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Le Valais, terre d'industrie Au cœur des Alpes, dans une nature su- Elle vous invite à découvrir le Valais matisation ou encore capteurs intelligents made in Valais équipent leurs véhicules à techniques pour l'industrie automobile gionale et le commerce d'électricité Le sortiments maison, ancres, balanciers,

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29 sept 2006 · La Foire du Valais, le rendez-vous automnal par excellence L'Alsace, autre invité cars, de transports, vit-elle la avions, véhicules militaires et engins de chantier, etc déo - monnaie proche 6 maison du 3e âge 7 situé - rivière grisonne 8 son directeur 9 on en a en commerce et de l'industrie

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saient pas ètre cles alpinistes éprouvés car l'un d'eux était seulement judice très grave à l'industrie valaisanne du Livre; demande si la Chambre de Commerce, la So- fut la recherche du véhicule à faible cylindrée Invitation cordiale

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En collaboration avec la Chambre valaisanne de commerce et d'industrie La pendularité nous importe dans l'étude de l'exode des compétences car elle est actuel, qui véhicule l'image d'un Valais « touristique », de montagnes et de traditions Sierre invite chaque deux ans des personnalités valaisannes menant leur 

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des cars postaux, pour la région de Sierre, Vercorin et le Val Ce travail destiné à la flotte de véhicules du transporteur local TSAR, a pour fournisseur de courant (Chambre Vaudoise du Commerce et de l'Industrie CVCI, 2015) Le canton du Valais et plus précisément le district de Sierre, est une zone particulièrement

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la Premiere du genre en Valais, doit être louée sans réserve, car elle enjolive la vie VALAISANS Sur l'initiative de la Chambre valaisanne de commerce qui, en sa qualité d'organisme central de l'éco du nou veau bâtiment, les invités purent visiter MÉCANIQUE - APPAREILS POUR L'INDUSTRIE CHIMIQUE - FUTS

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sur la question de la division du Valais en deux demi-cantons qu'il avait provoquée Dépôt de l'initiative présentée par la Chambre de commerce et d' industrie avec 4 Un car de l'entreprise biennoise Marti, qui transportait vingt- quatre passagers, L'Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg est l'invité vedette du 

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commerce et d'industrie LA CAISSE UNIQUE A l'issue de la partie officielle, membres et invités ont re- nique franco-suisse : Chambre de Métiers EN BREF et Le parc automobile valaisan représente près de 300 000 véhicules légers

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un véhicule de six mètres de long destiné au transport commerce et d'industrie, au même titre que tout nade de Martigny, «préparée par la maison du Saint- Bernard et le prieur de Mar- besoins En 1864, invités par l'évêché de scission du canton Les auto- rités fédérales envoient donc des délégués en Valais Mal

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élève à la dignité et au rang

dEtat souverain, membre du

Corps helvétique, reste sans au-

cune démonstration de joie publique et sans témoignage de reconnaissance envers la

Providence.»Pour le malheur du Haut-Valais

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Le Valais gardien des Alpes

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GUERRE

TEXTES: PIERRE MAYORAZ

Avant de devenir suisse, le Valais

connaît une période agitée. Les idées de la révolution française ga- gnent du terrain. Le Bas-Valais, francophone, commence à séman- ciper. En 1798, sollicitée par certains politiques helvétiques, la France envahit la Suisse et y cautionne la République helvétique, calquée sur le modèle français, qui dure du 12 avril 1798 au 10 mars 1803.

Le Valais lui est assujetti.

A ce moment-là, Napoléon sépare

le Valais de la Confédération et crée la République rhodanienne, en fait

un protectorat français. Il peut ainsi mieux contrôler les passages des Alpes. Il finira par annexer le Valais, devenu le département du Sim-plon, le 13 décembre 1810. Après le départ des Français en dé-cembre 1813, un gouvernement provisoire voit le jour sous le con-trôle de larmée autrichienne. Il pré-conise un retour à la situation économique et politique davant 1798, soit de la domination du Haut sur le Bas-Valais. Le Bas refuse cette restauration et envoie Char-les-Emmanuel de Rivaz à Zurich pour négocier avec la Confédéra-tion helvétique. Treize dizains

Le nombre de dizains est une des

pierres dachoppement. Les propo- sitions de découpage territorial va- rient entre dix, comme dans léphé- mère République du Valais de 1798, jusquà quinze selon une demande du Bas-Valais. Ce sera finalement treize.

Chaque dizain envoie quatre dépu-

tés à la Diète cantonale où quatre voix sont également attribuées à lévêque de Sion. Lacceptation de cette constitution convainc la Diète fédérale daccepter le Valais comme vingtième canton suisse.

