[PDF] Le conseil en VAE, une opportunité de renouvellement



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La VA E et les Régions : mises en œuvre et perspectives

La VAE et les régions : mises en œuvre et perspectives Journées d’information et d’échanges de pratiques Jeudi 29 et vendredi 30 mars 2007, Lyon Compléments bibliographiques Sommaire Textes officiels p 2 Bilans et rapports nationaux PRDF et contrats de projets p 3 Statistiques et bilans multi-régionaux



Le conseil en VAE, une opportunité de renouvellement

du service mis en œuvre et à la mise en réseau dont il a bénéficié Nous montrerons ensuite les p e r s p e c-t i v e squ’il ouvre, à moyen terme, de renouvellement du conseil professionnel traditionnel Nous le ferons à un double titre, en tant qu’acteurs impliqués depuis 2002 dans la création et le pilotage de ce



comment les régions Informer, conseiller, suivre : Synthèse

En 2002, la loi de modernisation sociale a introduit le droit individuel à la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) et en 2004, les Régions se sont vues confier la responsabilité d’organiser l’information-conseil en VAE dans le cadre de la loi sur les responsabilités et les libertés locales



Comité de suivi du 14 octobre 2011 François Léonelli, Vice

Une expertise de l’Unicef largement reconnue par les VAE (les comités sont très présents sur les manifestations touchant à l’enfance (79 ) et sont bien associés à la mise en œuvre du programme d’actions (54 )), mais pas assez utilisée par les VAE selon les Comités



MÉTIERS DE L’AUTONOMIE - Ministère du Travail, de l

tions en faveur de l’emploi et de la forma-tion, dans les secteurs les plus confrontés à des mutations La conception et la mise en place des EDEC s’intègrent dans la po-litique d’appui aux mutations économiques du ministère du Travail Signé par le ministre du Travail et la mi-nistre déléguée en charge des personnes



17321 - IGAS Textes couv - DRJSCS

La loi relative aux libertés et aux responsabilités locales a donné pleine compétence aux régions pour définir et mettre en œuvre leur politique de formation des travailleurs sociaux, tandis qu'il revient à l'État de définir les orientations qui encadrent au plan national l'organisation



Schéma Régional des Formations Sanitaires et Sociales 2017

54 de la loi du 13/08 /2004) Les Régions ont également reçu dans le cadre de ce transfert le financement et la gestion des aides individuelles destinées aux élèves et étudiant e s de ces formations Les Régions ont en charge la définition et la mise en œuvre des politiques de formation pour les secteurs sanitaire, médico-social et

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ACTUALITÉ DE LA FO R M ATION PERMANENTE N° 198 • SEPTEMBRE-OCTOBRE 2005 • CENTRE INFFO

D epuis plusieurs années, l e spratiques d'orientation professionnelle sont for- tement mobilisées autour de finalités d'ordre économique : favoriser le retour à l'emploi rapide des actifs demandeurs d'emploi ; orienter les publics vers l'offre de formation ; faciliter les recrute- ments dans les secteurs en tension,

à forte pénurie de main-d'oeuvre.

Ces finalités assignées à l'orien-

tation se traduisent par des mesures sociales de nature "réparatrices" dédiées à des publics ciblés. Les lignes financières et les commandes qui en découlent structurent un marché soumis à la concurrence desprix.

Ce marché de l'orientation

professionnelles'organise autour de trois grands types d'acteurs : les financeurs, les prescripteurs et les prestataires, avec une segmentation selon les publics. Certains acteurs cumulent plusieurs rôles (finan- ceurs et prescripteurs, financeurs, prescripteurs et prestataires). La multiplicité des donneurs d'ordre et des opérateurs peut générer d e seffets d'atomisation sur les terri toires et rendre illisibles les services, ce qui pose le problème de la coordination du système et de son pilotage au plan régional.

Cette organisation a pour

conséquence, quels que soient la créativité des opérateurs et leur professionnalisme, une relative standardisation des actions autour de process maintenant bien connus (bilan personnel - pistes d'orien- tation - validation du projet - mise en oeuvre).

La structuration de l'offre

d ' o r i e n t a t i o n, essentiellement liée aux lignes financières et aux programmes mis sur le marché, est peu compatible avec l'esprit de la "formation tout au long de la vie".

