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INTRODUCTION
iUN DROIT DE L'EAU
PLUS VERTfi:
Gérer les ressources en eau douce pour les hommes et l'environnementUN DROIT DE L'EAU PLUS VERT
iiUN DROIT DE L'EAU PLUS VERT : Gérer les ressources en eau douce pour les hommes et l'environnement
ISBN :
978-92-807-3206-1
Référence : DEL/1441/NA
Produit par le PNUE - Division du Droit de l'Environnement et des Conventions (DELC)Directeur de publication : Bakary Kante
Coordination du projet : Arnold Kreilhuber
Traduction française : Catherine Giraud-Kinley
Crédits photographiques : Tableau de Putthanun Mingmalairuk, Thaïlande, quatrième prix du XVème concours
international de peinture sur l'environnement pour les jeunes (TUNZA) du PNUEConception couverture, maquette et mise en page : Jennifer Odallo, UNON/Publishing Section Services/Nairobi
Imprimé par UNON/Publishing Section Services/Nairobi - ISO 14001 :2004-certifiedLe contenu de cette publication ne reflète pas nécessairement les décisions ou la politique officielle du PNUE, ni
celles des organisations ou individus qui ont apporté leur contribution au présent ouvrage.Cette publication peut être reproduite en totalité ou en partie sous une forme quelconque à des fins éducatives
ou non lucratives sans l'autorisation préalable du détenteur des droits d'auteur, à condition qu'il soit fait
mention de la source. Le PNUE souhaite recevoir un exemplaire de toute publication utilisant le présent ouvrage
comme source. Tous les sites et liens internet ont été vérifiés au mois d'aout 2010.REMERCIEMENTS
iiiRemerciements
L a présente publication a été réalisée par la Division du droit environnemental et des conventions du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), encollaboration avec le Projet de droit international de l'eau. Elle a été rédigée et éditée
par M. Gabriel Eckstein, Professeur de droit à l'Université de Wesleyan, Texas, et Directeur du
Projet de droit international de l'eau. D'autre part, M. Stefano Burchi, Président du Conseil exécutif de l'Association internationale du droit de l'eau, Mme Maaria Curlier, Directrice du développement du Groupe de recherche sur la conservation des ressources aquatiques et M. Richard Kyle Paisley, Professeur et Directeur de l'Initiative mondiale de recherche sur leseaux transfrontières à l'Université de la Colombie-Britannique, ont apporté une contribution
et fait des suggestions importantes concernant le projet de texte. Le PNUE se félicite également de la contribution de l'UNESCO-PHI 1 dans le cadre de l'examenet de la finalisation de la publication, tout particulièrement la contribution et les améliorations
apportées par Mme Raya Stephan, spécialiste du droit de l'eau au sein de l'UNESCO-PHI, au projet
de texte. Mme Lara Ognibene et M. Arnold Kreilhuber, responsables juridiques au sein de la Division du droit environnemental et des conventions du PNUE, ont entrepris et supervisé un ultime examen critique et une consolidation du projet de texte. MmeSarah Muchiri a fourni un appui
administratif et des services de secrétariat. 1" L'UNESCO - Programme hydrologique international » est le programme scientifique international de l'UNESCO dans
le domaine de la recherche sur l'eau, la gestion des ressources en eau, et l'éducation et le renforcement des capacités
en la matière.UN DROIT DE L'EAU PLUS VERT
ivListe des acronymes
AMEAccords multilatéraux sur l'environnement
CCNUCC
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques CDAA Communauté de développement de l'Afrique australe CDBConvention sur la diversité biologique
CDICommission du droit international
CEE-ONU
Commission économique des Nations Unies pour l'Europe CMS Convention sur la conservation des espèces migratrices CNULD Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification DALYAnnées de vie ajustées sur l'incapacité
DCEDirective-cadre sur l'eau
EIAEtude d'impact sur l'environnement
IDIInstitut de droit international
IGRAC Centre international d'évaluation des ressources en eaux souterraines MDG Objectifs du Millénaire pour le développement OMSOrganisation mondiale de la Santé
ONU-HABITAT
Programme des Nations Unies pour les établissements humains PNUEProgramme des Nations Unies pour l'environnement
POPPolluants organiques persistants
UNESCO-PHI
Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture - Programme hydrologique international
TABLE DES MATIèRES
vTable des matières
Remerciements
Liste des acronymes
Avant-propos
Résumé analytique
Introduction
Chapitre 1 : L'eau en crise : des hommes et de l'environnement Chapitre 2 : Les fondements d'un droit de l'eau plus vertChapitre 3 : L'intégration des considérations environnementales dans le droit international de l'eau ....31
1.Utilisation équitable et raisonnable ........................................................................
