au premier anniversaire de l'enfant pour la mortalité infantile 1 - 2 En morts- nés au nombre de naissance du m&me mois, les taux mensuels de mortalité infantile gal la mortalité périnatale et infantile aux niveaux approximztifs suivants :
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Ouganda, Ré publique centrafricaine, Rwanda, Sé né gal et Zambie), les auteurs du pré sent article cherchent a` du nord du Cameroun, les taux de mortalité
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deux tiers, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 où la mortalité infantile est élevée39 Il est difficile d'établir des gal et le Togo
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Le taux de mortalité infantile(TMI), durant la même période, est passé quant à lui de 40‰ 57 Le Gal J , « Les accidents domestiques Législation et prévention
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au premier anniversaire de l'enfant pour la mortalité infantile 1 - 2 En morts- nés au nombre de naissance du m&me mois, les taux mensuels de mortalité infantile gal la mortalité périnatale et infantile aux niveaux approximztifs suivants :
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Tableau l : Le taux de mortalité des enümts de moins de cinq ans (pour 1 000) des mortalité infantile (1q0) et du quotient de mortalité juvénile (4q1) obtenu par la Sene gal 199211993 20,4 Tanzanie 1991-1992 21' 1 Mali 1995- 1996
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Mortalite Perinatale et Infantile au Senegal
Pierre Cantrelle
O.R.S.T.O.M., Dakar
1 - 1 La méthode idéale de collecte systématique des données permettant de calculer de
vrais quotients de mortalité serait d'enregistrer une cohorte de grosses- ses à partir du moment oÙ le foetus est considéré come viable (six mois environ) et de suivre leur devenir jusqu'à : - l'accouchement pour calculer la mortinatalité - un mois pour la mortalité néonatale - au premier anniversaire de l'enfant pour la mortalité infantile.1 - 2 En fait on a rarement recours d.e telles observations. Les divers procédés
utilisgs peuvat etre class& selon le moment de l'enregistrement : - avant l'accouchement : relevé des grossesses puis de Leur devenir, - dans les consultations prénatales - par enqu&te auprès des familles (observation suivie) - dans les consultations prénatales, suivi d'snqu&te - au moment de l'accouchement, par exemple dans les maternités - dans les jours qui suivent l'accouchement : déclaration spontanée, des naissances vivantes et des morts-nés, telle qu'elle est réalisée dans leSysteme d'état .civil. - dans un délai variable après l'accouchement : enquete rétrospective por-
tant - soit sur une pkriode d'un mois précédant l'enqdte (12 mois pourles enquetes réalisées en Afrique francophone). - soit 5w l'ensemble de la période de fertilité de la feme, dans les enquetes démoe;ra@.ques
ou les services mbdicaux.1 - 3 Ces diverses sowces de données ont une valeur différente en ce qui concerne leur précision
- omission d'événement : naissance $vante ou non - situation dans le temps : date d'accouchement et éventuellement de déces et leur représentativité. 2- 2-12-1 -1
2-1 -2
Les donndes disponibles au S6n6gal seront examinées en fonction de ces cri- tères, successivement celles des services médicaux, des registres d' état civil et des enquetes.Services mtdicaux, trois types de données
: les consultations prémtales, les maternités, les comultations de nourrissons. P Dans les comultations EqCnétales la grossesse est enregistrée sur fiche indivieuelle conservée dans le fichier de consultation. &.is habituelle- ment cette fiche n'est pas transferée au lieu oÙ se produit l'accouchement de sorte qu'on ne conndt pas le devenir de la grossesse. Pour le codtre il faudrait proc&$.er à une enqu&te B la maternité ou auprès de la famille (voit paragraphe2-52 a).
Incomrgnient majeur, l'gchantillon de femes qui fréquentent la consultation prénatale risque d'&tre sélectionné.La s6lection s'opère pm deux voies.