FIN DUNE PÉRIODE AGITÉE POUR LE VALAIS

En 1814, les puissances coalisées

qui ont défait lempire français se réunissent au Congrès de Vienne.

Elles vont y décider du sort de

lEurope. La Suisse se déchire en querelles internes qui menacent son existence même. Les uns veulent le retour à lAncien Ré- gime, dautres saccrochent à lin- dépendance acquise en 1803, tous ou presque en espèrent des avantages personnels. Berne veut récupérer le canton de Vaud, les aristocrates, leurs privilèges.

Inquiètes dune situation qui ris-

que de voir la Suisse éclater, les

Puissances vont tout faire pour

maintenir cet Etat tampon au cœur de lEurope à leurs condi- tions. Les Helvètes sont montés dans la capitale autrichienne en ordre dispersé. Aucune stratégie commune mais des intérêts di- vergents défendus bec et ongles par des représentants cantonaux qui se méfient les uns des autres.

Une telle attitude fait le jeu de

Metternich et des hauts diploma-

tes des Etats vainqueurs. Ils ba- laient les revendications suisses, exigent laccueil de nouveaux cantons dont le Valais. La Diète fédérale ne peut quacquiescer et accepte le Pacte fédéral écrit à

Vienne. De cette époque date la

neutralité helvétique, une notion qui va évoluer au fil des années.

Larmée autrichienne en Valais

Cette neutralité ne marche que

dans un sens. Pas de Simplon pour Napoléon au retour de lîle dElbe en 1815. Mais autorisation de passage pour les troupes coa- lisées. 38 000 hommes (60 000 selon dautres sources) de lar- mée autrichienne passent par le

Simplon pour se rendre à Saint-

Maurice. Le rythme du mouve-

ment (110 kilomètres en deux jours) montre quil sagit dune promenade militaire, une marche forcée certes, mais sans ennemis.

En 1815, la route Napoléon, la plus

moderne des Hautes-Alpes, con- tribue à la chute de son créateur.

CONGRÈS

DE VIENNE

AUX ORDRES DES GRANDES PUISSANCES

Un mariage de raison

La fresque du souvenir

Les députés valaisans

ne peuvent oublier lentrée de leur canton dans la Confédération même aux heures sombres où lon bafoue le fédéralisme.

En effet, ils siègent devant

une fresque qui représente ce moment historique.

Le peintre de lécole

de Savièse Ernest Biéler y a représenté les deux délégués valaisans,

Michel Dufour et Leopold

de Sépibus, prêtant serment devant la Diète fédérale.

En arrière-plan, quelques

symboles fort du Valais, Valère et Tourbillon, Matthieu Schiner et Georges Supersaxo. Devant, le monde rural et traditionnel.

Cette fresque orne la salle

du Grand Conseil, au casino de Sion, depuis 1943.

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VENDREDI 5 DÉCEMBRE 2014

REPÈRES

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13 mai 1986 Le tabac a ses détracteurs au XIX

e siècle déjà. A cette époque, il prend un essor important dans toute lEurope notamment grâce à lapparition de la cigarette qui va entraîner les femmes dans la dépendance à la nicotine. Une grande amatrice de tabac et de coups de tabac, George Sand, va fé- miniser le mot "cigaret» qui désigne alors un peu de tabac roulé dans du papier. La cigarette va conquérir la postérité à des milliards dexem- plaires. Dès le début du XIX e siècle, les nouvelles manufactures de ta- bac séduisent les gouvernements qui y voient une source de revenus fiscaux. Les ligues bien-pensantes essaient bien de montrer les dan- gers du produit, cause selon elles de toutes sortes de maladies, menta- les la plupart du temps. Les descriptions des ouvriers des fabriques de tabac de lépoque donnent froid dans le dos. Les contempteurs de lherbe à Nicot du XXI e siècle nont rien inventé avec les images terrifiantes qui ornent certains pa- quets de cigarettes. En Valais, on chique plutôt ou on fume la pipe ou le cigare. La consommation de tabac touche essentiellement les hommes même si quelques femmes de la haute société prisent, sans doute pour imiter laristo- cratie française. Le nouvel Etat confédéré suit donc la vague. Le 13 mars 1816, elles signent un contrat avec Rodolphe Ehrsam et Paul Huguenin qui leur donne un droit exclusif sur la vente de tabac en Valais. Ils promettent aussi de construire une fabrique, la Ferme du Valais. Cette dernière sinstallera en 1822 dans des locaux de lancien hôpital de Sion. Service après-vente assuré.

La science valaisanne orpheline

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