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C'est pourquoi des certificats phytosanitaires et/ou le délintage à l'acide ( suppres- sion du duvet) de' la Voir figure 6 3), l'aptitude à former des bourgeons, la date de floraison Après récolte et dont : - Virgin D 97 89 85 ° MN 944 2 10 



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Naissance

d'un corps professionnel

L"école dessages-femmes

Collection " Perspectives historiques »

????Nathalie Sage Pranchère

Naissance

d'un corps professionnel

L"école dessages-femmes

Maquette et conception graphique

Mickaël Robert - PUFR

Mise en page

Christine Martin - PUFR

© Presses Universitaires François-Rabelais de Tours, ???? ??, rue du Plat d'Étain - BP ????? ????? Tours cedex ?, France http://pufr-editions.fr/

ISSN : ????-????

ISBN : ???-?-?????-???-?

Dépôt légal : ?

e semestre ???? À l'origine de ce livre, il y eut une thèse, et le ?? septembre ????, j'écrivais : " À l'issue de ce travail, toute ma gratitude va à Olivier Faron qui a su être présent à toutes les étapes essentielles de sa réalisation. Ma profonde reconnaissance va à Jean-Pierre Bardet qui a suivi cette recherche depuis le début et m'a toujours accompagnée de ses bienveillants conseils et ses judicieuses suggestions. Que les directrices et directeurs d'archives départementales et municipales que j'ai parcourues et leurs équipes trouvent ici l'expression de ma gratitude. Cette thèse est le fruit de leur parfait travail de conservation. Parmi eux, un merci tout particulier à Gaël Chenard, François Giustiniani, Marie-Adélaïde Zeyer, Stéphanie Roussel, Bruno Isbled, et Hugues Moreau. Pour leur aide précieuse au cours de ces années de recherche, pour leur écoute toujours attentive, pour l'intérêt qu'ils ont porté à ce sujet, mes remer- ciements vont à Christine Nougaret, François-Joseph Ruggiu, Nicolas Lyon- Caen, Catherine Rollet, Claire Fredj, Marie-France Morel, Françoise Vielliard,

Jean-Loup Lemaître.

Pour tout cela et pour leurs patientes relectures, je remercie Fabrice

Boudjaaba, Vincent Gourdon et Annliese Nef.

Pour son aide cartographique, merci à Timothée Le Moing. Pour avoir vécu jusqu'au bout cette thèse aussi intensément que moi et pour y avoir leur immense part, merci à mes parents. Merci à ma famille et à mes ami-e-s pour leur présence et leur soutien sans faille. Pour avoir partagé cette écriture depuis le premier jour, merci à Philippe

Büttgen. »

Les années ont passé, quelques patients relecteurs se sont ajoutés : merci à Jean-David Richaud, Isabelle Robin et Romain Telliez. Merci à la Société de l'École des Chartes et au Conseil national de l'Ordre des sages-femmes pour leur aide généreuse à la publication de cet ouvrage. Merci enfin aux Presses universitaires François-Rabelais d'accueillir ce tra- vail dans leurs collections.Remerciements

ADH Annales de démographie historique

Annales. ÉSC Annales. Économies. Sociétés. Civilisations AHRF Annales historiques de la Révolution française

AD Archives départementales

AM Archives municipales

AN Archives nationales

AP Archives parlementaires de ???? à ????

ARSS Actes de la recherche en sciences sociales

BAM Bibliothèque de l'Académie nationale de Médecine BSFHM Bulletin de la Société française d'histoire de la médecine CDIHÉRF Collection des documents inédits pour l'histoire économique de la Révolution française EDRES Enquêtes et documents relatifs à l'enseignement supérieur

HES Histoire, économie et société

RHMC Revue d'histoire moderne et contemporaine

RLRES Recueil des lois et règlements sur l'enseignement supérieur RD CG Rapports du préfet et procès-verbaux des délibérations du conseil général SRM Société Royale de MédecineAbréviations

