[PDF] [PDF] Le stress et lanxiété chez lenfant - AÉPQ

mémoire à court terme est alors mise en œuvre Toutefois, si Concernant le coin arts plastiques, l'enseignante intègrera pour désintégrer ses nuages de peur, de tristesse ou Ce constat rejoignait l'analyse de Duval et Bouchard des livres de Victor le lapin, Broquet se voulait un hommage au professeur Gaston



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[PDF] Le stress et lanxiété chez lenfant - AÉPQ

mémoire à court terme est alors mise en œuvre Toutefois, si Concernant le coin arts plastiques, l'enseignante intègrera pour désintégrer ses nuages de peur, de tristesse ou Ce constat rejoignait l'analyse de Duval et Bouchard des livres de Victor le lapin, Broquet se voulait un hommage au professeur Gaston



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22 mai 2012 · arts plastiques, comme la littérature, la danse, la musique, le chant ou ainsi à la figure du collectionneur, qui fait ici œuvre de commentaire et dialogue La première fut mise sous l'égide de Gaston Paris, qui après de bien de civilisa tion, Québec, Musée de la civilisation 1 Éditions Broquet Inc , 1990



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à l'image, les arts visuels, par-delà les thèmes ou les motifs qu'ils procurent aÙx Poésie et silenl'e hez Fernand Ouellette, Gaston Miron et Paul-Marie 9 «La poétique du regard à l'œuvre chez Saint-Denys Garneau », écrit Pierre le poète donne à la peinture », dit Pierre Ouellet en une formule qui résume bien ce



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ment regroupe des professeurs et chercheurs en littérature, en arts visuels, s' intéresse, par le biais de l'analyse d'un roman de Carol Shields dans lequel la précis, de devenir des spécialistes d'une œuvre, d'un jeté par cette dernière, de peur que cette pièce ne Plastic Man et ainsi «contrôler» le marché; seul un



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10 mar 2008 · L'art public sur le campus de l'Université Laval ii Comité d'aménagement et de mise en oeuvre (CAMEO) Direction: Claude Dubé Rédaction 



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des procédés mis en œuvre dans le corpus analysé autres formes d'art, la télévision, le cinéma et la bande dessinée se de coédition est conclu avec les éditions de La Courte Échelle et les Éditions Marcel Broquet afin bannière, laquelle accueille aussi quelques titres des Éditions Dupuis (Gaston Lagaffe, Flagada,



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5 août 2014 · Biographie critique et analyse de l'œuvre, Montréal, Fides, 1978; Chronique du mouvement dans le milieu québécois des arts plastiques, dont Pellan domine la scène avec brio, à art, son temps, La Prairie, Éditions Marcel Broquet, 1986, p province a peur de quelques feuillets miméographiés(37) »

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Vol. 55, no

3 / été 2017

Le stress et l'anxiété chez l'enfant

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3 / été 2017

plus présents en classe 4

CIASlTISSAIlA.5U,n 3l3A/éSA.5t2IA/IA0

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Maryse Rondeau

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TI7xIT7xISAI,A,IeTES7 I,7ISAsAIsabelle Deshaies

Stéphanie Duval et Noémie Montminy

UeAdT3S7E.U TIAsAMonica Boudreau, Hélène Beaudry et

Isabelle Beaudoin

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Pellerin

CIASlTISSAIlA.5U,n 3l3

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SU..IA/IA7.USSIAsABrigitte Fortin

Manon Jean

Andréanne Larocque

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MeAVEeaIVI,lAbA.UAdI ,leTIAUenA/E 2lSAsARaymonde Letalien hE..UuETUl E,ADLOÉAhU,U/UHmTU,7IAsAJohanne April et Catherine Lanaris CISA"BhAdIeaI,lcI..ISA7E,lT ueITAbA.5UV3. ETUl E,A/IA.UA2ISl E,A /e A

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A /IA.5U,n 3l3A7xIvA.5I,8U,l4AsALynda O'Connell et

Pascale-Dominique Chaillez

CIASlTISSAIlA.5U,n 3l3AsADanielle Goudreault

"Te7SAIlAUSle7ISAdEeTAT3/e TIA.IASlTISSAIlA.5U,n 3l3A.ETSA /5e, A SdI7lU7.IAsAAimée Gaudette-Leblanc et Jonathan Bolduc h3.3uTITA.ISA8GlISA/U,SA.5ISdT lA/IA.5ITIAsACaroline Ricard

RlTISSAIlAU,n 3l3

ApA0ASlTUl32 ISAdEeTAU /ITAVE,AI,8U,lAsA

Chantal Besner

Revue trimestrielle publiée

par lbAssociation dbéducation préscolaire du Québec

C.P. 99039, CSP du Tremblay

Longueuil (Québec)

J4N 0A5

Tél.

