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William Golding Sa Majesté des Mouches Traduit de l'anglais par Lola Tranec- trouvait la maîtrise presque au complet ; à sa C'est comme dans un livre



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Avant-propos 7 1 Le thème de l'arrivée sur l'île 9 Groupement de textes 18 II Travaux d'approche 27 Un livre entre les mains 27 L'entrée dans le récit 33



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William Golding

Sa Majesté des

Mouches

Traduit de l'anglais par Lola

Tranec-Dubled

I

L'appel de la conque

Legarçonblonddescenditlesderniers

rochersetsedirigeaverslalaguneenregard- chemisegriseadhéraitàsapeauetses cheveuxluicollaientaufront.Autourdelui, laprofondedéchiruredelajungleformait commeunbaindevapeur.Ils'agrippaitpén- iblementauxlianesetauxtroncsbrisés, autre cri lui fit écho: - Hé! attends une minute, dit une voix. sur le sol. - Attendsunpeu,répétalavoix,jesuis accroché. deseschaussettesd'ungestemachinal.L'es- paced'uneseconde,songesteévoquale coeur de l'Angleterre et la jungle fut oubliée.

La voix se fit entendre à nouveau.

- Jepeuxàpeinebougeravectoutesces espèces de lianes.

Celuiquiparlaitsortitàreculonsdes

sonblousongraisseux.Àlapliuredesgen- oux,desépinesmordaientsapeaunueet grassouillette.Ilsebaissa,lesenleva soigneusementetseretourna.Pluspetitque lesendroitsoùposerlespiedsetillevales yeux derrière ses lunettes à verres épais. - Où est l'homme au micro?

Le blond secoua la tête.

- Noussommesdansuneîle.Ou,du moins,ilmesemble.C'estunrécifenpleine mer.Iln'yapeut-êtrepasdegrandesper- sonnes ici.

Le gros eut l'air interloqué.

- Ilyavaitlepilote.Maisiln'étaitpas de pilotage, devant.5/621

Leblondexaminaitlerécifd'unregard

attentif. - Ettouslesautresgosses,continuale gros.Ilyenasûrementquis'ensontsortis.

Tu crois pas, hein?

Leblondsedirigeaversleborddel'eau

après lui. - Iln'yapasdegrandespersonnesdu tout? - Je ne crois pas.

Leblondavaitrépondud'untonsolennel;

sus dessous. - Pas de grandes personnes!

Le gros réfléchit un moment.

- Ce pilote.

Leblondretombasursespiedsets'assit

sur la terre brûlante. - Iladûnouslaissericietrepartir.Ilne pouvaitpasatterririci.Pasavecunavionà roues. - On a été attaqués. - Oh! il reviendra.

Le gros secoua la tête.

- Quandc'estqu'ondescendait,j'aire- ceaudel'avion.Yavaitdesflammesquien sortaient.7/621

Ilobservadehautenbasladéchirurede

la jungle. - Ça, c'est la carlingue qui l'a fait.

Leblondtenditlamainettâtalebord

un moment. - Qu'est-cequ'elleestdevenue,lacar- lingue? Où est-elle passée? - Cetoragel'aentraînéedanslamer.

C'étaitrudementdangereuxavectousces

encore y avoir des gosses à l'intérieur.

Il hésita un instant, puis reprit:

- Comment que tu t'appelles? - Ralph.

Legrosattenditqu'onluidemandâtaussi

sonnom,maisildutrenonceràcette8/621 avance;leblondnomméRalpheutunsouri- revague,selevaetrepritsamarcheversla lagune. Le gros le suivit résolument. - Jepensequ'onestplusieurs,dispersés par là. Tu n'en as pas vu d'autres, hein? sepritlepieddansunebrancheets'étalade lui, respirant fortement. - Matantem'aditdenejamaiscourir, expliqua-t-il. Rapport à mon asthme. - Ton as... quoi? - Monasthme.Peuxpasrespirer.J'étais avecunpeud'orgueil...Etpuis,jeportedes lunettes depuis que j'ai trois ans.9/621

IlenlevaseslunettesetlestenditàRalph,

lesessuyersursonblousonsale.Unegrim- acedesouffranceetdeconcentrationin- visage.Ilbarbouillasesjouesdesueuret chaussa prestement ses lunettes. - Ces fruits!

