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d'assurance-vie, membre du groupe Financière Sun Life Continuez à de gestionnaires de placements institutionnels Si vous préférez un service en À mesure que la date d'échéance (l'année) approche, il choisit des placements plus sûrs pour Le gestionnaire du fonds tient compte du degré de risque que vous



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Lesopinionsexprimées dans la présente mise à jourvisentl'ensemble desFondsGraniteSun Life axéssur une dated’échéance tandisque les données tactiqueset les renseignements sur la répartitionde l'actiffigurantdans le tableauci-après concernent uniquement le Fonds Granite2030 Sun Life

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Il j, 4

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oPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure Authorized

X..CIEÉTÉ FINANCIERE INTERNATIONALE

Depuis sa création en 1956, la SFI a engagé plus de 29 milliards de dollars au titre de finance- ments pour son propre compte et a monté des opérations de syndication et de placement d'émissions à hauteur de 19,2 milliards de dollars au profit de 2,446 sociétés dans 136 pays en développement. La Société coordonne son action avec les autres institutions du Groupe de la Banque mondiale -la Banque internationale pour la reconstruction et le développement, l'Association internationale de développement et l'Agence multilatérale de garantie des investissements -mais elle est juridiquement et financièrement indépendante. Son capital est fourni par ses 174 pays membres, qui déter- minent collectivement sa politique. Note L'examen et l'analyse de la situation par la direction, les états financiers vérifiés et le portefeuille des investissements de la SFI pour l'exercice oo sont publiés séparément dans un deuxième volume. Les montants figurant dans le rapport sont exprimés en dollars des

États-Unis, sauf indication contraire.

SOCIÉTÉ FINANCIÈRE

INTERNATIONALE GROUPE DE LA BANOUE MONDIALE

t - e 4' g X + .s-...tQ X &-

TABLE DES MATIÈRES

Faits marquants de l'exercice 2

Lettre au Conseil des gouverneurs 4

Message du vice-président exécutif 5

Promouvoir l'entreprise, créer des opportunités 8

La SFI en bref 20

Rapport d'activité 24

Les régions durant l'exercice oo 30

La gestion du changement 60

Résultats de l'exercice 64

Notre mission Promouvoir Résultats financiers 65 des investissements privés Le portefeuille 69

Évaluation des opérations 72

qui réduiront la pauvreté et

Projets approuvés 73

amélioreront les conditions Assistance technique et services-conseils 94 de vie de la population dans Annexes 105 les pays en développement. Sigles, notes et définitions 120 k * , ;i,g.% -, <:AI i r e!n +tv" t \ f -'R APPROBATIONS Nombre de rlOLIVeLaIX projets approuves 259 Montarit total de, finrancemîents approuvés- US D 5.8 MILLIARDS PRETS SYNDICATIONS/ Fiîrancements approuves par la SFI pour son propre compte USD 3,5 MILLIARDS

GARANTIES -

IMIMontant total des financements engages' USD 3,9 MILLIARDS

PARTICIPATIONS ET

OUASI- PARTICIPATIONS

Financements engages par la SFI pour son propre compte USD 2,4 MILLIARDS

0 0,5 1.0 1,5 2,0 2.5 3,0

Sil LI TRCS DE OJLLAIRS Portefteuille de prets et de participations decaisse par la SFI' USD 10,9 MILLIARDS

Participations en pourcentage du portefeuille décaissé 24 % ENGAGEMENTS Prêts en pourcentage dLu porteferîille decaissé 76 %

PRÉTS~

SYNDICATIONS/-I

SVADRANTIES t

GARANI -MSIOSRevenu net USD 380 MILLIONS

D'EMISSIN

OIJSI-PARTICIPATIN5 CapiaI IiLbére USD 2,4 MILLIARDS

0 0D5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 Benéfices nori distribués uso 3,4 MILLIARDS

MILLIARDS DE DOLLARS

Emprunts effectLues durant l'exercice usD 4,4 MILLIARDS

APPROBATIONS PAR SECIEUR

-x. 90J tr T 00

EX.. 90 9 0.

