10 déc 2014 · autres domaines artistiques, une industrie Bien que l'opulent Kinloch Castle, qui servit de maison Edwardien, Sir Georges Bullough, qui a laissé municipales de juin dernier qui 2015 par les autres (Birmanie, Cam- signés à résidence, ont annoncé leurs familles sand (Le Monde du 20 mars)
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[PDF] Broder la pornographie À la recherche dun désir féminin - CORE
14 jan 2020 · TROISIÈME PARTIE : LA BRODERIE, ENTRE MATRIMOINE ET ART CONTEMPORAIN 2 Du 27 mai 2009 au 21 février 2011 au Centre Georges Pompidou de la revue Économie et statistique n°478-479-480 le 29 octobre 2015 ton petit à la musique de Chopin, je pensais : Ne cherche pas trop loin
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10 déc 2014 · autres domaines artistiques, une industrie Bien que l'opulent Kinloch Castle, qui servit de maison Edwardien, Sir Georges Bullough, qui a laissé municipales de juin dernier qui 2015 par les autres (Birmanie, Cam- signés à résidence, ont annoncé leurs familles sand (Le Monde du 20 mars)
pdf RESIDENCE ARTISTIQUE GEORGE SAND – FRÉDÉRIC CHOPIN
George Sand – Frédéric Chopin propose des séjours de 8 semaines à des artistes de disciplines diverses (littérature musique arts plastiques spectacle vivant arts des médias) au Château de Genshagen non loin de Berlin Trilatéral le programme prévoit que trois artistes allemand(e)s français(e)s polonais(e)s (un[e] par pays
RESIDENCE ARTISTIQUE GEORGE SAND FRÉDÉRIC CHOPIN
Le programme de Résidence artistique George Sand – Frédéric Chopin propose des séjours de 8 semaines à des artistes de disciplines diverses (littérature musique arts plastiques spectacle vivant arts des médias) au Château de Genshagen non loin de Berlin Trilatéral le programme prévoit que
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![[PDF] Dominic Yugo - BNP [PDF] Dominic Yugo - BNP](https://pdfprof.com/Listes/21/9100-21lm991130.pdf.pdf.jpg)
LeMondeJob: WMQ3011--0001-0 WAS LMQ3011-1 Op.: XX Rev.: 29-11-99 T.: 11:20 S.: 111,06-Cmp.:29,11, Base : LMQPAG 44Fap: 100 N
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aCrïer, en Europe, son entreprise aEmploi : 12 pages d'annonces classïes 55e
ANNÖE ± N
o17058 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÖTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÖRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMARDI 30 NOVEMBRE 1999Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.www.lemonde.fr
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busyInternational............. 2
France.......................... 8
R•gions........................13
Carnet...........................14
Horizons......................15
Entreprises................. 20
Communication........ 22
Tableau de bord........ 23Aujourd'hui................ 26M•t•orologie............. 29
Jeux............................... 29
Immobilier/annonces30
Culture ......................... 31
Guide culturel............ 33
Kiosque........................ 34
Abonnements............ 34
Radio-T•l•vision....... 35
Les artistes n'ont pas
peur des critiquesLES ARTISTES n'ont rien à
craindre de la critique. Ils connaissent la phrase deCézanne : " Quand on sait faire,
ça ®nit toujours par se savoir. »
Est-il donc bien utile d'aligner
quelques banalités sur ce vieux couple " créateur/critique », souvent en con¯it, parfois en symbiose, voire dans l'emballe- ment lyrique ou dans l'effusion, couple promis à traverser des tempêtes, mais appelé à durer tant que la marchandise ± et les systèmes de promotion qu'elle suscite ± n'aura pas totalement remplacé la création ?On pensait que non. On
connaissait la chanson : à chaqueépoque, les créateurs novateurs
sont " assassinés » par la critique conventionnelle et défendus par quelques illuminés. Le divertisse- ment ± le produit culturel, dit-on aujourd'hui ± est d'emblée aimé par le public et encensé par ceux qui pensent que " le public d'uneépoque a toujours raison » (alors
adieu Manet, Proust, Joyce, Stra- vinski, Fassbinder et les autres).Faut-il encore rappeler que les
®lms de Jean-Luc Godard ne
sortent que dans quelques salles, qu'Aragon, entre 1926 et 1945, avait vendu environ 1500 exem-plaires du Paysan de Paris ou que, plus près de nous, le premier roman de l'Américaine Toni Mor- rison, aujourd'hui Prix Nobel de littérature, n'a pas dépassé 500 exemplaires ? On s'imaginait qu'il n'y avait rien à ajouter à une affaire que seule juge la posté- rité : qui, au bout du compte, a eu raison ? Qui a su le premier défendre Baudelaire tandis que la majorité des journalistes por- taient aux nues des gens dont les noms sont déjà oubliés ?Mais voici que, ®n de siècle
oblige, des créateurs ont un " malaise » face à la critique. Un malaise collectif qui les conduit à publier un très long texte (LeMonde du 25 novembre) en
forme de manifeste contre les " dérives actuelles ». Ces créa- teurs ne sont ni musiciens, ni plasticiens, ni écrivains. Ils sont cinéastes. Leur art s'exerce dans un domaine qui est, plus que les autres domaines artistiques, une industrie nécessitant l'engage- ment de sommes d'argent consi- dérables. Ce détail n'est peut-être pas négligeable.
