Centre de ressources de l'ARFTLV – Revue documentaire – Juillet 2010 2 Cette bibliographie 4 – Sur la beauté, l'esthétique et le bien-être p 16 5 – Sur les zone euro : le rythme de croissance s'est ralenti en France (+0,1 ) Le site Jesuisentrepreneur fr, édité par le Crédit Agricole, met à disposition des créateurs
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REVUE DOCUMENTAIRE
Juillet 2010
GFE 16
Soins personnels
Pour tout renseignement :
Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie Centre de ressources de La Rochelle Centre de ressources de Jaunay-Clan15 rue Alsace Lorraine - 17044 La Rochelle Cedex 1 Téléport 5 - Avenue du Parc du Futur - BP 40003
86131 Jaunay-Clan Cedex
Anne Angot : 05 46 00 32 56 - Mail :a.angot@arftlv.orgLaëtitia Bodard-Valadeau : 05 46 00 32 48 - Mail :l.bodard@arftlv.orgSylvie Gay : 05 49 50 37 52 - Mail :s.gay@arftlv.org
Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20102 Cette bibliographie a été réalisée par les documentalistes du centre de ressources de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie. Elle regroupe des références bibliographiques (ouvrages, études, articles).Pour aller plus loin...
Les centres de documentation de l'Agence Régionale de la Formation présentent un fonds documentaire de plus de 3500 ouvrages, 120 dossiers documentaires et 60 abonnements à des revues spécialisés dans le domaine de l'emploi, de la formation et de l'insertion professionnelle. A Poitiers et La Rochelle, ils proposent des services de consultation, de prêt et de recherches documentaires à la demande. Le portail Emploi Formation en Poitou-Charentespropose les actualités régionales classées par GFE et par secteurs d'activités, les revues documentaires en téléchargement, mais aussi toutes les actualités de l'emploi et de la formation aux niveaux régional, national et européen, des fiches techniques juridiques, un agenda... http://www.arftlv.org/ Les publications de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie : -ARF Info, la revue bimestrielle d'actualités avec ses fiches techniques juridiques -Le répertoire ARES des dispensateurs de formation en Poitou-charentes -Le guide de l'apprentissage en Poitou-Charentes -Les carnets métiers -La collection Repères -La lettre des fonds européens -Convergences Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20103REVUE DOCUMENTAIRE
Groupe Formation Emploi - GFE 16
Soins personnels
1 - Des éléments conjoncturels
Niveau national p.4
Niveau régional p.5
2 - Sur les métiers et la formationp.8
3 - Sur la coiffurep.11
4 - Sur la beauté, l'esthétique et le bien-êtrep. 16
5 - Sur les services funérairesp. 19
6 - Sur le webp. 21
7 - Annexesp. 22
Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20104Des éléments conjoncturels
Niveau National
Situation et perspectives économiques à l'horizon 2011 Les divers plans de relance mis enuvre sont venus au secours de la croissance et ont permis unrebond de l'activité dès le 2e trimestre 2009. Au 1er trimestre 2010, la reprise reste fragile dans la
zone euro : le rythme de croissance s'est ralenti en France (+0,1%). http://www.pole-INTERNET : Pôle Emploi, juin 2010, 7 p.