......................34 2.Obligation de ne pas causer de dommages significatifs ...............................................................38
3.Prévention et réduction de la pollution ........................................................................
................41 4.Évaluation de l'impact sur l'environnement ........................................................................
.........47 5.Protection des écosystèmes ........................................................................
....................................50 6.Débit réservé ou écologique minimum ........................................................................
.................55 7.La situation particulière des aquifères transfrontières ..................................................................57
8. Études de cas :........................................................................ i) Le Protocole révisé sur les cours d'eau partagés dans la Communauté de développement de l'Afrique australe ......................................60 ii)Le droit des aquifères transfrontières ........................................................................
...........62 iii)La Convention de 1992 sur la protection et l'utilisation des cours d'eau transfrontières et des lacs internationaux ........................................................................
.................................68Chapitre 4 : L'intégration des considérations environnementales dans le droit interne de l'eau .............. 71
1.Critères environnementaux applicables aux permis et licences relatifs à l'eau ..................74
2.Prévention et réduction de la pollution ........................................................................
.......77 3.Évaluation de l'impact sur l'environnement........................................................................
80UN DROIT DE L'EAU PLUS VERT
vi 4.Établissement de priorités en matière de distribution d'eau à des fins écologiques ..........82
5.Débits réservés ou écologiques minimums ........................................................................
..84 6. Eaux réservées ........................................................................ 7. Réglementation du captage des eaux souterraines pour assurer la viabilité desécosystèmes qui en dépendent
......................89 8.Le commerce des droits d'eau ........................................................................
.......................92 9.Le paiement des services écosystémiques ou écologiques ...................................................94
10.Les aires et zones d'eau protégées ........................................................................
.................96 11.Une perspective environnementale générale .......................................................................98
Conclusions
AVANT-PROPOS
viiAvant-propos
L 'un des principaux défis auquel sont confrontés de nombreux gouvernements, communautés et entreprises aujourd'hui est de trouver les moyens d'assurer une gestion plus écologique des ressources en eau douce, afin de répondre aux besoins d'une population mondiale croissante, tout en assurant un approvisionnement en eau de 'l'infrastructure écologique', qui fournit elle-même souvent les ressources en eau. Les ressources en eau douce figurent parmi les onzesecteurs traités dans le cadre de l'Initiative sur l'économie verte du PNUE, qui sont considérés
comme fondamentaux pour parvenir à des économies efficaces sur le plan de l'utilisation des ressources au 21ème
siècle, dans l'optique du développement durable. Ces secteurs sont égalementau cur de l'initiative sur l'Economie des écosystèmes et de la biodiversité (TEEB), qui est menée
par le PNUE et complète les travaux sur l'économie verte. Il est essentiel de modifier en profondeur les lois et les politiques publiques pour tenir comptedes multiples avantages procurés par une gestion plus intelligente des ressources en eau douce, afin
de relever les défis actuels et tirer parti des opportunités offertes. La présente publication, Un droit de l'eau plus vert : gérer les ressources en eau douce pour les hommes et l'environnement , donne de nombreux exemples trouvés aux niveaux national et international, qui pourraient être reproduits. La Loi sur les ressources en eau en Namibie exige de prendre en compte l'impact sur l'environnement dans les demandes d'autorisation de captage d'eau et de rejet d'effluents. Cetteloi donne aussi compétence au ministre de l'eau pour imposer des 'rendements d'eau sûrs' lorsqu'il