Elle est également peu économique,

car les compétences des acteurs ne sont pas utilisées de manière efficiente. La logique dominante est celle de la prescription de p r e s t a t i o n s, renouvelant en cela la logique palliative de l'orientation scolaire. En même temps, les commanditaires "acheteurs" de prestations ont des attentes fortes sur les effets observablesd e l'orientation en terme de retour rapide à l'emploi ou d'entrées en formation, qui ne cadrent pas nécessairement avec les attentes des usagers eux-mêmes. Les professionnels ont parfois àg é r e r les tensions entre les exigenc es accrues des commanditaires e tl e sobjectifs singuliers des bénéficiaires, dans un environ- nement où les perspectives en matière de prévisions d'emploi sont peu visibles. Dans la mesure où les prestataires sont très faiblement associés à l'élaboration des cahiers des charges et à la définition des indicateurs de résultats attendus, ils peuvent développer le sentiment d'une réduction progressive de leur zone d'autonomie. Cette logique de marché sans réelle animationqualitative fait courir le r i s q u e d'une standardisation des " p r o d u i t s "par la seule régulation des coûts. Tandis que de nouvelles prestations sont mises sur le marché, très peu sont supprimées.

Ces "nouvelles" prestations ne sont

bien souvent que des copies conformes de process bien connus sous couvert de sigles inédits.

Ainsi, le marché s'auto-perpétue

sans qu'une réelle réflexion sur l e sbesoins des publics ne soit conduite 1

Ces quelques constats, souli-

gnés dans de nombreux rapports 2 mériteraient d'être nuancés. En effet, de nombreuses initiatives ontété prises en régions pour ini- tier des pratiques nouvellesq u i laissent une place plus importante au bénéficiaire comme acteur de son orientation. On peut citer entre

Le conseil en VAE,

une opportunité de renouvellement duconseil professionnel ?

Par Sylvie Boursier et André Chauvet

Sylvie Boursier

e st chargée de mission à l aMPQF (Mission politique de qualification et d eformation) à la DGEFP (Délégation générale à l'emploi et à la formation p ro f e s s i o e l l e ) .

André Chauvet

e st directeur général de l asociété Grand format. Depuis deux ans, les conseillers en VAE ont accumulé une riche... expérience sur l e sdemandeurs de VAE, leurs cursus, les enjeux et les gains sociaux anticipés a u xmoments clefs de leurs itinéraires. Ce savoir devrait interpeller la pratique de l'orientation et du conseil - dans une perspective d'"orientation professionnelle tout a ulong de la vie". 1

Quelques Régions,

n o tamment le Nord - Pa s - d e -

Calais, et Rhône-Alpes

avec le Pôle Rhône-Alpes de l'o r i e n tation (Prao), p renant la mesure de ce phénomène, conduisent actuellement des travaux très intére s sants sur l e sbesoins des publics, l en é c e s sa i re "toiletta g e " des pre stations, et l 'e x p é r i m e n tation d'actions l o cales originales en lien avec les entreprises et f é r a t i o n s p rofessionnelles. 2

Cf. notamment le rapport

du CCPRA paru en j a n v i e r2004, intitulé

P o u rune politique

régionale coordonnée d'accueil, d'information e td 'o r i e n t a t i o n.

ÉTUDES •R é f l e x i o n s

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autres, les "Cités des métiers", dans le cadre de la Cité des sciences et de l'industrie, organisées à partir des besoins des personnes, dans u nespace accessible, dec o n s e i l s et de ressources par mutuali- s a t i o nde compétences émanant de diverses institutions. Des e x p é- rimentationsont été menées sous l'impulsion des Conseils régionaux et de l'État, correspondant à u n evolonté de mise en réseau intégré des acteurs sur les territoires afin d'améliorer la lisibilité des services d'AIO et la souplesse des réponses. Mais, là encore, on voit bien qu'il ne suffit pas que les acteurs se rencontrent pour que le réseau existe. Au-delà de la bonne volonté, se pose la question d'une organisation territorialead hoc, d'un projet de service au public, d'un pilotage de ce projet p o u rstructurer cette dynamique collective. Car les acteurs territoriaux dans le champ de l'orientation, quelles que soient leur complémentarité et leur bonne volonté, sont également concur- rents. Si les efforts ont été nombreux, ils n'ont pas toujours produit des effets immédiats observables.

La VAE, droit introduit par la

loi de modernisation sociale en janvier 2002, a permis aux acteurs publics et aux professionnels de terrain de réellement concrétiser cette volonté de structurer un service nouveaupar une mise e nréseau sur les territoires (voir encadré), d'inscrire le conseil professionnel dans la perspective de la mobilité des actifs et du développement des compétences tout au long de la vie, comme vecteur d'accès à un droit positif pour tous, à toutes les étapes d'un parcours professionnel et non comme mesure compensatrice.