EX. 00 '-

2

A Services financiers

B Infrastructure

C Services sociaux

A (santé, éducation)

D Chimie, pétrochimie, .,

O hydrocarbures et

t industries extractives r.l' 1

E Bois, pâte à papier et papis FI

O)' E || *''. I I 1I 111 1 1 I *I I 1 II 11

COÛT TOTAL DES PROJETS

APPROUVÉS, EX. 98-00

25
20-

Montant total des beso ns de 10 -

financement de ia totalite des projets approuves par la SF durant l'exercice Le financement < S de la SFIreprésente une fraction * du cout total. -

EX. 98 EX. 99 EX. 00

MOYEN-ORIENT ET AFRIOUE DU NORD

APPROBATIONS, EX. 00

APPROBATIONS PAR SEC rEUR

EX. OO

-TOTAL: USD 85 |s MILLIONS

USD 55 Services financiers (65°)

* USD 7 Hotellerieettourisme(8 * USD 9 Hydrocarbures etmdustries * extractives (11 %)

USD 12 Servicessociaux

(santé, éducation) (14 °)

USD 2 Divers (3°)

AMÉRIOUE LATINE ET CARAIBES

APPROBATIONS, EX. 00

TOTAL USD5,8MILLIA DS

MILLIONS DE DOLLARS

* USD2681 Servicesfinanciers(45.9%) ust 165 Services sociaux USD1 361 Infrastructure (23.3 %) (santé, éducation) (2,8Y) I USD 644 Hydrocarbures et USf 153 Industries manufacturières (2.6Y%) industries extractives (l%) M USE 151 Chimie et pétrochimie (2,6%) * USD 181 Cimnentetmatériaux * USE 149 Bois,pâteàpapieretpapier(2.5 °) TOTAL: USD 2724 de construction (3.1 %) MILLIONS * US 189 Divers*(3,3 %) USD1347 Se7vicesfinanciers(50°b) * USD 172 Agro-industries (2,9%) USD 783 Infrastrcture (29"%) * USD 120 Chimie et pétrochimie (4 %)

'La catêgorie .Divers .recouvre, entre autres, les véhicules à moteu et leurs composantes, les engrais et les produits M ut E 111 Services sociaux

chimiques agricoles, les textiles, l'hôtellerie et le tourisme, et les se ices aux entreprises et aux particuliers. (santé, éducation) (4 %)

T USD 363 Divers (13°%)

AFRIOUE SUBSAHARIENNE ASIE ET PACIFIOUE EUROPE ET ASIE CENTRALE APPROBATIONS, EX. 00 APPROBATIONS, EX. 00 APPROBATIONS, EX. 00

TOTAL: USD 1248 TOTAL: USD 1064 TOTAL: USD 659

MILLIONS MILLIONS MILLIONS

* USD 593 Servicesfinanciers(48%) * USD 475 Servicesfinanciers(45°) * USD 198 Seevicesfinanciers(30%)

* USD 177 Infrastructure (14%) * USD 257 Infrastructure (24%) * USD 90 Infrastructure (14%) * USD 442 Hydrocarbureset USD 95 Hydrocarbureset USD 87 Hydrocarbureset industries extractives (35 %) * industries extractives (9 %) industries extractives (13 %) * USD 18 Agroindustries (1%) USD 108 Ciment et matériaux * USD 70 Bo,s, pâte à papier * USD 18 Divers(2%) * deconstruction(10%) etpapier(11%)

USD 129 Divers(12%) * USD 214 Divers(32%)

Lettre au Conseil des gouverneurs

ADMINISTRATEURS ADMINISTRATEURS Le

1 e' août 2000

SUPPLEANTS

Le Conseil d'administration de la Société financière internationale a. conformément aux statuts de la SFI,fait préparer le rapport annuel correspondant à l'exercice qui s'est achevé le 30 juin 2000. M. Jarnes D.Wolfensohn, président de la SFI et de son Conseil d'administration, a soumis ce rapport ainsi que les états financiers vérifiés y afférents au Conseil des gouverneurs. Les administrateurs constatent avec satisfaction que la SFI a continué, au cours de l'exercice oo, de développer ses opérations de financement et ses activités de conseil dans ses pays rmembres en développement,tout en renforçant son assise financière.

