[PDF] GUI E D EP NS OU NSA R N L EC ES UN R T ES TI PO RIO NS IE



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Carence en vitamine D de l’Adulte : quoi de neuf

Carence en vitamine D : quoi de neuf ? Prévalence insuffisance et carence en vitamine D 78 femmes de 50 ans (SU VI MAX) 50à60 femmesostéoporotiques50 à 60 femmes ostéoporotiques(LipsPJInternMed2006)(Lips P J Intern Med, 2006) 97 des patientes hospitalisées pour fractures ostéoporotiques Sujet en mauvais état de santé (Thomas MK



Carences en vitamine B12 chez l’adulte : étiologies

1 Introduction La carence en vitamine B12 (B12) ou cobalamine est fré-quente chez l’adulte, notamment chez les sujets âgés (supé-rieure à 20 ) [1], mais reste souvent méconnue voire inex-



Pour les adultes 4 Mon doc LA VITAMINE B12

STATUT EN VITAMINE B12 L’examen le plus fiable repose sur le dosage de la concentration en acide méthylmalonique (AMM) dans les urines Une augmentation de la synthèse de cet AMM est un signe de carence en vitamine B12 Cet examen d’urine est réalisable en laboratoire d’analyse, sur ordonnance ou sans En pratique, il est



Acide folique, folates, vitamine B 9 - CERIN

Quoi qu’il en soit, une prise de plus de 1 000 µg/j d’acide folique doit se faire sous supervision médicale, car elle peut masquer les symptômes d’une carence grave en vitamine B 12, ce qui est sus - ceptible d’entraîner des dommages neurologiques irréversibles Françoise Mosser-Saison, diététicienne nutritionniste,



wwwjaccrafricacom ISSN 1859-5138

La carence en vitamine D devient de plus en plus un sujet d’actualité Si la carence en vitamine D est plus fréquente chez les sujets de plus de 65 ans avec comme complications les fractures secondaires à l’ostéoporose, cela n’en est rien chez l’adulte jeune L’on y pense plus vite chez l’adulte devant une chute



GUI E D EP NS OU NSA R N L EC ES UN R T ES TI PO RIO NS IE

A C T I O N S E S S E N T I E L L E S E N N N U T R I T I O N G U I D E P P O U R L L E S R R E S P O N S A B L E S D D E S S A N T É Fond des Nations Unies pour l’enfance NutritionEssentials_Cvr-French qxd 4/17/02 1:12 PM Page 1



Vitamine D : le nouveau scandale sanitaire

un adulte devrait pouvoir compter sur un minimum de 75 nmol/L, ce qui n’est possible en hiver en France, Suisse, Belgique, Canada, qu’en prenant des suppléments de vitamine D ou d’huile de foie de morue Il faut faire une remarque : les suppléments ne visent qu’à nous fournir les doses de vitamine D



Item 335 : Thrombopénie - CERIMES

Carence en vitamine B12 ou en folates Syndromes myélodysplasiques adulte) – maladies auto-immunes (lupus, syndrome des antiphospholipides : risque



LE SÉLENIUM DÉMYSTIFIÉ - equipurinaca

offert en trop grande quantité Mais je vous rassure, les cas de carence sont beaucoup plus fréquents que les cas de toxicité, particulièrement dans notre province Le sélénium joue principalement un ôle d’antioxydant Il travaille conjointement avec la vitamine E pou potége les mem anes ellulaies de l’ation dommageale des adiaux lies

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AACCTTIIOONNSSEESSSSEENNTTIIEELLLLEESS EENN NNUUTTRRIITTIIOONN G

GUUIIDDEE PPOOUURR LLEESS RREESSPPOONNSSAABBLLEESS DDEE SSAANNTTÉÉFond des Nations Unies pour l'enfance

NutritionEssentials_Cvr-French.qxd 4/17/02 1:12 PM Page 1

ACTIONSESSENTIELLES EN NUTRITION

GUIDE POUR LES RESPONSABLES DES

ACTIVITÉS DE SANTÉFond des Nations Unies pour l'enfance iiActions essentielles en nutrition : Guide pour les responsables des activités de santé