Même s'il est encore trop tôt

pour tirer des enseignements exhaustifs sur le dispositif de conseil en VAE mis en place, nous souhaitons témoigner de son o r i g i n a l i t épar rapport aux pratiques traditionnelles d'AIO quant à la demande sociale qu'il draine, aux trajectoires profes- sionnelles qu'il révèle, à la nature du service mis en oeuvre et à la mise en réseau dont il a bénéficié. Nous montrerons ensuite les p e r s p e c- t i v e squ'il ouvre, à moyen terme, de renouvellement du conseil professionnel traditionnel. Nous le ferons à un double titre, en tant qu'acteurs impliqués depuis 2002 dans la création et le pilotage de ce dispositif, mais aussi parce que l'orientation professionnelle a été pour nous un objet de réflexion et d'intérêt, le fil conducteur de notre trajectoire professionnelle depuis plus de vingtans.

La demande sociale

L 'analyse des statistiques 2003 et 2004 montre que le public a largement investi le dispositif d'information conseil, end e h o r s de toute prescription institu- tionnelle. Le conseil n'est pas obligatoire, c'est un service offert

à toute personne qui le souhaite,

quelle que soit sa localisation, en zone urbaine ou rurale. Ce n'est pas le statut du demandeur qui condi- tionne l'accès au service mais bien sa propre initiative. La commu- nication autour de la VAE a attiré vers les services d'information et d'orientation un public qui ne s ' ymanifestait plus beaucoup : d e ssalariés, grands oubliés des politiques publiques d'AIO, des seniors autodidactes, des tuteurs et médiateurs "emplois jeunes", des passionnés de nouvelles techno- logies créateurs d'entreprise, etc.

Une partie de l'engouement

suscité auprès du public peut

ê t r eattribuée aux effets de

nouveauté de cette loi. Le diplôme a unevaleur symbolique forteen

France, d'autant plus forte qu'on

n'a pas pu l'acquérir en formation initiale. Sion peut sans doute imaginer, àmoyen terme, une s t a b i l i s a t i o n ,voire une décroissance de lademande spontanée, il n'en demeure pas moins que le public a massivement plébiscitéun service, alors même qu'il était impossible, lors de son installation, de prévoir

à quel niveau la demande allait

s'exprimer. La demande vient des personnes, les conseillers n'ont p a sà la stimuler, ni à la créer. Ils s esituent dans une posture de Rôle des cellules régionales inter services (Cris) et des points relais conseil (PRC) mis en place par l'État et la Région Les cellules régionales inter services (Cris), mises ne place à raison d'une par région, n'interviennent pas d i rectement dans l'information et le conseil auprès des candidats à la VAE. Elles sont charg é e s notamment de : •la production d'une information ciblée au niveau régional sur les systèmes de validation et de c e rtification ; •la diffusion de cette information régulière m e n t actualisée à un réseau de points relais conseil (PRC) et plus largement, la mise à disposition de cette i o rmation à l'ensemble des stru c t u res recevant du public ; •la constitution d'une banque de re s s o u rc e s p a rtagée sur la VAE accessible aux PRC, aux réseaux d'accueil, et plus largement aux part e n a i res du SPE, ainsi qu'aux branches professionnelles et Opca ; •la professionnalisation, coordination et animation du réseau des PRC ; •l ' a p p o rt d'information à l'ensemble des acteurs socio-économiques intéressés, afin de les aider à i n t rer la VAE dans la gestion des re s s o u rc e s humaines et dans les politiques territoriales d'emploi et d'insertion.

Les points relais conseil, en moyenne trois par

d é p a rtement, sont chargés d'accueillir, d'inform e r et de conseiller toute personne, quels que soient son statut, son niveau d'études, sa qualification, souhaitant bénéficier d'une information et d'un conseil en vue de faire valider son expérience pour l'obtention d'une certification. Les PRC peuvent également répondre aux demandes d'inform a t i o n des entreprises. Ils orientent les candidats à la VA E vers les certificateurs, en fonction de leur parc o u r s d'activités et de leurs enjeux (reconnaissance de l'expérience, reconversion, maintenance de l'em- ployabilité, promotion, etc.).

S o u rce : circ u l a i re DGEFP d'avril 2002.

La place de l'usager

est d'e m b l é e c e l l ed'un part e n a i r e dans un processus de recherche d'informations et d es o l u t i o n s 1 0 3

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"co-construction", la place de l'usager étant d'emblée celle d'un partenaire dans un processus de recherche d'informations et de solutions.