(rE- ù.?i he U J&,J,te là hltyù à êl* J (,, rlo, utine5 Eq-r v y;i PoL;n lrc,,rm.l rj u tljfrr j %11r) -'h,,, ,{n

anmu i'aJt,,n"f- e,ncoi;,P,a: ;,n ta nJ;. i?Poth ,^ H;Je-uer,h!ie F,tx:l r fre

I-L,srnJ sIaef

7 t i/r r,n n~e : HueziwL C,t3,1; LP u Ls>. .''r.' C 'Jr '..I,i;.e IU t,.rf,en t, eiu,r,.,,'& * |n Claude Milleron, Khalid M. A/-Saad, Stephon Pickford. la-,a, rv a ir,. Irrflrr..,r-tl; e ç r..'s *. ^, ,Yr .,.' I,I,,. *L ..r.I,ku....r.,, lFerr. 1 1 1 :.,-.rs .::.rI ,.z.1 4 o o Z I

Message du vice-président exécutif

UNE DOUBLE DYNAMIQUE

POUR UN IMPACT RENFORCÉ

L'année écoulée a été fructueuse, avec une progression de plus de 1 0 % du montant brut des approbations entraînée par le niveau record des nouveaux investissement- en Afrique subsaharienne, où le volume en dollars des opérations a triplé. Notre revenm annuel net, qui a atteint 380 millions de dollars, arrive au deuxième rang des meilleurs résultats jamais affichés par la

Société, ce qui conforte notre conviction c

qu'investir dans les pays en développement peut être rentable. Nous avons également enregistré un accroissement considérable

des prêts à des conditions commerciales via Peter Woicke, vice-président exécutif et James D Wolfensohn, président

notre programme de syndications, au titre duquel un montant total de 1, 5 milliard de dollars de prêts a été approuvé, soit ,, la Banque mondiale et d'autres institutions l'impact des réformes économiques sur

près du double de l'année précédente. financières internationales a été présenté les pauvres. Certains critiques soulèvent la

Jim Wolfensohn et moi-même sommes

trè ofiersode ce résultats. om en mars dernier au Congrès américain. question de " l'assistanat aux entreprises »,

Le principe qui sous-tend ces recomman- autrement dit de l'utilisation de fonds publics

Durant l'exercice 2000, la SFI a senti la dations est que le monde a connu de pour soutenir des entreprises privées.

poussée exercée par les réformateurs et profonds bouleversements depuis la créa- S'il est vrai que nous tenons absolument à

les critiques, dont les plus virulents sont tion de ces institutions. D'après les auteurs corriger les inexactitudes proférées sur nos

allés jusqu'à suggérer que nous fermions du rapport, le rôle de la SFI, qui est de travaux, nous pensons également qu'il faut

nos portes. Nous avons également été financer les projets du secteur privé, est répondre aux préoccupations légitimes.

sensibles à l'évolution du marché. Mais, devenu obsolète avec l'accroissement des

plus que tout, ce sont les besoins des apports de capitaux et des investissements nFa pas -jusqutici -qprofité aux milahons

entreprises, grandes ou petites, de nos privés dans les pays en développement. de pauvres. De toute évidence, les problèmes

pays membres en développement qui Si les mesures concrètes recommandées d'ordre environnemental n'ont pas encore

ont motvé notre action. par le rapport n'ont pas emporté l'adhésion trouvé de solution satisfaisante. Et il est

Nous attendons du secteur public qu'il cré+ générale, les questions qu'il soulève tout à fait normal que nous soyons tenus

les conditions nécessaires à l'épanouisse- méritent d'être sérieusement analysées. comptables de nos résultats sur le terrain.

ment du secteur privé en menant de bonnei Plusieurs de nos États actionnaires se Une chance s'offre à nous, que nous devons

politiques, en appliquant de bonnes pra- demandent également si la plus grande savoir saisir. Le regain d'intérêt porté au

tiques réglementaires, en assurant la facilité d'accès à des capitaux à des condi- sort des pauvres et à l'environnement peut

bonne conduite des affaires publiques et tions commerciales ne rend pas inutile l'offre accélérer une évolution dans le bon sens.