D'une part, sélection possible selon la gravité de l'évolution de la grosses- se; dans les villcgen glusieurs femes ont déclaré qufelles allaient consul- ter cranant un avortanent et. qu' elles avaient avorté spontmémerrt au retour de la consultation. Inversement les femmes qui vont consulter ont quelque chance d'&tre mieux protégées médicalement.D'autre
part, sklection gkographique : une carte de fréquentation de la con- sultation prénatale de Khombole par les femes des villages alentour (Arrondis- sement de Thiémba) a 6t.4 établie; elle nontre que le fréquentation dininue en fonction de la d,istance, plus encore au Uord de la zone où lea matrones sont plus nombreuses.Ces donnses en rdlieu
mal ne aeuvent donc etre utilisken pour exprimer la mortalité $.ans l'ensemble de la population de l'arrondissement. Far contre, 12 comparaison entre le nombre d'accouchement & la maternité de ;&onbole selon la r6sidence des femmes, le nombre de naissances relev6es lors de l'enqu8te démographique indépendante et le nombra de fiches rrinatales perinet de penser que la pluph dez femes de Khombole ont fait l'objet d'une consultation prénatale et par conréquent ontCtd enregistrées. Une enquete
coLipl&ent l'enregistrement initid, a permis de conndtre le devenir de la grojsecoe et seme de suivre l'enfant juqu'à son premier anniversaire. I1 sen- ljlereit donc que les fichiers Btzblis dans les centres urbains soient plus exphit EbleS.3as les mternit6s, l'accouchement ezt: inscrit sur un registre, le diagnostic
de noortalité est précis, msis.la femme quitte la maternité quatre jours enriiron zprbs l'accouchement. De m&ne que pr6cc'dement on Xe codt pas le davenir de l'erxfant à noins d'une enquete particuliere, de sorte que 1's:qloitation des registres de mtemit& ne Teut reneeisner que :3w la mortinataliti et la mor- tait6 ?=E ies dew- OLI trois preoiers jmrs de 12. vie. La .sQlec'iion joue 4cdcnc-nt; les registres 2e naternité seraient e.qloitak1es à conJ.ition d'6tablir une distinction selon la résilence et de ne traiter que les missances concernant les seules femes résidant d.ans la ville où est; situje la naternité. Des renseipemnts sa la résidence sont inscrits sur les registres mais ne sont pas exploités.PC 3.5 2
c f2-1-3 Dans les consult&i.m&de nourrissons,le fichier est établi B partir des fiches envoyées de
la maternité voisine, et aussi 2i partir des enfants pré- sentés spontanément. Les fiches envoyées de la maternité ne comprennent pas celles des enfants quiy sont décédés avant la sortie de la aère. D'autre part;, l'es enfants non enre- gistrés
à la maternité, d6cbd4s wmit d'&tre prdsentds à la consultation sont omis. Enfin, les incow6ikon.l-s précklents existent également, sélection et absence de renseignements systématique sur le devenir de l'enfant.Registres d'état .civil
: la couverture du systbme d'état civil est considé- rée comme complète dans moins de la moitié de la population du globe.Au Sénégal
par exemple, on peut estimer qu'en milieu mal seulement IO $ des naissances sont enregistrEes et moins de5 $ des décès.
L'enregistrement tend
à s'améliorer depuis quelques années, m?iS il ne peut &tre question actuellement d'utiliser les registres d'état civilà des fins démographiques.
En milieu urbain , du moins dans les grands centres la situation est radica- lement différente. Si la preuve n'a pas été apportée que tous les déces de foetus viables sont enregistrés, 'on a des raisons de penser que peu de décès dcha2pent 'a la déclaration, notamment 8. cause du fait que la plu?& des few mes dans les centres ixrb&m accouchent sous contr8le médical, comme c'es:: le ccs à hkar, 1.Ici.s 3.lge du ddcès n'est pas tou.jours précisément mentionné sur le registre de décès, neme s'il s'agit d'undécbs en bas %e, D'autre part, il est Sare que la mention du décès soit portée sur le registre de naissm.ce; malgré ces réserves il pardt raisonnable d'utiliser les registres &'état civil de certains centres urbains pour le calcul de la mortalité infantile.Emuetes: Deux types dfenqu&es de valeur
très différente : enquete rétrospec- 2- 2 2 - 3 2-14 tive et observation suivie depuis l'accouchenent de la grossesse. L'enc;u&te rétrospective cpmporte des risques importants d'erreur - omission d'enfants nés et déjà décédés, ou bien d'enfants - mauvais repérage d'évhements dans le temps, mort -néa.Les omissions sont habituellement liées au
fait suivant : la mère considère qu'elle n'a pas l'gagné un petit" lorsque l'enfant est décédé avant le bapthe, ?i plus forte raison s'il n'a vécu que quelques heures ou est mort-né. Au SénCgal, l'eilfan. est baptisé, c'est h dire reçoit un nom &. sept jours quelle que soit la religion, animiste, musulmane, chrétienne, c'est à dire le jour oÙ le cordon ombilical dessechk'tombe de lui meme. Si l'enfant est décédé avant le bapt&me, il est facilement omis. un interrogatoire patient s'adressant directement à la mère peut certes réduire ce risque d'omission, nais il arrive que la femme soit absente au moment de l'enq&te,et on ne peut &tre assuré que l'enqu&eur pose des questions précises sur ce pointà chaque femme.