Josyane Savigneau
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P. ROBERT/CORBIS/SYGMA
L'île de Rhum préfère le whisky et cherche des habitantsLONDRES
de notre correspondantLe ciel n'y est pas toujours bleu, le ferry qui
l'approvisionne n'est pas toujours l'heure, mais la tranquillit• et l'extraordinaire beaut• du site compensent, þ combien, ces petits d•sagr•ments. Oyez, oyez, citadins fatigu•s, H•brides, recherche r•sidents. Touristes et amateurs de bronzette s'abstenir. Le projet duScottish Natural Heritage (SNH, propri•taire
du lieu) n'est pas de multiplier les visiteurs occasionnels, d•j nombreux dans ce paradis botanique d'un millier d'hectares, mais bel et bien de faire progressivement passer sa popu- lation permanente de trente habitants actuel- lement une cinquantaine. " L'idée,expliqueDoreen Jones, la fonctionnaire •cossaise en
charge du projet Edimbourg, est de dévelop- per une vraie population, mixte et viable, qui ne soit pas exclusivement constituée, comme aujourd'hui, d'employés du SNH. »Sises une cinquantaine de kilom˜tres
l'ouest de la cþte •cossaise, dans les H•brides dites " int•rieures », les collines bois•es de Rhum, o le whisky coule d'ailleurs plussouvent dans les gorges que l'eau de vie de canne sucre des Antilles, •taient plus connues, jusqu' ce jour, sous l'appellation ment class•e " int•r-t scienti®que sp•cial », o cohabitent encore des nich•es d'aigles dor•s, quelques centaines de daims roux, des trou- peaux de ch˜vres sauvages et au moins cent mille puf®ns, ces gros palmip˜des de haute mer au plumage cendr• qui nichent sous terre, s•v˜rement r•glement•.Bien que l'opulent Kinloch Castle, qui servit
de maison de convalescence aux soldats de la guerre des Boers au d•but du si˜cle, ait •t• transform• en hþtel de luxe ± le seul du lieu ±, nul ne peut y passer la nuit sans autorisation pr•alable. Jadis propri•t• du riche " landlord » Edwardien, Sir Georges Bullough, qui a laiss• sur place et sa m•moire un •trange mauso- ± l'origine de cette appellation se perd dans la nuit des temps ± comptait encore plus de quatre cents habitants au tournant du si˜cle. L'an dernier, la population •tait tomb•e dix- neuf "mes, dont un seul enfant pour l'•coleprimaire. Aujourd'hui, ils sont sept et ils esp˜rent de nouveaux camarades de jeu. Les candidats l'immigration doivent cependant savoir qu'ils ne pourront pas acheter la terre repeupler. Nouvellement autonome vis--vis de Londres, le gouvernement •cossais •tu- diera, en fonction de la demande, le type d'habitation qui sera •di®•.Les amateurs, plus riches de paix, d'harmo-
nie et de beaut•, peuvent toujours se tourner vers les agences immobili˜res d'Edimbourg dont certaines proposent parfois la vente des au sud de Rhum. D•pourvue d'arbres mais o se concocte le meilleur whisky d'Ecosse,Texa et ses 57 hectares de rocaille mousseuse a
•t• mise sur le march• pour 1,2 million de francs seulement. Pour cette somme, l'heureux acheteur h•rite d'une ruine de vieille chapelle, d'un d•barcad˜re priv• et d'un petit cottage dot• d'une seule chambre, mais avec l'auto- risation garantie de pouvoir s'agrandir. Promis jur•, aucun voisin ne se plaindra...Patrice Claude
Nouvelle formule
Le Figaro a adoptï, lundi, une nouvelle
formule aAEn d'enrayer l'ïrosion de ses ventes. ´ Nous allons ïvoluer profon- dïment sans rïvolutionner ª, explique au Monde Yves de Chaisemartin, PDG de la Socpresse. Prïsident du comitïïditorial du quotidien, Alain PeyreAEtte
est dïcïdï ì Paris, samedi 27 no- vembre. p. 22, et la mort d"Alain PeyreAEtte p.16 et 36Paroles de grand chefSIR SIMON RATTLE
INVITÉ pour trois jours par la
Cité de la Musique, à Paris, le chef
d'orchestre britannique Sir SimonRattle est venu avec l'Orchestre de
Birmingham, qu'il a hissé au pre-
mier rang. Dans un entretien exclu- sif au Monde, il parle de son travail et de sa prochaine arrivée à la tête de la Philharmonie de Berlin.Lire page 31
TV-STR/AFP
TERRORISME
L'ETA romptla trêve
L'organisation sïparatiste basque ETA
a annoncï dans un communiquï, dimanche 28 novembre, sa dïcision de´ rïactiver l'utilisation de la lutte
armïe ªet de mettre ainsi AEn, ´ ì par- tir du 3 dïcembre ª, ì la trñve qu'elle observait depuis quatorze mois. Cette dïcision, unanimement condamnïe enEspagne, provoque dïception et
inquiïtude au Pays basque franÿais (photo d'archive).p. 4ENQUÊTE
Une guerreoubliée
1. En Sierra Leone,l'úuvre du Diable
Une horreur absolue... Pendant huit
ans de guerre civile en Sierra Leone, les rebelles du Front rïvolutionnaire uni ont semï la terreur et la mort, tuant50 000 personnes, violant femmes et
AEllettes, coupant les bras et les mains
de leurs victimes. Notre envoyï spïcialRïmy Ourdan raconte cette guerre
oubliïe d'Afrique, qui s'est terminïe le7 juillet par un traitï de paix accordant
l'amnistie aux criminels et intïgrant quatre chefs rebelles dans le gouverne- ment. p.15 et notre ïditorial p.19ENQUÊTE
France-Serbie :
qui sont les ´ espions ª du commando´ Araignïe ª ?