La mesure des emplois vacants
Un rapport du groupe de travail interinstitutionel (Dares, Insee, Pôle emploi, DGAFP, DGCL, Drees,
DHOS, CAS, CEE, Eurostat) traite de la question des emplois vacants. Après en avoir défini la notion
en référence à la définition européenne ("emplois pour lesquels des démarches actives de
recherche de candidats sont menées"), il présente une comparaison des méthodes de collected'information sur les emplois vacants dans les principaux pays européens ainsi qu'aux Etats-Unis. Il
clarife ensuite les notions connexes sur les besoins en main d'uvre en France (intentionsd'embauches, les embauches réalisées, les offres d'emploi, les difficultés de recrutement et les
tensions sur le marché du travail) et dresse ensuite un état des lieux de la mesure des emplois
vacants en France. Il formule pour finir des propositions d'amélioration telles que la reformulation
de la question relative aux emplois vacants dans l'enquête Acemo sur les entreprises de 10 salariés
et plus ou encore l'élargissement de la mesure au champ des TPE du secteur concurrentiel et non concurrentiel. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 17 mai 2010L'Insee actualise son bilan Formation-Emploi
L'Insee vient de mettre à jour sonbilan formation-emploi. Ce bilan vise à analyser les relations entre
les études des jeunes, leur insertion professionnelle et le renouvellement d'ensemble de la maind'uvre. Ce bilan est l'occasion de mobiliser et conforter des sources d'origines différentes et, par
voie de conséquence, de développer une réflexion entre institutions sur les définitions et les
méthodes.Le bilan Formation-Emploi propose des données essentielles sur les relations entre le système de
formation et l'emploi, en une vingtaine de classeurs incluant des tableaux, des cartes et desgraphiques. Ces classeurs sont regroupés en 3 thèmes : l'école et ses sortants, l'insertion des jeunes
et la formation tout au long de la vie. Ces données ont été élaborées en coopération avec le
Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Céreq), et les ministères chargés de
l'Éducation nationale et de l'Emploi. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 31 mars 2010Une cartographie de l'emploi régional
Le nouveau recensement de la population permet de dresser unecartographie des 26 régionsfrançaises du point de vue de leurs caractéristiques d'emploi. Selon l'insee, de façon très claire,
l'Île-de-France d'un côté, la Corse et les quatre départements d'outre-mer de l'autre, se distinguent
des autres régions, avant tout du fait du degré de qualification de leurs emplois, très élevé dans le
premier cas, faible en moyenne dans le second. Au sein des régions métropolitaines de province,
les différences sont moins accusées. On peut toutefois isoler en leur sein trois groupes de régions :
une France tertiaire du Sud-Est où l'emploi est plutôt qualifié et féminisé, donc plus souvent à temps
partiel que dans les autres régions ; une France d'industries traditionnelles du Nord et de l'Est, où la
population en emploi est fortement salariée, assez jeune mais pas très diplômée ; enfin, une France
plus agricole de l'Ouest et du Sud-Ouest avec un emploi moins jeune et moins qualifié qu'ailleurs.
Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 31 mars 2010 Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20105Niveau local
Enquête Besoins en Main-d'uvre 2010
L'enquête sur les Besoins en Main-d'uvre, dont le champ a été élargi en 2010 pour couvrir
l'intégralité du secteur privé et une partie du secteur public, fait état de 1.693.300 projets de
recrutement dans les 383 bassins d'emploi français. Près d'un employeur sur cinq envisage deréaliser au moins une embauche au cours de l'année 2010. En ce qui concerne le type de contrat,
près d'un recruteur sur deux proposera des CDI. Le secteur agricole recouvre à lui seul un quart de
l'ensemble des projets de recrutement de cette nature, contre seulement 2,6 % des projets pour les permanents. Les profils les plus recherchés par les employeurs concernent les métiers desservices aux particuliers (serveurs, employés de cuisine, animateurs, aides à domicile...) et les
fonctions sanitaires et sociales (aides-soignants, aides médico-psychologiques...). Les employeurs,
qu'ils soient recruteurs ou non, envisagent l'avenir plutôt sereinement. La majorité d'entre eux
estiment, dans les trois à cinq ans à venir, que leur activité va progresser (33,7%), ou au pire stagner
(36,5%) sous l'effet d'une demande qui demeure soutenue. Consulter: -Le rapport complet;- deux numéros de la publicationRepères & AnalysessurLes résultats de l'enquête BMO 2010ainsi que lesperspectives économiques à moyen terme;-Les résultats par métiers ou bassins d'emplois.Téléchargerles résultats régionaux :
Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 14 avril 2010 Un tiers des actifs de Poitou-Charentes devraient quitter le marché du travail entre 2006 et 2020Selon un récent numéro deDécimal, en Poitou-Charentes, un tiers des actifs devraient quitter le
marché du travail entre 2006 et 2020. Les départs seront massifs dans les secteurs de la santé-
action sociale et de l'administration publique où les femmes sont surreprésentées. Les zones
urbaines et industrielles de la région seront les plus touchées. Ces départs concerneront un grand
nombre d'ouvriers, surreprésentés dans la région. Mais un allongement de leur durée d'activité
peut difficilement s'envisager sans prise en compte de la pénibilité au travail propre à certains
secteurs. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 15 avril 2010 Une traversée de crise plus difficile en Poitou-Charentes Une récenteétude de l'Insee Poitou-Charentesobserve que la région Poitou-Charentes a perdudes emplois dès le 2e trimestre 2008 et que la construction et le commerce ont plus souffert de la
traversée de la crise dans la région que dans les autres régions françaises. L'industrie, davantage
épargnée en début de crise, est plus fragilisée fin 2009. Le chômage partiel a permis de freiner les
pertes d'emplois, surtout dans l'industrie. L'avantage géographique qu'avait connu la région entre
2002 et 2006 n'a pas permis d'amortir la crise. Des signes de fragilité plus marqués sont apparus
dans la région. La crise a affecté plus particulièrement la Charente-Maritime et la Charente.