REMERCIEMENTS

Tina Sanghvi (BASICS), Roger Shrimpton, et Bruno de Benoist (OMS) sont les principaux auteurs de

cette publication. Ils ont travaillé avec plusieurs collaborateurs dont : Karabi Bhattacharyya (BASICS),

Bart Burkhalter (BASICS), Eyunyong Chung (USAID), Graeme Clugston (OMS), Frances Davidson

(USAID), Serigne Mbaye Diène (BASICS), Leslie Elder (projet Mothercare/JSI), Michael Favin (Manoff

Group), Rebecca Fields (BASICS), Holly Fluty (USAID), Rae Galloway (BASICS), Stuart Gillespie (Consultant), Peter Gottert (AED), Marcia Griffiths (Manoff Group), Agnès Guyon (BASICS), Philip Harvey (MOST), Sandra Huffman (LINKAGES et " Ready to Learn »), Samuel Kahn (USAID), Maryanne Stone-Jimenez (LINKAGES/LLL), Saskia van der Kam (Médecins Sans Frontières), Rose Lungu (NFNC/Zambie), Kristen Marsh (USAID), Reynaldo Martorell (Emory University), José Mora (MOST), Altrena Mukuria (MACRO International), Ritu Nalubola (MOST), Maguette Ndiaye (BASICS), Robert Northrup (BASICS), Nosa Orobaton (BASICS), Ellen Piwoz (SANA/AED), Sjoerd Postma (DANIDA), David Pyle (BASICS), Timothy Quick (USAID), Mark Rasmuson (BASICS), Jay Ross (LINKAGES), Randa Saadeh (OMS), Robert Steinglass (BASICS), Ronald Waldman (BASICS), Jelka Zupan (OMS) ainsi que d'autres

personnes. Traduction française appuyée par Serigne Mbaye Diène, Agnès Guyon et Magdalena Serpa.

Mise en page par Kathy Strauss.

Les Sections Nutrition et Santé de la Division des Programmes de l'UNICEF, basées à New York ont reçu

les différentes versions provisoires du document, dont ils ont largement contribué aux révisions.

Rosemarie Philips et Pat Shawkey sont les responsables de la publication. LES ILLUSTRATIONS PHOTOGRAPHIQUES SONT À METTRE AU CRÉDIT DES

ORGANISMES CI-APRÈS :

Couverture et page 25, UNICEF/93-1726/Lemoyne; page de garde et page 29 : Soudan, 1993, UNICEF 93-

1007/Presse; page 48 : Mark Edwards/Still Pictures, page 67 : UNICEF/95-0134/Charton, page 81 :

UNICEF/Afrique du Sud, page 123 : Shehzad Noorani/Still Pictures. Toutes les autres photos appartiennent au projet BASICS.

Le présent document n'est pas une publication officielle du Fonds des Nations Unies pour l'enfance

(UNICEF) ni de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), et tous les droits de reproduction sont

réservés à l'Organisation. Cependant, le document peut être librement revu, résumé, reproduit et

traduit, en partie ou dans son intégralité, mais il ne peut être vendu ni utilisé à des fins commerciales.

Les points de vue exprimés dans des documents par d'auteurs nommément cités n'engagent que ces

auteurs.

© ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE, 1999.

Réimprimé par BASICS II en 2004 sous contrat N° : HRN-C-00-99-00007-00.

BASICS est un projet mondial d'appui à la survie de l'enfant, financé par la Direction de la santé et de

la nutrition du Bureau pour les programmes mondiaux, le soutient de terrain et la recherche de

l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). La Division de la survie de

l'enfant de cette agence donne des orientations techniques et soutient le processus d'élaboration de

stratégies et de mise en oeuvre des programmes de survie de l'enfant, y compris les interventions concernant la morbidité et la nutrition des nourrissons et des petits enfants.