Préface

? Jean-Pierre Bardet Professeur émérite à l'université Paris-Sorbonne Voilà un ouvrage important qui permet de saisir une entreprise vitale au coeur d'un changement historique qui bouleverse les structures antérieures à la Révolution. Cette histoire poursuit en même temps un effort entamé sous l'Ancien Régime. Le même esprit éclairé inspire les coordonnateurs de l'assis- tance publique de la Monarchie et des temps révolutionnaires. La publication du livre de Nathalie Sage Pranchère apporte une informa- tion importante, à vrai dire centrale, sur un personnel médical redéfini au ???e siècle, ce corps national des sages-femmes dont la constitution poursuit, institutionnalise et accroît les initiatives d'Ancien Régime si bien étudiées par Jacques Gélis qui a établi que, bien avant la Révolution, des médecins, des chirurgiens et des sages-femmes, encouragés par des administrateurs éclairés, se sont souciés de réduire les lourds risques de la naissance pour la mère et pour l'enfant. Ainsi ont été proposés en divers lieux des cours d'accouchement plus théoriques que pratiques car la plupart des femmes accouchaient alors à leur domicile. Ces enseignements avaient au moins le mérite d'informer les futures accoucheuses sur les gestes opportuns de la mise au monde, sur ceux à éviter, sur les rythmes à suivre et sur les accidents à prévoir. Ces formations souvent itinérantes ont mobilisé d'assez nombreuses volontaires soucieuses d'aider les parturientes. Sur le terrain, les résultats tels qu'on peut les mesurer ont été limités car les risques infectieux (dont je reparlerai plus loin) étaient ignorés. Malgré tout, ces enseignements ont contribué à améliorer notablement les conditions de la mise au monde et les gestes qui doivent l'accompagner. Assez curieusement, la poursuite de leurs efforts après ???? n'a pas été sys- tématiquement étudiée même si la bibliographie comporte des titres suggestifs et utiles, mais souvent monographiques. L'objectif de Nathalie Sage Pranchère n'était pas de revenir sur les accidents tragiques de la naissance bien connus

12? L'ÉCOLE DES SAGES-FEMMES. NAISSANCE D'UN CORPS PROFESSIONNEL

désormais par les travaux de démographie historique mais d'étudier la mise en place à l'échelle nationale d'un corps médical féminin consacré à l'accouche- ment. Point de départ de cette vaste enquête, sa belle thèse d'École des Chartes consacrée aux sages-femmes et aux accouchées du département de la Corrèze avait permis à l'auteure de vérifier la pertinence de ce thème de recherche, de bien cerner les pistes documentaires et de mettre au point une grille de lecture pour des sources immenses et dispersées. L'objectif est clair. Il s'agit de comprendre comment l'aide apportée aux femmes en couches, rarement professionnelle dans la société traditionnelle et en fait assez diversifiée, se transforme entre le milieu du ?????e siècle et le début du ??e, grâce à un effort coordonné, en une profession médicale, contri- buant au développement de la médecine, reconnue et somme toute efficace. Comment est-on passé de la matrone à l'agent médical ? Cette recherche sur la construction progressive d'une formation professionnelle comporte neuf cha- pitres, distribués de manière habile et rendant compte des difficultés et des dis- continuités de la documentation sans trahir la diversité des situations locales et des rythmes de modernisation. Ces différences interdisaient à la fois le plan chronologique qui aurait brisé les continuités et la description géographique plate qui aurait abouti à un fastidieux inventaire hors du temps. L'habile com- binaison des composants s'avère bien plus efficace car elle permet de mettre en valeur l'évolution des institutions et des discours tout en cernant l'ampleur des projets et des réalisations. L'analyse menée par l'auteure révèle les quali- tés acquises dans sa double formation d'archiviste paléographe et d'agrégée d'histoire et aussi un grand talent d'imagination, une véritable érudition et une extraordinaire intuition pour détecter les sources et les mettre en perspective. De la chronologie retenons deux dimensions : la relative rapidité de la déci- sion qui conduit à la constitution d'une profession médicale reconnue et la plus lente mise en place du réseau de ces nouveaux agents de santé qui exigeait des moyens, des formateurs et des candidates capables de s'adapter aux exigences de la formation. La loi du ?? ventôse an ?? (?? mars ????) sur l'exercice de la médecine complétée par l'arrêté du ?? prairial (? juin ????), textes fondateurs pour tout l'ordre médi- cal, réforment les corps existants et créent de toutes pièces un métier nouveau ou presque. Les sages-femmes étaient déjà présentes dans certains hôpitaux où elles étaient formées sous la houlette des maîtresses sages-femmes et de chirurgiens mais en nombre limité, la plupart des naissances se déroulant à domicile avec l'aide de " matrones » plus ou moins habiles, rarement sous la conduite d'un médecin ou d'un chirurgien. Il s'agissait en fait de bannir les actions dangereuses liées à l'ignorance de certaines intervenantes déjà dénoncées au ?????e siècle.