détermine les conditions d'utilisation des aquifères. La Loi sur les ressources en eau au Paraguay établit une hiérarchie entre les besoins en eau,plaçant les besoins en eau des écosystèmes aquatiques en deuxième position, juste derrière les
besoins en eau des êtres humains, mais devant les besoins en eau à des fins agricoles, de production
d'électricité et d'utilisation industrielle. Dans l'Etat de Californie, le Directeur chargé de la gestion des poissons et du gibier de l'Etatdoit prescrire des exigences en matière de débits d'eau, afin d'assurer la viabilité des poissons et de
la faune sauvage. La Loi sur la protection de l'eau en Suisse prévoit des objectifs chiffrés de protection del'eau et des débits minimums pour différents taux de débit moyen, compte tenu de la fonction
géographique et écologique des masses d'eau.UN DROIT DE L'EAU PLUS VERT
viii Le Code de l'eau en Arménie met en avant la protection des écosystèmes aquatiques et traite des besoins actuels et futurs de la population en eau potable.Le Costa Rica prévoit, dans sa législation sur l'eau, des paiements obligatoires pour les services
rendus par les écosystèmes. La mesure dans laquelle six milliards de personnes, actuellement, et plus de neuf milliardsde personnes, d'ici à 2050, pourront prospérer, mais aussi survivre, dépendra en grande partie
de la façon dont les ressources en eau douce seront gérées au cours des prochaines années et des
prochaines décennies. Un droit de l'eau plus vert constitue, à de nombreux égards, le premier pas
pour parvenir à ces objectifs essentiels et véritablement urgents.Achim Steiner
Directeur exécutif
Programme des Nations Unies pour l'environnement
RÉSUMÉ ANALYTIQUE
ix La présente publication 'Un droit de l'eau plus vert : gérer les ressources en eau douce pour les hommes et l'environnement' examine le concept et les avantages procurés par un droit de l'eau plus vert, en présentant et en évaluant différents mécanismes juridiques, procéduraux et de politique générale, aux niveaux national et international, qui permettent de renforcer le statut et l'importance accordés aux préoccupations environnementales par rapport aux autres intérêts concurrents de la société et d'harmoniser les besoins en eau des hommes et de l'environnement.Résumé analytique
L 'un des principaux défis auquel sont confrontés les pays aujourd'hui est de trouver les moyens de s'assurer que les hommes et l'environnement disposent de ressources en eau douce suffisantes pour maintenir et appuyer leur existence. Dans de nombreuses parties du monde, les populations et le milieu naturel sont en concurrence pour s'approprier des ressources en eau douce qui s'épuisent, au détriment des deux. La plupart du temps, cependant, l'approvisionnement du milieu naturel en eau potable n'est pas considéré commeprioritaire dans les pratiques de gestion de l'eau, ce qui entraîne des conséquences graves pour
le milieu naturel, en particulier le milieu aquatique. L'eau est une composante inséparable de la vie, que ce soit la vie humaine ou celle du milieunaturel. Elle crée une relation fondée sur un cycle hydrologique complexe et sur l'interdépendance
de toutes les formes de vie sur Terre. Lorsque les ressources en eau se détériorent, ceci peut avoir un impact sur chaque forme de vie, y compris la vie humaine. L'enjeu consiste donc à surmonter le problème de concurrence et à trouver les moyens d'harmoniser les besoins en eau des hommes et de l'environnement.Potentiellement, le moyen le plus efficace
pour parvenir à une harmonisation est d'intégrer les préoccupations environnementales dans les lois et les politiques nationales et internationales relatives à l'eau. Le but d'une telle intégrationest de veiller à ce que les besoins en eau des hommes et de l'environnement soient considérés
ensemble et à ce qu'un équilibre soit trouvé entre les deux, afin de favoriser l'utilisation durable des
ressources en eau douce, tout en préservant l'intégrité des écosystèmes. La présente publication 'Un droit de l'eau plus vert : gérer les ressources en eau douce pour leshommes et l'environnement' examine le concept et les avantages procurés par un droit de l'eau plus
vert, en présentant et en évaluant différents mécanismes juridiques, procéduraux et de politique
générale, aux niveaux national et international, qui permettent de renforcer le statut et l'importance
accordés aux préoccupations environnementales par rapport aux autres intérêts concurrents de la
société et d'harmoniser les besoins en eau des hommes et de l'environnement.Un droit de l'eau plus vert constitue une démarche à la fois théorique et pratique visant à
moderniser les régimes juridiques applicables à la gestion et à la distribution des ressources en eau.