BASICS II est exécuté par " Partnership for Child Health Care, Inc. » (contrat N° : HRN-C-00-99-00007-

00). Les différents partenaires sont " the Academy for Educational Development, John Snow, Inc., et

Management Sciences for Health. » Les sous-traitants comprennent " Emory University, The Johns Hopkins University. The Manoff Group, the Program for Appropriate Technology in Health, Save the

Children Federation, Inc., » et " TSL. »

Le présent document ne reflète pas nécessairement les points de vue ou opinions de l'USAID. iii

Préface

Les responsables des activités de santé qui travaillent au niveau central ou district dans les pays en développement pourront utiliser les informations présentées dans ce guide pour renforcer les volets nutritionnels de leurs différents programmes. Les responsables d'autres secteurs tels que agriculture, éducation, développement rural, et programmes de bien être social découvriront aussi l'utilité du guide pour le renforcement de leurs activités de nutrition. Le guide n'est ni une revue complète, à caractère social et multisectorielles des problèmes de nutrition ni un ensemble de réponses pour la solution de ces problèmes. Cependant, les responsables et les agents de santé peuvent s'en servir pour : consulter les protocoles et les orientations actuels des programmes de nutrition, connaître les raisons techniques de la nécessité de se concentrer sur certains résultats et certaines activités de nutrition, trouver des listes de contrôle qui peuvent être adaptées au niveau local pour la planification des programmes, la formation, la supervision et l'évaluation, trouver de nouvelles idées pour la solution de certains problèmes courants, et élaborer des guides de formation, concevoir des programmes d'études, et préparer des retroprojecteur ainsi que des imprimés à distribuer. Bien que le guide se concentre sur la nutrition, les responsables des activités de santé devraient, en suivant les recommandations qui leur sont faites, intégrer la nutrition dans les services de santé et ne pas créer de ivActions essentielles en nutrition : Guide pour les responsables de santé programme de nutrition séparé. Le guide peut orienter les responsables dans le processus d'intégration des interventions nutritionnelles prioritaires au niveau des structures sanitaires et des communautés des zones géographiques dont ils ont la charge. Il se concentre sur des interventions concernant un groupe précis de résultats, comprenant l'allaitement maternel exclusif, une alimentation complémentaire appropriée couplée à la poursuite de l'allaitement maternel pendant deux ans, des soins nutritionnels appropriés pour les enfants malades et malnutris, une consommation suffisante de vitamine A, de fer et d'iode. A l'instar des vaccinations, ces interventions constituent des moyens efficaces et rentables pour réduire la mortalité et les maladies chez les enfants. Elles favorisent et préservent aussi la croissance, le développement mental et les capacités d'apprentissage de l'enfant, ainsi que sa productivité à l'âge adulte. Les principaux groupes cibles des interventions nutritionnelles prioritaires sont les femmes et les enfants âgés de moins de deux ans. Dans certains milieux, la prise en charge des problèmes nutritionnels requiert pour les responsables de la santé un élargissement des groupes cibles, la mise en oeuvre d'interventions supplémentaires, et la collaboration étroite avec d'autres secteurs. Pour chaque résultat prioritaire, les questions " quoi » et " pourquoi » sont clairement expliquées dans ce guide. Il s'agit de faits et de recommandations universels, scientifiquement vérifiés qui englobent les besoins nutritionnels des femmes et des enfants, des directives concernant l'alimentation des enfants, des protocoles pour la supplémentation en micronutriments, et des normes de soins préventifs et curatifs. Dans ce domaine, les praticiens et non seulement les responsables de la santé - pourront constater l'utilité de ce guide. Même si la plupart des réponses aux questions " quoi » et " pourquoi » sont connues, certaines questions d'ordre technique restent encore à résoudre, et les lecteurs sont encouragés à mettre à jour ces informations de façon périodique. Contrairement aux questions " quoi » et " pourquoi », le " comment » de la mise en oeuvre des directives en matière de nutrition dépend des zones géographiques spécifiques concernées. Dans la mesure du possible, le guide présente les leçons apprises et les " meilleures pratiques » ayant trait à la manière de mettre en oeuvre des activités de nutrition. Mais le choix des méthodes et des processus à appliquer devrait reposer sur la