en investissant dans le capital humain. Mais par la SFI de financement aux entreprises C'est le type d'opportunité que nous ne

nous comptons sur le secteur privé pour privées des pays à revenu intermédiaire. cessons de guetter Encore faut-il que nos

dynamiser l'économie et créer des emplois csosd ute.Ecr ati u o C'est dans ce contexte que s'inscrivent les critiques et les autres groupes d'intéressés

grâce auxquels les pauvres pourront échap préoccupations exprimées à Seattle (État de y mettent du leur et s'efforcent d'être

per à leur condition. Pour chaque emploi ou ailleurs par les détracteurs plus constructifs pour que nous puissions

créé dans le secteur public, les entreprises

crivéé s le sect plub le etps de la mondialisation dans toute une série rechercher ensemble des solutions de rem-

de domaines, depuis l'environnement placement pouvant être mises en pratique.

UNE VlGOUREUSE POUSSÉE.., jusqu'aux pratiques perçues comme une Notre porte est, et restera toujours, ouverte

Un rapport contenant des recommanda- forme d'exploitation par les grandes sociétés, à ceux qui veulent contribuer de manière

tions sur le devenir du FMI, du Groupe de en passant par les normes de travail et positive au changement.

UNE INCITATION PLUS FORTE... qualité et à alléger les charges supportées Plus de 45 % -un record -des investisse-

À la poussée évoquée plus haut vient par le secteur public; et ments approuvés par la SFI durant l'exercice

s'ajouter la motivation que nous inspirent * améliorer la viabilité environnementale écoulé sont allés au secteur financier. Nous

nos clients, à savoir les habitants du monde et sociale des entreprises privées. continuerons d'étendre nos activités dans

en développement. Que l'on dénombre Nous sommes certes confrontés à des ce domaine, qu'il s'agisse de financer le

3 milliards de personnes vivant avec moins développement d'un marché hypothécaire

de deux dollars par jour et 1 ,4 milliard obstacles majeurs dans ce domaine, mais secondaire en Argentine ou d'investir dans

nosdisposons aussi de certains atouts

n'ayant pas accès à de l'eau salubre est nous dions ausituatins une microentreprise bancaire des Balkans.

pour nous une incitation à agir. La SFI est Les services d'infrastructure -électricité,

particulièrement sensible aux besoins -et NOUS CONCENTRER SUR CE approvisionnement en eau et assainisse-

aux idées -de millions d'entrepreneurs QUE NOUS FAISONS LE MIEUX ment, transports et télécommunications -

potentiels ou effectifs qui ne savent à qui Cette double dynamique nous oblige à sont un aspect fondamental de la qualité

dernander conseil, où écouler leurs produits ajuster notre action en fonction des besoins de vie dans les pays en développement.

ni comment se procurer des ressources. de nos clients et de nos points forts. Nous En l'absence d'un accès fiable et à un coût

Malgré l'accroissement des flux de capitaux devons pour cela être plus sélectifs dans le abordable à ces services, la population

privés, la plupart des sociétés des pays en choix de nos activités et de nos domaines souffre et les compagnies ont du mal à sur-

développement n'ont pas accès à des fonds d'intervention, nous employer davantage à vivre. À un autre niveau, connecter massive-

de capital-risque ni à des prêts d'un coût appuyer le développement durable du secteur ment les pays en développement à l'internet

abordable. Le problème est particulièrement privé et renforcer l'efficacité de notre offre est d'une importance critique si l'on veut

grave dans les pays au-delà de la douzaine de produits et de services. Dans les cas favoriser les échanges commerciaux et

d'économies de taille relativement plus toutefois où les investisseurs privés sont la diffusion du savoir. La SFI continuera

grande qui attirent la plupart des investisse- disposés à travailler seuls, nous devons leur d'appuyer le développement des infrastruc-

ments étrangers. Même dans des pays comme céder la place en reportant plutôt nos efforts tures par le secteur privé, domaine qui a

l'Argentine, le Brésil et la Chine, où ils sur les domaines plus difficiles où nous avons absorbé 23 % des investissements approuvés

jouent un rôle essentiel, ces investissements manifestement un rôle à jouer et où nous durant l'exercice écoulé. Notre intention

ne vont qu'à un petit nombre d'entreprises pouvons faire une différence considérable. n'est nullement de rivaliser avec les investis-

et de secteurs. Il reste urgent d'attirer des C'est en nous concentrant sur ce que nous seurs privés mais d'établir au besoin des

opérateurs disposés à investir sur le long faisons le mieux que nous pouvons ré- partenariats avec eux pour qu'ils puissent

terme et à prendre des risques si l'on veut pondre aux besoins les plus critiques de nos ensuite continuer d'opérer sans nous.

