes 169
I. Règlement (CE) n° 1082/2006 du 5 juillet 2006 relatif à un GECT 171 II. Règlement (CE) n° 1080/2006 du 5 juillet 2006 relatif au FEDER 181 III. Liste des organismes de droit public visés à l'art. 3 § 1 d) du Règlement (CE)1082/2006 197
IV. Liste des personnes ayant contribué à la présente étude 199 V. Questionnaires envoyés aux praticiens pour les ateliers du groupe de travail sur les étapes futures du cadre juridique de la coopération territoriale en Europe 201Bibliographie 209
Table des matières 215
Notes de fin de document 219
VLISTE DES ABREVIATIONS
ARE Assemblée des régions d'Europe (AER en anglais) ARFE Association des régions frontalières de l'Europe (AEBR en anglais, AGEG en allemand) FEDER Fonds européen de développement régionalFSE Fonds social européen
GECT Groupement européen de coopération territoriale GEIE Groupement européen d'intérêt économique (Règlement (CE) n° 2137/85) GLCT Groupement local de coopération transfrontalière (Accords de Karlsruhe et de Bruxelles) OCT Organisme de coopération transfrontalière (terme générique)PE Parlement européen
PEV Politique européenne de voisinage
PIC Programme d'initiative communautaire
PO Programme opérationnel
R Règlement
RENTI Réseau d'étude des normes transfrontalières et inter-territoriales SE Société européenne (Règlement (CE) n° 2157/2001) SEC Société coopérative européenne (Règlement (CE) n° 1435/2003)
STCE Série des Traités du Conseil de l'Europe TECE Traité établissant une Constitution pour l'Europe TCE Traité établissant la Communauté européenne 1RESUME DE L'ETUDE
L'adoption en juillet 2006 du Règlement relatif au Groupement européen de coopérationterritoriale est à la fois un bouleversement majeur du cadre juridique de la coopération territoriale, et
une évolution explicable de celui-ci. Bouleversement majeur parce que c'est le premier instrumentcommunautaire à portée normative dans ce domaine. Bouleversement aussi parce qu'il inscrit cette
coopération entre collectivités situées dans différents États européens au coeur du processus
d'intégration, alors que par nature, il s'était jusqu'ici s'agit d'un phénomène de marges.
Bouleversement encore parce que ce Règlement permet la possible participation des États, au côté
des collectivités territoriales et à des entités de coopération territoriale dotées d'une personnalité
juridique propre. C'est au regard du droit de la coopération transfrontalière, ancêtre de la coopération
territoriale, un changement absolu de perspective. Cette possibilité, pour autant qu'elle soit utilisée,
devrait permettre d'insuffler une dose de multilevel governance dans la gestion des espaces adjacents
aux frontières intérieures, ce qui constitue une consolidation essentielle de la dimension territoriale du
processus d'intégration. Ces changements s'expliquent par l'opportunité qu'a offerte la nécessaire réforme des fondsstructurels suite à l'élargissement de 2004, la nécessité de concentrer les dépenses et de rediriger les
flux financiers de la politique de cohésion, ce qui a conduit à abandonner les programmes d'initiative
communautaire et à promouvoir au rang d'objectif prioritaire la coopération entre collectivités
territoriales, considérée comme vecteur de la cohésion territoriale. Ceci constitue un changement
majeur dans l'approche communautaire de cette coopération.En effet, malgré les " acquis d'INTERREG », le financement de projets transfrontaliers se heurte à
des obstacles pratiques et juridiques justifiant le développement d'un cadre juridique distinct et
nouveau. Ce n'est pas pour autant que des acquis des pratiques antérieures n'en ont pas été conservés.
Ainsi la distinction entre les trois volets de coopération du programme INTERREG III est maintenue.
Les priorités pour chacune sont fort proches des précédentes, permettant une continuité des actions de
coopération entreprises. De même, les acquis en matière de financement communautaire deprogrammes transfrontaliers sont conservés (PO unique sans ventilation nationale, principe du chef de
file, etc.). Du point de vue des mécanismes juridiques, le renvoi au droit national est largement maintenu, même si en termes juridiques stricts, les termes et les conditions du renvoi sont différents.1. Les origines du GECT
L'adoption d'un Règlement conférant un cadre normatif à la coopération territoriale n'allait pas de
soi. D'une part parce que le Traité communautaire ne prévoit pas de base de compétence explicite
pour adopter un tel acte. C'est cependant l'art. 159 TCE qui a été retenu. LE GROUPEMENT EUROPÉEN DE COOPÉRATION TERRITORIALE - GECT -CDR117-2007_ETU 2 Le Règlement relatif au GECT prend aussi inspiration d'éléments développés dans ces cadres
juridiques antérieurs; quatre sources distinctes pour un droit européen de la coopération territoriale
peuvent ainsi être identifiées.1) Tout d'abord les accords entre États visant à régler des problèmes spécifiques de voisinage.
2) Ensuite, le droit du Conseil de l'Europe, fondé sur une Convention-cadre de 1980, à laquelle
s'ajoutent en 1995 puis en 1998 des Protocoles additionnels.3) De même, des accords cadres bilatéraux, lesquels ont permis sur le plan normatif nombre
d'avancées utiles.4) Enfin le droit communautaire a développé des mécanismes d'incitation et de soutien financier
à la coopération transfrontalière (INTERREG). Dans ce cadre, de nombreuses pratiques et règles relatives au financement d'opérationtransfrontalières ont été développées, qui se retrouvent également dans le Règlement relatif au GECT.