L'impact social dans la région a été quasi immédiat : le chômage augmente dès le 2e trimestre
2008. Le Nord Deux-Sèvres, Châtellerault, Cognac et la Saintonge enregistrent des hausses records
de chômage. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 19 mai 2010 Bilan économique et social 2009 du Poitou-CharentesComme chaque année, l'Insee publie lebilan économique et social régionalde l'année écoulée.
Le bilan qui vient d'être publié, propose une synthèse de la situation économique et sociale de
l'année 2009, puis une approche plus détaillée des différents secteurs économiques (agriculture,
industrie, construction, transports, tourisme), du commerce extérieur, des politiques publiques de
soutien, de l'activité résultante (entreprises, emploi) et de l'incidence sociale (chômage, bilan
social). Quatre fiches départementales complètent l'ensemble.En 2009, en Poitou-Charentes, tous les secteurs économiques régionaux sont plus ou moins touchés
par la crise : les productions, les chiffres d'affaires sont en repli, les investissements diminuent. Les
Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20106 produits phares de la région tels que les produits de la culture et de l'élevage, le cognac se vendent moins bien à l'étranger.De cette baisse généralisée de l'activité s'ensuit des pertes d'emplois salariés importantes. Les
emplois perdus le sont dans tous les grands secteurs du tissu économique régional. Au cours de la
seconde partie de l'année, quelques signes d'amélioration de la situation sont perceptibles. L'emploi intérimaire repart à la hausse au troisième trimestre. C'est le signe d'un premier redémarrage économique. De nouveaux emplois voient aussi le jour dans les services marchands hors intérim au dernier trimestre 2009. Autre signe d'amélioration, dans le secteur de la construction, les demandes de logements neufs redémarrent au troisième trimestre 2009. Cette tendance est confirmée début 2010.Ces quelques signes d'amélioration n'ont pas d'impact visible sur le front du chômage fin 2009. En
lien avec la forte dégradation du contexte économique du début d'année 2009, le chômage
grimpe dans la région, et cela jusqu'au dernier trimestre de l'année. La hausse est plus forte pour
les hommes et pour les seniors. Les zones les plus exposées ont été celles du Nord Deux-Sèvres,
Châtellerault, Cognac, Saintonge Intérieure et Saintonge Maritime. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 16 juin 2010165 000 personnes arrivées en Poitou-Charentes en 5 ans
Décimaln°293 de Juillet 2009, publication de l'Insee Poitou-Charentes, constate qu'un habitant de
Poitou-Charentes sur dix s'est installé dans la région depuis moins de 5 ans, contre un sur douze en
moyenne pour les autres régions françaises. Pour les cadres, la proportion est d'un sur cinq, faisant
du Poitou-Charentes la première région d'installation des cadres au regard de sa population. Les
plus jeunes sont les plus mobiles. Mais la région gagne surtout des plus de 30 ans au jeu deséchanges avec le reste de la France. Elle gagne des retraités et des actifs, notamment des cadres
de plus de 30 ans, des artisans-commerçants et des employés. Ces migrations résidentiellestraduisent aussi des choix de logement : les jeunes choisissent la proximité avec l'emploi ou leur lieu
d'étude et s'installent dans les villes centres. Après 25 ans, les ménages ayant fondé une famille
cherchent un logement plus grand et s'installent plus loin des grands pôles urbains. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 2 juillet 2009 Les défis du Poitou-Charentes face à une baisse d'actifs à l'horizon 2020 La population active du Poitou-Charentes baisserait de -3,7 % entre 2006 et 2020, selon l'INSEEPoitou-Charentes dansDécimald'octobre 2009. La publication, consacrée aux actifs à l'horizon
2020, indique que malgré l'attractivité démographique de la région, l'apport migratoire est
insuffisant pour enrayer la tendance. Le nombre de jeunes entrants sur le marché du travail necompenserait pas les départs à la retraite. Le renforcement de l'activité des jeunes et des femmes
atténuerait cette baisse. L'étude prévoit enfin qu'une augmentation de l'activité des seniors aurait
également un impact conséquent.
Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 13 octobre 2009 Conditions favorables à la création d'entreprises en Poitou-CharentesUnepublication de l'INSEEprésente les résultats d'une enquête réalisée fin 2006, en partenariat
avec la Région Poitou-Charentes auprès des entreprises créées cette même année, pour mieux
cerner les conditions dans lesquelles elles ont été créées. Ces nouvelles entreprises, créées avant la
crise, ont bénéficié de conditions à leur création plus favorables que quatre ans plus tôt. Elles sont
ainsi mieux armées pour traverser la période de crise actuelle. La part des entrepreneurs formés,
expérimentés, conseillés et percevant des aides financières, a augmenté sur cette période.
Traduction du soutien différencié à l'activité économique sur tout le territoire, les aides à la
création sont plus souvent affectées aux zones où les conditions de la création sont les moins
favorables. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 10 novembre 2009 Note de conjoncture régionale du 2e trimestre 2009Selon une récenteétude de l'InseePoitou-Charentes, l'économie régionale continue d'être en
difficulté au 2e trimestre 2009. Mais la dégradation est moindre qu'au trimestre précédent. Le
Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20107 nombre de demandeurs d'emploi, disponibles et sans emploi, est en hausse de + 3,3 %. Cependant, le rythme ralentit. En effet, cette hausse est en net retrait par rapport au premiertrimestre. Le taux de chômage dans la région grimpe à 8,9 % (contre 9,1 % pour l'ensemble de la
France).En parallèle, l'emploi salarié dans l'industrie, la construction et les services marchands se
dégrade de nouveau, mais à un rythme moins fort. Seul le secteur du commerce ne perd pasd'emploi ce trimestre alors qu'il en perdait comme les autres secteurs le trimestre précédent. Le
nombre de missions d'intérim décroît mais de manière nettement moins forte qu'au trimestre
précédent. Les défaillances d'entreprises régionales se stabilisent, et le nombre d'entreprises
créées dans la région augmente, surtout sous l'effet du nouveau statut d'auto-entrepeneur. En ce
qui concerne le commerce extérieur régional, une amélioration se dessine. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 14 décembre 2009 Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20108Sur les métiers et la formation
30 idées reçues sur l'emploi et les métiers
Ce guide présente et apporte des réponses concrètes sur les idées reçues, parfois vraies, souvent
fausses, relatives à l'insertion professionnelle, les métiers et l'emploi. Les premières idées reçues
auxquelles ce guide répond sont celles sur les conditions d'insertion des jeunes. Certains persistent
par exemple à penser que l'apprentissage est réservé aux seuls métiers manuels ou que le lycée
professionnel est une voie de garage. Le deuxième domaine traité est celui de l'avenir des métiers
et de la mobilité professionnelle. Enfin, l'ouvrage remet à plat les idées reçues sur le fonctionnement du marché du travail en rappelant notamment que tous les jeunes ne sont pas auchômage, que tous les emplois ne sont pas devenus précaires et qu'on peut aussi faire carrière en
travaillant dans une PME.[p. 16, rubriqueLe lycée professionnel est une voie de garage: Les CAP-BEP restent des diplômes
pertinents dans les métiers ayant une forte identité, caractérisés par des savoir-faire spécifiques et
pour lesquels l'insertion passe beaucoup par l'apprentissage : (...) coiffeurs...] OUVRAGE : CEREQ, ONISEP, ALTERNATIVES ECONOMIQUES, janvier 2010, 120 p.Réf. : L3926 - EES 1
Contrat d'apprentissage, les raisons de la rupture La lutte contre le décrochage scolaire est une préoccupation importante des pouvoirs publics.Tous les niveaux de formation sont concernés. Si l'apprentissage est une voie de formation dont les
vertus en termes d'insertion professionnelle sont reconnues, le risque de décrochage est loin d'être
faible pour les jeunes apprentis. Ce phénomène est toutefois difficile à appréhender car il n'en
existe pas de suivi régulier et national. L'enquête Génération 2004 du Céreq est une des rares à
fournir des informations sur ces ruptures et leurs motifs à l'échelle nationale. Pour connaître plus