: 514 343-6111, poste 49157

Courriel

: aepq@aepq.ca Site : www.aepq.ca

Les textes apparaissant dans la Revue

préscolaire n'engagent que la responsabilité des auteurs et, à moins de mention contraire, ne constituent pas une prise de position de lbAssociation dbéducation préscolaire du Québec (AÉPQ).

La Revue préscolaire est conforme

aux rectiRcations orthographiques.

L'utilisation du féminin nba dbautre but

que dballéger les textes.

Les membres du conseil dbadministration

de lbAÉPQ, le comité de rédaction, les auteures et chroniqueures de la Revue préscolaire sont toutes bénévoles.

Le contenu des annonces publicitaires

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Toutes les demandes de reproduction

doivent être acheminées à

Copibec

(reproduction papier) au 514

288-1664

ou 1-800-717-2022 ou par courriel à licences@copibec.qc.ca.

Les numéros des années antérieures

sont disponibles au coût de 16 $ lbunité, plus taxes et frais dbenvoi. Cependant, ces numéros peuvent être consultés par les membres privilèges sur le site de lbAÉPQ (www.aepq.ca).

COORDINATION Danielle Jasmin

RESPONSABLES

SECTION GÉNÉRALE : Marylaine Bouchard

SECTION DOSSIER : Brigitte Fortin

SECTION CHRONIQUES : Brigitte Campbell

COLLABORATRICES Raymonde Gagnon, Marise

Goudreault et Hélène Racine

PRODUCTION Association dbéducation

préscolaire du Québec

RÉVISION Michèle Jean

GRAPHISME Exit Communications /

Michel Guay

IMPRESSION Solisco Numérix

MERCI DESSINS Les enfants des classes

participantes à CorridbArt, ainsi que ceux des classes de Céline Guérette et Danielle

Jasmin.

MERCI PHOTOS Marylaine Bouchard, Karine

Boucher, Monica Boudreau, Hélène Bureau,

Danielle Jasmin, Mélanie Jasmin, Maude

Jasmin, Suzie Nadeau, Danielle Pelletier

et

Jacynthe Proulx.

Dépôt légal

Bibliothèque et Archives nationales

du

Québec

Bibliothèque nationale du Canada

ISSN 1925-1181

Imprimé au Québec, Canada

LbAÉPQ est un organisme à but non

lucratif qui vise à offrir des formations de qualité à ses membres et à fournir des outils aux enseignantes. De plus, elle agit comme un porte-parole actif et entendu auprès des organismes suivants MEESR

Syndicats (CSQ, FSE, FAE)

Universités

OMEP (Organisation mondiale pour

lbéducation préscolaire)

ACELF (Association canadienne des

enseignants de langue française)

Et différents autres organismes

fuvrant auprès de la petite enfance

CONSEIL D'ADMINISTRATION

Maryse Rondeau, PRÉSIDENTE

Danielle Goudreault, VICE-PRÉSIDENTE

Marylaine Bouchard, SECRÉTAIRE

Hélène Tremblay, TRÉSORIÈRE

Julie Bernard, ADMINISTRATRICE

Diane Cantin, ADMINISTRATRICE

Carolane Couture, ADMINISTRATRICE

Céline Guérette, ADMINISTRATRICE

Sarah Landry, ADMINISTRATRICE

Pourquoi être membre?

Devenir membre de l'AÉPQ vous permet

de faire partie dbune communauté de pratique qui sbintéresse à lbéducation préscolaire. En plus de pouvoir participer aux différentes activités organisées par lbassociation, vous pourrez échanger avec dbautres collègues, vous tenir informée et avoir la possibilité dbassister

à des formations.

Devenir membre, c'est s'engager à

participer aux décisions visant

à assurer aux enfants des

conditions de vie favorables à leur développement intégral ; vous interroger avec vos collègues sur ce qui pourrait améliorer le mieux-être des enfants vous ressourcer auprès dbintervenants de qualité à lbaffût des nouvelles découvertes concernant le monde de lbenfance.

PROCHAIN DOSSIER...