2. Les caractéristiques d'un GECT
Les caractéristiques particulières que confère le présent Règlement au GECT font de celui-ci un
outil qui sera adapté à certains objectifs de coopération, et moins - voire pas - à d'autres. Par ailleurs,
la possibilité laissée aux membres de définir pour partie les modalités de leur coopération par le biais
d'une Convention et de statuts devrait permettre une diversité des formules de coopération, en correspondance avec la diversité des acteurs concernés et de leurs attentes.Ce Règlement ne vise donc pas à uniformiser la pratique des coopérations territoriales; il devrait
au contraire permettre de préserver la diversité des situations et des acquis découlant des expériences
passées, notamment en termes de coopération transfrontalière. Cela a pour conséquence que les
acteurs publics d'États ayant une approche libérale verront leurs possibilités d'actions accrues, alors
que les acteurs sis dans des États ayant une approche restrictive en la matière ne devraient tirer que
peu ou pas de droits additionnels de ce Règlement. Les GECT se caractérisent par leurs membres (b), leurs fonctions (c), ainsi qu'au regard du droitqui leur est applicable (d). Par contre, ils ont tous en commun sept éléments constitutifs (a), qui
constituent leur empreinte spécifique.A) LES ELEMENTS CONSTITUTIFS
1. Premièrement du caractère transfrontalier de l'organisme, qui impose qu'il soit composé de
membres " situés sur le territoire d'au moins deux États membres ».2. Deuxièmement, le GECT est doté d'une personnalité juridique de droit communautaire et
pourra selon les cas se voir attribuer en droit interne une personnalité relevant du droit public ou du droit privé.3. Troisièmement, le GECT jouit de " la capacité juridique la plus large reconnue aux personnes
morales par la législation nationale ». Cette formule doit cependant être relativisée, la capacité
RÉSUMÉ DE L'ÉTUDE
3 du GECT étant notamment limitée à la réalisation des missions qui lui sont confiées par ses
statuts. Ce principe de spécialité, commun à tous les organismes de coopération (à savoir que
l'organisme ne jouit pas d'une compétence générale mais ne peut qu'agir dans la limite des compétences qui lui sont assignées) s'applique au GECT. Cependant, cette étude met en lumière que l'effet cumulatif des dispositions du Règlement relatif au GECT limitant lacapacité d'action de ce dernier conduit à une solution trop restrictive, et qu'à moins d'une
interprétation très souple. Un GECT n'aura qu'une capacité d'action extrêmement réduite.
4. Quatrièmement, le GECT doit être fondé sur une Convention et des statuts.
5. Cinquièmement, celui-ci dispose d'un siège unique, dont la localisation a des conséquences juridiques majeures, puisqu'elle détermine notamment le droit applicable subsidiairement au
GECT, ainsi que les organes chargés de son contrôle. Signalons d'ailleurs que ces relations avec le droit interne s'avèrent complexe, car les termes du Règlement renvoient fréquemment à des normes de droit interne, ce qui induit une dose d'insécurité juridique.6. Sixièmement, afin de pouvoir exprimer sa volonté en tant que personne juridique propre, le
GECT doit disposer d'organes. Le Règlement impose l'existence d'une assemblée, au sein de laquelle sont représentés tous les membres, et d'un directeur. Il laisse cependant aux membres de prévoir le cas échéant d'autres organes.7. Septièmement, le GECT dispose d'un budget annuel.
B) LES MEMBRES
Trois catégories de membres potentiels sont identifiées: Il s'agit:1) Des États membres de l'UE.
2) Des collectivités régionales et locales des États membres de l'UE. Leur capacité à participer
dépendra cependant de l'étendue de leurs compétences en droit interne.3) D'autres acteurs - notamment les entités dont les fonds sont considérés comme principalement
publiques, ainsi que des associations d'acteurs relevant des catégories précédentes.C) LES FONCTIONS
Le GECT est principalement conçu pour remplir les 3 fonctions suivantes :1) gérer les fonds structurels;
2) réaliser une coopération stratégique;
3) le cas échéant, servir d'outil pour la mise en oeuvre opérationnelle d'un projet de coopération.
Le GECT est prioritairement destiné à la réalisation de l'objectif de coopération territoriale
européenne, lequel est l'objectif prioritaire n° 3 de la politique structurelle pour les années 2007-2013.
Mais le GECT peut aussi servir pour des actions qui relèvent d'autres politiques communautaires que
la politique structurelle, ou réaliser une coopération transfrontalière, transnationale ou interrégionale,
hors de tout financement communautaire. LE GROUPEMENT EUROPÉEN DE COOPÉRATION TERRITORIALE - GECT -CDR117-2007_ETU 4 Par ailleurs et en raison de sa possible composition hétérogène il pourrait se révéler un instrument
utile pour développer une gouvernance européenne dans le prolongement du Livre blanc que la Commission européenne a adopté sur ce thème en 2001.D) LE DROIT APPLICABLE AU GECT ET A SES ACTES
Le droit national, bien sûr différent d'un Etat à l'autre, joue un rôle important dans la définition et
quotesdbs_dbs17.pdfusesText_23