Préface v

connaissance des causes immédiates, sous-jacentes et fondamentales de la malnutrition au niveau local. Des mesures appropriées répondant aux besoins et aux opportunités existant au niveau local devraient être adoptées à court et à long terme. Sur la base d'autres expériences réussies, ce guide donne des informations sur la manière d'appliquer une stratégie à trois volets comprenant : (1) le renforcement des activités de nutrition dans les structures sanitaires, (2) la fourniture de services de nutrition au niveau communautaire, et (3) l'utilisation de canaux de communication appropriés pour renforcer les activités et les résultats clés en matière de nutrition. L'objet de ces activités consiste essentiellement à permettre au personnel sanitaire d'aider les prestataires de services, les familles et l'ensemble des membres de la communauté à prendre en charge eux- mêmes leur nutrition. Les responsables de la santé devraient adapter ces recommandations selon les contextes dans lesquels ils opèrent, en prenant bien soin d'y inclure les étapes ci-après : déterminer la nature et les causes spécifiques des problèmes, des pratiques nutritionnelles qui existent au niveau des populations qu'ils desservent ; fournir un appui essentiel aux agents communautaires et aux agents de santé, identifier des partenaires et leur donner les capacités requises pour mettre en oeuvre les différentes activités ; et revoir et réajuster fréquemment les activités pour les faire correspondre aux besoins des programmes. Les exemples présentés dans ce guide peuvent aider les responsables de la santé à comprendre la manière dont différentes activités de nutrition ont été planifiées et mises en oeuvre dans différents contextes, ainsi que le type et les quantités de ressources requis et les outils disponibles. L'inclusion dans ce guide de certaines informations pertinentes ayant trait à la nutrition reflète les questions qui sont le plus souvent posées aux responsables de la santé, les sujets pour lesquels de nouvelles orientations ont été récemment définies, les sujets pour lesquels on ne dispose pas de documents de référence, et les sujets sur lesquels il est difficile d'obtenir des informations. Le guide contient aussi des conseils sur la manière d'utiliser le matériel de référence, facilement accessible. Chacun des chapitres contient des informations spécifiques : Les chapitres 1 et 2 expliquent les fondements scientifiques des activités de renforcement de la nutrition ainsi que les raisons pour lesquelles des priorités ont été définies, Le chapitre 3 présente les étapes à suivre pour planifier des interventions nutritionnelles améliorées, Les chapitres 4 et 5 définissent respectueusement les grandes lignes à suivre pour la mise en oeuvre d'actions prioritaires en matière de nutrition au niveau des structures sanitaires et des communautés, Le chapitre 6 traite des principaux éléments à inclure dans un programme de communication en matière de nutrition au niveau du district, Le chapitre 7 décrit les éléments d'appui requis pour la mise en oeuvre des activités de nutrition, Le chapitre 8 présente les recommandations et les protocoles actuellement appliqués au niveau international pour la conduite des activités prioritaires de nutrition. viActions essentielles en nutrition : Guide pour les responsables de santé vii

ACDIAgence canadienne de

développement international

AMallaitement maternel

AMEallaitement maternel

exclusif

ASCagent de santé

communautaire

BASICSBasic Support for

Institutionalizing Child

Survivial

(soutien de base pour l'institutionnalisation de la survie de l'enfant)

BCGbacille de Calmette et

Guérin (vaccin contre

la tuberculose)

CAPconnaissances,

attitudes et pratiques

CITDCIConseil international

de lutte contre les troubles dus à la carence en iode

CVAcarence en vitamine A

DBCdistribution à base

communautaire

EDSEnquête démographique

et sanitaire

ERPévaluation rurale

participative

IECinformation, éducation

et communication

IHABInitiative des hôpitaux

amis des bébés

INACGInternational Nutritional

Anemia Consultative

Group (

Groupe consultatif

international sur les anémies nutritionnelles

IRAInfection respiratoire

aiguëIVACGInternational Vitamin A

Consultative Group

Groupe consultatif

international pour la vitamine A

JNVJournées nationales de

vaccination

MAMémoire d'accord

MAMAMéthode de

l'allaitement maternel et de l'aménorrhée mgmilligramme

MICSMultiple Indicator

cluster Survey (enquête basée sur un lot d'indicateurs multiples)

OCorganisation

communautaire

OMSOrganisation mondiale

de la Santé

ONGorganisation non

gouvernementale

PCIMEPrise en charge

intégrée des maladies de l'enfant

SICMsystème d'information

sur les carences en micronutriments

SMISanté maternelle et

infantile

TBAMatrone traditionnelle

TCItroubles dus à une

carence en iodequotesdbs_dbs19.pdfusesText_25