Accompagnement renforcé des jeunes sortis du système éducatif
aptitudes du jeune à s'engager dans la phase d'accompagnement Sa durée est en moyenne de 56 jours La durée du diagnostic est importante avant d'adhérer à l'accompagnement Désormais, tous les jeunes sont sortis de cette phase : 111 pour abandon (24 ) 51 pour diagnostic défavorable (11 ) prononcé par les conseillers
La Ligue de l’enseignement Midi-Pyrénées
- les jeunes inscrits depuis plus d’un an en Mission Locale et qui n’ont pas de solution dans leur problématique d’insertion sociale et professionnelle Les jeunes sont orientés par les conseillers de la Mission Locale en relation avec le référent départemental de la Ligue de
ACCORD DE PARTENARIAT FAVORISANT L’ACCES DES JEUNES A L’EMPLOI
intérim Au besoin, l’agence prendra l’attache de la mission locale partenaire en vue d’inscrire ces jeunes en CIVIS si ces derniers ne sont pas connus de la mission locale et sont volontaires pour un accompagnement renforcé proposer un parcours d’insertion aux jeunes repérés par les
« Garantie Jeunes - CNLE
• Pour le jeune et la mission locale – Le parcours est d’une durée minimum d’un an, renouvelable par tranche de 12 mois (voire 6 mois) après validation de la commission « multi-acteurs » Lorsque le contrat n’est pas renouvelé, la ML poursuit l’accompagnement dans le cadre du droit commun
ÉVALUATION DU DISPOSITIF « DE L’UNIVERSITÉ à L’ENTREPRISE
mission locale, et non pas par le biais de listes fournies par l’ULCO Les conseillers de la mission locale ont réalisé un accompagnement renforcé des jeunes en mobilisant avec une intensité plus forte les outils habituels de la mission locale Contrairement à ce qui était envisagé au stade de la rédaction du projet, le programme
Dares - Ministère du Travail, de lEmploi et de lInsertion
portunité pour les jeunes d’y entrer tout au long de l’année, contrairement à d’autres formations Certains conseillers de mission locale rencontrés situent l’E2C comme une offre de la «dernière chance», qui serait proposée à la suite de précé-dentes orientations infructueuses D’après un conseiller de mission locale, «
FICHE DE PRESSE - Lot-et-Garonne
(orientation d’un jeune vers le foyer des jeunes travailleurs de Villeneuve/Lot) Un partenariat local avec la mission locale, les acteurs locaux de l’insertion, de la santé, du logement, de la jeunesse, de la solidarité, de la formation et de la justice
Thématique - Le Fonds dExpérimentation pour la Jeunesse
départementalisation, puisque c'était le dernier territoire couvert par la Mission Locale Ouest Côtes d'Armor, qui ne proposait pas ce dispositif aux jeunes accompagnés dans un parcours d'insertion, et parce que les partenariats étaient déjà présents pour cette extension B Public visé par l’expérimentation 1
La dimension « insertion » dans le Défilé
costumier par le biais de l’entreprise d’insertion Atre Services, qui a aussi mobilisé 9 de ses salariés pour participer à l’atelier « char » Un jeune volontaire en service civique est venu renforcer l’équipe de la Mission locale afin de mieux mobiliser les jeunes sur les ateliers de pratique
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la vie associative, veut s’engager dans la défense des intérêts et la qualité de vie des Ajacciens Actrice incontournable de l’insertion des jeunes, la Mission Locale propose à chaque jeune un parcours personnalisé vers l’emploi, pour l’aider à surmonter les obstacles à son insertion professionnelle et sociale Des objectifs
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[PDF] JORF n 0231 du 5 octobre Texte n 27
[PDF] Erasmus Mundus Action 2, Strand 1 EU-METALIC Project Project Number: 372270-EM-1-2012-1-UK-ERA MUNDUS-EMA21.