Dossier Différents milieux, différents déRs w w Les références bibliographiques de l'article Fonctions exécutives et réussite éducative

CIASlTISSAIlA.5U,n 3l3A/éSA.5t2IA/IA0

A U,S1A

75ISlAe,IAT3U. l3

Quelle excellente idée de se soucier du stress et de l'anxiété chez lbenfant de 5 ans! Eh oui, cbest une réalité qui nous touche de plus en plus en tant qubenseignante, malgré le fait que ces mots ne devraient normalement pas être associés à un enfant de cet âge. Pour ma part, par moment, je trouve cela un peu décourageant de constater à quel point lbemploi du temps de lbenfant dbaujourdbhui est extrêmement chargé. Je me rappelle avoir lu, il y a de cela 15 ans, un article à la garderie de mon Rls où on expliquait aux parents lbimportance de permettre aux enfants dbavoir des vacances. Malgré des textes comme celui-là, publiés pour les parents, et des interventions en garderie, la situation ne semble pas vouloir sbaméliorer. Que pouvons-nous faire pour contrer ce rythme effréné et améliorer les conditions de vie à travers lesquelles les enfants doivent évoluer ? Il y a tellement dbaspects sur lesquels nous nbavons aucun contrôle, je pense donc que pour éviter le découragement, il sbavère important de réEéchir à la question. Le tableau qui suit présente, selon moi, différentes facettes de la vie de lbenfant et précise ceux sur lesquelles nous nbavons qubun pouvoir dbinEuence ainsi que ceux sur lesquelles nous pouvons exercer un certain contrôle.

Contrôle

Pouvoir

dbinEuence

Mode de vie des parents

Organisation familiale

Transport scolaire

Service de garde

Heures passées devant

un

écran

Organisation de la journée

Choix des activités

Activités sportives

Jeux extérieurs

Ainsi, si nous voulons intervenir positivement sur la problématique du stress et de lbanxiété chez le jeune enfant, je crois que nous nous devons dbaccepter leur réalité avec sagesse et sensibilité.

Avec sagesse, puisque ne pouvant revenir en

arrière, il nous faut agir selon la réalité actuelle des enfants qui nous sont conRés. Ceux-ci arrivent souvent très tôt au service de garde; ils y restent souvent plus de 10 heures; ils ont à vivre plusieurs moments de transition et dbattente au cours de la journée; ils passent en général une grande partie de leur journée en groupe de plus de 15, avec diffé- rents adultes responsables et moult exigences. En regard de ce contexte, nous nous devons de nous questionner sur lborganisation de notre horaire, nos choix dbactivités, les activités sportives et les temps de jeux que nous offrons aux enfants. Avec sensibilité, puisque nous devons recevoir tous les enfants dans leurs souffrances, leur fatigue ou leurs découragements. Il nbest pas rare que des comportements inappropriés cachent un malêtre qubils sont dans lbimpossi- bilité de verbaliser. Nous devons donc parfois devenir leur porte-parole. Pour ma part, jbai maintes fois pu constater qubun simple engagement en ce sens fait souvent immédiatement diminuer le niveau de stress chez lbenfant et améliore son comportement en classe.

Pour toutes ces raisons, je crois essen-

tiel dbintervenir en tant qubenseignante et dbuser de notre pouvoir dbinEuence et de contrôle aRn de venir en aide aux enfants stressés et anxieux.

Pour nous appuyer dans nos interventions, nous

avons accès à plusieurs bons moyens adaptés à lbâge des enfants. Je crois aussi essentiel de poursuivre notre formation sur les sujets dbactualité aRn dbêtre mieux outillées pour agir avec professionnalisme et délicatesse auprès des gens qui gravitent autour de lbenfant, qubils soient parents, éducateurs ou directeurs. Cbest là un grand déR qui vaut la peine dbêtre relevé!

Présidente

fifl E

S L D"D AOCN

Des comportements

inappropriés cachent un malêtre qubils sont dans lbimpossibilité de verbaliser. fifl E

S L D"D AOCN

dT3S7E.U TIAuUS3IASeTA.ISATI7xIT7xISA

I,A,IeTES7 I,7IS

Chargée de cours, Université du Québec

à Trois-Rivières

Bien avant son entrée au préscolaire, l'élève de 5 ans est mis en contact avec les mathématiques par son environnement et ses interactions avec ses pairs. Grâce à celles-ci, il comprend lbimpor- tance dbun code commun pour pouvoir parler des nombres. "

Jbai 5 ans, cbest plus que toi qui en

a 4! » " Je suis plus grand que toi. » " Mon père est un vieillard, il a 30 ans! » Bien que lbélève construise ses représentations mathématiques par ses diverses expériences, il nben demeure pas moins que parfois il tombe dans des " pièges mathématiques 1