précisément les raisons des ruptures, une enquête spécifique, présentée dans le dernier numéro du
Bref Céreq, a été conduite en région Nord - Pas-de-Calais. Elle propose aux acteurs publics des
pistes pour mieux éviter ces décrochages.[p. 3 : Les motifs des ruptures varient selon les secteurs d'activité. Les ruptures pour environnement
difficile caractérisent par exemple secteur des métiers de bouche (...) ; à l'inverse, ce motif est
peu cité par les apprentis du secteur industriel.Dans ce secteur, ainsi que dans le BTP, ce sont plus souvent les ruptures liées à la formation qui sont
mises en avant, ainsi que les raisons économiques liées à l'entreprise. Les ruptures pourmodification de parcours concernent l'ensemble des secteurs " à relation de service » (hôtels,
cafés, restaurants, autres tertiaires et coiffure).] Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 28 juin 2010Les sorties sans qualification et sans diplôme
Un des objectifs affichés de la politique éducative est que tous les jeunes d'une classe d'âge en
sortent avec un diplôme ou une qualification reconnue. Aujourd'hui, 10 % des jeunes sortent dusystème éducatif sans aucun diplôme, mais la moitié d'entre eux ont une "qualification" au sens de
l'Éducation nationale : ce sont ceux qui sortent de dernière année de CAP, de BEP ou de terminale en ayant échoué aux examens et qui avaient également échoué au brevet. Par conséquent, 95 % des jeunes ont un diplôme ou une qualification, soit 5 points en dessous de l'objectif de 100 %.Au total, 82 % d'une classe d'âge possède un diplôme du secondaire. C'est 3 points au-dessous
des 85 % fixés comme objectif au niveau européen par la " Stratégie de Lisbonne ». Cette étude fait partie duPortrait social 2009édité par l'Insee. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 16 novembre 2009Dynamique des métiers
L'Insee consacre l'un des dossiers de sonPortrait social 2009aux métiers et aux parcours professionnels des femmes et des hommes. Les femmes débutantes, ayant terminé leurs études depuis moins de cinq ans, sont plus nombreuses que leurs aînées dans certaines professions Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 20109qualifiées mais la polarisation des métiers entre hommes et femmes s'est plutôt accentuée du côté
des professions moins qualifiées. Ainsi, ils et elles s'orientent souvent vers des métiers différents et
leurs trajectoires professionnelles ne se déroulent pas de la même façon. L'infirmière ou la
secrétaire n'auront pas les mêmes perspectives de carrière que le technicien ou l'ouvrier qualifié.
Un même métier ne s'inscrit pas de la même manière, ni toujours au même moment, dans les
parcours des hommes et des femmes. Un vendeur n'a pas le même avenir qu'une vendeuse, une femme ingénieur ne fera pas la même carrière qu'un homme de la même profession, et ce,d'autant plus qu'ils et elles n'arrivent pas dans le métier aux mêmes âges et n'y restent pas le
même temps. Globalement, les promotions et les changements de métier concernent beaucoup plus souvent les hommes que les femmes. Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 19 novembre 2009L'insertion des jeunes
Cet ouvrage est consacré aux conditions d'entrée des jeunes dans la vie active. Il fait le point sur
l'insertion professionnelle des jeunes, niveau d'études par niveau d'études et spécialité par
spécialité, les métiers vers lesquels ils se sont dirigés, les débouchés des différentes formations. Il
présente également les diplômes qui permettent d'accéder à chaque profession.[p.100 : Coiffeurs et esthéticiens : Dans ce métier, 77 % des jeunes débutants sont issus des filières
coiffure et esthétique. 38 % sont titulaires d'un CAP, et moins souvent d'un BEP. Ce diplôme faisait
autrefois référence, mais les bacs pro ou technologiques sont maintenant mieux représentés (44
%). La profession ouvre également ses portes aux non diplômés (14 %). 60 % des débutants sont
passés par l'apprentissage...] OUVRAGE : CEREQ, ONISEP, ALTERNATIVES ECONOMIQUES, janvier 2009, 144 p.Réf. : L3805 - EES 5
Les métiers en 2015
Ce rapport résulte des travaux engagés par le Centre d'analyse stratégique et la Direction de
l'Animation de la Recherche et des Statistiques (DARES) dans le cadre du groupe " Prospective desMétiers et Qualifications ».
