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Enjeux

théologiques -, d'un débat PhilosoPhique

Thèse

de doctorat en PhilosoPhie présentée et soutenue publiquement Pat

Jean-Ma'rie

IIARTÀ{ANN

Sous la direction de

Monsieur

Jean-Paul RESIVEBER

BIBLIOTHEOI'JE

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Emmanuel

TEVINAS

TDCTR,ODt'CTIODÛ

Tout peut-il être objet de philosophie ? sans doute, condition que quelque chose d'intelligent puisse 8e dire, pâE où brillerait I'une ou I'autre facette de 6on

être

. cependant , ,. tout " peut s I entendre de deux manières : soit co6me tttotalité", soit coçme trn'inPorte quoi". Bn fait, êD diSant l'un Doua dieons I'autre, et inversement.

Bn effet, à travers ce que Dous disons,

nous visons }a totalité elle-mêne. La Pensée PaaEe par le filtre de la totafité saDE cease se renouvelant i autant dire qu'elle signe le rapport êntre I'intellect et la volonté qui ont, dès lors, êlt conmun cette subtite différence par laquelle ce qui 8e dit a encore ae dire. Le propre de Ithonme se caract6riee ainsi par cette Etructure de transit. Elle ae laisse saisir dans

1'histoire des idéeE et offre de quoi "tirer un

fil" permettant de montrer gue la dialectique entre

I'intellect

et la volonté est le lieu d'un enjeu décisif : celui de la "situation" hunaine. Par où I'on verra que la notioD de "poiDt" eoDstitue une Eorte dra priori sur lequel I'accroche I I interrogatioD de I I homme. Du Point à I I ''Unf' , dans Cet eEPaCe Ou dans ce teops, comme on Youdra, la pensée e'étire au fil des

ôébata.

l{ircea

BIiadel, avec une Per6Picacité Peu co6mune,

Dontre

ce qui conatitue le ce3tre ôe I'exPérience rsligieuse.

8a f aneuee distinction entre le ttProf ane",

le monde guotidien qui s | écoule dans uDe tenPoralité on Cf , I-â 9aeé et 7e AEofatp, Paris, Gatlfunard, llRF, idées, 76, L972. ne peut plus banale, et le "gacré", cet autre nonde qui le pénètre pour lui conférer une profondeur, co.Dstitue l'élément de toute religion. Le sacré est cette dinension qui regarde vera I'origine absolue de toute vie pour régénérer la "pourrituret' Profane. Au niveau le plus primaire, avant toute réflexion, le uonde prend Eena, selon Eliade, Pât l'intermédiaire d'une rupture de l'homogénéité de l'espace et du tenps. La constitution d'un e6pace et d'un temps sacrés seuls réels, donne une consietance au restE du nonde. Ils sont ( le point fixe >2 de toute orientation future.

L'analyse

d' Bliade touche la fine Pointe de ce qutil faut considérer conme l'eeprit, ou plutôt, co qui manifeste qu'il v a de lresprit, c'eBt-à-ôire, au plus

élénrentaire,

cê qui n'est PaE "gimPlenent[ natière. Cette diesociation f onde l'hunranité de I'homme.

Originairenent

inapte, PUiEqu'il doit tout apPrendre c lfous naissons capables d'apprendre, naie De eachant De connaissant rien D3,disait Bousseau-, en tant qu'honne,a uDeapt itude caractéristique. ( L'homue, êrPlique Leroi-Gourhan, depuis aea premières formes jugqu'à la nôtre, a inauguré et développé la réflerion I c I est-à-dire l'aptitude

à traduire Par des siaboles, la réalité

natérielle ôu monde qui I I entourait D4. Ou I eet-ce à dire, ai ce n'est que l'bonme est houe à Partir du monent où if ntest pag trêDe" seulenent, avec la nature-

Op.Cit.

, p, 21. ROTSSEAU J.J. &tile an & L'Mretion, Paris, @mier-Flannariqt,

LL7, L990, p. 68.