Certains européens pensent que l'évocation d'un enfant décédé m&me très jeune déplait à la mère africaine et sereit ainsi une cause d'omission volontaire.Cet obstacle semble kcarté
par la méthode de l'observation suivie. D'ailleurs, dans les formations sanitaires ce genre de question est posé systématiquement aux femes par les sqes-femmes ou infirmières qui s'enquièrent des antédé- dants de la femme qui vient consulter.PC 3.5 3
D'une façon g6n6rale il serait imprudent d'accepter comme vérité les ddclara- tions recueillies lors d'un interrogatoire rétrospectif.2-3-2 Dans l'observation suivie, la grossesse est enregistrée au moment d'une pre-
mière visite et son devenir & la visite suivante; le risque d'orni-sion d'en- fant né et décédé et de mort-né est donc Qliminé. Le repérage dans le temps est meilleur puisqu'on codt la date du premier enregistrenent et éventuellement l'@e approximatif de la grossesse au moment de cet enregistrement, et d'autant plus précis que l'intervalle entre les deux visites successives est plus COL&. Deux modalités de ce type d'enqu&e sont à distinguer : a) enregistrer" ?e la grossesse dans une consultation prdnatale et vioite suivznte 'a domicile (voir paragra:he 2-1-1) b) enregistrenent de la grossecse $ domicile ainsi que la visite suivante. Cette dernière modalité comporte cependant Kuelques inconv6nients.h propor- tion de grossesses enregistrées dépend plus ou moins de la réticence des feo;- mes interrogées; cette réticence semble variable selon les coutumes,plus grande par exemple chez les Peuls que chez les Serers : les femes peules craignant qu'il arrive malheurà l'enfant si on parle de la grossesse en
Dans certrins cas !.'equC?te est donc linitée 'a la mention cles grxse,ses visibles. La proportion de grossesses enregistrées est liée d'autre part à la périodi- cité de l"qu8te. Si l'enquete est trimestrielle, on des chances d'enregis- trerla najorité des grossesses survenues; mais si elle est annuelle, on ne pourra enregistrer qu'une partie
du nombre des grossesses de l'année; il sera dors nécessaire de vérifier si la morlxlité n'est pas Liée au mois de nais- sance. COWS.3- ETDE REALISEI;: ïD FJXJLTATS
- Gem centres : - une grSeririce de la Statistique (voir paragraphe 2-2).
L'étude porte SUT un ensemble de 145 000 naissances vivantes. IPC 3.5 r,
Iihombole : fichier de la consultation prgnatale de la période 1962-66, compl6té par une enquete
h domicile (voir méthode de l'obser- vation suivie, paragraphe 2-3-2 a); l'étude porte sur 844 missances vivantes survenues pendant la pBriode 1963-66. - Les arrondissements ruraux : fiches &ablies en 1965 et 1966 par les enqu&eurs (voir méthode de l'observation suivie, paragraphe 2-3-2 b) ;1'étud.e poi-te SUT 554 naissances vivantes 'a Niakhar et 152 2ì Paos-Koto.
- DAUR (tableau 1 ) On peut estimer que plus de (35 $ des naissances B D&XC ont lieu dans une maternité, Les données disponibles du Service de la Statistique ne sont pas séparBes selon ces catégories de lieu de naissance (maternité ou a domi- cile).Pour le griode 1959-65, la mortinatalité calculée est de 40 mort -nés pour mille nais&nces vivantes et
la mortalité infantile de 84 pour mille. Pour les deux dernières amées de la période, íg64 et 1965, le nombre de déch de la premitre semaine et. du premier mois est connu; la mortalité néo- natale cdcÜEë"pour la première semaine est de 19 pour mille, et celle de1 -3 semaines de I5 pou- mille.