que les entreprises survivent, se développent pays membres en développement. Nous Nous chercherons également à mobiliser

et créent des emplois. Face à des besoins avons ainsi entrepris de renforcer notre des capitaux privés pour financer des

aussi pressants, des mesures d'urgence appui aux petites et moyennes entreprises, investissements sociaux, en particulier dans

s'imposent pour une initiative d'autant plus importante que les secteurs des soins de santé et de l'éduca-

* combler le fossé numérique qui risque les entreprises publiques ont tendance à tion. Certains se demandent si la SFI doit

de laisser à la traîne la plupart des pays réduire leurs effectifs et à être privatisées. intervenir dans des domaines qui relevaient

en développement; Les petites entreprises ont un fort potentiel jusque-là essentiellement du secteur public.

* renforcer les marchés financiers intérieurs de croissance, à condition toutefois d'avoir Nous pensons toutefois que des investisse-

de sorte qu'ils puissent répondre aux accès à des ressources et au savoir-faire. La ments bien choisis peuvent pallier l'insuffi-

besoins des entrepreneurs locaux et les mise de fonds initiale requise pour ce type sance des ressources publiques et améliorer

aider à se protéger contre les futures de projet est supérieure à la norme acceptée la qualité, l'offre et l'efficacité des prestations.

crises financières; jusque-là par la Société, mais nous sommes L'accent mis sur ces actions sectorielles

* remédier à l'absence de services prêts à payer ce prix pour dégager à terme s'explique par l'intérêt grandissant que nous

d'infrastructure de base des gains plus importants. portons aux marchés pionniers, autrement

améliorer l'accès aux soins de santé et Si l'on veut récompenser l'esprit d'initiative, dit les pays en développement qui n'ont

à l'éducation, là où la mise en place de creer des emplois et améliorer la qualité de guère accès aux marchés financiers interna-

systèmes détenus et gérés par des intérêts vie, il faut accorder une attention particulière tionaux et dont les institutions financières

privés peut contribuer à renforcer la à deux secteurs: les marchés financiers et laissent à désirer. Nous nous montrons

les équipements d'infrastructure. également plus sélectifs dans les pays à

revenu intermédiaire, en nous concentrant l'application des directives environnemen- connaissances respectives des deux insti-

davantage sur les domaines où notre inter- tales et sociales de la SFI. Mm Meg Taylor, tutions dans les domaines des politiques

vention est le plus nécessaire. Les succès qui occupe ce poste depuis environ un an, publiques et de l'entreprise privée.

remportés en Afrique durant l'année écoulée a pour mission de recevoir les plaintes des La force de la SFI, et son capital intel-

témoignent de la réalité de cette évolution. populations locales affectées par nos projets lectuel, continue de résider dans son

et de rechercher des solutions concrètes personnel. Je reste déterminé à mobiliser

SAVOIR ÉVOLUER aux problèmes qui lui sont soumis. Nous plus efficacement notre ressource la plus

ET MONTRER L'EXEMPLE sommes convaincus que cette approche importante. Nous continuerons le proces-

En sachant prendre des risques, mobiliser établira une nouvelle référence pour sus engagé pour alléger la structure

les ressources d'autres organismes via notre juger de la transparence des organisations d'encadrement afin d'améliorer la prise

programme de prêts syndiqués et mener à multilatérales. de décision et l'efficacité de nos services.