PRÉFACE ?13

La nouveauté résulte de la définition d'une nouvelle profession à l'échelle de toute la France, bel exemple de l'action de l'État unificateur issu de la Révolution. La définition du contenu des enseignements à prodiguer aux futures accou- cheuses et des lieux de formation donna lieu à bien des discussions. Ces débats illustrent l'esprit centralisateur des réformateurs : Paris est un instant envisagé comme unique lieu de formation comme disposant des meilleurs spécialistes et de l'énorme maternité de Port-Royal qui accueillait ? ??? accouchées chaque année et offrait évidemment un beau terrain d'ap- prentissage. Mais devant les réticences des autres départements, on finit par concéder le principe d'une formation locale dans les départements disposant de formateurs (chirurgiens et sages-femmes) et de maternités assez importantes pour offrir la possibilité d'un apprentissage pratique. Tous ne furent pas dotés d'école et, surtout, les centralisateurs imposèrent la reconnaissance de deux classes de sages-femmes - la première, la plus noble, nécessitant un séjour de formation à Paris, au départ tout au moins car, par la suite, les institutions habilitées à attribuer la première classe furent multipliées. L'enjeu avait un réel intérêt pour les bénéficiaires : seules les sages-femmes de première classe pou- vaient exercer dans un autre département que celui de leur formation, mais la distinction fut maintenue avec ses obligations de mobilité, de prestige et aussi d'honoraires pendant tout le ???e siècle et jusqu'en ????. La mise en place de la nouvelle formation fut à la fois rapide et assez uniforme dans son contenu. Autre preuve de la capacité unificatrice du nouveau régime. Au-delà de l'aspect institutionnel révélateur aussi de la volonté de l'État d'encadrer et d'unifier la formation des soignantes, il est intéressant de décou- vrir comment les programmes d'enseignement des sages-femmes ont évolué en lien avec les découvertes médicales (voir par exemple l'adoption immédiate des principes pastoriens et des méthodes antiseptiques destinées à éviter les infections souvent fatales) ce qui confirme que la greffe sur le corps médical avait parfaitement réussi, une greffe particulière qui créait un échelon inter- médiaire plus accessible mais compétent entre le médecin et l'accouchée, ce qui ne se passa pas de la même façon dans tous les pays. Ainsi se met en place une auxiliaire médicale qui se substitue aux matrones et autres accoucheuses traditionnelles. L'efficacité de leur savoir acquis dans des cours délivrés par des praticiens bien formés et des spécialistes de l'accouchement n'aboutit pas d'abord à des progrès très palpables, mais tout de même perceptibles, pen- dant les premières décennies du ???e siècle avant les découvertes pastoriennes, car la plupart des décès maternels étaient provoqués non par " choc » obsté- trical mais par des infections dont la pire était la fièvre puerpérale qui rava- geait périodiquement les maternités. Faute d'information et de précaution, les

14? L'ÉCOLE DES SAGES-FEMMES. NAISSANCE D'UN CORPS PROFESSIONNEL

sages-femmes contribuaient parfois à la diffuser involontairement. Longtemps l'accouchement à domicile fut moins dangereux qu'à hôpital car partiellement à l'abri de ces intrusions microbiennes. À partir de Pasteur, la situation se retourna évidemment. La croissance progressive des effectifs d'accoucheuses diplômées aboutit à mettre à la disposition des futures mères une sage-femme pour moins de ? ??? habitants, contribuant ainsi à la médicalisation des naissances villa- geoises. Cela ne veut pas dire que les auxiliaires traditionnelles des mères aient toutes disparu, il en subsistait assurément malgré les menaces assez théoriques de poursuites pour exercice illégal du métier, mais la présence des accoucheuses professionnelles était rassurante, contribuait à la diffusion des gestes efficaces quand elles n'opéraient pas elles-mêmes, ce qui s'est assez vite généralisé. Ainsi émerge peu à peu un agent médical nouveau à côté des médecins et des officiers de santé dont le profil est bien tracé dans ce livre. Par ses origines sou- vent modestes, ses attaches locales, la sage-femme est une soignante présente et