Au-delà des aspects quanti-

tatifs, c'est la nature même de l ademande qui mérite d'être soulignée. Selon Bruno Simon 3 , la demande "classique" d'orientation recoupe trois questions simples: "trouver un travail", "garder un travail" ou "changer de travail".

Les questions fréquemment

posées aux conseillers VAE sont de nature différente, ainsi : "J'ai trente ans d'expérience en entreprise, j'étais autodidacte, aujourd'hui j'occupe un poste important comme adjoint au

D R H ,comment puis-je obtenir

u ndiplôme valorisant cette expé- rience?" "J'étais mécanicien auto, je suis responsable d'une entreprise de transport après avoir exercé comme visiteur médical, comment puis-je obtenir une reconnaissance de mon expérience ?" "J'étais militaire, sous-officier sans spécialité technique, je me suis reconverti et j'ai vendu des ency- clopédies, je suis devenu gérant d'une franchise immobilière, et je souhaite évoluer, est-ce que je peux bénéficier de la VAE ?" "Je suis passionné par les nouvelles technologies, depuis quatre ans en tant qu'emploi jeune, j'occupe des fonctions de déve- loppeur, existe-t-il un diplôme dans ma spécialité ?" "J'occupe depuis vingt-trois ans le poste d'assistante de direction dans une PME indus- trielle. Comment puis-je obtenir le

BTS ? Me permettra t-il de gagner

plus ?"

Les personnes qui envisagent

une VAE mettent en avant leur parcours professionnel, leur expé- rience. La VAE s'inscrit dans une logique de réussite. Elle draine des publics différents de ceux "en difficulté" traditionnels du marché du travail : des salariés cherchant

àanticiper d'éventuelles mobilités,

des jeunes adultes en quête d'une reconnaissance salariale et d'un marqueur social de leur qualifi- cation, des personnes qui souhai- tent s'installer à leur compte et p o u rlesquelles le diplôme est indispensable.

Les diverses catégories

dedemandes

Les parcours des demandeurs

de VAE sont souvent très riches, parfois atypiques, voire chaotiques, avec des activités menées en France ou à l'étranger. A ce jour, même s'il est encore trop tôt pour stabiliser les profils types des personnes qui demandent un conseil, l'étude de terrain réalisée par le cabinet Dubouchet et

B e r l i o z

4 pour le compte de la

DGEFP fait apparaître cinq

catégories de demandes pour lesquelles le conseil se révèle particulièrement utile afin de gagner du temps et de s'inscrire dans un parcours de réussite.

Certaines demandes concernent

potentiellement une gamme de certifications étendueset plusieurs certificateurs. Par exemple, des autodidactes amenés à assumer des responsabilités d'encadrement, de tutorat, d'animation, souhaitent bénéficier de diplômes, soit parce qu'ils sont amenés à encadrer des jeunes diplômés, soit parce qu'ils considèrent le diplôme comme un gage de meilleure employabilité.

Ou encore, des salariés qui ont

Activité des points relais conseil en 2004

•339 équivalents temps plein au minimum mobilisés sur 800 sites; •plus de 79 907 (50 000 en 2003) personnes se sont adressées aux points relais conseil labellisés, au cours de l'année 2004 ; •53 706 (29000 en 2003) personnes ont bénéficié d'un entre t i e n conseil ; •42 260 personnes reçues en entretien conseil ont été orientées vers un projet de validation (78,7 %) ; •56,7 % des personnes reçues en entretien conseil sont des femmes.

S o u rce : DGEFP.

u c a t i o n n a t i o n a l e

Action

s o c i a l e

E m p l o iA g r i c u l t u re

J e u n e s s e

e tS p o rt s

Dossiers déposés24 203NC8 6001 1124 479

Dossiers recevables19 136NC7 4009303 480

Candidats présentés19 136NC4 3802631 535

Certifications complètes10 7783 1921717155483

Certifications partielles6 403NCNCNC489

Échecs1 955NCNCNC563

Les chiff res de la VAE en 2004 dans les ministères valideurs

S o u rce : DGEFP.

3

Revue Pour, L'o r i e n t a t i o n

en réorientation, numéro

103, septembre 2004.

4

Évaluation du dispositif

d'information conseil en

VA E. Étude commanditée

par la DGEFP, rapport final, février 2005. 1 0 4

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ÉTUDES •R é f l e x i o n s

passé une partie de leur carrière à l'international, dans le cadre de missions humanitaires, d'import- export, de négoce, et qui envisagent un retour sur le marché du travail métropolitain. L'aide des conseil- lers va permettre d'ouvrir le champ des certifications envisageables enquotesdbs_dbs6.pdfusesText_12