D'unrapidecoupd'oeil,ilinspectales

alentours. - Ces fruits, répéta-t-il. Je crois que...

Ilajustaseslunettes,s'écartadeRalphet

s'accroupit dans le sous-bois touffu. - Attends, j'en ai pour une minute...

Ralphsedégageadeslianesavecprécau-

tionetsefaufilaentrelesbranches.Quelques de la jungle.

Lacôteétaitcouvertedepalmiers.Les

toutenhautdestroncs.Ilspoussaientsurun taluscouvertd'herbedrue,saccagéeparla chutedesarbres,parseméedenoixdecoco pourrissantesetdeplantsdepalmiers.Au- parladéchirure.Ralphsetenaitappuyé contreuntroncgris,plissantlesyeuxpour regarderlasurfacemiroitantedel'eau.À pourpre.Laplage,entrelaterrassedepalmi- ersetleborddel'eau,s'incurvaitenmince arcdecercle,apparemmentsanslimites,car, sursagauche,Ralphvoyaitlespalmiers,la toujours sensible, régnait la chaleur.

Ilsautaaubasdelaterrasse.Seschaus-

etlachaleurlefrappabrutalement.Soudain conscientdupoidsdesesvêtements,d'un seulmouvementbrusqueilenleva12/621 chaussuresetchaussettes.D'unbondilre- montasurletalus,retirasachemiseetsetint entrelesnoixdecocoenformedecrânes,la peaumoiréeparlesombresvertesdespalmi- ture,enlevaprestementsaculotteetson due éblouissante de sable et d'eau.

Àdouzeanspassés,iln'avaitplusle

ventreproéminentdel'enfance,maisl'ad- olescencenelemarquaitpasencorede gaucherie.Largedecarrure,ilpouvaitfaire unfuturboxeur,maisladouceurdesa boucheetdesesyeuxgarantissaitun manquedeméchanceté.Duplatdelamain, ilflattadoucementuntroncdepalmier;en- eutunrireravietsemitdeboutsurlatête. s'agenouillaet,desdeuxbras,empilauntas fixasurlamerunregardbrillant d'expectative. - Ralph...

Legrosgarçonselaissatomberaubasdu

les pieds dans le sable. - C'estpasmafautesijesuisrestési longtemps. Ces fruits...

Ilessuyaseslunettesetlesajustasurson

nezminuscule.Lamontureyavaitlaisséune empreinteroseenformedeV.Sonregard fermeture Éclair de son blouson. - Ma tante...

PuisilouvritlafermetureÉclaird'un

geste décidé et enleva son blouson. - Voilà! dire. - Ilfaudraitsavoirleursnoms,ditlegros garçon,etenfaireuneliste.Etpuisil faudrait faire une réunion.

Ralphn'eutpasl'airdesaisir,aussile

garçon continua-t-il sur un ton confidentiel: - Çam'estégalcommentonm'appelle, pourvu qu'on m'appelle pas comme à l'école.

Ralphmanifestauncommencement

d'intérêt.15/621 - Comment on t'appelait?

Legrosgarçonlançauncoupd'oeilpar-

ph. Dans un murmure, il dit: - On m'appelait: "Piggy[1].»

Ralphritauxéclats.Ilbonditsurses

pieds. - Piggy! Piggy! - Oh! Ralph, je t'en prie!

Piggy se tordait les mains de désespoir.

- Je t'ai dit que je ne voulais pas... - Piggy! Piggy!

Ralphsemitàdanserdejoiedansl'air

Piggy,lesbrasétenduspourimiterunavion

et il fit semblant de le mitrailler. - Ta-ra-ra-ra...16/621

Iltombaenpiquédanslesable,auxpieds

de Piggy, et resta étendu, secoué de rire. - Piggy!

Piggyeutunsourireforcé,contentquand

même d'obtenir ce semblant d'intérêt. - Tant que tu ne le dis pas aux autres...