LEROISIFHAII , LÊ reUgiae & lâ pCligtoirc, loc.cit par VÀRB{DE (de la) G., qùIiae è b grottg,in Iês, aesiers de l'histoite nFtétieuse, horg-série 13, 1993, 9. 42.r ien,

I'honDe,

2 3 1

Et cela d'une façon

qui englobe inextricableuent dénarche intellectuelle.poge queetion,

êD un EeDs qui

lrexplication religieuse et la

Lorsque I'art

des grands chas6êurs quaternaires apparalt au début du Paléolithique supérieur, vers 35000
ans avant notre ère, ( nous aavons que désormais

I'homne a accédé

aux régions les plus élevées de la spiritualité : recherche d'une explication religieuse ou nythique du nonde et représentation syrnbolique de ces conceptions t...1. lfe conaerver de l'objet réel que l'élément eaaentiel ou charger de aens un signe

élémentaire,

étranger au réel, témoigne dtune dénarehe intellectuelle aussi puissante que celle qui aboutLra, plus tard, à l'invention ôe 1'écriture D5. L'bomne est un être qui s'abstrait et recherche ce qu'il a perdu.

Dans cet écart

(non-Un) se ôécouvre le tenps bunain.

Le tenps

! l{ot de tout le monde; not accrocheur i not qui met à I'aise. Le ponpiste, lê coiffeur, lê vigneron, ces homnes et ce6 femmes qui font touraer leE rouages bruyants de la cité, tous et toutes l'évoquent conme un dieu de nulle part et de partout. Le tenPs Ee change. It met les couleurs ôu soleil aussi bien que celles du brouillard. Tout lui Ya. Il est le tenPs. Il eet le tenps aujourd'hui. Le tenps ae change, nais il ne change pas. Il est le teups (Iui règle le reEard des bunains, voire leura activités. Ce n'est PaE le tenps qui change, ctest "coD[gnt il est aujourd'hui." Il eet

ÀBEI,ÀNEI J., Sigzres

furrye aeeidentaJ.e,sans parcle 4ent siècles d'art nEnsfse en

Paris, Hadrstte,

1986, p. 16.

6 toujour6 préseDt, I | évoque, évoque,il D'existe pourtant Paa. Oui en réalité, certaiaenent PaB l'éterDel, nais "le stable". Le tenps couche les unes après les autres toute génération pour s'évanouir une fois son forfait acconpli. Le temps gui fait ei mal est insais iesable . I I n'y a pas de prise sur lui - lf e pouvant le prendre, il reEte à 6'en défaire. Se délivrer du tenps eEt uD travail 6ans doute auesi ancien que Ithumanité. Le temps qui s'entend tous les jours relève ainsi de la conjuration. ( Tout est uD flux continuel aur la terre D6, ae plaignait Rousaeau. De fait, lê temps, QUe nous croyons si nesuré, est en réalité une dénesure totale. Il dépasse quiconque le conaidère pour le laisser à aon néant. Le comparer à une crue est fortement indicateur de aa PuisBance ' mais tellement faibte au regard de chaque mort qui élève encore son débit. Plus fort qu'une crue, plus fort qu'une image, lê verbe de I'image donne un peu de sens au temps; nais un sens qui accentue, paradoxalement, soD absurdité. En effet, selon Charles Toubin, le nom ttcrue" viendrait du sanscrit ttruh, croltrg" avec prosthèse de c. com6e dans "creggere" qui en est aussi dérivé7.

Le tenps est, ainsi quelque choEe co6me une

croiaaaDce indéfinie aana uort aBsignable : Etable nïthique. l{ais, BpoDtanéuent, le bon sena dit "une chose après Itautrefr. Bt, ôe fait, deux événeuents qui De sont pas succeseifs soDt siaultanéE. Il est inpossibte d'évit,er I'uniôinension ôu teups. Le tenps a

ROUSEEAU

J.J., Lee râveties At pr.ollpilael'lr aeLiâite, Parig,

Le liwe

de poche, 1516, 1983, cinqriàre praende, P. 87. Cf . art. 6oit!e, in Dictiaetnire étyaelqiqae et eWliaetit de 7a Lan$e françise et aeécialqaent fu largpae PquLaire,Paris, [erou:<, 1886, g. 256.6 7 pour caractère de s'écouler. rl est continu. ceci est loin d'être anodin, puiEque se joue rà uD aspect du pasBage du t'lutbostr au trlogogtt, pour parler eomne

Dumezil.

Le caractère continu du tenps a ceci de

f ortement paradoxal qu'il s'i.npose pour dieparaitre aus.Êitôt.

En effet, le passé n'est plue, l'avenir nrest

pas encore et le présent est ôéjà paesé ou eDcore à venir. l{ais le temps s'aecroche rà où guelque chose de ce qui a fui subsiste; là où du passé demeure sous l'espace de la représentation et le tenps de la décision ,' êD d'autree termeE aoug la f orne de

I'intellect

et de la volonté. Nous devons à Aristote la position décisive de ee problème.