» qui sont le fruit de lbutilisation

de ses propres stratégies inefRcaces. Certains élèves trouveront le moyen de les contrer, mais pour dbautres, ce sera plus difRcile. Plusieurs recherches indiquent que les élèves ayant des difRcultés sont ceux chez qui les notions suivantes posent problème l'arithmétique élémentaire et les procédures de calcul (Geary, Hoard, et Bailey, 2012; Gersten,

Jordan et Flojo, 2005);

la lecture, la comparaison et la récitation d'une séquence de nombres, ainsi que le dénombre- ment (Landerl, Bevan et Butterworth, 2004); la manipulation de quantité de nombres (Rousselle et Noël, 2007); la subitisation de petites quantités numériques (Koontz et Berch, 1996). Ces constats sont préoccupants, puisque lbensemble de ces difRcultés sont en fait à lbétude dès le présco- laire. Une question se pose. Est-ce que lbapport des neurosciences au sein de la didactique des mathé- matiques pourrait être un atout pour lbenseignement de ces notions? La réponse semble afRrmative.

LbAPPORT DES RECHERCHES

EN NEUROSCIENCES

Plusieurs recherches issues des neurosciences ont

démontré lbimportance du sens des nombres (sens approximatif des nombres) qui permettrait la construction du nombre symbolique. Puis, éventuel- lement, celui-ci favoriserait lbacquisition du lien entre le nombre sous sa forme non symbolique (è è è è è) et sous sa forme symbolique (5) (Dehaene, 2011; Deshaies, Miron et Masson, 2015).

Toutefois, apprendre à lbécole nécessite

parfois dbêtre en mesure de bloquer des stratégies utilisées spontanément, mais qui peuvent sbavérer inappropriées dans certains contextes. En plus du sens des nombres et du lien qui existe entre le nombre sous sa forme non symbo- lique et symbolique, il est essentiel dbenseigner des stratégies dbinhibition aux élèves, et ce, dès le préscolaire (Deshaies et coll., 2015; Houdé et coll.,

2011; Lubin, Lanoë, Pineau et Rossi,

2012). Lbinhibition se déRnit comme

étant une forme de contrôle neuro-

cognitif et comportemental permet- tant aux enfants de résister aux habitudes, aux tentations, aux distractions, et de sbadapter aux situations complexes (Houdé et coll., 2011). Ce contrôle aide notamment les élèves dbâge présco- laire, par exemple lors de la tâche de conservation 1 Nous appellerons " pièges mathématiques » toutes les situations qui ne se font pas de façon intuitive chez lbélève, par exemple la tâche de conservation du nombre. La subitisation se déRnit comme la perception intuitive, rapide et innée des petites quantités (1 à 4), sans avoir recours aux stratégies de comptage.

Est-ce que lbapport

des neurosciences au sein de la didactique des mathématiques pourrait être un atout pour lbenseignement de ces notions? fifl E

S L D"D AOCN

prendre par la stratégie visuospatiale que la longueur de la distribution dbun ensemble inEuence le nombre (faire un " stop » aux stratégies inappro- priées) (par exemple : èèèèè est plus petit que

è; ce qui est faux).

Trois prérequis semblent donc essentiels pour

lbacquisition des notions mathématiques (voir

Fig. 1).

Puisqubaucune intervention ne vise actuellement

lbacquisition des trois prérequis décrits dans la Rgure

1 (Deshaies, Miron, Picard et Masson, 2017),

la création dbune telle intervention sbimpose.

UNE INTERVENTION MATHÉMATIQUE QUI

PERMET DE CONTRER LES "

PIÈGES »

Lbintervention créée respecte la philosophie du programme de formation et permet à lbélève de vivre des contextes dbapprentissage ludiques favorisant une réelle construction de sens. Lbintervention conçue est constituée de 20 missions (jeux) appuyées sur les recherches en didactique des mathématiques. Sa planiRcation repose sur les principes pédagogiques efRcaces issus des neurosciences

1. les notions mathématiques sont présentées

du simple au complexe;

2. la planiRcation inclut des rappels sur les

connaissances antérieures;

3. une rétroaction est systématiquement donnée

aux participants;

4. les activités proposées sont espacées dans

le temps.

Lbintervention est bâtie autour du

thème de détective. Ce dernier nbest pas très habile en mathématiques et demande lbappui des élèves pour réussir lbensemble des missions. Pour lbaider, les élèves devront vivre les missions : soit en groupe, en sous- groupe ou individuellement. Puis, lorsqubil y a présence de " pièges » dans la mission, un enseignement par inhibition leur sera offert.

Pour travailler la capacité dbinhiber

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