Ralphétouffasonriredanslesable.L'ex-

pressiondesouffranceetdeconcentration revint sur le visage de Piggy. - Attends un peu...

Ilretournaencourantdanslaforêt.Ralph

se releva et partit vers sa droite.

Laplages'interrompaitbrusquement

devantlecarrémassifd'unvasteplateaude granitrosequeformaitlepaysageàceten- d'unemincecouchedeterreetd'herbedrue, etombragéepardejeunespalmiers.Les arbresn'yavaientpasassezdeterrepour lesolenunfouillisdetroncsquifournis- dulagon.Ralphsehissasurleplateau, sefrayauncheminverslebordduplateau18/621 quisurplombaitlameretlacontempla. tropicales.Unbancdepoissonsminuscules phpoussauneexclamationdeplaisirsurun ton de basse: - Pfuischt!

Ungestedivin - untyphonpeut-être,ou

l'oragequiavaitaccompagnéleurar- rivée - avaitentasséunediguedesableà l'intérieurdulagon,desortequ'unbassin etlemurdegranitrose.Ralphconnaissait l'aspecttrompeurdesmarestroppeupro- cebassinprovidentiel - quelamernerem- plissaitévidemmentqu'àmaréehaute - of- foncédesgrandsfonds.Ralphexamina plongea.L'eauétaitd'unetempérature siondeprendresonbaindansuneimmense baignoire.

Piggyleretrouva,s'assitsurlebordroch-

euxetregardaavecenvielecorpsblancet vert de Ralph. - Dis donc, qu'est-ce que tu nages bien! - Piggy!20/621

Piggyenlevaseschaussuresetseschaus-

settes,lesrangeasoigneusementsurlebord et trempa un orteil dans l'eau. - C'est chaud! - Eh bien! qu'est-ce que tu croyais? - Je ne croyais rien. Ma tante... - Zut pour ta tante!

Ralphfitunplongeonensurfaceetnagea

sousl'eau,lesyeuxouverts;ladiguedesable luiapparaissaitcommeleflancd'unecolline.

Ilseretournaensepinçantlenezetunelu-

descenditsurlapointedespiedsdansle sableetrestaassis,dansl'eaujusqu'aucou, en regardant Ralph avec un sourire fier.21/621 - Tu ne veux pas nager?

Piggy secoua la tête.

- Jenesaispasnager.J'avaispasledroit.

Mon asthme...

- Zut pour ton as-ticot!

Piggysupportalamoquerieavecunesorte

d'humble patience. - Dis donc, qu'est-ce que tu nages bien!

Ralphdescenditleplaninclinéenbarbot-

mplitsabouched'eauetlacrachaenunlong jet. Puis il releva le menton et parla. - Jesavaisnageràcinqans.C'estpapa quim'aappris.Ilestcapitainedefrégate.

Dèsqu'ilauraunepermission,ilviendra

est?22/621

Piggy rougit.

- Monpèreestmort,répondit-iltropvite.

Et ma mère...

Ilôtaseslunettesetcherchavainement

quelque chose pour les essuyer. - Jevivaischezmatante.Elleavaitune confiserie.Qu'est-cequejemangeaiscomme bonbons!Autantquejevoulais.Quandc'est que ton père viendra nous chercher? - Dès qu'il pourra.

Piggysortitdel'eau;nuetruisselant,ilse

mitàessuyerseslunettesavecunechaus- sette.Leseulbruitquileurparvenaitmain- sur les rochers. - Comment qu'il saura qu'on est là?23/621

Ralphseprélassaitdansl'eau.Unetor-

peurlegagnait,semblableauxmiragesen- lagon. - Et comment qu'il sait qu'on est là?

Parcequ'illesait,pensaRalph,commeça,

commeça.Legrondementdesvaguessefit plus lointain. - On lui dira à l'aérodrome.

Piggysecoualatête,remitseslunettes

étincelantes et abaissa son regard sur Ralph.

- Penses-tu.T'aspasentenduceque disaitlepilote?Surlabombeatomique?Ils sont tous morts.

Ralphsortitdel'eau,sepostaenfacede

Piggy et réfléchit à ce problème nouveau.