bien des transactions financières complexes, Nous avons opté pour un mode de fonc-

nous avons montré qu'investir dans les pays NOUS ADAPTER POUR tionnement qui privilégie davantage le

en développement peut être rentable. Nous ATTEINDRE NOS OBJECTIFS travail d'équipe. Nous avons par ailleurs

ne sommes jamais aussi efficaces que lorsqup Ces derniers mois, nous avons entrepris entrepris de renforcer considérablement

nous encourageons d'autres opérateurs à de nous adapter pour atteindre nos objectifs les procédures permettant d'évaluer hon-

investir avec nous dans des marchés risqués, en servant nos clients. La principale évolu- nêtement les performances, la formation

mais lucratifs. Si nous ne conservons pas tion tient peut-être au fait que nous nous à l'animation d'équipe, et les possibilités

cet avantage, nous serons marginalisés. efforçons de travailler plus étroitement avec de formation continue, en vue de créer

Avec la Banque mondiale, la SFI doit la Banque mondiale pour tirer parti de nos un environnement de travail plus moti-

montrer l'exemple en matière de normes avantages respectifs. vant et de permettre à la Société de

environnementales et sociales et de gou- L'avantage comparatif de la Banque réside livrer les meilleurs produits possibles.

vernement d'entreprise. Nous n'avons pas dans son aptitude à guider l'action des pou- Nous avons manifestement progresse

le monopole de la sagesse ni des meilleures voirs publics, à appuyer le renforcement durant l'exercice écoulé, mais nous ne

pratiques, et nous sommes prêts à apprendre des institutions et l'amélioration de la sommes pas encore au bout de notre

d'un nouveau groupe de sociétés, chefs de gouvernance et à investir dans les secteurs tâche. Tout au long de son histoire,

file du secteur privé dans ce domaine, avec sociaux. Ce faisant, elle contribue à établir la SFI a su évoluer en tirant les leçons

lesquelles nous pouvons nouer des partenariats. un environnement qui favorise la création .de ses succès et de ses échecs pour rester

La SFI a mis en place des politiques envi- et l'expansion des entreprises privées. une institution de développement effi-

ronnementales et sociales à la pointe du Les connaissances spécialisées que possède cace. Nous savons pourtant que nous

progrès, et nous ne ménageons aucun effort la SFI dans le domaine du financement de devons nous attendre à d'autres diffi-

., .projets sont précieuses pour les travaux de

pour assurer la conformité de nos projets pojets sontréceu pour le tavaue cultés, et non des moindres.

aux normes établies. Respecter les règles pltqegnrl uGop el aqe

et nollrmànes étables. portersprj est rles Et le resserrement des liens entre les acti- Grâce à cette double dynamique, qui édaire

ce mil ps' matenanjdie me ttre vités de la SFI et les réformes de politique et renforce le processus d'adaptation que

note, epie à profit pour amener économique ne peut que renforcer la nous avons entrepris, je suis convaincu

etreu exprivéce à applfiq cesunmeser a- viabilité des réformes. La Banque et la SFI que notre contribution au développement

delàtur crevéà res qein des norjes C'et formulent maintenant en collaboration du secteur privé et à la réduction de la

aini quc e noupblo s pro em'ent les stratégies d'aide-pays qui guident pauvreté ne cessera de croître.

ainsi que nous publierons prochainement notre action collective. un manuel de développement communau- taire, et le prochain volume de notre série Pour structurer leur appui à ces objectifs,

Leçons de l'expérience sera consacré à l'environ- la Banque mondiale et la SFI ont créé cinq

nement. Ces publications s'inscrivent dans départements conjoints pétrole, gaz et le prolongement du précédent document pétrochimie; extraction minière; infrastruc- d'orientation sur les procédures de consul- tures mondiales de télécommunications et tation et d'information du public. d'information; services-conseils au secteur Une autre initiative qui confirme le rôle privé; et petites et moyennes entreprises.

d'avant-garde de la Société est la création Chacun de ces groupes sectoriels mondiaux Peter Wokke, vice-président exécutif

du poste de conseiller-médiateur pour est l'expression concrète du mariage des *'- ' L1 ;=I- .iRSk :{-I '' '- .N 't - ' k ,o u 'B Q'

S * v -f s s Ni

1%V s{ j

S -| ,g +9 ~ e A

RICHARD LORDII Iz tt-,..= ,h' La réduction de la pauvreté est f ndamentalement tributaire de la poursuite d'une croissance éc fomique durable impulsée par l'esprit d'entreprise et des inves issements privés fructueux. La SFI contribue au renforcement d entreprises de toutes tailles et, ce faisant, offre de nouvelles opportunités d'améliorer les condi- tions de vie dans les pays en dév loppement. Lorsque les grandes et les petites entreprises se dével ppent, elles créent des emplois et permettent à la population de réellement participer à la vie

économique.