Cette démarche est fondée sur une reconnaissance du principe selon lequel la vie et le bien-être des
hommes et de l'environnement sont interconnectés, voire interdépendants, et que la coordination
des besoins de ces deux parties prenantes dépendantes de l'eau permettra d'assurer une utilisation
durable des ressources en eau au profit des deux. Cette démarche est aussi fondée sur l'idée selon
UN DROIT DE L'EAU PLUS VERT
x Les écosystèmes d'eau douce et les services rendus par ces écosystèmes ont connu une détérioration rapide et considérable au cours des 50 dernières années, en raison d'une surexploitation, d'une pollution et d'autres activités humaines. laquelle en assurant un approvisionnement suffisant en eau potable au profit de l'environnement,des communautés et des pays, la condition humaine peut être améliorée grâce à une amélioration de
la santé, une exploitation des ressources plus viable et un développement économique plus durable.
Les avantages procurés par une intégration des considérations environnementales au niveau national dans le cadre d'un droit de l'eau plus vert sont nombreux, allant des avantageséconomiques, sociaux et liés à la santé, à des avantages écologiques évidents. Par ailleurs, la capacité
des pays à mettre en place des lois sur l'eau plus vertes est essentielle pour parvenir aux objectifs
et s'acquitter des obligations prévus au titre d'accords internationaux et d'agendas politiques
généraux, tels qu'énoncés dans les Objectifs du Millénaire pour le développement et les accords
multilatéraux sur l'environnement.Les écosystèmes d'eau douce et les services rendus par ces écosystèmes ont connu une
détérioration rapide et considérable au cours des 50 dernières années, en raison d'une surexploitation,
d'une pollution et d'autres activités humaines. Ceci étant dit, il est de plus en plus souvent démontré
qu'un milieu aquatique en bon état procure des avantages aux populations et aux pays, dans tous les aspects de leur vie, y compris sur le plan économique. Près de 1,8 millions d'enfants de moinsde cinq ans meurent chaque année d'une maladie diarrhéique (comme le choléra, la typhoïde et
la dysenterie) liée au manque d'eau potable et de services d'assainissement de base. La pollution de l'eau limite également la capacité des zones humides à fournir des avantages importants sur le plan esthétique, éducatif, culturel et spirituel, ainsi qu'un grand nombre d'opportunités sur le plan récréatif et touristique. Il existe de nombreux exemples montrant que la valeur économique des zones humides laissées intactesest supérieure à celle des zones humides converties ou modifiées. Il est donc évident qu'un milieu
naturel en bon état est essentiel, non seulement pour préserver l'intégrité des espèces, des habitats
et d'autres composantes du milieu naturel, mais aussi, pour assurer la viabilité et le progrès continu
des êtres humains.Le droit international de l'eau a évolué au-delà de ses origines centrées sur les hommes et sur
le commerce, pour s'étendre aux questions relatives à la protection de l'environnement. Il est bien
reconnu au niveau international qu'une coopération entre les pays est essentielle, non seulementpour assurer une gestion écologiquement rationnelle des ressources en eau douce qui traversent les
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