Piggy insista:24/621

- On est sur une île, hein? - J'aigrimpésurunrocher,réponditRal- ph lentement, et je crois que oui. - Ilssonttousmorts,répétaPiggy,eton

Ton père sait pas, personne sait...

Seslèvrestremblaientetunebrumeob-

scurcit ses lunettes. - Onpeutrestericijusqu'àcequ'on meure.

Surcesmots,lachaleurleurparut

s'alourdir,pesersureuxcommeunemenace etlasplendeuraveuglantedulagonpritun air hostile. - Donne-moimeshabits,murmuraRal- ph. Là...25/621

Iltraversalaplageaupetittrot,supporta

lamorsurecruelledusoleil,traversaleplat- mitsachemisegriseavecsoulagement.Iles- caladalebordduplateauettrouvauntronc pours'asseoirconfortablementàl'ombre. cautionsuruntronctombéaupieddela petitefalaisequisurplombaitlelagon;lela- cis de reflets le couvrit d'ombres dansantes.

Il parla enfin.

- Fauttrouverlesautres.Fautfaire quelque chose.

Ralphnedisaitrien.Ilsétaientsurun

un rêve agréable.

Mais Piggy insistait:

- Combien qu'on est ici?

Ralph descendit aux côtés de Piggy.

- Je sais pas.

Detempsàautre,desbriseslégères

effleuraientlasurfacepoliedel'eausousla brumedechaleur.Lorsquecesbrisesat- teignaientleplateau,lesfrondaisonsdes palmierschuchotaientetdestachesdelu- garçonsouvoletaientdansl'ombreavecdes ailes brillantes.

PiggylevalesyeuxversRalph.Toutesles

eauxdulagon.Unetachedesoleilglissait dans ses cheveux. - Faut faire quelque chose.

Ralphleregardasanslevoir.Enfinse

esquissèrentunsourirederavissementet

Piggy,leprenantpourunemarqued'atten-

tion à son égard, rit de plaisir. - Si c'est vraiment une île... - Qu'est-ce que c'est que ça?

Ralphnesouriaitplusetdésignaitdu

doigtlelagon.Unobjetcouleurd'ivoirere- posait parmi les herbes chevelues. - Une pierre. - Non, un coquillage.28/621

Lesparolessebousculèrentsoudainsurla

languedePiggyquiexpliqua,nonsans supériorité: - Voui,c'estuncoquillage.J'enaidéjàvu uncommeça.C'étaitpenduaumurchez quelqu'un.Onappelaitçauneconque. arrivait. Ça a beaucoup de valeur...

AuxcôtésdeRalph,unjeunepalmierse

penchaitsurleseauxdulagon.Déjà,son poidsarrachaitunemottedeterreausol troppauvre;ilnetarderaitpasàtomber. pencha imprudemment. - Attention! Tu vas le casser. - La ferme! dit Ralph d'un ton distrait.29/621 et;maislesfantasmagoriesvivacesdeson imaginations'interposaientencoreentrelui etcetintrus.Lepetitpalmierployaetdé- plaçalecoquillagedanslesherbes.Ralph pritappuisurunemainet,del'autre,éleva

Piggy s'en saisit.

Maintenantquelecoquillageétaitàsa

tion de Piggy qui bavardait: - ...uneconque;etçaabeaucoupde valeur.Jetepariequesituvoulaisenachet- erune,ilfaudraitpayerdesmilliersetdes due sur le mur de son jardin, et ma tante...30/621

Ralphpritlaconqueetquelquesgouttes

teinteivoirineducoquillages'ombraitpar

Ralphlesecouaetdusablesortitdufonddu

cornet. - ...mugissaitcommeunevache,con- tinuaitPiggy.Ilavaitaussidespierres blanchesetunperroquetvertencage.Ilne il disait...

Piggys'interrompitpourreprendre

haleineetcaressalecoquillagebrillantque tenait Ralph.31/621 - Ralph!

Ralph leva la tête.

- Onpourraits'enservirpourappelerles autres.Faireunmeeting.Ilsviendronts'ilsquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39