La SFI s'efforce d'entraîner le secte ur privé à prendre des risques et prouver qu'il peut être rentable de réaliser des opérations dans des secteurs délicats et dans des pays que d'autres investisseurs Y ' - peuvent ne pas juger attrayants La SFI s'intéresse à des projets 'i' qui sont prometteurs sur le plan financier, ne portent pas préju- dice à l'environnement et ont, en outre, un impact social positif. Au cours de l'exercice qui vien: de s'écouler, la SFI a précisé ses priorités stratégiques pour re entrer ses activités en fonction

MARKFALLANDER

des réalités du marché, de ses propres avantages comparatifs et, surtout, des besoins des pa s en développement qui sont ses clients.

EMPLOIS CRÉES PAR DES ENTITÉS

PUBLIOUES ET PRIVÉES

TUROUIE I I I I I

URUGUAY

(1987-92)

MEXIOUE

BOLIVIE

* Secteur public (1994-97) • Secteur privé COSTA RICA (1994-98)

GAEBON

DES ENTREPRISES PRIVÉES DYNAMIQUES ET (1992-96)

CONCURRENTIELLES SONT SOURCE D EMPLOI. GUATEMALA

LES STATISTIQUES DISPONIBLES MONTRENT 994-98)

QUE LE SECTEUR PUBLIC FOURNIT EN KENYA

MOYENNE MOINS D UN EMPLOI POUR 993-98)

DIX EMPLOIS CRÉÉS PAR LE SECTEUR PRIVÉ. O 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 SOURCE EVOLUTION RECENTE DE LECONOM EFMI POURCENTAGE

Renforcer le secteur financier

-.w L'établissement d'entreprises locales, grandes et petites, est essentielle- ment tributaire de l'existence d'un secteur financier actif et diversifié. Pour démarrer leurs activités et se développer, les entreprises doivent pouvoir compter sur des sources de financement intérieures fiables, con- currentielles et diverses, car sinon il leur faut faire appel à des capitaux étrangers .nombreux sont les projets d'entreprise qui sont abandonnés li faute de financement. La SFI a plus que doublé le nombre de préts et d'investissements qu'elle a approuvés au profit d'institutions financières depuis le début des années

9o. Le secteur financier est le principal bénéficiaire de ses activités

puisqu'il a fait l'objet de 46 % des nouvelles approbations. La Société accorde une haute priorité au renforcement des institutions financières locales,à l'établissement des marchés intérieurs de titres de participation et de créances et à l'utilisation de nouveaux instruments de financement.

LA PART DANS LE TOTAL DES PROJETS

APPROUVÉS PAR LA SFI DANS LE SEC-

TEUR FINANCIER EST PASSÉE DE MOINS

DE 20 % AU DÉBUT DES ANNÉES 90

À 46% DURANT L'EXERCICE.

10 J -LA SF1 ÉTEND LA PORTÉE DE SON ACTION PAR

E rL'INTERMÉDIAIRE DES SERVICES FINANCIERS

A ILa SFI ne peut offrir ses services à toutes les entreprises privées des pays en développement qui ont besoin de capitaux pour se développer. Elle peut toutefois fournir un appui aux banques qui

En Asie centrale, la SFl collabore étroite- ont la possibilité d'avoir un impact important et positif dans

ment avec les banques et d'autres toute l'économie. institutions du secteurfinancier en

vue d'améliorer les services offerts par Par exemple, pour répondre à la demande générale de capitaux à

ces dernières. court terme en République kirghize, la SFI a contribué à l'établisse-