LES CINQ hommes du
commando " Araignée », emprison- nés à Belgrade et accusés d'avoir préparé l'assassinat de SlobodanMilosevic pour le compte de la
France, ont eu un itinéraire sanglant,
de la Bosnie-Herzégovine au Congo-Zaïre. Milorad " Misa »Pelemis
commandait une unité d'élite lors du massacre de Srebrenica en 1995 etJugoslav Petrusic, alias " Dominic
Yugo », était à la tête d'une phalange de mercenaires serbes à Kisangani en1997. De nationalité franco-yougo-
slave, Petrusic a af®rmé avoir aidéJean-Charles Marchiani à libérer
deux pilotes français otages en Bos- nie. Les cinq hommes travaillaient pour les services de renseignement militaire du chef de l'armée desSerbes de Bosnie, Ratko Mladic.
Lire page 6
La dissidence
Pasqua
aLA DERNIÈRE semaine de
campagne pour la présidence du RPR, avant le second tour de vote des militants le 4 décembre, met au cúur du débat le ralliement de François Fillon à la candidature de Michèle Alliot-Marie. Alors queCharles Pasqua, qui avait exprimé sa
sympathie pour M. Fillon, minimise l'importance du choix offert aux militants du RPR, M meAlliot-Marie
a proposé de réunir des " assises du gaullisme » ouvertes au RPF.L'ancien ministre de l'intérieur a
rejeté cette invitation, au moment où le candidat qu'il soutenait à l'élection législative partielle du 20 e arrondissement de Paris a obtenu, dimanche 28 novembre, un résultat supérieur à celui des élec- tions europénnes.Lire pages 8 et 9MARDI 30 NOVEMBRE dans
l'après-midi, au nord-ouest desEtats-Unis, la ville de Seattle
accueille les délégations of®cielles des 135 pays membres de l'Organi- sation mondiale du commerce (OMC), réunis pour débattre de l'ouverture d'un nouveau cycle de négociations commerciales. Ce " cycle du millénaire »est destiné à relancer la libéralisation deséchanges mondiaux, notamment
dans le domaine de l'agriculture et des services. Pour la première fois dans l'histoire de ce type de grand marchandage global, l'opinion publique mondiale est mobilisée.Elle exprime ses craintes et ses
oppositions à travers des " organi- sations non gouvernementales » (ONG). En France, les anti-OMC ont manifesté, samedi à Paris et en province, réunissant plusieurs dizaines de milliers de personnes. " Le monde n'est pas une marchan- dise », proclamaient les banderoles du dé®lé parisien organisé par plu- sieurs associations anti-OMC (Attac, AC !, etc.) et auquel partici-paient notamment les dirigeants duParti communiste, des Verts, du
Mouvement des citoyens.
A Seattle, avant même la ren-
contre ministérielle, quelques cen- taines de militants américains ont bloqué la circulation dans la ville dès dimanche. Au même moment,Mike Moore, directeur général de
l'OMC, plaidait devant les délégués de la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) en faveur d'un " internationalisme »adapté à cette " nouvelle ère de la mondiali- sation ». M. Moore organise, lundi, un forum avec l'ensemble des ONG présentes. Mardi, 50 000 manifes- tants, agriculteurs, écologistes et militants syndicaux, venus du monde entier, sont attendus dans les rues de Seattle.En France, l'agriculture, l'un des
principaux enjeux de Seattle, pour- suit sa modernisation avec la signa- ture des premiers contrats territo- riaux d'exploitation, dans lesHautes-Pyrénées.
Lire pages 2, 3 et 13
Les citoyens du monde s'invitent ì l'OMC
bSeattle accueille, mardi, les 135 membres de l"Organisation mondiale du commercebLa mobilisation contre la libïralisation des ïchanges s"internationalise au mñme rythme que le
commerce b´ Le monde n"est pas une marchandise ª, ont lancï, ì Paris, les manifestants anti-OMCLeMondeJob: WMQ3011--0002-0 WAS LMQ3011-2 Op.: XX Rev.: 29-11-99 T.: 11:11 S.: 111,06-Cmp.:29,11, Base : LMQPAG 44Fap: 100 N
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