appréciée et une intermédiaire précieuse avec les médecins. Son rôle ne s'arrête

pas à l'accouchement, elle est consultée en cours de grossesse et conseille les mères et les femmes enceintes. Ces quelques réflexions préalables sont destinées à inciter à la lecture de ce livre qui me paraît constituer un modèle pour l'histoire sociale. J'ai évoqué les qualités érudites de son auteure, je voudrais aussi souligner la richesse de sa documentation : bibliographie exemplaire, évocation passion- nante des sources qui décrit une lecture minutieuse des textes réglementaires et plus impressionnante encore une plongée abyssale dans les sources dépar- tementales pour la collecte des documents de la série " M » et une exploration des archives communales. Dans le cadre d'une enquête nationale, il est facile d'imaginer l'inlassable patience qu'exige une telle investigation. On ne sait ce qu'il faut le plus admirer : l'immensité de cet effort documentaire ou la capacité du chercheur à le doser. Ce qui est clair - et c'est important - c'est que cette érudition n'est pas pesante, simplement convaincante. Parmi les pièces justificatives, le lecteur appréciera le tableau départemental des formations obstétricales qui permet de suivre pas à pas la mise en place des écoles de sages-femmes. Il découvrira aussi avec intérêt la bibliographie des publications des sages-femmes qui contribue à nous convaincre du sérieux de la formation de ces obstétriciennes. Le cheminement adopté par Nathalie Sage Pranchère est très habile. Il accorde beaucoup de place aux débats qui ont surgi avant et pendant la mise en place de ce corps national des sages-femmes : ils sont révélateurs des idées, parfois antagonistes, que se font administrateurs et médecins sur l'importance

PRÉFACE ?15

et les risques de la naissance, sur le rôle des femmes dans la médecine, sur l'orga- nisation et le contenu des enseignements destinés à des intermédiaires médi- cales, sur leur rapport aux initiatives d'Ancien Régime entre admiration et cri- tique, sur l'esprit nouveau qui conduit à cette vaste construction marquée par les Lumières, empreinte d'un souci démographique et freinée par la nécessité de ménager les finances de l'État. Tous les acteurs en jeu sont décrits avec finesse et le souci de cerner les antagonismes, les enjeux de pouvoir des uns et des autres. Ce livre est ainsi une invitation à mieux connaître les parcours des profes- seurs et des élèves même si l'approche sociale est nécessairement générale. En réalité un tel ouvrage ouvre des pistes en apportant une synthèse solide qui permet de poursuivre l'approche anthropologique des groupes et des individus, au coeur des interrogations des historiens.

Introduction

En novembre ????, les sages-femmes françaises descendaient massivement dans la rue. S'ouvrait alors une année de grèves et de manifestations pour être reconnues comme le " praticien de premier recours » dans le suivi gynécolo- gique et obstétrical des femmes. La légitimité de ce rôle d'accompagnement, dont les sages-femmes déploraient et déplorent encore l'insuffisante reconnais- sance, a pourtant été affirmée il y a plus de deux siècles, lorsqu'elles sont deve- nues les agents " à la française » d'une politique d'encadrement de la naissance et de réduction des mortalités maternelle et infantile. La sage-femme s'invente au tournant des ?????e et ???e siècles. Avec ses devancières, elle a en commun la fonction de " lever les enfants » mais à la différence de l'immense majorité d'entre elles, pour exercer cette fonction, elle doit désormais s'instruire aux sources d'un savoir médical sur la naissance. La formation obstétricale est devenue en un quart de siècle le seul point d'entréequotesdbs_dbs4.pdfusesText_8