Le rapport examine en détail une vingtaine de domaines professionnels sous l'angle de la demande de travail (combien de personnes vont partir en retraite dans ces métiers ? comment vaévoluer l'emploi dans les secteurs concernés ?), mais aussi de l'offre de travail (quel est le profil des
personnes qui sont actuellement dans ces métiers ?). Il fait en particulier un zoom sur les métiers de
l'aide et des soins aux personnes fragiles, et explicite les enjeux économiques et sociaux du développement et de la professionnalisation de ces emplois.Le rapport s'efforce de faire la synthèse de toutes ces réflexions catégorielles pour en tirer des
enseignements sur la configuration du marché du travail en 2015 : - Quels emplois vont se développer le plus ?- Quels métiers vont recruter le plus (certains métiers tels que les enseignants du secondaire vont
recruter beaucoup, sans voir leurs effectifs augmenter) ? - Dans quels métiers des tensions risquent-elles d'apparaître ? - Et comment peut-on parvenir à réduire ces tensions ?- Quels peuvent être les rôles respectifs des pouvoirs publics, des branches et les acteurs territoriaux
pour y parvenir et quels outils les uns et les autres peuvent-ils mettre enuvre ?[p.77: Coiffeurs, esthéticiens : 62 000 départs en fin de carrière entre 2005 et 20 15. Augmentation
de 18 % des départs à la retraite pour la période 2005-2015 par rapport à la période 1995-2005. (...)
p. 88: Les entrées de salariés provenant directement d'une autre entreprise représentent près du
tiers des entrées. Ces mouvements se font majoritairement au sein d'un même domaineprofessionnel. Toutefois, ils concernent des familles très spécifiques que l'on peut décrire comme
des marchés professionnels. Ces entrées sont en effet très fréquentes au sein des métiers où
l'accès est soumis à des conditions de diplôme ou dont l'organisation permet la transférabilité de
la qualification d'une entreprise à l'autre comme les coiffeurs.(...)p. 108: les coiffeurs et esthéticiens figurent dans une famille professionnelle dans laquelle l'âge de
départs en retraite est supérieur à 62 ans (ce secteur figure parmi les trois familles qui partent en
retraite le plus tard avec les médecins). Centre de ressources de l'ARFTLV - Revue documentaire - Juillet 201010p. 196: Les coiffeurs et les esthéticiens sont suffisamment jeunes pour que les effectifs arrivant en fin
de carrière restent relativement faibles à l'avenir (...) L'esthétique, et dans une moindre mesure la
coiffure, sont des services qui devraient poursuivre leur développement. Les métiers de l'entretien
sont diffusés dans l'ensemble de l'économie. Leur progression devrait rester calée sur le rythme de
la croissance économique. (...) Les métiers de coiffeurs et d'esthéticiens constituent des marchés
professionnels. Les jeunes sortant de formation, essentiellement des filles, dépassent actuellement
largement les besoins nets de recrutement. L'apprentissage, très développé dans ces métiers,
fonctionne à la fois comme un filtre, mais aussi comme un mode de gestion de la main-d'uvre (16 % des effectifs de ce secteur sont apprentis). Actualités issues du sitewww.arftlv.org- janvier 2007 L'insertion professionnelle des apprentis en 2009 en Poitou-CharentesL'enquête IPA 2009, réalisée par le rectorat en partenariat avec le Conseil régional, l'Onisep et le
GIP Agévif-Formation, révèle qu'à l'issue des années terminales des classes d'apprentissage des
niveaux III IV et V, dans l'académie de Poitiers, trois jeunes sur cinq entrent sur le marché du
travail, sur des emplois durables. Cette insertion est variable selon la spécialité de formation. Elle
reste un peu plus difficile pour les filles.S'agissant du taux d'insertion professionnelle à 7 mois des apprentis formés en CFA, l'étude montre,
pour la filière coiffure esthétique, des taux très proche de la moyenne (62,5 % contre 63,9 %).
http://www.ac-ER=239301
Actualités issues du sitewww.arftlv.org- 21 juin 2010 L'insertion professionnelle des jeunes en Poitou-CharentesLe document "IVA 2009 en Poitou-Charentes : l'insertion professionnelle est plus difficile" observe le
quotesdbs_dbs7.pdfusesText_13