RULA HALAWANI ARCHIVES SFI

Un jeune couple vivant en Cisjordanie discute d'un crédit hypothécaire avec Anwar Jyousi, directeur adjoint de la Jordan National Bank. Un projet de la SFI en Cîsjordanie et Gaza per- mettra de titriser les hypothèques et, cefaisant, de promouvoir ~ -! l l'essor du marchéfinancier et le renforcement des banques LE CRÉDIT HYPOTHÉCAIRE PERMET AUX MARCHÉS DES CAPITAUX DE SE DÉVELOPPER

Le marché hypothécaire du logement Le secteur financier se renforce sous actifs. Le développement de ces opéra-

offre au secteur financier une occasion l'effet de l'augmentation du volume tions permettra à un plus grand nombre

unique de se développer. Les prêts de ce des prêts au logement, comme on a pu de ménage de se loger à moindre frais

type non seulement facilitent l'obtention le constater dans le cadre d'autres projets en bénéficiant de services financiers

d'un logement mais aussi stimulent le menés par la SFI en Argentine et en qui répondent mieux à leurs besoins.

développement des marchés financiers. Afrique du Sud. Durant l'exercice, la SFI La SFI fournit son appui à des institutions a étroitement collaboré avec des sociétés spécialisées dans le financement d(u l,ge- de ces deux pays dans le but dmcuretre ment et dans d'autres domaines, qui sont des titres en regroupant les hb puirhèiq ues en mesure d'utiliser des instruments et, ainsi, établir un marché de reprise financiers complexes. d'hypothèques. Ce type d'opération est Au cours de l'exercice, la Palestine courant dans les pays développés mais Nf&Drtgage- and H-uiusrig Corporation, est encore nouveau sur la plupart des

qui intervient dans l'un des prrjiei de marchés émergents. Grâce à ces opéra- Enfants de quartiers neufs en cisjordanie. cette génération sera

la SFI, a procédé à une opération sans tions de titrisation, les sources de crédit mieux logée et aura une meilleure qualité de vie grâce en partie

précédent dans la région en offrant des bu p'uthécai r disposent d'un volume de aux opérations de titrisation d'hyputhéques que pourront réaliser

crédits hypothécaires à des résidents de liquidités plus Vmportant et leur cote de

Cisjordanie et Gaza. Le Conseil d'adminis-

volume des liquidités contribue dans une tration de la SFI a égalemerit approuve z un investissement dans la National large mesure à l'expansiru {Se, .ptr-7 , t Development Bank Housing Finance des banques, qui peuvent améliorer la - Crrpuraiicn. institution locale qui se gestion de leur actif et passif en cédant ' spécialisera dans le crédit h 1 pu:.hécaire les créances hypothécaires qu'elles avaient w .! ' 6 Ce projet pourrait engendrer un rteri[Tage initialement émises et, partant, générer Ce poje porrat egrnire unrecruuige les fonds nécessaires pour financer de des activités au profit de la construction f de logements plus modestes et. partant, nouveaux prêts. I ilA donner à un plus grand nombre de Maintenant qu'ils négocient des uitres ménages la possibilité d& ;e loger et adossés à drs hv p':rhequei, les courtiers générer les opérations de prêt nécessaires savent de mieux en mieux évaluer les - pour promouvoir le développement des risques et peuvent souhaiter n 'c i cw i t r marchés financiers. d'autres types de titres adossés à des 5 W

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ment d'une banque commerciale, Kyrgyz Investment & Commercial On compte que la KICB interviendra davantage sur le marché kirghize

Bank, dotée d'un capital de 7 millions de dollars. que ne le fait son unique concurrent du secteur privé. Par ailleurs,

La pénurie de services financiers de haute qualité en Asie centrale les partenaires chevronnés sollicités par la SFI pour mener à bien

faisant largement obstacle au développement du secteur privé, cette opération aideront la banque à se doter des compétences en

cette banque cible ses opérations de préts sur les entreprises privées, analyse et en montage de crédits dont elle a besoin pour s'acquitter

y compris les petites et moyennes entreprises. de sa mission d'institution financière. En modernisant les services bancaires, la KICB aidera les entreprises privées kirghizes et stimulera la concurrence avec d'autres banques.

Développer les infrastructures

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