Hais, à partir du douzièrae siècle, ce

problème se transforne en débat. La epéculation chrétienne a rencontré l'aristotélisne, à deux reprises au moins, de façon essentielle. Àu cinquiène siècle, la question de "l'éternité du Dondef' poae aux pères un certain nombre de problènes. l{ais , c t egt surtout au treizièrne siècle que la doctrine d'Àristote, nêlée ôe néo-platonisme, Eê traasmet à la cbrétienté latine par

I'iatermédiaire

des Àrabes. Et, parai les problènres anciens, Eê dévoile un problène Douveau : celui de ( la connaissance

D8. Le débat qu I il provoque rarquera à

jamais la pensée occidentale; un débat par lequel

I'ouvre

la nodernité eD philosophie. rl coDaister ên aon fonô, eD I I iDcêssant et justenent problénatique I

Cf. TRESMOI{IANT C., La nétaphysique du chrietianisnenaissanee de Ja philosophie chrétienne, problènes deet de 7'anthropologie des origines à Saint Àuguetin,Seuil, 1961, p. 596.et la

7a créationParis,

passage du savoir à la vérité. En tant que tel, if est

évidenment

contemporain de I'intelligence qui se rationalise, mais ltistoriquement, il peut se laisser

Eaisir

selon une lecture qui constitue Iteseentiel de notre travail et qui aera conduit.e au travers de figures en débat.

Le monde

"prend consistance à partir de ce qui est pris pour la vérité. Du sacré au rationnel, cette structure demeure la nême, oais ce qui change, ou plutôt ce qui ae déplace, crest que le point d'ancrage de la vérité devient

I'individu. Là eDcore, Dous

pouvons dire que I'individu a toujoura su cette fonction, nais elle le dépassait pour définir une appartenance comnune. Àvec ce débat, I'appartenance conmune est ailleurs, dans des structures sociales qui ne sont évidennent pasaans lien avec notre problématique, mais qui ne I'intéreseent pas au premier chef . Parler de vérité, c t est parler, éninennrent, au douzième siècle du référent suprême, c 'est-à-dire du théologique. Et, if est vrai que ce débat eet inauguré par des théologiens. [on pâa, précisément, de tbéologi.ens gui, à la nanière grecque, Dê s I occupent que de la ûeste divine, uais de gen6 dont la

Bensibilité

est philoeophique. Dàa lors, 6' instaure uD entrelac du philosophique et du théologique qui ne cesaera draliuenter le débat. A cet entrelac répond l'intrication dee élénents conpoaites de cea deux registres.

Pour expliquer cela, diEona ainplement que

l'iotellect qui sait cgt égaleuent l'intellect qui croit. Il reste à chacun de repérer le loneat ôe sa t dénarcation,

Cela signifie tout ôe mêne qu' il faut,

néceeEaireneDt, une iatelligence de la foi, c'est-à- dire que la foi est paradoxaleuent nêtée de raison êt, certainement, que la raison est nêlée de foi, au noins celle, élénentaire, €D la vérité. Ceci dit, des

éléments

tels que les facultés, Dais au6Bi leurs nanifestations, conme, par exemple, le langage, nodifient leurs caractéristiques au coura de ce débat.

L'eÊprit

et ce qui B'articule avec lui restent nytérieux. Le parcoura de ce travail consiste, dans 6on développement,

à étudier cea tranefornations qui

définiront le champ du noderne et du poet-noderne en philosophie êt, par voie de conséquence, 6D théologie. Ces transfornations aboutissent à une thénatisation spécifique eui, en tant que telle, ôéfinit un après- moderne en étroite articulation avec .le moderne. Pour le dire vite, alors que le moderne eherche à dire ]a vérité et c'est en cela que conaiste 6on savoir , le poet-moderne découvre aon inpoeBibilité et le thématise aouB la forne d'ua reste ou dtun fond qui produit des effets de vérité. Constatant cela' nous serons alors gD nesure de renarquer gue BouB soDnes à la fin drun moDde qui D'en finit PaB de finir. La fin de ce nonde, c'egt la fin de la stabifitf qui n'en finit pas ôe ae stabiliser Eous la forne de la décision , c 'est-à-dire aous la forne raisonnable du point, autregent dit, ôu geul te[pg hautcneut hunain par lequel le réel I I | âtre I Dieu peuvent prendre AEDE. 10 tous retraceroga le cheminenent qui conduit à cette position. tous phénonénolog iqueinspirant hégélienne,de la dénarche noua mettronaenquotesdbs_dbs11.pdfusesText_17