Les écoles de la 2
e chance (E2C) s'adressent aux jeunes de moins de 26 ans sortis du système éduca tif sans diplôme ni qualification professionnelle (enca dré 1). Elles ont pour objectif l'insertion sociale et professionnelle des jeunes, en privilégiant les sorties vers la formation qualifiante. Fondées sur une péda gogie innovante, ces écoles proposent un parcours d'accompagnement individualisé sur plusieurs mois. Ce parcours est organisé autour de l'alternance de trois volets : remise à niveau dans les savoirs de base, stages en entreprises (clé de voûte du dispositif) et temps socioculturels et sportifs. Chacun de ces trois volets tient un rôle important dans la pédagogie de l'E2C. En fin de parcours, les E2C délivrent une attes tation de compétences acquises, qui n'a pas encore de reconnaissance officielle. Chaque école est un organisme de formation indépen dant et a ses propres spécificités. Des enquêtes mono graphiques réalisées auprès de huit écoles permettent de décrire finement leur fonctionnement, leur orga nisation et l'accompagnement qu'elles mettent en oeuvre (encadré 2).Un doublement des sites et des effectifs
accueillis entre 2009 et 2011En 2013, les écoles de la 2
e chance ont accueilli 14150 jeunes sur une centaine de sites (graphi-
que 1). Le dispositif s'est beaucoup développé entre2009 et 2011, avec un doublement des sites
et des effectifs accueillis. Depuis 2011, la progres sion reste soutenue, avec une augmentation annuelleL'ÉCO
L E DE L A 2 ECHANCE,
LA " GRANDE
CO L E DES DCROCHEURS MOTIV
SEn France, une quarantaine d'écoles
de la 2 e chance (E2C), réparties sur une centaine de sites, proposent un accompagnement global pour favoriser l'insertion sociale et profession nelle des jeunes sortis sans diplôme du système scolaire, les " décrocheurs 14000 jeunes ont été accueillis en 2013.
An de mieux connaître le fonctionnement et
les pratiques de ces écoles de la 2 e chance, la Dares a fait réaliser en 2012 une étude qualitative.D'après cette enquête monographique,
les jeunes accueillis ont connu des ruptures scolaires, souvent associées à des difcultés sociales et personnelles. Leur entrée en E2C est souvent conditionnée à leur motivation. Toutes les écoles partagent les mêmes principes d'individualisation des parcours et d'alternance en entreprise. Toutefois, chacune possède son identité avec ses propres pratiques, en rapport avec son territoire d'implantation. Dans l'école, le parcours des stagiaires est orga nisé en alternant successivement trois volets une remise à niveau sur les savoirs de base, des stages en entreprise et des activités d'ouverture sur l'extérieur. Deux axes forts charpentent le modèle développé par les écoles : la stabilisa- tion du parcours des jeunes et le développe ment de liens étroits avec les acteurs économiques locaux.Il est encore difcile de mesurer le devenir des
jeunes à la sortie du dispositif, les pratiques de suivi étant trop hétérogènes entre les écoles.Analyses
Dares publication de la direction de l'animation de la recherche, des étude s et des statistiques 2 de 10 % du nombre de jeunes accueillis. Les écoles sont implantées dans l'ensemble du territoire métropolitain, excepté dans l'ouest et le sud-ouest.Elles sont aussi présentes dans
les départements et territoires ultramarins (carte 1).9 jeunes sur 10 sans
diplômeLes jeunes entrés en E2C en
2013 ont 19,9 ans en moyenne,
avec une proportion équilibrée de femmes (51 %) et d'hommes (49 %), (tableau 1). La parité homme-femme observée dans les effectifs accueillis peut s'ex pliquer par l'absence de ciblage de métiers particuliers par les E2C et par une vigilance sur ce critère dès l'orien tation. 9 jeunes sur 10 n'ont pas de diplôme de niveau V ou supérieur (niveaux VI, Vbis, V sans diplôme et IV sans diplôme). 32 % habitent dans des territoires de la politique de la Ville, c'est-à- dire des quartiers ayant signé un contrat urbain de cohésion sociale (Cucs) ou des zones urbaines sensibles (Zus).Des parcours marqués par des ruptures
scolaires et personnelles...Le public visé par les écoles de la 2
e chance se concentre sur des franges de la population parti culièrement fragilisées : des jeunes sortis sans diplôme des systèmes d'enseignement tradition nel (tableau1) et qui doivent faire face à des dif-
cultés sociales et humaines marquées. Les jeunes rencontrés pour l'étude présentent une grande diversité de parcours avant leur entrée dans l'E2C. Cependant, tous les parcours sont marqués par des ruptures scolaires et souvent personnelles. La plupart des jeunes ont quitté prématurément le système éducatif. Certains ont décroché progres sivement, avec des difcultés scolaires non prises en compte. D'autres ont abandonné leur lière scolaire après un échec à un diplôme ou à la suite d'une orientation par défaut ou forcée. À propos de son orientation scolaire, une stagiaire interro gée déclarait : " Moi je voulais faire compta mais on m'a mise en secrétariat. Le secrétariat, ça ne me plaisait pas Dans les discours des jeunes, l'école classique est largement remise en cause dans sa capacité à accompagner un apprentissage et à orienter. Les ruptures se retrouvent aussi sur le plan person nel et social. Les jeunes rencontrés cumulent les problèmes dans plusieurs domaines : nanciers,1 0041 4281 9182 6693 7134 7375 7048 04911 454
13 03614 150
911152635
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