- -.n--- pc 3.5 5 TABLEAU 1 - Etat civil de Dakar - Population Africains Mortinatalit6 et mrtalit6 infantile, taux pel O00 nais-^ vivantesMort inatalit 6 Mortalite infantile-
Naisasnaes ---
vipantea M T F M T F1959 19.768 42 36 39 70 56 63
1960 17.161 !j3 44 48 I o1 79 90
1961 19.005 45 34 40 96 62 89
1962 19.978 40 33 37 93 73 03
196321 e607 40 38 39 66 80 83
1964 23.488 42 36 39 90 79 s4
1965 23;402 40 38 39 102 85 95
Enaemble 144. 609 43 37 40 91 76 84
dnnee I 39Epaemble
19644 965
19 34 eg
bis de l'ann6eJanvier
Fihier
EIars Avril MaiJuin Juillet
Ao&Septembre
Octobre
Novembre
DBoembre
mrtinatalit.4 Mortalite infantile1959-1965 1962-1 964 I 962-1 964
4135 40 36 38 40 39
4139
46
41 41 36
31 36 37 39 36
4045
40
43 38 38 91
7773
77 76
77
74 65 99
I07 8894
1
PC 3.5 6
D'après SATGE et coll. (2) dans la période néonatale, un enfant décédé sm quatre serait prématuré; d'autre p&, l'infection serait responsable de20 $ des décès, infection en général tardive au-delà du 78me jour et donc probablement dlorigine exogène;
la mortalité calculée par tétanos ombilical serait de 1.4 pour mille naissances vivantes. l~lortinatalité et mortdité infantile sont plus élevées chez les gaxçons que chez les filles, 43 contre 3'7 pour la mortinatalité, et 91 contre 76 pow La \ mortalité infantile. L'amplitude des variations melles est peu importante.Le taux mensuel de mortinatalité
a été calculé en rapportant le nombre de morts-nés au nombre de naissance du m&me mois, les taux mensuels de mortalité infantile en rapportant les décès survenus un mois domé aux naissances vi- vantes du m&me mois et des onze mois précédents (3).L'amplitude des variations sarisonnières de
la mortinatalité est faible, sauf 'z la fin de la saison des pluies (septembre-octobre) oÙ elle est en moyenne un peu plus dlevée, suivant la m&me tendance que la mortdité infantile à cette saison mais de faqon moins accentuée.KKOPIBOLF:
d'aprbs le registre d'accouchement, soit 'a la consultation de nourrissons, soit enfin par enqueteà domicile.
L'%e de la grossesse à l'enregistrement (tableau 2) a été déterminé par la sage-femme à la consultation pr6natde d'aprhs la date des dernières règles et la hauteur utérine. Cet &ye a été confronté avec celui. calculé h partir de la date dlaccouchement. Le devenir de la grossesse a été enregistré soit à la maternitéTableau 2
- Répartition des grossesses selon l'&e à l'enre&trementAge en mois XIIOItBOLE "3 PAOS4OTO
O 1 2 1
1 9 5 -
2 42 16 7
3 107 37 17-
4 118 58 17
5 177 80 90
6 169 1 O0 24
7 149 113 22
8 ao 131 30
A terme 14 28 12
Totd886 580 160
_----_--------------___________________I pc 3.5 7 Le nombre de grossesses suivies seulement à, partir du 8ème ou du 9ème nois est relztivement important, il existe donc une certaine probabilité d'omission ?e morts foetales tascves et l'estimation de la mortinatalite devrait etre considérée ici comme minimale. Le nombre de morts foetales tardives est de 23 pour 844 naissames vivates soit un taux de mortinatalité de 27 pour mille.Une t&le de mort.dit8
a ét6 cdcÜl.de pour la première année d'&e, pm inois (tableau3). Certains enfants sont sortis de l'obaervztion (LG) soit pace
qu'ils on: émigré (E), soit parce que la dersere visite de l'enquete les a trouvés want leur premier anniversaire (v). 11 est admis qu'il n'y a p~a de lidison entre émigration et dkcès. Les sorties d'observations sont soustraites de la populztion au risque au début de chaque mois d'&e,D'après
la table on obtient pour Khombole : - mortdit6 néoutrile précoce (lère sem.) : 16 p.1 GOO naissences vivantes - 11 11 (ler mois) : 25 p.1 CCO 11 - infantile : 67 p.1 ,000 II 11 L'ajmtemnt graphique du nombre cumulé de decks (m6thode de Bourgeois-Fickat) donner.ait une mortalité exogène de20 'a 25 pom mille. Une caxmre de la
courbe avec surmortalité exogène appsrait vers llbe de 7 mois.PC 3.5 8
Tableau 9 - Tables de mortalité pour la premikr$ mnee d'@ePopulation
au risqueDodes brutes
VI EI D
IcHoIlBOLE (naissailces vivmtes : 844
3 semaine 3
1 (I 24
2 163 II 12
1 mois 45
2 213 II 28
4 IT 18
5 II 26
6 11 22
7 'I 21
3 1) 16
9 1810 II 17
11 28 -_-13 841
2 7724 754
I 7335 688 1 661 1 629 2 GOO - 571 1 445
3 420 2
4003 30 2 360 1 329 __ ._
TIIAEM (naissances vivantes : 554)
O semaine -
1 mois
1-3 It 1-
1 21 o 11 3 11
Ir 3 1118 553 11 535
5 523
8 51 5
6 50611 500
17 489 10 472
11 459
6 4475 439 9 431
IO 41 8
PAOS-ICOTO (naissances vivantes : 152)
O semzine
1-3 I'1 mois
2 3 4 5 It 6 7 8 It 9 'I IO It 11 It 152144
137 134
134 133
130 125
121118
115 112
110 Quotient1 Survie
I D p.1 O00 -1 1.4 IO00 16
984 3 981
' 5 976 139.5
27
a8 21.9
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